M4S2 Diabète T2 Flashcards

• Savoir adapter l’alimentation d’un diabétique de type 2

1
Q

Qu’est ce que le diabète sucré ?

A

Il est défini par l’élévation chronique de la concentration de glucose dans le sang (hyperglycémie) et regroupe plusieurs maladies de pathogénie différente (trouble de la sécrétion et/ou de l’action de l’insuline).

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Q

Quels sont les critères de définition du diabète selon l’OMS ?

A

Selon les critères proposés par l’OMS, le diabète est défini par :

  • une glycémie supérieure à 1,26 g/L (7,0 mmol/L) après un jeûne de 8 heures et vérifiée à deux reprises ;
  • ou la présence de symptômes de diabète (polyurie, polydipsie, amaigrissement) associée à une glycémie (sur plasma veineux) supérieure à 2 g/L (11,1 mmol/L) ;
  • ou une glycémie (sur plasma veineux) supérieure à 2 g/L (11,1 mmol/L), deux heures après une charge orale de 75 g de glucose.
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3
Q

Epidémiologie du diabète de type 2 :

A

Selon Santé Publique France, le diabète de type 2 concerne 90 % des Français traités pour diabète en 2020.

Il commence en général après 40 ans, et il est le plus souvent associé à un surpoids, à une répartition abdominale des graisses et à une forte hérédité familiale, de type polygénique.

Malheureusement, avec la progression de l’obésité, il apparaît de plus en plus chez les sujets jeunes, notamment les adolescents obèses.

La prise en charge nutritionnelle est alors indispensable afin de normaliser la glycémie et ainsi éviter l’apparition des complications.

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4
Q

Quel est le traitement de première intention ?

A

En 2013, l’HAS et l’ANSM préconisent la mise en place de mesures hygiéno-diététiques ainsi que la pratique d’une activité physique régulière avant la mise en place d’un traitement médicamenteux.

Il a été démontré que la perte de poids associée à une activité physique régulière permettait d’améliorer les constantes biologiques et notamment la glycémie.

Le choix de l’objectif glycémique est fixé avec chaque patient en fonction de son état de santé : pathologies associées (maladies cardio-vasculaires antérieures, pathologies rénales, âge, grossesse…).

C’est seulement si les objectifs glycémiques ne sont pas atteints que le ou les traitements seront mis en place.

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5
Q

Où et comment peut se faire la prise en charge ?

A

Dans chaque région, il existe des réseaux de prise en charge des diabétiques de type 2, financés par l’URCAM.

Ces réseaux permettent à tous les patients diabétiques, issus de tout milieu social, de tout âge, d’avoir un suivi régulier chez un diététicien, par exemple.

De plus en plus, ces réseaux se sont élargis aux autres pathologies cardio-vasculaires.

Sont organisées également, dans la plupart de ces réseaux, des séances d’éducation thérapeutique (ETP).

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6
Q

Qu’est ce que l’ETP ?

A

L’éducation thérapeutique du patient (ETP) est un processus global qui permet, entre autres, d’aider le patient à changer de comportement alimentaire.

C’est un processus organisé, intégré aux soins, centré sur le patient et ce qu’il ressent. Elle a pour but d’améliorer la qualité de vie du patient et le rendre autonome vis‑à‑vis de son traitement et de son alimentation.

Il s’agit de réunions par petits groupes de 10‑15 personnes autour d’un thème.

L’ETP doit prendre en compte les besoins et l’intentionnalité du patient, mais aussi son état émotionnel, son estime de soi et son histoire personnelle.

Elle va permettre également de corriger les erreurs alimentaires et d’apprendre au patient les principes de l’équilibre alimentaire.

Elle consiste à expliquer au patient et à son entourage les différents groupes d’aliments, et surtout d’insister sur l’importance de consommer de manière régulière des aliments à index glycémique bas.

Il ne faut pas non plus oublier d’insister sur l’importance de l’activité physique.

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7
Q

Quelles sont les complications du diabète de type 2 ?

A

En l’absence de traitement,
il peut provoquer des complications cardiovasculaires :

  • micro-angiopathies (la rétinopathie, la néphropathie, etc.) ;
  • macro-angiopathies diabétiques (telles que l’infarctus du myocarde, l’AVC).
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8
Q

Comment amélioré la compliance des patients aux recommandations ?

A

Pourtant, 80 % des diabétiques de type 2 ne suivent pas les recommandations diététiques.

L’HAS recommande ainsi d’élaborer, pour chaque patient, un plan de soin diététique personnalisé s’inscrivant dans la démarche de soin diététique. (Source HAS et ADLF)

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9
Q

Que doit obligatoirement comprendre le bilan selon la démarche de soin diététique ?

