urologie Flashcards

1
Q

histo-anatomie de la prostate

A

2 zones prostatiques :

  • périphérique : dominant en postérieur en regard du rectum
  • transitionnelle, de part et d’autre de l’urètre

Se sont des glandes exocrines (synthétisent liquide prostatique et ses protéines)

possèdent deux couches cellulaires :

  • une couche de cellules luminales sécrétrices
  • une couche de cellules basales

–> entre les glandes il y a du tissu musculaire lisse

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2
Q

épidémiologie cancer de la prostate

A

le + fréquent > 50ans

augmentation incidence stabilisée depuis 205

2ème cause de mortalité par cancer chez l’homme

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3
Q

procédure de détection précoce du cancer de la prostate

A

pas de dépistage national

exclusivement aux hommes en bon état fonctionnel et à la probabilité de survie prolongée

initiée à 50 ou 45 ans si fct de risque

interrompue au-delà de 75ans

à répéter en général tous les 2ans

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4
Q

quel examen fait-on en fonction du stade d’Amico dans les cancer prostatique

A

Bilan d’imagerie dans le diagnostic du cancer de la prostate selon la classification de D’Amico :
- Risque Faible –> IRM prostatique optionnelle

  • Risque Intermédiaire –> IRM pelvienne + IRM prostatique Scintigraphie osseuse (si Gleason 4 +3)
  • Risque Elevé –> IRM Pelvienne + IRM prostatique + Scintigraphie osseuse
  • Patient M1 –> IRM prostatique optionnelle, TDM TAP, tomoscintigraphie osseuse
  • Attention, le TDM est réservé aux patients M+

IRM multiparamétrique : Actuellement elle est recommandée selon l’AFU dans les cancers de la prostate de risque intermédiaire et élevé pour évaluer le siège des tumeurs, l’infiltration ou le franchissement de la capsule et l’envahissement des vésicules séminales.
Scintigraphie osseuse : Elle reste l’examen de référence pour la recherche de métastases osseuses par la présence de foyer d’hyperfixation.
Echographie endorectale : Elle n’a pas sa place dans le bilan diagnostique du cancer de la prostate.

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5
Q

classification d’Amico

A

La classification de d’Amico classe les adénocarcinome prostatiques en 3 groupes pronostiques selon le risque de récidive biochimique à 10 ans (PSA total > 0,2ng/mL) après traitement local :
- Faible risque : PSA ≤ 10 ng/mL ET Score de Gleason ≤ 6 ET Stade clinique T1c ou T2a
- Risque intermédiaire : 10 ≤ PSA ≤ 20 ng/mL OU Score de Gleason = 7 OU Stade clinique T2b
- Risque élevé : PSA ≥ 20 ng/mL OU Score de Gleason ≥ 8 OU Stade clinique ≥ T2c
Les groupes à très faible risque ou risque très élevé n’existent pas.

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6
Q

examen biologique dans la stratégie diagnostic et le suivi du cancer de la prostate

A

PSA (N 2,5-4 ng/mL): protéine de la famille des kallikréines

densité du PSA : 1/10ème du Vol de la prostate

temps de doublement, vélocité du PSA: intérêt pronostic

rapport PSA libre/PSA total : dans le cancer de la prostate, la fraction libre est plus faible que dans l’hyperplasie de prostate (quasi abandonné)

tests urinaires: PCA3

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7
Q

quand fait-on une biopsie dans le cancer de la prostate

A

après consultation spécialisée en cas de suspicion de cancer au toucher rectal ou d’élévation du taux de PSA (pas d’imagerie direct biopsie échoguidée)

examen systématique au décours d’un traitement chirurgical d’une hypertrophie bénigne de la prostate

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8
Q

Fdr de la biopsie de la prostate

et risque spécifiques des biopsies prostate

A
  • allergie au latex, ATB, lidocaïne

fct de risque hémorragique

facteurs de risques infectieux (ATCD de prostatite, prise d’ATB <6M, hospitalisation <3M

