Item 158 : IST Flashcards
Quelle est la cause la plus fréquente d’ulcérations génitales
Herpès virus
V/F : Les ulcérations génitales peuvent être liés à une infection par HPV
Vrai
V/F : Les IGH peuvent être aS
Vrai
Partie du chancre indurée dans la syphilis primaire
Bordure
Eléments composants une leucorrhée physiologiques (3)
Glaire endo-cervicale
Flore aéro-anaérobie
Lactobacilles de Doderleïn
V/F : Chlamydia trachomatis est la première cause d’infection sexuellement transmissible bactérienne
Vrai
V/F : L’oxyurose est à évoquer en cas de vulvo-vaginite récidivante chez une petite fille
Vrai
V/F : Dans la syphilis secondaire les syphilides sont contagieux
Vrai
Mise en évidence du germe responsable de la trichomonose + ttt adéquat
Examen direct => Métronidazole ou Secnidazole
% de portage aS de la trichomonose selon le sexe
Femme : 20%
Homme: > 80%
V/F : Les fluoroquinolones sont efficaces sur les germes intracellulaires
Vrai
V/F : HPV peut entraîner des verrues plantaires
Vrai
V/F : Le VHC est une IST
Vrai
Agents infectieux responsables d’ulcérations génitales sexuellement transmissible (6)
HSV Syphilis HPV VIH Haemophilus ducreyi Klebsiella granulomatis
V/F : Une infection à Chlamydia trachomatis peut évoluer par poussées intermittentes
Vrai
Délai entre chaque FCU chez un patient immunodéprimé (mdct ou pathologie)
1 /an
Atteintes d’organes à rechercher devant une syphilis secondaire (4)
Signe ophtalmologiques
Syndrome méningé
Atteinte des paires crâniennes
HSMG
Diagnostic à évoquer devant des granulations perceptibles au TV
Carcinose péritonéale
V/F : Un hydrosalpinx n’est pas à évoquer en 1ère intention devant une douleur pelvienne d’apparition brutale
Vrai
Délai moyen entre une contamination par la syphilis et l’apparition du chancre
3 semaines
Valeurs N de la PL : protéinorachie, glycorachie et cellularité
Cellules : 0 - 2 /mm3 ;
Protéines : 0.2 - 0.4 g /L
Glucose : 50 % de la glycémie plasmatique
Ttt ATB de la neurosyphilis
Pénicilline G IV forme non retard pendant 14 jours
=> Uvéite postérieur considéré comme neurosyphilis
V/F : En cas de lésion ulcérée génitale, la PCR HSV est à faire sur la lésion
Vrai
Surveillance à distance d’une IGH (2)
Echographie à 3 mois
Prélèvement bactériologique vaginal à 3-6 mois
Etiologies infectieuses des cervico vaginites (3)
Chlamydia
Streptocoque
Gonocoque
V/F : Le chancre syphilitique est à fond propre
Vrai
V/F : Le test TPHA reste le plus souvent positif chez un malade guéri de la syphilis
Vrai
Portage saprophyte d’actinomyces (3)
Cavité buccale
Tractus gastro-intestinal
Vagin
Principal FDR d’infection à actinomyces
Port prolongée d’un DIU (> 5 ans) => altération de l’endomètre
V/F : Les formes graves d’actinomycose peuvent mimer un KC pelvien
Vrai
Ttt actinomycose
Amoxicilline => jusqu’à 6 mois en cas de formes graves
V/F : La syphilis secondaire correspond à une phase de forte contagiosité
Vrai
V/F : Le virus HTLV à un pouvoir oncogène
Vrai
V/F : La syphilis secondaire peut être à l’origine d’une atteinte des paires crâniennes
Vrai => hypoacousie, PF
V/F : Le fluconazole est réservé aux formes graves de candidoses et aux candidoses chez l’ID
Vrai
V/F : Une uvéite postérieure syphilitique est traitée comme une neurosyphilis
Vrai
V/F : Concernant les IST, Chlamydia est 50 fois plus fréquent que le gonocoque
Vrai
Délai moyen avant la négativation du VDRL dans le cadre d’une syphilis traitée
1 an
Germe responsable du trachome
Sérotypes Chlamydia A à C
Caractéristiques cliniques du trachome (2)
Kérato-conjonctivite
/!\ Risque decécité si non pris en charge