A

Un recueil de données personnelles et médicales :

  • données anthropométriques (poids, taille, variation pondérale, etc.) ;
  • niveau d’activité physique, niveau de sédentarité ;
  • état physiologique du patient (âge, grossesse, ménopause, etc.) ;
  • principaux marqueurs de l’équilibre du diabète (HbA1c) et d’autres facteurs (bilans lipidique et rénal, tension artérielle) ;
  • traitements ;
  • présence ou non de complications ou d’une dénutrition ;
  • facteurs environnementaux, moyens financiers, rythme de vie (horaires des repas, temps consacré aux repas, etc.) ;
  • évaluation des consommations alimentaires habituelles (rappel des 24 heures, fréquence des consommations notamment pour les aliments lipidiques, les sucres ajoutés, la consommation de boissons sucrées, alcoolisées…).
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10
Q

Que doit permettre l’entretien individuel ?

A

L’entretien individuel doit permettre de mettre en avant les ressources et les freins du patient en lien avec son environnement personnel.

Il est invité à exprimer ce qu’il pense de son alimentation, et surtout ses attentes.

Cet entretien sera aussi l’occasion de déceler certaines croyances alimentaires erronées, ou restrictions qui peuvent faire suite à différents « régimes » précédemment effectués.

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11
Q

Quel trame devra suivre le diagnostique diététique selon l’AFDN :

A

Excès (ou manque) d’un ou de plusieurs aliments/boissons (ou macro ou micronutriments) par rapport aux besoins réels (ou estimés),

en lien avec des capacités limitées pour l’organisation et la préparation des repas (ou des problèmes de connaissances, d’attitudes, de croyances, d’accès à la nourriture, de handicap socio‑économique ou psychosocial, etc.)

comme en témoigne la modification des valeurs biologiques de marqueurs nutritionnels ou prévention d’un risque nutritionnel.

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12
Q

Quels seront les objectifs de prise en charge ?

A
  • diminuer la prise énergétique de façon à faire retrouver au patient un poids souhaitable si le patient a un IMC >25 ;
  • contrôler la consommation de lipides (surtout AGS) afin de prévenir les risques cardio‑vasculaires et de saccharose et fructose pour diminuer l’HbA1c ;
  • augmenter la consommation de fibres (donc de fruits et légumes) pour leur effet hypoglycémiant ;
  • éduquer le patient à une meilleure hygiène de vie (séances d’ETP)
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13
Q

Quels sont les 4 étapes de l’éducation thérapeutique patient ?

A
  1. Élaborer un diagnostic éducatif
  2. Définir un programme personnalisé d’ETP avec des priorités d’apprentissage
  3. Planifier et mettre en œuvre les séances d’ETP individuelle ou collective ou en alternance
  4. Réaliser une évaluation des compétences acquises, du déroulement du programme
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14
Q

Que permet le diagnostic éducatif ?

A

Connaître le patient, identifier ses besoins, ses attentes et sa réceptivité à la proposition de l’ETP.

Appréhender les différents aspects de la vie et de la personnalité du patient, évaluer ses potentialités, prendre en compte ses demandes et son projet.

Appréhender la manière de réagir du patient à sa situation et ses ressources personnelles, sociales, environnementales.
Identifier avec le patient les objectifs éducatifs.

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15
Q

Comment est définit le programme personnalisé d’ETP ?

A

Formuler avec le patient les compétences à acquérir au regard de son projet et de la stratégie thérapeutique.

Négocier avec lui les compétences, afin de planifier un programme individuel.

Les communiquer sans équivoque au patient et aux professionnels de santé impliqués dans la mise en œuvre et le suivi du patient.

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16
Q

Qu’évalue t-on en fin de programme d’ETP ?

A

Faire le point avec le patient sur ce qu’il sait, ce qu’il a compris, ce qu’il sait faire et appliquer, ce qu’il lui reste éventuellement à acquérir, la manière dont il s’adapte à ce qui lui arrive.

Proposer au patient une nouvelle offre d’ETP qui tient compte des données de cette évaluation et des données du suivi de la maladie chronique.

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17
Q

Que peut on recommander au patient en dehors des conseils diététiques ?

A

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) souligne l’intérêt de l’entraide de patient à patient (peer to peer) dans la prise en charge du diabète, la qualifiant « d’approche prometteuse » (WHO, 2007).

C’est pourquoi il est recommandé de conseiller les patients de se rapprocher des associations de diabétiques qui proposent ces ETP.

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18
Q

Comment estime t-on l’apport énergétique chez un patient atteint de diabète de type 2 ?