-rectorragies, hématurie dans les suites immédiates,

hémospermie dans les semaines qui suivent

inconfort périnéal dans les suites immédiates

risque de rétention d’urine

risques d’infections urinaires symptomatiques

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9
Q

histologie cancer de la prostate

A

adénocarcinome (surtout dans la partie périphérique)

carcinome neuroendocrine <5%

exceptionnel : tumeurs secondaires, lymphome, sarcome

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10
Q

score de Gleason cancer de la prostate

A

score caractérisant le degré de différenciation de la tumeur

appelé score HISTOPRONOSTIQUE

Si biopsies : additionner le grade le plus représenter et le grade le plus élevé

Si pièce opératoire: additionner les deux grades les plus représenter

–> nouvelle classification : ISUP

groupe 1 : gleason 6 (3+3)

groupe 2 : gleason 7(3+4)

groupe 3 : gleason 7 (4+3)

groupe 4 : gleason 8 (4+4, 5+3, 3+5)

gleason 5: gleason 9ou 10

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11
Q

caractéristique prostastectomie totale et E.I

A

exérèse complète + vésicules séminales + anastomose vésico-urétrale

E.S : hémorragie, lymphocèle si curage, plaie rectale, fistule sur l’anastomose, dysurie par anastomose vésico-urétrale, infertilité, dysfonction érectile, incontinence urinaire

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12
Q

C.I et E.I radiothérapie externe cancer de la prostate

A

ATCD d’irradiation, mie inflammatoire rectale active, sclérodermie, impossibilité de maintien de la position

cystite, rectite, dysfonction érectile ++, sténose urétrale, tumeurs radio-induite

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13
Q

C.I et E.I crurithérapie cancer de la prostate

A

(radio-élément :iode 125)

-ATCD d’irradiation pelvienne, slcérodermie, mie inflammatoie active

Vol° prostate >60mL, présence d’un lobe médian symptomatique, présence de symtpomes urinaires marqués, ATCD de résection endo-urétrale de la prostate

  • idem à radiothérapie (rectite, cystite, dysfonction érectile, sténose urétrale, tumeurs radio-induties)
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14
Q

hormonothérapie dans la tumeur de la prostate

A

castration chirurgicale ( délai 12h) (orchidectomie ou pulpectomie)

antagoniste LH-RH (48-72h) : SC mensuelle

agoniste LH-RH (2-4semaines): pic bref de sécrétion “flare up”, SC, à associer avec antiandrogènes

antiandrogènes non stéroïdiens 1er G : blocage au niveau des récepteurs, “flare up”, forme orale, utilisation monothérapie NON recommandé

antiandrogènes stéroïdines (7j): action centrale ET périphérique/ acétate de cyprotérone, forme orale, “flare up” et bouffées de chaleur / précautions /!\ : rique thrombo et toxicitz hépatique

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15
Q

stade de la lithogenèse

A

sursaturation urinaire

germination cristalline

croissance cristalline

agrégation des cristaux

agglomération critalline

rétention des particules cristallines

croissance du calcul

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16
Q

Caractéristiques echo reno vesicale lors de lithiases

A

L’Echograhie Réno-vésicale dans la pathologie lithiasique : - Souvent couplée à un ASP - Objective dilatation des cavités pyéliques et /ou de uretère - Evalue le retentissement en amont de l’obstacle - Avantages - peu couteux et rapide à obtenir - précision diagnostique de 5 mm (ne visualise pas les calculs plus petits) - detecte les calculs Radio opaques Et Radio-transparents - étudie les voies excrétrices dans leur totalité hors urétère pelvien (dont l’uretère uniquement lorsqu’il est dilaté, un uretère physiologique n’est pas visible en Echographie) - Limites- opérateur dépendant comme chaque échographie - obése = peu échogène - Souvent normale en phase précoce d’une Colique Néphrétique - ne visualise PAS l’uretère pelvien - PMS “dilatation ne signifie pas obstruction” car une vessie neurologique a des cavités dilatées sans Colique Néphrétique associée, de même pendant la grossesse, qui et de plus une situation physiologique

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17
Q

terrains favorisants la lithiase urinaire

A

diurèse

facteurs alimentaires : produits laitiers, protéines animales, sel, aliments riches en oxalates (chocolats, thé, rhubarbe, fruits sec, betteraves, bonbon, épinards, oseille), prurine (abats, charcut), sucres rapides tels que fructose

facteurs familiaux : cystinurie(autosomique récessif)

infection urinaire: proteus mirabilis, Klebsiella penumoniae, pseudomonas A. –> uréase : urate en dioxyde ce carbone et ammoniac –> calculs phospho-amoniaco-magnésiens

anomalies pH urinaires : N 5,8/ si 5 : acide urique, cystine, oxalate de calcium/ si 7 : infections et calculs Ph-C