Bactérie à l’origine du chancre mou
Bacille de Ducrey => Haemophilus ducreyi
Caractéristiques cliniques du chancre mou (5)
Érosion/ ulcération souvent unique :
- > 10mm de diamètre
- A fond sale/ inflammatoire
- Non indurée
- Douloureuse
- Adénopathie satellite ± fistulisée
V/F : En cas d’ulcération génitale aiguë avec un bilan d’IST négatif, il faut en prévoir un nouveau à M3
Vrai => En aigu, associer une injection IM de pénicilline G
V/F : La trichomonose est favorisée par un milieu vaginal alcalin
Vrai
V/F : Indication à une vaccination contre le VHA chez les homosexuels
Vrai => Deux injections à 6-12 mois d’intervalle
/!\ Protection durable chez 95% des sujets
V/F : Les IgG anti-VHA sont immunisantes à vie
Vrai
V/F : Pour la recherche du gonocoque sur un écoulement urétral, indication à une PCR
Vrai => Avec en plus une PCR sur 1er jet urinaire Chlamydia et Gonocoque
/!\ Chez le sujet homosexuel avec urétrite, on peut proposer des prélèvements au niveau anal/ pharyngé
Principales indications à la vaccination contre le VHA (5)
Voyage en pays de haute endémicité
Sujets atteinte d’hépatopathie chronique
Co-infection VHB/ VHC
HSH
Professionnels exposés/ à risque : restauration +++
V/F : Indication à des dépistages du cancer anal chez les HSH avec des consultations proctologiques régulières
Vrai => Risque augmenté en lien avec l’infection par HPV
V/F : Devant une IST, indication à des prélèvements multisites chez les patients HSH
Vrai => Recherche du portage de Chlamydia/ Gonocoque aS au niveau anal/ pharyngé notamment
/!\ Selon les pratiques peut-être indiqué chez les hétérosexuels
V/F : Dans le cas d’une urétrite, indication à un ttt probabiliste commencé après les différents prélèvements
Vrai => Chez le patient S via C3G IM et Doxycycline PO 7 jours
V/F : Indication systématique à traiter le partenaire d’un patient atteint d’une urétrite S
Vrai => Après réalisation de prélèvement, ATB probabiliste
ATBthérapie de 2nde intention pour le ttt d’une urétrite à gonocoque en cas de CI au C3G IM
Gentamicine : 1 injection IM
FQ via Ciprofloxacine : /!\ CI à un ttt probabiliste
V/F : Indication à une seconde consultation à J7 dans le cadre d’une IST
Vrai => Pour vérifier guérison et annoncer les résultats des différents dépistages
/!\ +/- consultation à J3 si persistance des S
V/F : Devant des condylomes au niveau anal, indication à une consultation proctologique
Vrai => Recherche cancer anal favorisé par HPV
Modalités de vaccination contre HPV (2)
- 2 doses entre 11 et 14 ans
- 3 doses entre 15 et 19 ans pour le rattrapage ou jusqu’à 26 ans pour HSH
V/F : Il existe un vaccin nonavalent anti-HPV
Vrai => Egalement un vaccin hexavalent
V/F : Le ttt post-exposition au VIH doit idéalement être prescrit dans les 4h après le rapport
Vrai => Sérologie VIH à prévoir à 6 semaines
/!\ Ttt pour 28 jours à instaurer au maximum dans les 48h après l’exposition
V/F : La sérologie VIH intègre systématiquement la recherche de l’antigénémie p24
Vrai
Ordre d’apparition des marqueurs virologiques plasmatiques du VIH (3)
- ARN-VIH = charge virale : + dès J10
- Ag p24 : + dès J15 puis se négative en 1-2 semaines
- Ac anti-VIH : + vers J20 (permettent la négativation de l’Ag p24)
Intérêt du TROD : test de dépistage rapide du VIH
Réponse en quelques minutes donc utile dans les situations d’urgence type AES/ exposition sexuelle récente
Marqueurs dépistés par le TROD (2)
Ac anti VIH1
Ac anti VIH2
Marqueurs dépistés par le test ELISA dans le cadre d’un dépistage du VIH (3)
Ag p24
Ac anti VIH1
