UROLOGY Flashcards
Lithiase urinaire
vient du gres ‘‘lithos ‘‘:pierre
calculus (caillou )
la colique néphrétique
une douleur lombaire a début aigu ou brutal qui évolue par crises , qui irradie typiquement selon le trajet de l’uretére vers les OGE ,
c’est une douleur pour laquelle le patient ne trouve aucune position antalgique
Valeur normale de PSA :
-inférieur a 4 ng/ml
histologically the prostate is composed of 3 zones :
-Peripheral zone
-Central zone
-transitionnal zone (with age , cells get hyperplasia and it is the benign hypertrophic postate (HBP ) it is considered as a normal part of aging)
Kc de la prostate : le plus souvent c’est un adénocarcinome et il métastase le plus souvent vers ??
-Lymphophiles
-hématogéne : osseuses ++++++++++++++++ (vertébres a checker darouriii , notion de vertébre ivoire )
kc de prostate :
-faut savoir quels patients diagnostiquer ?
-comment faire le dg positif ?
-histologie et score de Gleason (savoir calculer le score de gleason est important )
-pronostic selon extension et la prise en charge adapté a chaque situation
Traumatismes Uro-génitaux :
-si suspicion de traumatisme de l’urétre (hématurie ou qq que ce soit ) ——) PAS DE SONDAGE VESICALE +++++
Bladder cancer : Tumeurs de la vessie
-Common urogenital cancer
-Common in the elderly
-Strongely associated with SMOKING
-Urothelial carcinoma= transitionnal cell carcinoma (common type of bladder cancer )
-Risk factors dor bladder cancer specially urothelioma are :
_SMOKING +++
_Exposure to certain chemicals
_Cyclophosphamide
_AGE plus 40 Yo
-Signs and symptoms : mainly painless hematuria (hématurie vésicale terminale +++++)
dysuria , urgency , urinary retention
or systemic sign of malignancy
on fait : ECBU (cellularité des urines )
gold standard : CYSTOSCOPY with biopsy of the bladder
if malignancy is cionfirmed , stage the tumor : CT scan /pet scan
staging bladder tumor into low grade and high grade : invasion or not of the detrusor muscle ( very important for the treatment )
_Muscle invasive disease has bad prognosis
_Non muscle invasive muscle : resection of the tumor ,or of the bladder
Les facteurs de risque de cancer de la vessie :
-TABAC
- cancérigénes industriels : amines aromatiques et hydrocarbures polycycliques
-Facteurs infectieux : bilharziose , et tt infection chronique car irrite la paroi vésicale de facon chronique
-Facteurs iatrogénes : cyclophosphamides , radiothérapie
-Irritation vésicale chronique : Sondage a demeure ou prolongé , lithiase vésicale
-certains facteurs génétiques : sujets acétyleurs lents et déficit en gluthation
Notes importantes dans les tumeurs de la vessie :
-Les tumeurs urothéliales : 95 % de l’ensemble des tumeurs vessie
-Certains facteurs de risques sont clairement identifiés: TABAC++
-L’hématurie doit toujours faire suspecter une tumeur de vessie
-La cystoscopie est l’examen clé du diagnostic
-La RTUV est un geste thérapeutique et diagnostique
-Le pronostic des formes superficielles dépend du stade et grade tumoral
-Leur traitement (formes superficielles) est presque toujours conservateur (RTUV+/-instillations)
-Leur surveillance (formes superficielles) doit être régulière et prolongée (risque de récidive et de progression+++)
-Le pronostic des formes infiltrantes dépend de la présence ou non de ganglions et de métastases
-Le traitement standard des formes infiltrantes non métastatique: cystectomie + dérivation urinaire
les calculs de l’acide urique se forment lorsque le PH est :
-ACIDE +++
et c’est pour ca pour les patients qui ont des calculs d’acide urique, on dit qu’on a besoin d’alcaliniser les urines ( l eau alcalinisé ) qui va aider a dissoudre les caillots et en général a ne pas former d’autres caillots
rechercher
-Calculs radio opaques ?????
-Calculs radiotransparentes ???
