Item 245 : Diabète et complications Flashcards
Taux de DT2 avec une rétinopathie diabétique au diagnostic
20%
Premières lésions histologiques au niveau des capillaires rétiniens dans la rétinopathie diabétique (3)
Épaississement de la membrane basale
Perte des péricytes
Perte en cellules endothéliales
V/F : On peut retrouver des dilatation veineuses irrégulières au FO dans la rétinopathie diabétique
Vrai
Différents stades de la néphropathie diabètique (5)
- Stade 1 : hypertrophie rénale et hyperfiltration glomérulaire
- Stade 2 : phase aS
- Stade 3 : néphropathie débutante : micro-albuminurie avec PA N-hte
- Stade 4 : néphropathie avérée :Protéinurie, HTA, syndrome néphrotique
- Stade 5 : IRT
V/F : On peut avoir une gammapathie polyclonale en cas de DT1
Vrai
V/F : Il y a un risque d’hyperK en cas d’utilisation de bloqueur du SRAA
Vrai => D’autant plus en cas de néphropathie diabétique associée
V/F : On peut observer une hématurie au cours de la néphropathie diabétique
Vrai : Plutôt microscopique et pas le plus fréquent
V/F : Chez un patient diabétique, l’arrêt du tabac diminuerait de 30 % le risque de survenue de la microalbuminurie
Vrai
V/F : La microalbuminurie au cours de la néphropathie diabétique traduit une expansion de la matrice mésangiale au plan histologique
Vrai
Objectif d’Hb chez l’IRC
Entre 10 et 12 g/ dL
V/F : En cas de néphropathie diabétique, le rétinopathie diabétique est constante dans le DT1 et est présente dans 75% des cas dans le DT2
Vrai
Indication à une PBR chez le patient diabétique (7)
Diabète récent < 5 ans Hématurie Protéinurie IR rapidement progressive Absence de rétinopathie diabétique Signes extra-rénaux non liés au diabéte Gammapathie monoclonale
Cible tensionnelle pour les patients diabétiques sans micro-albuminurie
< 140/90 mmHg
Indication à la prescription d’un bloqueur du SRAA chez les patients diabétiques + objectif du ttt
Micro-albuminurie avec pour objectif :
- Protéinurie et albuminurie N
- TA < 130/80 mmHg
Diminution naturelle annuelle du DFG en cas de néphropathie diabétique sans ttt
10-15 mL/min/ an
=> Diminution de 4 mL/min/ an grâce au ttt
Rythme de surveillance opthalmologique d’une patiente diabétique enceinte sans RD
1 FO tous les 3 mois
Histologie en faveur d’une néphropathie diabétique (2)
Expansion mésangiale
Sclérose nodulaire glomérulaire
CI des biguanides (6)
- IR avec DFG < 30 mL/min => demi-dose pour DFG etnre 30 et 60
- Pathologies à risque d’IR => déshydratation/ infection
- IC/ IDM récent
- IRespi
- IHC/ OH chronique
- Grossesse
V/F : Les catécholamines ont un effet hyperglycémiant
Vrai
Mdcts antidiabétiques oraux à risque d’hypoGly en monothérapie (2)
Sulfamide
Repaglinide
V/F : Pas d’adénopathies au cours de la thyroïdite de De Quervain
Vrai => Goitre ferme et douloureux
V/F : Les adénomes à prolactine touche plus souvent les femmes
Vrai
Principales causes de SPUPD en dehors des hyperGly (3)
Diabète insipide
HypoK
HyperCa
Hormones hyperglycémiantes (4)
Catécholamines
GH
Cortisol
Glucagon
Mécanismes d’action de la Metformine (2)
Diminue la néoglucogenèse
Diminue l´insulinorésistance
V/F : Il faut prendre la Metformine au cours ou en fin de repas
Vrai
Faux positifs de la microalbuminurie chez le patient diabétique (4)
Poussée d’IC/ Poussée d’HTA
Infection urinaire
HyperGly importante
Activité physique intense
Ttt antidiabétique inhibiteur de l’absorption de glucides (1)
Inhibiteur de l’alpha glucosidase
Pathologies pouvant fausser le taux d’HbA1c (3)
Anémie
Transfusion
Saignées
Paramètre pouvant amener à diminuer/ augmenter la dose d’insuline lente au coucher
