MAB DSM Flashcards
Vrai ou faux
Le MAB2 est une forme atténuée de la MAB1
Faux
En raison de longues périodes passées dans un état dépressif et de l’instabilité de l’humeur qui sont associées à une altération importante du fonctionnement social et professionnel
Vrai ou faux
Pour obtenir un diagnostic de MAB1, un épisode dépressif caractérisé est requis au cours de la vie
Faux
Il n’est pas requis pour la MAB1 mais requis pour la MAB2
Toutefois, la grande majorité des personnes qui font une manie auront aussi une dépression dans leur vie
Combien des symptômes a-t-on besoin pour obtenir un diagnostic de manie?
3/7
Combien des symptômes a-t-on besoin pour obtenir un diagnostic de manie si l’humeur est seulement irritable ?
4/7
Vrai ou faux
Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur et qui dure au-delà de l’effet physiologique du traitement doit être considéré comme un diagnostic de MAB1
Vrai
Pendant un traitement antidépresseur ou sistmothérapie
Vrai ou faux
Un épisode maniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement de sismothérapie qui dure au-delà de l’effet physiologique du traitement doit être considéré comme un diagnostic de MAB1
Vrai
Vrai ou faux
Une hypomanie avec présence de symptômes psychotiques, devient, par définition, un épisode maniaque
Vrai
Vrai ou faux
L’augmentation de l’irritabilité, de la nervosité ou de l’agitation après la prise d’un antidépresseur sont des sx suffisants pour donner un diagnostic d’épisode hypomaniaque et sont indicatifs d’une diathèse bipolaire
Faux
Un épisode hypomaniaque complet qui apparaît au cours d’un traitement antidépresseur mais qui persiste et remplit les critères complets d’un épisode au-delà de l’effet physiologique doit être diagnostiqué comme un épisode hypomaniaque, mais les symptômes mentionnés ci-haut ne sont pas suffisants pour un diagnostic d’épisode hypomaniaque et ne sont pas obligatoirement indicatifs d’une diathèse bipolaire
Combien de symptômes sont nécessaires pour donner un diagnostic d’épisode dépressif caractérisé ?
5/9
Vrai ou faux
Dans le DSM-V, on recommande d’inclure des symptômes qui sont manifestement imputables à une autre affection médicale pour un diagnostic d’épisode dépressif caractérisé
Faux
Ne pas inclure des symptômes qui sont manifestement imputables à une autre affection médicale
Vrai ou faux
Pour obtenir un diagnostic de dépression chez un enfant ou un adolescent, un des deux symptômes peut être humeur irritable ou anhédonie
Vrai
tristesse peut être remplacée par irritabilité chez les enfants/adolescents
Vrai ou faux
On ne peut pas donner de diagnostic d’épisode dépressif caractérisé en réponse à une perte significative (deuil, ruines, perte au cours d’une catastrophe naturelle, maladie grave, handicap)
Faux
Cette décision fait appel au jugement clinique qui tiendra compte des antécédents de la personne et des normes culturelles de l’expression de la souffrance dans un contexte de perte
Comment distinguer le deuil et un épisode dépressif caractérisé ?
Deuil : sentiment de vide et de perte, dysphorie en diminution avec le temps qui survient par vagues associées au souvenir de la personne décédée, émotions positives et humour parfois, préservation de l’estime personnelle, préoccupation par rapport à la mort concentrée sur le défunt ou sur le fait de le rejoindre
Dépression : humeur dépressive persistante et anhédonie, rumination autocritique ou pessimiste, dévalorisation et dégoût de soi, idées suicidaires 2e dévalorisation, indignité ou incapacité de faire face à la douleur de la dépression
Trouvez l’erreur dans les spécificateurs du MAB
A. Avec détresse anxieuse
B. Avec caractéristiques mixtes
C. Avec cycle rapide
D. Avec caractéristiques mélancoliques
E. Avec caractéristiques atypiques
F. Avec caractéristiques psychotiques congruentes à l’humeur
J. Avec caractéristiques psychotiques non congruentes à l’humeur
K. Avec catatonie agitée
L. Avec début en péripartum
M. Avec caractère saisonnier
K. Avec catatonie (pas agitée)
Dans quelles circonstances peut-on considérer chez les enfants que la joie, les bêtises et les idioties sont des symptômes d’une hypomanie ?