Indications du ttt de la lithiase urinaire :
Calculs du rein:
1-calcul<2cm:
-LEC+++
2-calcul>2cm -Chirurgie: coralliforme complet ,lithiase d’organe - NLPC+/- LEC 3-Calcul de l’uretère: -Calcul<1cm. LEC +++(+/- montée JJ) in situ/après flush. -Calcul>1cm +Urétéroscopie. Chirurgie :en cas d’échec des autres techniques.
4-La lithiase vésicale:
Cystolithotomie endoscopique+/- traitement de l’obstacle sous vésical
LEC: rarement.
CHIRURGIE OUVERTE taille vésicale (grosses lithiases).
Le premier diagnostic a évoquer devant un patient qui présente une colique néphrétique gauche fébrile :
PNA
La valeur standard de référence de PSA est :
-inf a 4ng / ml
Le cancer de prostate est :
-Androgéno-dépendant
-Se voit essentiellement chez l’homme de plus de 40 ans
-Le cancer le plus fréquent de homme
La maladie de la Peyronie :
-La maladie de La Peyronie est une fibrose de la gaine des corps caverneux responsable d’un épaississement fibreux entraînant une courbure de la verge et parfois des érections douloureuses.
chez homme de plus de 50 ans , le cancer le plus fréquent est :
-Cancer de la prostate
Le type histologique le plus fréquent du cancer de la prostate est :
-Adénocarcinome
La classification de Gleason définit :
-5 grades de différenciation cellulaire
Le score biopsique de Gleason est constitué par l’addition des grades :
Des 2 contingent les plus représentés (grade dyal contingent le plus représenté + grade le plus élevé wakha maykiunch le plus représenté )
Dépistage du cancer de la prostate se fait par :
PSA t+ TR
si anomalie au TR ou au PSA ou les 2 dik sa3at faire des biopsies écho guidées
TR évocateur du cancer de prostate :
-Nodule dur intra prostatique
-Prostate pierreuse
-Prostate a cornes
-Blindage pelvien
HBP clinique :
-signes cliniques urinaires présents
-volume prostatique >30ml
-débit max inf 15 ml /s
Vessie de lutte :
retentional bladder wall changes
Ensemble des modifications structurelles qui surviennent dans la paroi vésicale au-dessus d’un obstacle chronique : épaississement par hypertrophie du muscle et surcharge rapide et non réversible de collagène, trabéculations, cellules et colonnes, pseudodiverticules, diverticules de pulsion.
L’obstacle crée une hyperpression en amont et retentit sur les muscles vésicaux (détrusor). Les résultats de cette lutte vésicale évoluent en plusieurs stades :
1) simple hypertonie, avec une vessie ronde, de contenance réduite;
2) vessie à colonnes et à cellules, avec de nombreuses images juxtaposées d’encoches et de diverticules ;
3) vessie multidiverticulaire.
L’ensemble de ces altérations pariétales réalise un aspect radiologique et endoscopique très caractéristique, authentifiant l’obstruction chronique d’aval (p. ex par un adénome prostatique ou une maladie du col).
Les modifications pariétales des neurovessies avec atteinte centrale sont très semblables..
NB : trés intéressant , a savoir qu’il n’y a pas de parallélisme entre le volume de HBP et le degré d’obstruction ++++
C’est à dire une grosse HBP a développement postérieur entraine peu de gène fonctionnelle alors qu’ un petit lobe médian peut entrainer une obstruction majeur et précoce).
Dans le cadre d’une HBP , le bilan recommandé est :
-Urée , créat (pour estimer les conséquences rénales )
-BU / ECBU : éliminer une prostatite aigue
-Débitmétrie (pour analyser la courbe de débit urinaire qui en cas HBP va montrer des jets faibles et récurrents )
-RPM (pour établir la gravité )
TURP syndrome c’est quoi ????
