Item 249 : Amaigrissement à tous âges Flashcards
Performans status (5)
- 0 : activité N
- 1 : patient limité dans ses activités physiques importantes mais ambulant et capable de fournir un travail léger
- 2 : patient incapable de travailler, alité < 50% du temps.
- 3 : patient alité > 50% du temps
- 4 : patient grabataire/ confiné au lit
Vitamine à ajouter de façon systématique en cas de nutrition parentérale exclusive
Vitamine K1
Principales échelles permettant d’évaluer l’état général d’un patient (2)
Échelle de Karnofsky
PS de l’OMS
Grade dénutrition selon l’IMC (5)
- I : entre 17-18 => /!\ 17-21 si > 75 ans = DÉNUTRITION MODÉRÉE
- II : entre 16-17
- III : entre 13-16 = DÉNUTRITION SÉVÈRE
- IV : entre 10-13 = DÉNUTRITION GRAVE
- V : < 10 inférieur à 10
Intérêt du NRI
= Indice de Buzby
Évaluation du risque de complications/ de la sévérité/ du pronostic d’une dénutrition
Score correspondant au NRI utilisé chez la personne âgée
GNRI
Intérêt du MNA
Évaluation du risque de dénutrition
Règle de mesure de l’épaisseur cutanée tricipitale + intérêt
Sur le bras non dominant demi-fléchi à mi-distance acromion-olécrâne avec un compas de Harpenden
=> Évaluation de la masse grasse.
V/F : L’épaisseur cutanée tricipitale est plus élevée chez la femme
Vrai => 20 - 30 mm vs 10 - 15 mm chez l’homme
Calcul du NRI
= Indice de Buzby
1,5 * albuminémie = 42 * (poids actuel/ poids habituel)
V/F : La dénutrition peut-être à l’origine d’une lymphopénie
Vrai
Valeur normale de la CMB chez la femme
> 19 cm
Valeurs normales de la CMB chez l’homme
> 24 cm avant 65 ans
> 22 cm après 65 ans
Questionnaire permettant de dépister rapidement un TCA
Questionnaire SCOFF
Antalgique à privilégier dans le ttt des patients fibromyalgiques
ISRNA
/!\ ISRS sont très peu efficaces, car nécessité d’une recapture de l’adrénaline dans le ttt
V/F : Il n’y a pas de critères d’exclusion pour le diagnostic de fibromyalgie
Vrai
V/F : L’asthénie dès le réveil associé à des S douloureux est plutôt un argument en faveur d’une cause psychogène
Vrai => Idem pour la multiplicité des plaintes
Principaux ttt entraînant un sur-risque de développer un pemphigus (2)
D-pénicillamine
IEC
Terrains à risque de développer une pemphigoïde bulleuse (2)
Sujet très âgé
Maladies neurologiques grabatisantes
Principaux ttt entraînant un sur-risque de développer une pemphigoïde bulleuse (2)
Diurétique épargneur de potassium
Gliptine
Principaux ttt entraînant un sur-risque de développer une dermatose à IgA linéaire (3)
Vancomycine
AINS
IEC
Caractéristiques de l’IF dans le cadre d’une pemphigoïde bulleuse (2)
- IFD : Dépôts linéaires d’IgG et de C3 le long de la jonction dermo-épidermique
- IFI standard : Ac anti membrane basale de type IgG avec en ELISA : anti-BPAG1 et anti-BPAG2
V/F : Les dysthyroïdies ne constituent pas un FDR d’escarre
Vrai
V/F : Chez le patient diabétique, la neuropathie périphérique peut être isolée ou associée à la rétinopathie
Vrai
V/F : Un index de Buzby < 83,5% définit une dénutrition sévère
Vrai => Index de Buzby prend en compte l’albumine et le poids du patient (actuel et usuel)
Situations cliniques indiquant la mise en place en urgence d’une assistance nutritionnel autre que de simple CNO
IMC < 15 Perte de poids > 20% en 3 mois Hypotension artérielle Bradycardie < 50/ min Hypothermie/ Ralentissement psychomoteur HypoGly S Albumine < 20 g/ L Tb ioniques/ hypoPh
Questionnaire permettant de dépister un TCA
Questionnaire SCOFF
Différentes voies d’abord pour l’administration d’une nutrition entérale (2)
Par SNG si durée prévue < 1 mois
Par jéjunostomie/ gastrostomie si durée prévue > 1 mois
Débit d’administration maximale théorique d’administration d’une nutrition entérale
Inférieur au débit pylorique physiologique soit :
=> 3 kcal/ min = 180 mL/ h
Complication la plus fréquente de la nutrition entérale
Diarrhée : 40% des patients adultes
/!\ Une constipation est plus rare mais est également possible
CI à la nutrition entérale (2)
- Occlusion intestinale extrinsèque/ intrinsèque non candidate à une endoprothèse
- Abcès à point de départ digestif
Durée maximale d’une nutrition parentérale sur voie veineuse périphérique
10 jours
Diagnostic d’une infection sur cathéter
Différentiel de temps de pousse entre les hémocultures sur voie centrale et celles sur voie périphérique > 2h
Principales complications métaboliques de la nutrition parentérale (3)
Hyperglycémie
Hypertriglycéridémie
Ostéopénie/ ostéoporose
V/F : Les apports glucidiques et lipidiques sont contrôlés chez les patients ayant une nutrition parentérale
Vrai => Maximum 400 g/ jour de glucose + glycémie toutes les 4-6h et maximum 60g/ jour de lipide avec 1 bilan lipidique par semaine
V/F : Il faut limiter les apports glucosés lors d’une renutrition
Vrai => Notamment car risque de déficit en vitamine B1 avec risque neurologique si carence + apport glucosé important
/!\ Maximum 1.5-2 g/ kg/ jour
Energie à apporter lors d’une renutrition pour éviter un syndrome de renutrition inappropriée
Pendant 3 jours : 10-15 kcal/ kg/ jour
Puis + 5 kcal/ kg/ jour
=> Objectif : 30-35 kcal/ kg/ jour vers J7-J10 (pour l’enfant objectif ANC selon âge à J7-J10)