Anatomie anomalies

Médicaments : amiodarone, cotrimoxazole, allopurinol, antiprotéases, diurétiques thiazidiques, inducteurs : Vit D

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18
Q

composants oxalates de calcium

A

whewellite : monohydraté, fctr principal : hyperoxalurie

weddellite : dihydraté, principal fct : hypercalciurie

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19
Q

diagnostics différentiels colique néphrétique

A

urologiques: PNA, infarctus rénal, nécrose papillaire, douleur scrotale aiguë

non urologique: dissection/anévrysme aorte ou rénale

GEU, tosion de kyste/cordon spermatique

pancrétatite aiguë, colique hépatique, penumopathie basale, lombalgies aiguës

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20
Q

imagerie à réaliser pour diagnostic lithiase urinaire

A

écho +- ASP

TDM TAP en 2nd intention ou si signe de gravité

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21
Q

bilan sanguin et métabolique en première intention devant une lithiase urinaire

A

sang: créatinémie, glycémie, uricémie, calcémie

urine des 24h :

créat (N 13-18 mmol/kg/j)

Vol urinaire > 2L/24h

calcémie (/!\ si >= 0,1 mmol/kg/j ou > 3,8 mmol/L)

urée /!\ > 5,5 mmol/kg/j

acide urique /!\ 5 mmol/kg/j ou > 2,5mmol/L

Sodium > 150 /!\

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22
Q

choix opératoires en fonction du type de calcul litbhiase urinaire

A
23
Q

risques potentiels traitement androgénique

A

Les risques potentiels sont :

  • Déséquilibre métabolique en particulier lipidique et accroissement du risque Cardiovasculaire (baisse HDL, hausse LDL)
  • Polyglobulie avec risque thrombotique majoré
  • Aggravation d’une éventuelle Gynécomastie pré-existante
  • SAOS
  • +++ Adénocarcinome de Prostate +++ PMZ
24
Q

facteurs de risque favorisant l’andropause

A

obésité

OH chronique

atrophie testiculaire

pathologies chroniques : vih, cancer, insuffisance, hémochromatose, lupus, mie C-V

ttt médocs

sédentarité++

(ET PAS LE TABAC +++)

25
Q

bilan pré thérapeutique ménopause

A

Le bilan préthérapeutique est :

  • Glycémie à jeun
  • Examen d’une anomalie lipidique
  • Mammographie bilatérale et comparative
26
Q

bilan pré thérapeutique andropause

A

bilan lipidique

BHC

glycémie à jeun

hématocrite (NFS)

taux PSA + TR

ODM si déficit profond ou point d’appel

entretien psychologique

27
Q

que comprend le bilan urodynamique

A

Le bilan urodynamique comprend une débitmétrie, une cystomanométrie, une profilométrie urétrale, une électromyographie.

28
Q

critére de gravité à recherche en urgence dans une colique néphrétique (CN)

A

Les critére de gravité à recherche en urgence dans une colique néphrétique (CN) est/sont :

  • Hyperthermique (évoque une pyélonéphrite obstructive dont il faut dériver les urines en urgences)
  • Oligo/Anurique - sur choc septique
  • sur rein unique
  • CN bilatérale
  • Hyperalgique (non calmée par un antalgique de pallier III)
29
Q

C.I à la LEC (lithotrite extracorporelle)

A

grossesse

ttt anticoag

calcifications et anévrysmes artériels rénaux et aortiques

infection urinaire non traitée

obstruction d’aval empêchant l’limination des fragments

30
Q

critères en faveur d’une hématurie d’origine urologique

A

La valeur sémiologique des hématuries micro ou macroscopiques est identique et ne permet pas de trancher entre une cause rénale et une cause urologique.

