Item 198 : Biothérapies et thérapies ciblées Flashcards
Principaux EI des anti-IL6 (4)
Infections (sigmoïdite ++)
Dyslipidémie
Cytolyse hépatique
Neutropénie
Bilan de suivi des anti-IL6 (3)
NFS
Transaminases
EAL
Délai pour parler de GVH aiguë
S survenant dans les 100 jours après la greffe
Ttt de 1ère intention de la GVH aiguë
Corticothérapie
S devant faire suspecter une GVH aiguë dans un contexte de greffe récente (3)
- Atteinte cutanée : Erythème macule-papuleux/ Desquamation en lambeaux
- Cholestase ictérique
- Diarrhées et douleurs abdominales
Inhibiteur de la tyrosine kinase de 1ère intention
1ère génération : Imatinib
Principaux ttt immunosuppresseurs à risque de favoriser une LEMP (3)
Natalizumab : Anti-alpha4 intégrine
Rituximab : anti-CD20
Alemtuzumab : anti-CD52
Effet secondaire du Rituximab visible au niveau de l’EPP
Hypogammaglobulinémie
Risques hématologiques du MTX (2)
Anémie macrocytaire
Macrocytose
Ac monoclonal le plus utilisé en thérapeutique
IgG1
Moyens de prélèvement des allogreffes (2)
- Cytaphérèse : voie sanguine après prise de G-CSF /!\ => Privilégier +++
- Ponction médullaire
V/F : Les greffons obtenus par cytaphérèse, sont plus riche en lymphocyte T que la moelle osseuse
Vrai
Avantage de la cytaphérèse dans le prélèvement de greffon dans le cadre d’une allogreffe
Risque moins important de rechute
Inconvénient de la cytaphérèse dans le prélèvement de greffon dans le cadre d’une allogreffe
Risque plus élevé de GVH chronique
Délai de prescription des immunosuppresseurs dans le cadre d’une allogreffe
Tout de suite après la greffe
V/F : Dans le cadre d’une allogreffe, les immunosuppresseurs ne seront pas à prendre à vie le plus souvent
Vrai => Contrairement aux greffes d’organe solide
Durée d’aplasie dans le cadre d’une allogreffe
2-3 semaines
V/F : Dans le cadre d’une allogreffe, le greffon est administré 24-48h après la fin du conditionnement
Vrai
MM des différents anti-TNF alpha (5)
MM : Cet Aladin est inférieur à gollum
- Certolizumab
- Adalimumab
- Etarnercept
- Infliximab
- Golimumab
CAT en cas d’ITL découverte avant la mise en place d’une biothérapie
Isoniazide ou Isoniazide + Rifampicine pendant 3 semaines avant le début de la biothérapie
Principales manifestations de la réaction greffon versus hôte chronique (5)
Syndrome sec oculaire Peau sclérodermiforme Diarrhée chronique Bronchiolite oblitérante Tableau de cirrhose biliaire primitive
Ttt de la réaction greffon versus hôte chronique
Corticothérapie
Mécanisme d’action principal des Ig polyvalentes dans le traitement des cytopénies auto-immunes
Saturation des récepteurs Fc présents à la surface des macrophages
V/F : Le Rituximab peut-être à l’origine d’une réactivation de LEMP
Vrai => Par réactivation du virus JC
Caractéristiques de l’antidote aux digitaliques (2)
Fragment FAB obtenu avec la papaïne
V/F : La probabilité d’avoir un donneur intrafamilial HLA-compatible est théoriquement de 25 %
Vrai
Marqueur permettant la sélection de cellules souches hématopoïétiques
CD34
Définition de la maladie veino-occlusive dans un contexte de greffe
Obstruction non thrombotique des capillaires sinusoïdes hépatiques
=> Principalement au cours de l’allogreffe
Principal FDR de développer une maladie veino-occlusive au cours d’une allogreffe
Intensité du conditionnement
Triade diagnostique de la maladie veino-occlusive dans le cadre d’une allogreffe
Ictère
Hépatomégalie douloureuse
Prise de poids