A

L’apport énergétique sera déterminé selon le besoin du patient (en cas d’équilibre staturo‑pondéral), selon l’objectif pondéral, mais aussi selon ses ingesta spontanés.

Une perte de poids modérée de l’ordre de 5 à 10 % du poids initial permet d’obtenir un effet bénéfique sur la glycémie et l’HbA1c (cf. HAS 2014) mais ne sera indiquée que pour des patients en situation d’obésité (cf HAS 2009).

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19
Q

Quels devrait être l’apport quantitatif en protéine chez un patient diabétique ?

A

L’apport en protéines sera légèrement augmenté de façon à favoriser la perte de masse grasse, mais préserver la masse maigre.

Attention toutefois à ne pas surcharger le travail des reins (on parle de « néphroprotection ») car l’une des complications majeures du diabète est l’insuffisance rénale.

Le besoin sera ainsi situé de 10 à 20 % de l’AET avec des apports satisfaisants entre 0,83 à 2,2 g/kg/jour.

(On utilisera 12 % de l’AET pour les patients à dépense énergétique faible avec un NAP < 1,5) de manière à maintenir le besoin d’entretien avec synthèse de protéines de structures cellulaires, d’hormones, d’enzymes et d’anticorps.

20
Q

Quels devrait être l’apport qualitatif en protéine chez un patient diabétique ?

A

Privilégier les protéines de bonnes VB (PA/PV > 1).

Chez la personne âgée diabétique, l’apport en protéines devra représenter 15 à 20 % de l’AET de façon à pallier les dégradations et préserver une masse maigre.

21
Q

Quels devrait être l’apport quantitatif en lipides chez un patient diabétique ? Pourquoi ?

A

L’apport en lipides sera situé entre 35 et 40 % de l’AET.

Même en cas de syndrome plurimétabolique (obésité, dyslipidémie, hyperuricémie, etc.), une baisse des lipides en dessous de 35 % de l’AET n’aurait aucun effet bénéfique.

Les lipides assurent un rôle de stockage d’énergie avec les triglycérides présents dans le tissu adipeux, mais aussi un rôle structural grâce aux phospholipides qui entrent dans la composition des membranes cellulaires et assurent leur fluidité.

22
Q

Quels AG sont à privilégier chez un patient diabétique ?

A

Attention à limiter les AGS qui augmenteraient l’insulino‑résistance.

Vous veillerez à équilibrer l’apport en acides gras indispensables et non indispensables, conformément aux recommandations de l’ANSES.

La consommation de fromages, charcuteries, graisses d’origine animale, etc.
riches en AGS sera à limiter de façon à prévenir l’athérosclérose, complication majeure du diabète.

À l’inverse, les graisses d’origine végétale, type huile d’olive, huile de colza… et les poissons gras, riches en AGI, seront à privilégier.

Aucune restriction en cholestérol alimentaire n’est à prévoir car il n’aurait que peu d’impact sur la cholestérolémie.

23
Q

Quels sont les apports recommandés en acides gras pour un adulte pour prévenir du risque vasculaire ?

A

AG indispensables

Acide linoléique : 5 %

Acide α‑linolénique : 1 %

Acide docosahexaénoïque (DHA) : 500 à 750 mg

AG non indispensables

Acide eicosapentaénoïque (EPA) : 250 mg

Acides laurique + myristique + palmitique ≤ 8 %

Acides gras saturés totaux ≤ 12 %

Acide oléique ≤ 20 %

24
Q

Quels sont les apports recommandés en acides gras pour un adulte présentant un syndrome métabolique ?

A

AG indispensables

Acide linoléique : 2 %

Acide α‑linolénique : 0.8 %

Acide docosahexaénoïque (DHA) : 500 mg

AG non indispensables

Acide eicosapentaénoïque (EPA) : 500 mg

Acides laurique + myristique + palmitique ≤ 8 %

Acides gras saturés totaux ≤ 12 %

Acide oléique ≤ 20 %

25
Q

Quels sont les apports recommandés en acides gras pour un adulte (ANC) ?

A

AG indispensables

Acide linoléique : 4 %

Acide α‑linolénique : 1 %

Acide docosahexaénoïque (DHA) : 250 mg

AG non indispensables

Acide eicosapentaénoïque (EPA) : 250 mg

Acides laurique + myristique + palmitique ≤ 8 %

Acides gras saturés totaux ≤ 12 %

Acide oléique 15-20 %

26
Q

Quels devrait être l’apport quantitatif en glucide chez un patient diabétique ?