Glycémie du matin au lever
Grades de risque de plaie podologique dans un contexte de diabète
0 : Absence de neuropathie sensitive 1 : Neuropathie isolée 2 : Neuropathie + AOMI/ déformation 3 : - a : Atcd ulcération du pied - b : Atcd d'amputation des MI
V/F : La sécrétion de glucagon est stimulée lors de la stimulation des voies sympathiques
Vrai
Hormone stimulant l’appétit
Ghréline
Hormones anorexigènes (3)
Leptine
GLP-1
Peptide YY
Localisation préférentielle des microanévrysmes dans la rétinopathie diabétique
Postérieurs
Mdcts interagissant avec les sulfamides hypoGly (7)
MM : SADAMIC
- Sulfamides
- AVK
- Diurétiques (dont inhibiteurs de l’anhydrase carbonique)
- AINS
- Myconazole/ MTX
- IEC
- Corticoïdes
Lésions histologiques de la néphropathie diabétique en faveur d’une atteinte stade I ou II (2)
Hypertrophie glomérulaire
Pas de modifications morphologiques
V/F : L’hypothyroïdie n’est pas une cause d’hypoGly
Vrai => /!\ Car l’hyperthyroïdie peut entraîner des hyperGly
Origine du diabète au cours d’une grossesse
Périphérique => Musculaire et hépatique
Définition d’une rétinopathie diabétique proliférante compliquée
Néo-vx (= proliférante) avec :
- Glaucome néovasculaire
- Hémorragie intra-vitréenne
- Décollement tractionnel : /!\ =/= d’exsudatif
V/F : Il n’existe pas de ttt ophtalmologique à utiliser en urgence dans l’OACR/ OBACR
Vrai => Ttt est Aspirine, statine et IEC à vie
/!\ Anticoagulation jusqu’à l’élimination de la FA
Définition du diabète
- GAJ > 1,26 g/ L (7 mmol/ L) à deux reprises
- Glycémie > 2g/ L à n’importe quel moment de la journée avec S d’hyperglycémie (SPUPD par exemple)
V/F : L’HTA, même traitée, est un FDR de DT2
Vrai
Localisation de l’obésité à risque de DT2
Surtout si topographie sus-ombilicale
V/F : Un examen ophtalmologique doit être répété tous les ans en cas de diabète deséquilibré
Vrai => Via un examen par rétinographie ou par FO après dilatation pupillaire
Taux de rétinopathie diabétique présente au diagnostic de DT2
20% => Examen ophtalmo à faire dès le diagnostic (vs à 5 ans du diagnostic dans le DT1)
Causes de faux positifs concernant la micro-albuminurie (6)
Orthostatisme prolongé/ Activité physique intense HTA mal équilibrée/ Poussée d'IC HyperGly marquée Fièvre Tabac IU : indication à une bu
V/F : Lors l’introduction d’un IEC/ ARA2, on tolère une augmentation de la créatinine jusqu’à 30% de sa valeur basale
Vrai => Au-dessus, suspicion de sténose d’une artère rénale (ou des deux)
/!\ Indication au contrôle de la K dans cette situation /!\
Conservation des stylos d’insuline
Conservés/ non utilisés : + 4°C
En cous d’utilisation : T°C ambiante (35 °C maximum)
Moment d’injection de l’insuline rapide
Avant les repas : Eviter des hyperGly trop importante en post-prandiale
Indications en terme de BMI d’une chirurgie bariatrique (2)
- IMC > 40 kg/ m2
- IMC entre 35 et 40 kg/ m2 + 1 comorbidité non contrôlée de l’obésité
V/F : Indication à une supplémentation en vitamine D après un by-pass
Vrai
Localisation de l’absorption de la vitamine B1
Duodénum
V/F : Un apport glucosé consomme de la vitamine B1
Vrai => /!\ Devant un tableau neurologique chez le patient OH/ avec atcd de by-pass (ou autre shunt duodénal)
Limitations d’apport à prévoir au cours du syndrome de renutrition inapproprié (3)
- Sodium : car rétention hydro-sodée
- Apports liquidiens perfusés : car rétention hydro-sodée
- Glucidiques
Déficits à supplémenter et surveiller au cours du syndrome de renutrition inapproprié (4)
Déplétion +++ en électrolytes avec notamment :
- Phosphore +++
- Potassium