Evolution de la maladie veino-occlusive dans le cadre d’une allogreffe (3)
Insuffisance hépatocellulaire
Syndrome hépatorénal
Défaillance multiviscérale => mortalité proche de 50%
Ttt possibles de la maladie veino-occlusive dans les suite d’une allogreffe (2)
- S : arrêt des ttt hépatotoxiques/ néphrotoxiques
- Défibrotide : au prix d’un risque hémorragique réel
Effets indésirables communs aux différents inhibiteurs de la tyrosine kinase (3)
Toxicité :
- Digestive
- Cutanée
- Hématologique
Définition de l’ATRA syndrome
Syndrome d’activation leucocytaire secondaire à la différenciation des blastes, après introduction d’un ttt par ATRA (dans la LAM 3) entrainant :
- Augmentation de la perméabilité capillaire
- Relargage de cytokines
Principales manifestations cliniques de l’ATRA syndrome (4)
Hyperleucocytose
Fièvre
Insuffisance rénale/ Rétention hydrosodée
Infiltrats pulmonaires/ Epanchements des séreuses
Mécanisme d’action de l’autogreffe
Conditionnement : effet antitumoral de la chimiothérapie pré-greffe
Mécanismes d’action de l’allogreffe (2)
- Conditionnement : effet de la chimiothérapie
- Réaction immunologique allogénique = effet greffon contre tumeur
V/F : Pas de ttt immunosuppresseur au décours d’une autogreffe
Vrai => Car cellules du patient donc pas de risque de rejet du greffon
Principales indications de l’autogreffe (2)
Patients < 65 ans présentant :
- Lymphome : notamment LNH
- Myélome
V/F : L’alopécie est systématique au décours d’une autogreffe
Vrai => Egalement souvent une toxicité digestive non spécifique avec diarrhées chez 80% des patients notamment
Prophylaxies indiquées dans les suites d’une autogreffe (2)
Cotrimoxazole
Valaciclovir
=> Jusqu’à LT CD4 > 500/ mm^3
Durée de l’aplasie au cours des allogreffes/ autogreffes
Autogreffe : 10-15 jours
Allogreffe : 2-3 semaines
V/F : Le recueil de CSH par cytaphérèse (vs ponction médullaire) est associé à un risque moindre de rechute
Vrai => Mais risque plus élevé de GVH chronique, car cytaphérèse plus riche en LT que la moelle osseuse
V/F : Il existe des chélateur de l’acroléine permettant de diminuer la toxicité vésicale du cyclophosphamide
Vrai => = Uromitexan. Car acroléine est un métabolite du cyclophosphamide toxique pour l’épithélium vésical
V/F : La maladie du greffon contre l’hôte chronique est plus fréquente en cas de greffe phéno-identique
Vrai => 50% des cas dans les phéno-identiques vs 30% des cas dans les géno-identiques
V/F : On observe une cataracte très fréquemment après les allogreffes/ autogreffes
Vrai => Chez 80% des patients ayant reçu une irradiation corporelle totale
Anomalie physiopathologique au cours de la LAM 3, indiquant l’utilisation de l’ATRA
t(15;17) à l’origine d’une oncoprotéine chimérique PML-RARalpha
ATRA lève l’inhibition mise en place par PML-RARa
Caractéristiques de l’Ac chimérique du Rituximab
Isotype IgG1 kappa dirigé contre le CD20
Prévention de la réaction “effet de première perfusion” du Rituximab (2)
Administration lente de l’Ac
Prémédication par antihistaminiques/ corticoïdes
V/F : L’inhibiteur de JAK2 est un inhibiteur de la tyrosine kinase
Vrai
Indication principale de l’inhibiteur de JAK2
Myélofibrose
Ttt à associer à la prescription de Thalidomide (2)
- Contraception stricte.
- Ttt préventif du risque thrombo-embolique par HBPM ou AAP
V/F : Le Vemurafenib est un inhibiteur de BRAF
Vrai
Principal EI spécifique de l’Imatinib (par rapport aux autres ITK)
Œdèmes