Item 322 : Iatrogénie Flashcards
Proportion d’érythème maculo-papuleux et d’urticaire dans les toxidermies
2/ 3 : érythème
1/ 4 : urticaire
Principale cause d’érythème polymorphe
Infectieux => récurrence HSV
V/F : Le sexe masculin n’est pas un argument en faveur d’une érythrodermie
Vrai
V/F : Une résistance au DC n’est pas un argument en faveur d’un psoriasis
Vrai
Méthode permettant la recherche de cellules de Sézary dans le cadre d’une suspicion de lymphome T
Hémogramme via frottis sanguin => non invasif
=> Cellules de Sézary (LT à noyaux irréguliers) > 1 000/ mm^3 au niveau sanguin
Caractéristiques du tremblement de Parkinson (3)
Tremblement de repos
Unilatéral
Aggravation par le calcul mental/ émotions
Caractéristiques d’un syndrome parkinsonien provoqué par les neuroleptiques (3)
Prise d’anti-nauséeux
Syndrome parkinsonien symétrique
Absence de réponse à la L-Dopa
Mdcts indiqués dans le ttt d’une maladie de Parkinson (3)
L-Dopa
Agonistes dopaminergiques
Anticholinergiques
V/F : Le VIH est un FDR important concernant les réactions cutanées aux médicaments
Vrai
V/F : L’atteinte des muqueuses au cours d’une toxidermie médicamenteuse est un signe de gravité
Vrai
Délai + médicaments les plus souvent en cause dans l’érythème pigmenté fixe (2)
Prise d’AINS/ Paracétamol < 48h
/!\ Dermatose quasiment toujours de cause médicamenteuse
Taux d’urticaires aiguës de cause mdcteuse
< 10%
Délai entre l’introduction mdcteuse et l’éruption la plus souvent observée dans les toxidermies
4-14 jours => Exanthème maculopapuleux (= toxidermie érythémateuse)
V/F : Un purpura des MI peut-être secondaire à une prise mdcteuse
Vrai
Evolution de l’exanthème maculo-papuleux
Spontanément favorable en 10 jours après l’arrêt du médicament imputable
Caractéristiques cliniques de l’érythème pigmenté fixe (2)
- Quelques macules érythémateuses arrondies de qques cm de diamètre
- Souvent douloureuses et infiltrées
Localisation préférentielle de l’érythème pigmenté fixe (2)
Organes génitaux
Lèvres
Caractéristiques cliniques de la PEAG (= pustulose exanthématique aiguë généralisée) (4)
- Fièvre
- Erythème en nappe/ scarlatiniforme prédominant dans les grands plis
- Pustules amicrobiennes superficielles de < 2 mm à contenu lactescent
+/- atteinte muqueuse
Délai d’apparition de la PEAG après la prise d’un mdct inducteur
1 - 4 jours
=> Le plus souvent, mdct inducteur = ATB
Délai entre la prise du mdct inducteur et l’apparition d’un syndrome de Stevens-Johnson/ Lyell
7-21 jours
V/F : L’IFD est négative dans le syndrome de Stevens-Johnson/ Lyell
Vrai
Principal Dd du syndrome de Stevens-Johnson/ Lyell
Erythème polymorphe majeur => Le plus souvent secondaire à un herpès récurrent
V/F : Environ 60% de la iatrogénie est évitable
Vrai
V/F : Le signe de Nikolsky se recherche en peau saine
Vrai
Examens à réaliser pour le diagnostic étiologique d’une TIH (2)
Ac anti-PF4
Test d’agrégation plaquettaire
Délai de ré-épidermisation en cas de syndrome de Stevens-Johnson/ Lyell
10 - 30 jours
Effets secondaires du sulfate de protamine (4)
HypoTA
Bradycardie
Flushs
Dyspnée
Médicaments à marge thérapeutique étroite surveillée par dosage direct (2)
Aminosides
Digoxine
V/F : Pendant la première semaine de gestation on parle de la loi du tout ou rien
Vrai => Correspond à la blastogénèse
Indications à la mesure du DFG avant une IRM avec injection de gadolinium (3)
- Age > 60 ans
- Maladie rénale
- Atcdsd’hypertension ou de diabète
=> Du aurisque defibrose néphrogéniquesystémique
Effet secondaire n°1 des ISRS
SIADH avec HypoNa importante
Part de la iatrogénie évitable
60%
Délai de survenue de la photo-allergie
7-21 jours
Délai de survenue de la phototoxicité
Quelques heures
Atteinte viscérale possible en cas de syndrome de Stevens-Johnson/ Lyell
Nécrose de l’épithélium bronchique => Polypnée et hypoxémie