- Magnésium
- Vitamine B1
Perte de poids sur une semaine définissant une dénutrition modérée
2%
Effet secondaire le plus fréquent de la Metformine
Tb digestifs
V/F : La glomérulopathie diabétique est toujours concomitante d’une rétinopathie diabétique
Vrai
V/F : Pas d’hématurie au cours de la glomérulopathie diabétique
Vrai => Le plus souvent protéinurie et HTA
Durée d’action de l’analogue d’insuline rapide
4-6 heures
V/F : Il existe un test de dépistage du MNA pour dépister une dénutrition
Vrai => Pour le test de dépistage du MNA, dénutrition avérée si score < 7 (vs score < 17 pour le MNA global)
Facteurs majeurs de risque de syndrome de renutrition inappropriée (SRI) (3)
IMC < 16 kg/ m2
Perte de poids involontaire > 15% en 3-6 mois
Jeûne > 10 jours
Principale complication hématologique du sd de renutrition inappropriée
Anémie hémolytique
V/F : En cas d’hématurie, un rapport albuU/ créatU peut être faussement élevé
Vrai => Car l’hématurie risque d’augmenter la protéinurie et donc attention à l’interprétation
V/F : Le début de dialyse se décide sur des S et non des chiffres
Vrai
Anatomie oculaire étudiée par la grille d’Amsler
Macula
Ttt possible de l’œdème maculaire diabétique (2)
Injection intravitréenne mensuelle de VEGF
Injection intravitréenne de dexaméthasone retard
V/F : Une occlusion de branche veineuse rétinienne peut entraîner une altération inférieure/ supérieure du CV
Vrai => Localisation selon la branche qui est occluse
Dosage biologique de 1ère intention en cas de suspicion d’acromégalie
IGF-1 plasmatique
V/F : On peut observer l’apparition d’une cyphose dorsale dans l’évolution d’une acromégalie
Vrai
V/F : Indication à la réalisation d’un FO devant un macro-adénome hypophysaire avec atteinte chiasma
Vrai => Indication à un CV également, notamment pour rechercher une hémianopsie bitemporale
V/F : Une hypothyroïdie peut entraîner une hypercholestérolémie
Vrai
V/F : Un OVCR peut entraîner une hémorragie intravitréenne
Vrai
Taux de DT2 avec une rétinopathie diabétique au diagnostic
20%
V/F : Tout patient diabétique a une surveillance par FO au minimum annuelle
Vrai => Avec :
- 1 fois/ an : Absence de RD ou RD non proliférante minime
- Tous 6 mois : RD non proliférante modérée/ sévère
- Tous 2-4 mois + PPR : RD proliférante
Âge du premier examen ophtalmologique chez l’enfant diabétique
10 ans
Premiers signes de la rétinopathie diabétique au FO
Microanévrismes rétiniens
Risque d’évolution de la RD non proliférante sévère vers la RD proliférante
50% à 1 an
V/F : L’œdème maculaire peut s’associer à tous les stades de la RD
Vrai => Incidence augmente avec la sévérité de la rétinopathie
Définition de la RD non proliférante sévère
Règle du 4-2-1 avec et/ ou :
- Hémorragies rétiniennes dans 4 quadrants
- Dilatation veineuse dans 2 quadrants
- AMIR dans 1 quadrant
V/F : Les complications de la RD surviennent au stade de RD proliférante
Vrai => Avec : Hémorragie intra-vitréenne, Décollement de rétine tractionnel, Glaucome néovasculaire
V/F : L’œdème maculaire secondaire à la RD peut se majorer en cas d’IRénale ou de poussée hypertensive
Vrai
Indications prophylactique à la PPR en cas de RD non proliférante sévère (3)
Sujets à haut de risque de passage en forme proliférante :
- Grossesse
- Sujet jeune DT1 avec normalisation rapide de la glycémie : mise sous pompe insuline …
- Chirurgie de la cataracte
V/F : Un ttt par vitrectomie est indiqué en cas de RD proliférante compliquée d’une hémorragie intra‐vitréenne persistante ou de décollement de rétine tractionnel
Vrai
1ère cause de cécité avant 55 ans
RD