- Symptômes récurrents, inappropriés au contexte et au-delà de ce qui est attendu pour le niveau développemental de l’enfant, ils peuvent répondre au critère A de l’hypomanie
- Jovialité inhabituelle pour un enfant et changement de l’humeur en même temps que des symptômes de critère B de la manie
- Changement d’humeur accompagnée d’une augmentation persistante d’activité ou du niveau d’énergie
Vrai ou faux
Une réduction du besoin de sommeil annonce souvent le début d’un épisode maniaque
Vrai
Qu’est-ce que la fuite des idées ?
Accélération de la parole presque ininterrompue avec des changements brusques d’un sujet à l’autre
Qu’est-ce que la distractibilité ?
Une incapacité à censurer les stimuli externes de moindre importance et empêche de tenir une conversation rationnelle ou de suivre des consignes
Vrai ou faux
Les syndromes maniaques imputables aux effets physiologiques d’un abus d’une substance (cocaïne, amphétamines) ou aux effets secondaires des médicaments (stéroïdes, L-dopa, stimulants) ou d’une pathologie médicale doivent être diagnostiqués comme un trouble bipolaire
Faux
Sauf si un épisode maniaque complet persiste au-delà des effets physiologiques attendus de l’agent inducteur (élimination physiologique du Rx ou autre)
Vrai ou faux
Il est possible d’induire un épisode maniaque suite à un traitement de luminothérapie
Vrai
Diagnostic si symptômes persistent au-delà des effets physiologiques attendus
Quel est la prévalence sur 12 mois de la MAB1?
0,6%
Quel est le ratio hommes femmes de la MAB1?
1:1
Vrai
L’âge moyen de survenue d’un premier épisode thymique de la MAB1 (dépressif ou maniaque) se situe à 25 ans
Faux
18 ans
Vrai ou faux
La MAB1 peut débuter à tous les âges de la vie
Vrai
À quoi doit-on penser lorsque des symptômes maniaques surviennent un âge moyen tardif ?
Ils doivent faire rechercher une pathologie médicale, une prise de substance au sevrage
Quelle est la proportion des sujets qui ont présenté un épisode maniaque dans leur vie qui auront des épisodes récidivants?
Plus de 90 %
Vrai ou faux
Environ 60 % des épisodes maniaques précèdent immédiatement un épisode dépressif
Vrai
Vrai ou faux
Une histoire familiale de trouble bipolaire est un des facteurs de risque les plus forts et les plus clairement établis de développer une MAB
Vrai
Vrai ou faux
La schizophrénie et les troubles bipolaires partagent des facteurs génétiques communs
Vrai
Vrai ou faux
En MAB, les hommes sont plus à risque que les femmes de développer des cycles rapides et des états mixtes
Faux
Les femmes
Vrai ou faux
En MAB, les femmes sont plus à risque que les hommes de développer des troubles du comportement alimentaires
Vrai
Vrai ou faux
En MAB, les hommes sont plus à risque de développer un trouble d’usage d’alcool que la population générale (h ou f)
Faux
Les femmes sont plus à risque de développer un TLU ROH
Vrai ou faux
En MAB, les hommes sont plus à risque de présenter des sx dépressifs que les femmes
Faux
Contraire
Vrai ou faux
Le risque suicidaire d’une personne MAB est estimé cinq fois plus élevé que dans la population générale
Faux
au moins 15 fois plus élevé que dans la population générale
Vrai ou faux