En revanche, sont en faveur d’une hématurie urologique :

  • **Caillots
  • douleur lombaire
  • Signes fonctionnels du bas appareil (syndrome irritatif ou obstructif)
  • Varicocèle**
31
Q

critères en faveur d’une hématurie d’origine néphrologique (= parenchymateuse)

A

absence de caillots ou de symptomatologie urologique (ex : douleurs, brulures…)

HTA, oedèmes MI

protéinurie >0,5 g/24h

cylindres hématique ou hématies déformées

aug créat et diminution DFG

absence d’anomalie à l’échographie

32
Q

coloration urine liée à une prise médicamenteuse (fausse hématurie)

A

Coloration liée à une prise médicamenteuse

  • Antibiotiques : rifampicine, érythromycine, métronidazole.
  • Anti-inflammatoires : acide aminosalicylique, salazopyrine, ibuprofène.
  • Vitamines : B12.
  • Laxatifs contenant de la pénolphtaléine.
  • Contact avec antiseptique : povidone-iodine, eau de Javel.
33
Q

diagnostics différentiels de l’hématurie (retrouvé à la BU)

A

(détecte si >= 5 hématies/mm3)

  • myoglobinurie
  • hémoglobinurie
  • médicaments (ATB : rifampicine, érythromycine, métronidazole)/AINS/Vit B12/ contact avec antiseptique/ laxatif contenant de la phénolphtaléine
  • betteraves, mures, myrtilles, rhubarbe, chou rouge, rhodamine B
  • porphyrie, urobilinurie
  • intoxication: plomb/mercure
  • origine gynécologique (urétrorragie, génitale, hémospermie…)
34
Q

caractéristiques carcinomes in situ urothélial

A

grade : Tis

distingue de la tumeur ta (papillaire sans infiltration chorion) car :

  • il est plan
  • toujours de haut grade
  • peut être isolé ou associé à des tumeurs papillaires
35
Q

stratification du risque des TVNIM

A
  • faible : Ta, de bas grade, unfocale, <3cm, sans ATCD de TV
  • ntermédiaire : Ta, de bas grade, sans critère du risque haut/très haut
  • élevé : 1 des critères parmis :
  • T1 ou
  • Tis (CIS)
  • ou haut grade

-très elevé : association des 3 critères suivants:

  • T1 et
  • haut grade et
  • Soit CIS soit multifocal soit > 3cm soit envahissement lymphovasculaire soit localisation urétrale
36
Q

quand fait on une scintigraphie dans les tumeurs vésicales

A

si douleurs osseuses évocatrices

si anomalie osseuse au scanner ( uro-TDM à réaliser pour TVNIM et TVIM, TDM-TAP à réaliser si TVIM (bilan locorégional)

+++ si présence de métastases pulmonaires ++

(scanner cérébral en cas de troubles neurologiques)

37
Q

ttt TVIM non métastasique

A

Retenir que dans les TVIM non métastatiques, le traitement de référence est la chirurgie : attention, il ne s’agit jamais d’une cystectomie seule :

  • cystoprostatectomie chez l’homme,
  • pelvectomie antérieure (cystectomie + hystérectomie + exérèse de la paroi antérieure du vagin) chez la femme !

“Une chimiothérapie néo-adjuvante ou adjuvante peut être proposée en fonction du bilan d’extension et des caractéristiques histologiques de la tumeur.” AFU

En cas de refus et/ou de CI à la chirurgie, l’option RT-CT est validée.

38
Q

quels sont les 2 méthodes possibles de dérivation urinaire : continente et non continente

A

continente : La dérivation urinaire de référence sur le plan fonctionnel est l’entérocystoplastie.

non continente : stomie urinaire = urétéroiléoplastie cutanée selon Bricker

39
Q

facteurs de risque cancer vessie

A

Tabagisme (le principal)

carcinogènes industriels :

  • hydrocarbures aromatiques : goudrons, huiles et brais de houilles, suis charbon, métallurgie
  • amines aromatiques et N-nitroso : teinture (colorants), caoutchouc, plastinurgie, industries pharmaceutiques

inflammation/irritation vésicale : bilharziose, sondage chronique, chimio (cyclophosphamide)

ATCD à risque : ATCD de tumeur bas/haut urinaire

Syndrome de Lynch

40
Q

épidémiologie stérilité du couple

A

20% homme

40% mixte

40% femmes

41
Q

A quoi est souvent associé un nombre élevé de PNN dans le sperme

A

altération de la fonction et de la mobilité des SPZ

infection/inflammation des voies génitales (leucocytes > 1M/ml)

42
Q

quel examen génétique à réaliser chez l’homme pour bilan infertilité et dans quel contexte