Différentes gradations du risque podologique chez le patient diabétique (4)
- 0 = Pas de neuropathie, d’AOMI ou de déformations
- 1 = Neuropathie sensitive isolée
- 2 = Neuropathie + AOMI/ déformation => 4 cs
- 3 = Atcd de plaie > 4 semaines ou atcd d’amputation => 6 cs
Mécanisme d’action de la photocoagulation pan-rétinienne
Destruction des zones de rétines ischémiques à l’origine de la production de VEGF
V/F : Le diabète est responsable de plus de 2% des décès
Vrai => Maladie fréquente, en progression constante, concernant plus de 4% de la population
Calcul de la natrémie corrigée
Na mesurée + 1,6 (glycémie - 1)
Avec : natrémie en mmol/ L et glycémie en g/ L
V/F : La metformine doit être prise pendant les repas
Vrai => Plutôt en milieu ou fin de repas pour améliorer la tolérance digestive
V/F : On ne peut pas diagnostiquer une ostéite à l’examen clinique
Vrai => Même en cas de contact osseux, cela reste un diagnostic radiologique
V/F : Le mal perforant plantaire ne peut exister qu’en cas de neuropathie périphérique
Vrai
Indication au ttt ATB en urgence devant un mal perforant plantaire
Présence de signes cliniques d’infection : T°C, SIB …
V/F : Pas de place pour l’EMG dans le polyneuropathie diabétique typique
Vrai => Diagnostic clinique et par l’anamnèse
/!\ Indication à l’EMG devant des signes atypiques
V/F : En cas de diabète équilibré NID, sans HTA, sans dyslipidémie et sans rétinopathie, le suivi ophtalmologique peut être effectué tous les 2 ans
Vrai
V/F : Généralement la rétinopathie diabétique apparaît avant la néphropathie diabétique dans le développement du diabète
Vrai => De plus, il existe des facteurs génétiques prédisposant/ protecteurs qui font que tous les diabétiques mal équilibrés développeront une rétinopathie, mais pas systématiquement une glomérulopathie
V/F : En cas de baisse du DFG > 10 mL/ mn/ an, il faut rechercher une autre cause de néphropathie que le diabète seul
Vrai
V/F : Chez le patient diabétique, la micro-albuminurie sur échantillon, ne doit pas systématiquement être confirmé par un prélèvement sur 24h
Vrai
Objectif PA en cas de micro-albuminurie/ protéinurie chez le patient diabétique
TA < 130/ 80
=> Indication à un ttt par IEC/ sartans à pleine dose
/!\ IEC indiqué même en cas de protéinurie sans HTA
V/F : Les CNO sont des produits hyperénergétiques et/ ou hyperprotidiques
Vrai => Ils contiennent 200 kCal et 15-20 g de protéines pour 200 mL
Différents grades de l’obésité (3)
Grade I : IMC = 30-34,9 => Modérée/ commune
Grade II : IMC = 35-39,9 => Sévère
Grade III : IMC > 40 => Massive/ morbide
Examens indiqués devant une DMLA exsudative (2)
OCT maculaire
Angiographie à la fluorescéine + vert d’indocyanine
Indications aux injections intra-vitréennes de corticoïdes comme alternative aux injections de VEGF (2)
Ttt de l’œdème maculaire :
- Diabétique
- Secondaire à une OVCR
Classe thérapeutique des inhibiteurs de la DPP4
Incrétinomimétiques
=> Appartiennent à la classe des insulinosécréteurs
V/F : Les inhibiteurs de la DPP4 empêchent la dégradation du GLP1
Vrai
Paramètres biologiques nécessaires pour le diagnostic de coma hyperosmolaire diabétique (3)
Glycémie > 6g/ L
Osmolalité > 320 mOsmol/ kg
pH > 7,30
Paramètres biologiques nécessaires pour le diagnostic de coma acidocétosique (3)
Cétonémie > 3 mmol/ L ou cétonurie “+++”
Glycémie > 2 g/ L ou diabète connu
pH < 7,30 ou bicarbonate < 15 mmol/ L
V/F : Connaître l’état ophtalmologique et CV d’une patiente DT1 est nécessaire avant une grossesse
Vrai => Indication à un FO et une épreuve d’effort avant la grossesse notamment