Les troubles bipolaires pourraient rendre compte d’1/4 des suicides
Vrai
Nommez 2 éléments associés à un plus grand risque de tentative de suicide ou de suicide en MAB
- ATCD de tentative de suicide
- Proportion de jours passés en dépression dans l’année passée
Vrai ou faux
La majorité des personnes souffrant d’un MAB1 retrouvent un très bon niveau de fonctionnement entre les épisodes
Vrai
Toutefois, environ 30 % présentent une altération grave dans le domaine professionnel
Vrai ou faux
Les patients MAB1 réalisent de moins bonnes performances que les sujets sains aux tests cognitifs
Vrai
Les altérations cognitives peuvent participer aux difficultés professionnelles et cognitives et peuvent persister pendant la vie entière, y compris pendant les périodes d’euthymie
Vrai ou faux
La réponse favorable à un thymorégulateur pour traiter une manie induite par une substance ou un médicament est significative d’un trouble bipolaire sous-jacent
Faux
Pas forcément
Vrai ou faux
Le syndrome métabolique et les migraines sont plus fréquents chez les patients ayant des troubles bipolaires que dans la population générale
Vrai
Vrai ou faux
Plus de la moitié des personnes MAB répondent également aux critères de TLU ROH
Vrai
Vrai ou faux
Les individus qui ont à la fois un diagnostic de MAB et TLU ROH sont plus à risque de faire des tentatives de suicide
Vrai
Vrai ou faux
L’impulsivité est une caractéristique fréquente de la MAB2
Vrai
Peut favoriser les tentatives de suicide et les troubles d’usage de substances
Mettez ces trois conditions en ordre croissant d’âge moyen de début de la maladie :
TDC
MAB1
MAB2
1- MAB1 (18 ans)
2- MAB2 (mi-trentaine)
3- TDC
Vrai ou faux
La MAB2 débute la plupart du temps par un épisode hypomaniaque
Faux
Débute la plupart du temps par un épisode dépressif et n’est pas reconnu comme une maladie bipolaire jusqu’à ce qu’un épisode hypomaniaque survienne.
12 % des sujets auront un diagnostic initial de trouble dépressif caractérisé
Vrai ou faux
Des troubles anxieux, des troubles de l’usage d’une substance ou de troubles du comportement alimentaire peuvent précéder le diagnostic de MAB2, compliquant sa détection
Vrai
Vrai ou faux
Le nombre d’épisodes thymiques est plus important au cours de la MAB1 que de la MAB2 ou le TCD
Faux
Plus d’épisodes dans la MAB2 que MAB1 ou TDC
Vrai ou faux
Les MAB1 présentent plus de sx hypomaniaques que les MAB2
Vrai
Vrai ou faux
Un patient MAB2 peut avoir des sx psychotiques lors des épisodes dépressifs
Vrai
Ils tendent à être moins fréquents au cours des épisodes dépressifs de MAB2 que de MAB1
Vrai ou faux
Environ la moitié des sujets ayant un MAB2 développent un épisode maniaque, faisant passer au diagnostic de MAB1
Faux
5 à 15%
Vrai ou faux
Une irritabilité non épisodique chez les jeunes est associée à un risque accru de présenter à l’âge adulte un trouble bipolaire
Faux
Mais associé à un risque accru de troubles anxieux et trouble dépressif
Vrai ou faux
L’évolution d’une MAB2 diagnostiquée à l’enfance ou à l’adolescence peut être plus grave que lorsque diagnostiquée à l’âge adulte
Vrai
Quelle est la proportion des sujets avec MAB2 qui rapporte des antécédents de tentative de suicide ?