-Le TURP syndrome (transurethral resection of the prostate) est la complication
grave de la résection endoscopique de la prostate, mettant en jeu le pronostic
vital
La chirurgie endoscopique prostatique, vésicale nécessite l’utilisation d’un soluté d’irrigation à base de glycocolle qui permet une bonne vision chirurgicale et un arc électrique. L’utilisation de ce soluté expose le patient à des complications graves mettant en
jeu le pronostic vital, lorsque ce soluté d’irrigation passe dans le compartiment sanguin. Le TURP syndrome (transurethral resection of the prostate), complication de la chirurgie prostatique endoscopique, est actuellement bien connu [1,2]. Il se définit comme
l’ensemble des signes cliniques et biologiques liés au passage du liquide d’irrigation à
base de glycocolle 1,5 % dans la circulation systémique.
HYPONATREMIE DE DILUTION —-) oedéme cérébral ,
mort du patient en per-operatoire
le TURP syndrome est toujours surveillé chez les patients avec des chirurgies urologiques ou mm gygy
Le cancer de la prostate est un cancer ::
-Androgéno-dépendant ++++
vertébre ivoire : en radiologie comment il est ???
En radiologie, image de condensation diffuse sans déformation du corps vertébral, qui peut s’étendre vers les pédicules et l’arc postérieur et atteindre une ou plusieurs vertèbres contigües ou non.
Tumeurs de la vessie : FDR :
- Tabac
-cancérigéne industriels (amines aromatiques et hydrocarbures polycycliques )
-facteurs infectieux ( bilharziose , infections chroniques )
-facteurs iatrogénes ( chimiothérapie , radiothérapie )
-irritation vésicale chronique (sondage prolongé ou lithiase vésicale )
-Facteurs génétiques (sujets acétyleurs lents , déficit en gluthation )
le type histologique le plus fréquent est : Urothéliome ++++ (carcinome urothéliale )
chez l’homme de plus de 50 ans, le cancer le plus fréquent est :
-Le cancer de la prostate
Le type histologique le plus fréquent du cancer de la prostate :
-Adénocarcinome de prostate
Classification de gleason définie :
-5 grades de différenciation cellulaire
Le score biopsique de gleason est constitué par l’addition des grades de :
des 2 contingents les plus représentées
(contingent de plus haut grade et le grade du contingent le plus représenté)
le score est de : 2-10
Le dépistage du cancer de prostate se fait par :
TR et le dosage de PSA total
La maladie de La Peyronie :
est une fibrose de la gaine des corps caverneux responsable d’un épaississement fibreux entraînant une courbure de la verge et parfois des érections douloureuses.
lithiase urinaire d’origine urique :
-moins fréquentes que lithiase calcique
-survient chez des patients avec augmentation d’acide urique
-est formé dans un milieu acide (PH acide )
-pour les traiter , il faut alcaliniser les urines
Devant une colique néphrétique , les 2 examens d’imagerie de premiére intention sont :
AUSP
ECHOGRAPHIE RENALE
iNDICATIONS DE TTT pour les calculs RENAUX :
- calculs <2 cm ——) LEC
-calculs >2 cm —-)chirurgie ou NLPC +ou -LEC
CALCUL DE L’URETERE :
-Calcul<1cm.
LEC +++(+/- montée JJ) in situ/après flush.
-Calcul>1cm +Urétéroscopie.
Chirurgie :en cas d’échec des autres techniques.
lithiase vesicale ttt indications :
La lithiase vésicale:
Cystolithotomie endoscopique+/- traitement de l’obstacle sous vésical
LEC: rarement.
CHIRURGIE OUVERTE taille vésicale (grosses lithiases).
