Item 165 : Infection à VIH Flashcards
Vers quel syndrome nous oriente des lésions en verre dépoli au TDM thoracique
Syndrome interstitiel
A quelle pathologie est associée la leucoplasie chevelue de la langue
EBV chez immunodéprimé
Changement dans la PEC du VIH en cas de présence de l’HLA B57*01 (1)
CI à l’abacavir
Indication à la mise en place d’un ttt antirétroviral en urgence chez le VIH+ (1)
Primo-infection
LDH dans la pneumocystose
Elévation
Marqueurs à rechercher en 1ère intention dans le cadre d’un dépistage du VHB (3)
Ag HbS
Ac anti-HbS
Ac anti-HbC
Symptomatologie évocatrice d’une arbovirose (3)
Céphalées
Arthro-myalgies
Éruption cutanée
V/F : Le risque de transmission du VHB lors d’un AES est bien plus important que le risque de transmission du VIH si les deux pathologies sont actives
Vrai
Sérologies recommandées chez les migrants primo-arrivants d’Afrique sub-saharienne (3)
VIH
VHB
VHC
V/F : Le niveau de la CV pendant la phase asymptomatique chez un VIH+ est proportionnel à la rapidité de l’évolution vers le stade SIDA
Vrai
Origines de la variabilité génétique du VIH (5)
Transcriptase inverse Intégrase Forte réplication virale Pression de sélection immunitaire Pression de sélection thérapeutique
Cancers classant SIDA chez le VIH+ (3)
LNH
Sarcome de Kaposi
KC du col de l’utérus
Type de virus du VIH
Rétrovirus => virus à ARN
CI aux vaccins : ROR, fièvre jaune, VZV chez un VIH +
CD4 < 200/ mm^3
V/F : Avant d’initier un ttt antirétroviral, il faut doser la créatinémie
Vrai
V/F : Le diagnostic de candidose oesophagienne doit impérativement être confirmé par endoscopie
Faux
V/F : Le niveau de la CV chez un patient VIH+ pendant la phase aS est proportionnel à la rapidité de l’évolution vers le stade SIDA
Vrai
Dermatoses devant faire réaliser une sérologie VIH (7)
Dermatite séborrhéique floride/ résistante au ttt
Psoriasis floride/ résistant au ttt
Porphyrie cutanée tardive
IST
Zona de l’adulte jeune
Candidose/ dermatophytose floride/ multirécidivante
Maladie de Kaposi
Risque d’une séroconversion pour le VIH après une exposition per cutanée
0,3 %
Délai idéal et maximal concernant le traitement prophylactique post exposition pour le VIH
Idéal : < 4h
Maximum 48h après l’exposition
Complications pouvant être induites par le ténofovir en cas de prescription au long cours (3)
Tubulopathie proximale
Toxicité osseuse
Hypophosphorémie
V/F : Le ttt antirétroviral n’a pas de conséquence sur la fertilité
Vrai
Durée nécessaire de protection des rapports sexuels après un AES chez un patient VIH+ avec la prise d’une trithérapie prophylactique
12 semaines
IO dont la prophylaxie primaire est par Bactrim chez un patient VIH+ avec CD4 < 200 copies (2)
Pneumocystose
Toxoplasmose cérébrale
ATBthérapie active sur le S.aureus sécrétant une PLV
Vancomycine +
- Linézolide
- Clindamycine
V/F : Les SARM et SAMS peuvent sécréter une PLV
Vrai
V/F : Les S.aureus sécrétant une PLV sont plus souvent d’origine communautaire
Vrai
Indications à la vaccination contre la VHA (5)
HSH Voyage en zone endémique Hépatopathie chronique Co-infection VHB/ VHC Professionnels exposés/ à risque : restauration +++
V/F : Certains patients sont naturellement protégés de l’infection au VIH
Vrai
Protéines virales de structure du VIH (2)
p24
Gp120
V/F : La toxoplasmose peut-être à l’origine d’un syndrome mononucléosique
Vrai => Avec primo-infection EBV, CMV et VIH
Principales cellules cibles du VIH (3)
CD4
Monocytes/ Macrophages
Cellules dendritiques
Caractéristiques de la souche 2 du VIH (3)
- Faible réactivité antigénique vis-à-vis des glycoprotéines d’enveloppe du VIH-1
- Résistance naturelle aux INNTI
- Evolution lente vers le SIDA
V/F : On peut observer une thrombopénie au cours d’une primo-infection VIH
Vrai
Localisation préférentielle de la primo-infection par la cryptococcose