Environ 1/3
Vrai ou faux
La létalité de tentative de suicide semble supérieure en MAB2 qu’en MAB1
Vrai
Vrai ou faux
Environ la moitié des sujets présentant un MAB2 continuent d’avoir des dysfonctionnements entre les épisodes
Faux
Au moins 15 % continuent d’avoir des dysfonctionnements entre les épisodes
20 % passent directement à un autre épisode thymique sans rétablissement entre les épisodes
Vrai ou faux
Environ 60 % des sujets ayant un trouble bipolaire ont au moins 3 troubles psychiatriques associées
Vrai
Vrai ou faux
Les enfants et les adolescents ayant un MAB1 ont une fréquence plus élevée des troubles anxieux associés que ceux présentant un MAB2
Faux
Contraire (MAB2 plus d’anxiété)
Vrai ou faux
Souvent à l’adolescence, les troubles anxieux précèdent les troubles bipolaires
Vrai
Vrai ou faux
En trouble bipolaire, les troubles anxieux et les troubles de l’usage de substances sont plus fréquents que dans la population générale
Vrai
Vrai ou faux
Environ la moitié des sujets ayant un MAB2 ont au moins un antécédent de troubles alimentaires au cours de la vie
Faux
14%
Environ 14 % des sujets ayant un MAB2 ont au moins un antécédent de troubles alimentaires au cours de la vie. Quel type de trouble alimentaire est le plus fréquent ?
Les accès hyperphagiques sont plus fréquents que la boulimie ou l’anorexie mentale
Vrai ou faux
Les comorbidités psychiatriques associées au trouble bipolaire ont généralement un cours évolutif indépendant des épisodes de la MAB
Faux
Ils semblent plutôt être fortement associés aux épisodes thymiques. Par exemple, l’anxiété et les troubles du comportement alimentaire tendent à être associés aux symptômes dépressifs et les troubles de l’usage d’une substance semblent plutôt associés aux symptômes maniaques
Vrai ou faux
En MAB2, l’anxiété et les troubles alimentaires tendent à être associés aux symptômes maniaques et les troubles d’usage de substances semblent associées aux symptômes dépressifs
Faux
l’anxiété et les troubles alimentaires tendent à être associé aux symptômes dépressifs et les troubles d’usage de substances semblent associées aux symptômes maniaques
Quel est le critère de temps d’un trouble cyclothymique chez les enfants et les adolescents ?
1 an
2 ans pour les adultes
Vrai ou faux
On peut garder un diagnostic de trouble cyclothymique si on a fait un épisode dépressif caractérisé
Faux
Le diagnostic devient alors trouble dépressif caractérisé et le diagnostic de trouble cyclothymique est abandonné
Vrai ou faux
Dans la population générale, la prévalence du trouble cyclothymique est plus élevée chez les femmes que chez les hommes
Faux
La prévalence semble semblable chez les hommes et les femmes, bien que les femmes ont plus tendance à consulter que les hommes
Vrai ou faux
Le trouble cyclothymique débute habituellement dans la mi trentaine
Faux
Il débute habituellement dans l’adolescence ou à l’âge adulte jeune. Il est parfois considéré comme une prédisposition tempéramentale aux autres troubles de l’humeur
Vrai ou faux
Jusqu’à 50% des personnes présentant un trouble cyclothymique risquent de développer ultérieurement un trouble bipolaire (1 ou 2)
Vrai
15 à 50 %
Vrai ou faux
Chez les enfants présentant un trouble cyclothymique, l’âge moyen de début des symptômes est de 6 ans et demi
Vrai
Vrai ou faux
Les enfants souffrant d’un trouble cyclothymique ont plus de risques que les enfants souffrants d’autres troubles mentaux d’être affectés par un TDAH
Vrai
Nommez 2 comorbidités associées au trouble cyclothymique
Trouble d’usage de substances
Troubles du sommeil
Quel est le tableau clinique initial habituel d’une manie induite par la phencyclidine ?
Il prend la forme d’un état confusionnel (délirium) avec caractéristiques thymiques qui évoluent ensuite vers un état maniaque ou mixte atypique. Cet état survient rapidement après l’ingestion ou l’inhalation de la substance en quelques heures ou quelques jours
Quelles sont les circonstances d’apparition du tableau clinique d’un état maniaque ou hypomaniaque induit par un stimulant ?