le premier diagnostic a évoquer devant un patient qui présente une colique néphrétique gauche fébrile :
-Pyélonéphrite aigue gauche
La valeur standard de référence de PSA est :
<4ng/ml
Le cancer de la prostate est :
-le cancer le plus fréquent chez l’homme
-androgéno-dépendant
La confirmation dg du cancer de prostate se fait au moyen des :
-Biopsies prostatiques
L’examen de référence pour le dg et la stadification des traumatismes rénales est :
-TDM abdominale
Le ttt de référence du cancer de rein localisé est :
-Un ttt chirurgical (néphrectomie partielle ou totale )
Tuberculose urogénitale :
-grave
-dg tardif
-localisation rare mais possible de la Tuberculose
-diffusion hématogéne a travers le foyer pulmonaire ce qui explique que l’atteinte est bilatérale , mais malgré cela les lésions sont inégales d’un rein a l’autre , les lésions n’évoluent pas de maniére symétrique ++++ (gravité inégale d’un rein a l’autre )
Le ttt de la tuberculose urogénitale :
la Tb uro génitale est considérée comme une forme grave donc:
_le ttt médical : 2RHZE/ 7RH
_Le ttt chirurgical :éliminer les foyers infectieux , le rein détruit et rétablir la fonction rénale excrétrice ou la fonction génitales selon ou se localise l’atteinte
La tb uro génitale est la résultante d’une dissémination par voie :
HEMATOGENE
kc de testicule :
-Rare
-kc du sujet jeune (15-34 ans )
-FDR a penser : cryptorchidie (elle éléve le risque de cancer RR élévé )
toute tumeur testiculaire est un cancer de testicule JPC++++
cancer a dissémination lymphatique+++++++ et hématogéne
kc accessible a la palpation
Les tumeurs testiculaires sont divisés en :
-Tumeurs germinales et tumeurs non germinales
1-les tumeurs germinales : séminome et non séminomes
_tumeurs non séminomateuses : choriocarcinome , CE , Tm du sac vittelin , tératome
chaque tumeur a ses caractéristiques spécifiques en anapath mais aussi dans les marqueurs tumoraux
2-Tumeurs non germinales : lymphomes, leucémies aigues lymph
Signe de chevassu :
-masse au niveau testiculaire qui conserve le sillon épididymo testiculaire (sillon épididyme -testicule est conservé ______) plaide pour l’origine testiculaire de la masse )
devant des masses testiculaire on demande :
-echo-doppler testiculaire
TDM TAP pour bilan d’extension
+ marqueurs tumoraux (indispensables )
examen d’anapath dyal 4 eme année
NB sur les masses testiculaires
Toute masse testiculaire est un cancer du testicule Jusqu’a preuve histologique du contraire
les séminomes sont radiosensibles c’est pour cela qu’il faut faire une radiothérapie par contre les tumeurs non séminomateuses qui sont chimiosensibles ++++
La premiére étape du ttt du cancer de testicule est :
-ORCHIDECTOMIE ( a visée dg et thérapeutique )
(preuve histologique du tumeur de testicule ) va codifier la pec avec les marqueurs tumoraux en cas de tumeurs non sémino
la surveillance des tumeurs testiculaires est une surveillance A VIE +++++ ( clinique et biologique et radiologique )
parmi ces facteurs , lequel expose au cancer de testicule :
-Dysgénésie gonadique
le dg histologique du cancer de testicule se fait par :
-Orchidectomie inguinale
Classification radio-clinique AAST of renal trauma
TRAUMATISMES RENALES : l'examen a faire de premiére intention est TDM abdominale , classification AAST en 5 grades
-Grade 1 : contusion rénale simple, hématome sous capsulaire non expansif
-Grade 2 : lacération parenchymateuse rénale < 1 cm
et hématome péri rénal sans extravasation urinaire
1 et 2 formes bénignes
-Grade 3 : lacération parenchymateuse rénale >1cm
avec hématome péri rénale sans extravasation urinaire
-Grade 4 : lacération parenchymateuse rénale s’étendant a la voie excrétrice avec extravasation urinaire
lacération du bassinet ou de la jonction pyélourétrale
lésion vasculaire segmentaire
3 et 4 formes intermédiaires
-Grade 5 : lésion de l’artére ou de la veine rénale (lacération , avulsion ou thrombose ) _____) forme grave
INDICATIONS POUR LE TTT DES TRAUMA RENALES SELON LES GRADES DE AAST :
Etat hémodynamique instable
Exploration immédiate: hématome rétropéritoneal
expansif → néphrectomie d’hémostase
Etat hémodynamique stable → TDM abdominale
Grade I à III: Abstention – surveillance (Antibiothérapie,
TA, T°, couleur des urines…)
Grade IV:
- Drainage rénal/sonde JJ en cas de rupture de la VE
- Embolisation sélective ou chirurgie de re-permeabilisation
Grade V: Néphrectomie d’hémostase (souvent); Chirurgie
de revascularisation (rarement)
A la palpation , le cancer de testicule est :
-Dure et indolore
tabagisme expose au cancer de la vessie
NB
ttt médical de HBP se base sur :
-phytothérapie
-alpha bloquant
-inhibiteurs des 5 alpha réductase (bcp d’effets sexuels )
Orchidectomie :
ablation de testicule
orchidopexie
fixation du testicule avec les tissus de soutient au niveau du scrotum pour éviter une nouvelle torsion testiculaire
signe de chevassu
-signe qui prédit que la masse est au niveau testiculaire
-un signe de chevassu positif cad une conservation du sillon épididymo testiculaire cad que la lésion est au niveau testiculaire non a épididyme
réflexe crémastérien
- ascension du testicule au niveau de l’anneau inguinal suite a la stimulation tiers sup et int de la cuisse .