=> Pronostic très défavorable
Principales manifestations cutanéo-muqueuses du syndrome de Stevens-Johnson/ Lyell (4)
- Fièvre
- Brûlures oculaires
- Pharyngite
- Eruption érythémateuse douloureuse et non prurigineuse
Equivalence entre sulfate de protamine et héparine
1 UI de Protamine neutralise 1 UI d’héparine
Caractéristique permettant d’adapter la dose de sulfate de protamine à injecter
Adaptée à l’héparinémie constatée
/!\ Non pas à la dose d’héparine injectée
Caractéristiques histologiques compatibles avec l’érythème polymorphe (2)
Peu spécifique :
- Nécroses kératinocytaires
- Infiltrat inflammatoire discret avec possibles éosinophiles
Indication du switch danaparoïde => AVK au cours de la TIH de type 2
Pq > 150 G/L
Caractéristiques de l’érythème et des lésions au cours de l’érythème polymorphe majeur (5)
- Lésions éruptives en « cocardes » ou « cibles »
- Distribution acrale souvent symétrique
- Fréquence des lésions érosives muqueuses => /!\ abs si érythème polymorphe mineur
- Lésions le plus souvent monomorphes
- Récidives fréquentes
Définition d’une distribution acrale
Localisation au niveau : coudes, genoux, mains, pieds, visage
V/F : La dose de sulfate de protamine à injecter doit être adaptée à l’héparinémie constatée et non pas à la dose d’héparine injectée, en cas de surdosage/ intoxication en héparine
Vrai => A noter que 1000 UAH (1 ml) de sulfate de protamine neutralisent environ 1000 unités d’héparine
Caractéristiques de la NFS au cours du DRESS syndrome (2)
Hyperéosinophilie (le plus souvent > 1 500/ mm^3)
Lymphocytose avec sd mononucléosique
V/F : 30% des patients sous HNF développent un TIH de type 1
Vrai => Mécanisme non-immunologique avec tableau aS et transitoire
Pronostic de l’épidermolyse staphylococcique
Bon si ttt ATB adapté
V/F : On ne retrouve pas d’érosions des muqueuses au cours de l’épidermolyse staphylococcique
Vrai
Localisation préférentielle des décollements cutanés au cours de l’épidermolyse staphylococcique (3)
Superficiels pour : - Péri-orificiels - Grands plis En histologie : - Sous-cornés
V/F : La iatrogénie est la 1ère cause d’hospitalisation
Vrai => Avec 5 - 10% des hospitalisations
/!\ 4ème cause de mortalité = 5% des hospitalisations
V/F : 4 événements sur 5 entraînant une hospitalisation sont directement liés à un médicament
Vrai => Avec notamment : : anticoagulants > médicaments neurologiques > antihypertenseurs
Définition d’un EI prévisible
Connu dans les RCP, vu dès les essais cliniques le plus souvent
/!\ Peut survenir lors d’une erreur médicamenteuse
V/F : L’EI non prévisible est inévitable
Vrai => Peut-être immuno-allergique ou idiosyncrasique (en lien avec une particularité génétique)
V/F : La fréquence des EI médicamenteux double après 65 ans
Vrai => Être une femme est également un FDR
Indication obligatoire à une déclaration en matériovigilance
Pour tout incident/ risque d’incident grave ayant entraîné/ susceptible d’entraîner la mort ou la dégradation grave de l’état de santé d’un patient/ utilisateur/ tiers mettant en cause un DM
/!\ Déclaration obligatoire sans délai à l’ANSM
V/F : En cas d’EI non grave secondaire à un DM, déclaration en matériovigilance non obligatoire
Vrai => Facultatif et à faire de manière trimestrielle si réalisée
Principaux paramètres pris en compte pour l’imputabilité d’un médicament (2)
Intrinsèque : - Chronologie = Délai d’apparition - Sémiologie = S évocatrice Extrinsèque : - Analyse des données extérieures : publication de cas similaires, notifications antérieures de PV - Score bibliographique
V/F : En cas de suspicion de contrefaçon, déclaration au CRPV
Vrai
Principaux risques de la contrefaçon de médicaments (4)
Absence de principe actif : 60% des cas
Sous-dosage/ surdosage en principe actif
Survenue de résistances : ATB, ARV …
Présence de composés toxiques : éthylène glycol …