V/F : La présence d’une hématurie/ leucocyturie n’est pas typique dans une glomérulopathie diabétique
Vrai => Leur présence doit conduire à discuter la PBR
V/F : Dans le cadre d’une neuropathie végétative, l’existence d’une rétinopathie sévère/ neuropathie périphérique sont en faveur d’une origine diabétique
Vrai => Idem si diabète déséquilibré de manière chronique
V/F : Risque d’hypoCa néonatale augmentée chez les nouveaux nés de mère diabétique
Vrai
Risque de développer un DT1 chez l’enfant d’une mère avec un DT1
Risque faible autour de 3-6 %
/!\ Risque de 8 % pour l’homme diabétique
Objectif de phosphore dans le cadre de l’IRC
Phosphore < 1,5 mmol/ L
V/F : Dans l’IRC, on retrouve une hyperphosphorémie
Vrai => Malgré une hyperPTH car le rein malade n’arrive plus à expulser le phosphore
V/F : Les besoins en insuline pendant la grossesse diminuent lors T1
Vrai
V/F : Non indication au bicarbonate de sodium 8.4% en ttt de l’acidose dans le cadre d’une acido-cétose diabétique
Vrai => Risque d’aggravation de l’hypoK et hypoxémie dans cette situation
/!\ Indiqué pour l’acidose métabolique hyperchlorémique
V/F : Indication à une supplémentation en acide folique à une posologie de 5 mg/ jour en pré-conceptionnel chez la femme enceinte
Vrai => Idem si atcd d’anomalie de fermeture du tube neural ou ttt par antiépileptique
/!\ Posologie de 0.4 mg/ jour pour les femmes non à risque élevé
ADO permettant une perte de poids
Analogue GLP1 = Liraglutide
V/F : Les inhibiteurs d’alpha glucosidases donnent des troubles digestifs à type de flatulences très handicapantes
Vrai => A prendre de préférence au cours des repas
Principaux syndromes génétiques à l’origine d’un diabète (4)
T21
Sd de Klinefelter
Sd de Turner
Maladie de Steinert => Rétinopathie
V/F : Le sex-ratio du DT1 est proche de 1
Vrai
Ac à rechercher pour le diagnostic de DT1 devant une hyperGly sans la triade “amaigrissement-cétose-âge < 35 ans” (2)
Ac anti-GAD
Ac anti-IA2
V/F : Généralement délai de 3 semaines entre les 1ers S et l’hospitalisation pour acidocétose
Vrai
V/F : Diagnostic clinique de DT1 possible à partir d’une destruction des cellules B du pancréas > 85%
Vrai
Objectifs glycémiques 2h après les repas
Glycémie 1,2-1,8 g/ L
V/F : Les objectifs de glycémie sont plus élevés chez l’enfant
Vrai => Car l’innocuité cérébrale des hypoGly sévère avant 6 ans n’est pas prouvée
/!\ Objectif d’HbA1c avant 6 ans : 7,5-8,5%
V/F : Sex-ratio en faveur des hommes pour le DT2
Vrai => Sex-ratio H/F à 1,5
Risque de développer un DT2 pour un enfant avec ses 2 parents DT2
30-60%
/!\ 10-30% si 1 apparenté au 1°
V/F : Indication au dépistage du DT2 chez les patients > 45 ans par une GAJ tous les 3 ans
Vrai
ADO à risque d’hypoglycémies (3)
Insuline
Sulfamide hypoglycémiant
Glinides
ADO permettant une diminution de l’HbA1c > 1% (4)
Metformine
Sulfamide hypoglycémiant
Glinide
Analogue GLP1
V/F : Les sulfamides hypoglycémiants et glinides ne sont pas recommandé chez le sujet âgé
Vrai => Car risque d’hypoglycémie trop important, à éviter chez le sujet âgé
/!\ Généralement on dit 65 ans pour sulfamides et 75 ans pour glinides
Objectif de perte de poids au diagnostic de DT2
5-10% du poids en cas d’obésité/ surcharge pondérale
Indication au ttt injectable en trithérapie dans le cadre du DT2
Ttt injectable = insuline et analogue GLP1
=> Si écart avec HbA1c > 1%
Indications à privilégier un ttt par agoniste du GLP1 (plutôt que l’insuline) en cas de décision d’introduction d’un ttt injectable dans la trithérapie du DT2 (3)
- IMC > 30
- Prise de poids sous insuline