transillumination :
-confirme le contenu liquidien de la bourse (ex : hydrocéle )
Signe de Prehn :
-le soulèvement en haut et en avant du testicule atteint soulage le malade positif en cas d’orchiépididymite
et négatif en cas de torsion testiculaire
Examen de référence devant un traumatisme rénal est :
TDM abdominale (classer les trauma rénaux en 5 grades selon la gravité )
traitement des traumatismes rénaux :
la majorit” des trauma rénaux sont bénins :abstention / surveillance
-parfois graves (peuvent engager le pronostic vital )
Etat hémodynamique instable:
Exploration immédiate: hématome rétropéritoneal
expansif → néphrectomie d’hémostase
Etat hémodynamique stable → TDM abdominale
Grade I à III: Abstention – surveillance (Antibiothérapie,
TA, T°, couleur des urines…)
Grade IV:
- Drainage rénal/sonde JJ en cas de rupture de la VE
- Embolisation sélective ou chirurgie de re-permeabilisation
Grade V: Néphrectomie d’hémostase (souvent); Chirurgie
de revascularisation (rarement)
Examen de référence pour le diagnostic et la stadification des traumatismes rénaux est :
TDM abdominal
le premier examen a évoquer devant un patient qui présente une colique néphrétique gauche fébrile est :
PNA
Le cancer de prostate est :
-androgéno dépendant
-le cancer le plus fréquent chez l’homme
Triade du cancer du rein :
-hématurie
-lombalgies
-masse lombaire abdominale
l’examen d’imagerie de réference dans le cancer du rein est :
TDM
Dans la lithiase urinaire :
-une anomalie métabolique telle que l’hyperuricémie est un FDR
-le climat chaud est un FDR
-
concernant les tumeurs de vessie :
-l’hématurie est le maitre symptome
-c’est une hématurie urologique =caillotante
-hématurie terminale
-hématurie peut etre totale si abondante
les carcinogénes vésicaux sont :
-tabac
-amines aromatiques
-cyclosporine
facteurs de risque du cancer du rein :
-HTA
-Tabagisme
-obésité
-diabéte
-dialyse
-transplantés rénaux
Devant une colique néphrétique , demandez :
-échographie rénale
-AUSP
(bilan étiologique )
la plupart des cancers de prostate se localisent au niveau de
LA ZONE PERIPHERIQUE
Colique néphrétique hyperalgique:
c’est la persistance ou la répétition de crises douloureuses malgré un ttt antalgique bien conduit .
-la douleur de la colique néphrétique n’est pas proportionnelle a la taille du calcul
-elle justifie une indication de drainage de la voie excrétrice a but antalgique
La premiére étape du ttt du cancer de testicule est ::
-orchidectomie
Différence entre colique néphrétique simple et colique néphrétique compliquée ????
- Colique néphrétique simple :
- douleur typique chez un patient sans comorbidité significative, afébrile, avec
diurèse conservée et fonction rénale normale. - Colique néphrétique compliquée :
- oligo-anurie
- insuffisance rénale aiguë
- état fébrile ou sepsis
- colique néphrétique bilatérale
- échec du traitement antalgique
- Colique néphrétique chez patient à risque particulier :
- grossesse
- insuffisance rénale, rein unique ou greffon rénal
- patient immunosupprimé
- anomalie anatomique urologique connue