La réponse se fait en quelques minutes à une heure après une ou plusieurs ingestions ou injections
Épisode très bref et résolution en 1 à 2 jours
Vrai ou faux
Les troubles de l’humeur induits par les corticostéroïdes surviennent habituellement après plusieurs jours d’ingestion
Vrai
Vrai ou faux
Les troubles de l’humeur induits par les corticostéroïdes se présentent avec des symptômes dans une relation dose/effet
Vrai
Trouvez l’erreur dans les choix suivants qui sont des spécificateurs du trouble bipolaire ou apparenté dû à une autre affection médicale :
A. Avec caractéristiques maniaques
B. Avec catatonie
C. Avec épisode d’allure maniaque ou hypomaniaque
D. Avec caractéristiques mixtes
Tous les choix existent sauf B. Avec catatonie
Vrai ou faux
Un trouble bipolaire ou apparenté dû à une autre affection médicale peut-être diagnostiqué de façon concomitante à un délirium
Faux
On ne peut pas donner le diagnostic au cours de l’évolution d’un état confusionnel (délirium), bien que les deux pourraient survenir en même temps
Vrai ou faux
La maladie de Cushing peut induire un état maniaque ou hypomaniaque
Vrai
Vrai ou faux
La sclérose en plaques peut induire un état maniaque ou hypomaniaque
Vrai
Quelle est la différence entre un trouble bipolaire ou apparenté spécifié vs un trouble bipolaire ou apparenté non spécifié ?
Dans le cas du trouble bipolaire spécifié ou non spécifié, cela correspond à des tableaux cliniques dans lesquels des symptômes caractéristiques d’un trouble bipolaire ou apparenté sont à l’origine d’une détresse significative, mais sans répondre entièrement aux critères complets. Dans le cas du non spécifié, le clinicien décide de ne pas communiquer la raison particulière pour laquelle les critères d’un trouble bipolaire ne sont pas réunis, par exemple si on n’a pas assez d’informations pour poser un diagnostic plus spécifique (par exemple l’urgence).
Vrai ou faux
Des niveaux élevés d’anxiété en maladie bipolaire sont associés à un risque suicidaire plus élevé
Vrai
Vrai ou faux
Des niveaux élevés d’anxiété en maladie bipolaire sont associés à une durée de maladie plus longue
Vrai
Vrai ou faux
Des niveaux élevés d’anxiété en maladie bipolaire sont associés à une plus forte probabilité de non réponse au traitement
Vrai
Vrai ou faux
Les caractéristiques mixtes associées à un épisode dépressif caractérisé constituent un facteur de risque important pour le développement d’un trouble bipolaire 1 ou 2
Vrai
Combien d’épisodes thymiques doivent survenir dans une année pour correspondre aux cycles rapides ?
4
Nommer des caractéristiques atypiques d’un épisode dépressif (4)
- Prise de poids, augmentation de l’appétit
- Hypersomnie
- Membres en plomb
- Sensibilité au rejet dans les relations
Vrai ou faux
50 % des épisodes dépressifs caractérisés du post-partum débutent avant l’accouchement
Vrai
Vrai ou faux
Selon le DSM, la présence de baby blues augmente le risque de survenue d’un épisode dépressif caractérisé du post-partum
Vrai
Selon des études prospectives
Vrai ou faux
La présence de symptômes anxieux et thymiques pendant la grossesse augmente le risque de survenue d’une dépression post-partum
Vrai
Trouvez l’erreur dans les facteurs de risque suivants de psychose post-partum :
- ATCD de dépression post-partum
- ATCD de dépression
- ATCD de trouble anxieux
- ATCD de MAB
- ATCD familiaux de MAB
ATCD de trouble anxieux
Quel est le risque de récurrence de psychose post-partum pour un accouchement ultérieur suite à un premier épisode ?
30-50%
Vrai ou faux
En MAB, pour correspondre au caractère saisonnier, il faut que tous les types d’épisodes surviennent de façon saisonnière
Faux
Il faut qu’au moins un type d’épisode survienne de façon saisonnière régulièrement, les autres types d’épisodes peuvent ne pas suivre cette modalité évolutive
Vrai ou faux
Les sujets âgés présentent un risque plus élevé pour les épisodes dépressifs saisonniers hivernaux
Faux
Les sujets jeunes présentent un risque plus élevé pour les épisodes dépressifs hivernaux