Pulmonaire
Moyens diagnostiques de la pneumocystose (2)
- Examen direct du LBA
- Présence au LBA de kystes de pneumocystis suite à une coloration argentique ou par IF
V/F : La coloration argentique ou l’IF dans le LBA à la recherche de kystes de pneumocystis peut-être fait après l’instauration d’une ATB
Vrai => Les kystes persistent en moyenne 5 jours dans le LBA
V/F : En cas de pneumocystose, pas de nécessité d’isolement
Vrai
Indication à la prescription d’une corticothérapie en association au Bactrim dans la pneumocystose
PaO2 < 70 mmHg en AA
Principaux effets secondaires du Bactrim survenant entre J5 et J12 (3)
Cytopénie
Rash cutané
Cytolyse hépatique
Coloration permettant la mise en évidence des pneumocystes dans le LBA
Coloration de Gomori-Grocott
V/F : Après 3 cytologies annuelles N, chez une patiente avec CD4 > 500/ mm^3 sous ttt et avec CV indétectable, indication à un FCU tous les 3 ans
Vrai => Cytologie = FCU
V/F : La méningite à VIH est d’évolution favorable en quelques jours
Vrai => Méningite lymphocytaire témoignant d’un déclin des CD4 +
Diagnostic de la LEMP, au cours du VIH notamment
PCR virus JC dans le LCS
=> Si doute diagnostique : biopsie cérébrale
Atteinte rénale caractéristique de l’HIVAN
Hyalinose segmentaire et focale
V/F : L’éruption cutanée au cours de la primo-infection VIH dure entre 5 et 10 jours
Vrai
Principale complication en cas de prescription d’Abacavir chez un patient avec un statut HLA B57*01
DRESS syndrome
Dosage à demander en cas de découverte de VIH avec CD4 < 200/ mm^3
Sérologie toxoplasmose
Dosages à demander en cas de découverte de VIH avec CD4 < 100/ mm^3 (3)
Sérologie toxoplasmose
Sérologie CMV => si + : PCR
Dosage de l’antigénémie cryptocoque
V/F : Dépistage du cancer anal chez le patient VIH + uniquement chez les HSH
Vrai
Objectifs de ttt par antirétroviral chez le VIH + (3)
-2 log à 1 mois
< 400 copies à 3 mois
CV indétectable à 6 mois
Principales étiologies à évoquer chez un patient VIH+ avec un trouble de la marche (3)
Neuropathie
Polymyosite
Myélopathie vacuolaire
Caractéristiques cliniques du syndrome rétroviral aigu lors d’une l’infection par le VIH (4)
=> Tableau d'allure grippale : 90 % - Fièvre - Sueurs - Asthénie - Arthralgies et myalgies - Céphalées - Douleurs pharyngées - Douleurs rétro-orbitaires => Polyadénopathie ferme/ indolore/ symétrique: 75 % => Signes neurologiques (20 %) : - Sd méningé - Tb du comportement - Encéphalite - Crises convulsives - Polyradiculonévrite - PFp => Signes digestifs et toux possibles : 10%
FDR du syndrome immunitaire de restauration immunitaire (2)
IO sous-jacente non traitée
ID profonde
CAT devant un syndrome immunitaire de restauration immunitaire (3)
- Avis spécialiste en urgence
- Poursuite du traitement ARV en l’absence de risque vital
- Ttt symptomatique
V/F : Au cours de l’infection par le VIH-2, les ttt par inhibiteurs non nucléosidiques de transcriptase inverse et inhibiteurs de fusion ne sont pas efficaces
Vrai => Ttt via 2 INTI + 1 inhibiteur de la protéase
Antirétroviral avec la barrière génétique la plus élevée
Anti-protéase
Localisations les plus fréquentes des accès toxoplasmiques (2)
Lobes frontaux
Noyaux gris centraux
Intérêt du TROD
Permet un dépistage rapide d’une infection ancienne par le VIH à confirmer ensuite par une sérologie
V/F : Tous les antirétroviraux ont une toxicité CV et métabolique au long cours et nécessite donc une surveillance particulière
Vrai => Surveillance annuelle par :
- ETT
- EDTSA
- EDMI
- Glycémie
- Cholestérol
CAT en cas de RAU dans un contexte de syndrome de la queue de cheval
Pose d’une sonde à demeure
V/F : Le quantiféron peut-être négatif en cas de tuberculose maladie
Vrai => Test permettant de dépister une ITL (et pas de la tuberculose maladie)