Ac anti VIH2
Marqueurs dépistés par le Western-Blot dans le cadre d’un dépistage du VIH
Recherche d’Ac dirigés contre différentes protéines du VIH comme :
- Ac anti-glycoprotéine d’enveloppe
- Ac anti-protéine de Core
- …
Définition d’un Western-Blot dit incomplet
Western-Blot réalisé au cours d’une primo-infection VIH, d’autant plus s’il est réalisé précocement par rapport au rapport à risque
=> Incomplet car tous les Ac n’existent pas encore
Cancers classant SIDA (3)
Lymphome malin non hodgkinien
Maladie de Kaposi
Cancer du col utérin
V/F : Quasiment aucune indication à différer l’instauration d’un ttt antirétroviral dans le cadre d’une découverte d’infection VIH
Vrai => Possible délai entre le diagnostic et l’instauration si le patient ne se sent pas prêt à débuter le ttt lors du diagnostic
Examens paracliniques à réaliser dans le bilan de découverte d’un VIH en cas de CD4 < 100/ mm^3 au diagnostic (2)
Dosage de l’Ag cryptocoque
Sérologie CMV : /!\ Si positive :
- PCR CMV plasmatique et FO
Objectifs de ttt par antirétroviral chez le patient VIH (3)
- 2 log à 1 mois
< 400 copies à 3 mois
CV indétectable à 6 mois
Indications à une prophylaxie contre la pneumocystose dans le cadre d’une infection par le VIH (2)
CD4 < 200/ mm^3
LT CD4 < 15% des lymphocytes totaux
=> ATBprophylaxie par Cotrimoxazole
V/F : L’incidence de la syphilis croît régulièrement depuis 2000
Vrai => Une infection VIH est présente dans environ 10% des découvertes de syphilis
V/F : La neurosyphilis peut-être présente à tous les stades de la maladie
Vrai => S associés permettent de savoir s’il s’agit d’une syphilis primaire/ secondaire/ tertiaire
Définition d’une hypoglycorachie
Glycorachie/ Gly plasmatique < 0.4
V/F : Une recontamination syphilitique est possible
Vrai => Se traduit par une ré-ascension du VDRL
Diagnostics à évoquer en cas de TPHA + et VDRL - (2)
Syphilis guérie : cicatrice sérologique (tréponémique)
Syphilis récente
V/F : Le sexe féminin est un FDR d’IST dans les pays industrialisés
Vrai => Avec comme principaux autres FDR :
- Niveau socioéconomique bas
- Multiplicité des partenaires sexuels
- VIH +
- Précocité du premier rapport sexuel
V/F : Dans le cadre du dépistage du VIH, le test ELISA est un test de 4ème génération
Vrai => Avec une sensibilité +++ et quasiment aucun faux négatif
V/F : On peut mettre en place un protocole thérapeutique pour prévenir la réaction d’Herxheimer dans le cadre du ttt de la syphilis
Vrai => Notamment via un ttt par prednisone qui peut être utile pour prévenir cette réaction chez la femme enceinte
Seule indication à un ttt par Péni G IV pendant 14 jours dans le cadre de la syphilis
Neurosyphilis
=> Complication indépendante du stade
Date à partir de laquelle le tréponème passe la barrière placentaire chez une femme enceinte
Après le 4ème mois
V/F : Le microscope à fond noir permet le diagnostic de certitude de la syphilis face à une ulcération génitale
Vrai
V/F : Chlamydia trachomatis est un BGN
Vrai => Intracellulaire obligatoire
V/F : L’infection à Chlamydia trachomatis est 50 à 80 fois plus fréquente que la gonococcie dans les pays industrialisés
Vrai => 1ère cause d’IST avec une prévalence estimée entre 2 et 10 % chez les sujets jeunes
V/F : 1% des personnes infectées par l’HPV développeront des lésions génitales
Vrai
V/F : La positivité du VDRL marque la présence d’Ac anticardiolipine
Vrai => Ac qui peuvent être présent dans les maladies dysimmunitaires, d’où le nombre important de pathologie avec TPHA - et VDRL +
V/F : La candidose vaginale n’est pas une IST
Vrai