- Survenue d’hypoGly incompatible avec le mode de vie du patient
1ère cause de cécité acquise en France avant 55 ans
Diabète
=> 3,9% des diabétiques ont la perte de vision d’un oeil quelle que soit son origine
Indications à une surveillance ophtalmologique tous les 3 mois chez le patient diabétique (2)
RD proliférante
RDNP sévère
V/F : La panphotocoagulation rétinienne est un ttt ophtalmologique réalisé en ambulatoire
Vrai => Indiqué en cas de néovascularisation/ zone d’ischémie rétinienne
V/F : La phase 2 de la néphropathie diabétique est la phase silencieuse
Vrai => Dure entre 2 et 6 ans et est entre la phase 1 d’hyperfiltration avec augmentation DFG et phase 3 “incipiens” avec apparition d’une microalbuminurie
/!\ En histologie : début d’expansion mésangiale diffuse
S en faveur d’une neuropathie autonome CV (3)
- Tachycardie sinusale permanente (/!\ très rarement, il s’agit d’une bradycardie)
- Allongement du QTc
- Absence de douleur lors d’une ischémie myocardique
Atteintes reliées à la microangiopathie chez le patient diabétique (4)
Oculaire
Néphrologique
Neuropathie périphérique
Système nerveux autonome
Rythme de surveillance ECG chez le patient diabétique
ECG de repos annuel
Indications à des examens CV fonctionnelle chez le patient diabétique (3)
S
Signes ECG contrôle annuel
Patient aS à risque CV élevé
V/F : Indication à une EDTSA tous les 2-5 ans chez le patient diabétique aS à risque CV élevé
Vrai
V/F : Pas d’indication systématique à réaliser une EDMI chez le patient diabétique
Vrai => Uniquement en cas d’anomalie clinique patente
V/F : 1 pied diabétique sur 10 risque de subir au moins une amputation d’orteil
Vrai
V/F : Chez le patient diabétique avec un risque podologique de grade 2 (neuropathie + AOMI/ déformation plantaire), 4 consultations de podologie sont PEC par la CPAM
Vrai => 6 consultations PEC en cas de risque podologique de grade 3 (atcd mal perforant/ amputation)
Germe le plus souvent responsable d’une dermo-hypodermite nécrosante chez le patient diabétique
Clostridium perfringens
V/F : La capsulite rétractile est une complication fréquente chez le patient diabétique
Vrai
Principaux critères biologiques de gravité indiquant une hospitalisation en réanimation dans le cadre de l’acidocétose diabétique (5)
Cétonémie > 6 mmol/ L Bicarbonates < 5 mmol/ L pH artériel < 7 HypoK < 3.5 mmol/ L à l'admission Trou anionique > 16
V/F : Dans l’acidocétose diabétique, pas d’indication à débuter une insulinothérapie en l’absence de confirmation d’une kaliémie au minimum N
Vrai => En cas de d’hyperK, pas d’indication à une supplémentation K immédiate lors de l’introduction de l’insuline
Dose d’insuline à administrer dans l’acidocétose diabétique
0.1 UI/ kg/ heure en IVSE (sans dépasser 7 UI/ heure) tant que dure la cétose puis relais SC
/!\ Penser à passer du G10% lorsque la glycémie passe sous les 2.5 g/ L mais que la cétose persiste
V/F : Lors d’une acidocétose diabétique, on considère que 10% du poids du corps a été perdu
Vrai => Volume à remplacer par NaCl 0.9% en 24h
Vitamine à supplémenter lors de l’administration d’une insulinothérapie en urgence (acidocétose/ coma hyperglycémique) chez le patient OH
B1
=> Idem chez le patient dont on ne connait pas la consommation
Définition d’une hypoGly menaçante
Patient diabétique ne ressentant les hypoGly que pour Gly < 0.54 g/ L => Risque d’hypoGly menaçante
/!\ Indication à avoir du glucagon à domicile
Dose de glucagon à injecter en cas d’hypoGly avec patient inconscient
1 mg IM ou SC
/!\ CI si ttt par sulfamide : dans ce cas indication à une perfusion de glucose