A

caryotype : azoospermie non obstructive, oligospermie <5M/ml, ATCD

microdélétions du chr Y : azoospermie sécrétoire et olgospermie sévère/ gène AZFa AZFb et AZFc(le + fréquent et le - sévère)

mutation gène CFTR (ABCC7): absence bilatérale des canaux déférents et/ou des vésicules séminales

43
Q

principales étiologies des OATS

A

varicocèle

infectieuses

cryptorchie

génétiques

mode de vie (tabac, cannabis)

profession (pesticides, toxiques)

idiopathies : 40% des cas +++

44
Q

ttt en cas d’obstruction des canaux déférents/ et en cas d’obstruction de l’épididyme

A

1/ vasovasostomie

2/ anastomose épididymo-déférentielle

45
Q

définition, physiopathologie et diagnostic syndrome de la douleur vésicale

A

douleur pelvienne, pression ou inconfort chronique en relation avec la vessie + pollakiurie et envie mictionnelle permanente

pathogénie : déficit épithéliale, aug cellules mastocytaires, dérégulation sensitive, syndrome fonctionnel sensitive

femme ++,

miction soulage mais souvent très temporairement

ECBU stériles: mais possible hématurie ou leucocyturie

fctr déclenchant souvent retrouvé : trauma, chir, cystite, psychologique

30% associée à une autre pathologie douloureuse

inéfficacité des ttt (ATB, AINS, antalgiques, anticholinergique…)

46
Q

caractéristiques imagerie dans le syndrome de la douleur vésicale

A

cystoscopie en ambulatoire : muqueuse vésicale normale mais possibilité d’ulcère de Hunner + hypersensibilité au remplissage

cystoscopie sous AG, permet de réaliser test d’hydrodistension vésicale : capacité réduite + après vidange, visualisation de glomérulations ou pétéchies caractéristiques

47
Q

quels sont les 3 possibilités thérapeutiques d’un prolapsus génito-urinaire chez la femme

A

Ce sont les 3 possibilités thérapeutiques d’un POP :

  • Pessaire (plutôt symptomatique)
  • Promonto-fixation : permet de fixer les organes descendus au promontoire
  • Plicature de tissus naturels ou synthétiques par voie vaginale
48
Q

caractéristique fasciite nécrosante

A

Gangrène de Fournier :

  • Cellulite nécrosante des OGE et du périnée
  • Germes : anaérobies, E. Coli, Pseudomonas, Streptocoques
  • Forme secondaire à une infection locale +++
  • Diagnostic CLINIQUE
  • Evolution brutale et vive : gêne scrotale, fébricule, oedème et inflammation du périnée puis dans un 2nd temps apparition et extension des zones de nécrose, fièvre, frissons, AEG
  • Urgence MEDICO-CHIRURGICALE +++ : Triple antibiothérapie active sur les anaérobies + TTT chir avec excision-parage de tous les tissus nécrotiques tant que les lésions progressent
  • Pronostic : Mauvais avec un taux de mortalité de 30%
49
Q

principaux diagnostics différentiels torsion testiculaire

A

Les principaux diagnostics différentiels sont :

  • Torsion d’hydatide sessile de Morgani +++
  • Hernie inguino-scrotale étranglée
  • Cancer du testicule, en particulier si nécrose ou hémorragie intra-tumorale
  • Orchite ou orchi-épididymite aiguë
  • Traumatisme testiculaire
  • colique néphrétique
50
Q

caractéristiques varicocèle

A

La symptomatologie associe :

  • Douleurs à type de pesanteur, vespérales
  • Tuméfaction molle au dessus et en arrière du testicule
  • Atténuée en position couchée
  • Augmentée après épreuve de Valsalva
51
Q

quels types histologiques retrouve-t-on dans les cancers germinales

A

Les tumeurs germinales regroupent :
- Tumeurs séminomateuses = Séminomes
- Tumeurs non séminomateuses :
Choriocarcinome : hCG
Carcinome embryonnaire
Tumeur du sac vitellin
Tumeur mixte
Tératome

52
Q

caractéristiques échographies séminomes

A

Attention, la sémiologie diffère entre les séminomes et les tumeurs non séminomateuses :
Le séminome :
- Masse intratesticulaire vascularisée au Doppler
- Hypoéchogène, homogène et bien limitée

53
Q
A