A

Bien souvent, l’apport en glucides représente le complément de la ration, soit 50 à 55 % de l’AET.

Dans certains cas, une prescription médicale sera fixée.

Les protéines représenteront alors le complément énergétique de la ration.

Les glucides simples, quant à eux, sont à limiter à 100 g/j maximum (hors lactose et galactose). Ces produits sucrés pourront être limités.

L’alimentation doit avoir la meilleure densité nutritionnelle possible et donc les produits sucrés n’ont pas leur place dans ce type d’alimentation mais ils peuvent, en quantité adaptée, limiter ou éviter les frustrations.

27
Q

Quels seront les aliments à privilégier ? Dans quels piège ne doit on pas tomber ?

A

La consommation d’aliments à index glycémique (IG) faible permet un meilleur contrôle métabolique chez les personnes diabétiques de type 2.

Cependant, l’IG étant variable d’un patient à l’autre, il ne paraît pas utile de proposer une classification des aliments selon l’index glycémique, pouvant aboutir à de nouveaux interdits.

Toutes les céréales et assimilés, les féculents peu ou pas gras, les légumes secs sont à favoriser en préférant les aliments sous forme complète.

28
Q

Quels sont les deux rôles capitaux que jouent les fibres chez les diabétiques ?

A
  • elles ont un effet sur la satiété en augmentant la sensation de plénitude en fin de repas et en ralentissant la vidange gastrique ;
  • elles ont un rôle hypoglycémiant ;
  • elles ont également un rôle hypocholestérolémiant et hypotriglycéridémiant.
29
Q

Quels sont les apports recommandé en fibres ?

A

En pratique, il faudra favoriser la consommation de fruits, de légumes et de céréales complètes, pour permettre d’assurer un apport minimal de 30 g, quantité nécessaire pour maintenir un fonctionnement intestinal normal.

Des apports supérieurs à 25 g seraient bénéfiques pour le maintien du poids et la diminution du risque cardiaque et du diabète de type 2.

Ceci s’explique sans doute par le rôle rassasiant et hypocholestérolémiant des fibres.

30
Q

Quels sont les produits laitiers autorisés ?

A

Lait ½ écrémé,
lait écrémé,
yaourts nature,
fromages blancs 0 et 20 % de matière grasse,
fromage (< 45% de matières grasses) en quantité contrôlée.

31
Q

Quels sont les produits laitiers déconseillés ?

A

Lait entier (riche en lipides),
yaourts aromatisés ou aux fruits (riches en saccharose),
lait concentré sucré (saccharose),
fromages > 45 % de matière grasse (AGS, cholestérol).

32
Q

Quels sont les VPO déconseillés ?

A

Viandes grasses (mouton),
viandes marinées,
en sauce, charcuteries (AGS, cholestérol).

33
Q

Quels sont les féculents autorisés ?

A

Pâtes,
riz,
semoule,
complets ou non, pommes de terre,
pain blanc ou complet, etc.

34
Q

Quels sont les VPO autorisés ?

A

Viandes maigres (volaille, bœuf 1re catégorie, veau),
poissons maigres et gras,
œufs entiers cuits sans matière grasse,
jambon blanc dégraissé découenné,
crustacés,
coquillages.

35
Q

Quels sont les fruits et légumes déconseillés ?

A

Fruits au sirop,
compotes sucrées,
fruits confits (saccharose).

36
Q

Quelles sont les boissons autorisés ?

A

Eau plate et gazeuse : minérale, de source, du robinet

37
Q

Quelles sont les MG autorisées ?

A

Beurre cru,
margarine,
huiles.

38
Q

Quels sont les produits sucrés déconseillés ?

A

Sucre,
confiture,
miel,
bonbons,
crèmes glacées,
pâtisseries,
biscuits,
à limiter.

Attention aux produits spécifiques pour diabétiques à base de fructose : ils ont des propriétés lipogènes susceptibles d’induire une athérosclérose.

39
Q

Quels sont les féculents déconseillés ?

A

Frites (lipides),
biscuits apéritifs (lipides).

40
Q

Quels sont les légumes secs autorisés ?

A

Tous

41
Q

Quels sont les fruits et légumes autorisés ?

A

Tous les légumes.
Tous les fruits frais, compotes sans sucres ajoutés, fruits à coque.

42
Q

Quelles sont les boissons déconseillées ?

A

Soda,
sirop,
eau aromatisée, (saccharose) alcool en excès,
jus de fruits.

43
Q

Quelles sont les MG autorisées ?

A

Saindoux,
lard,
graisse d’oie,
graisse de canard, etc.
Sauces du commerce,
mayonnaise (AGS, cholestérol).

44
Q

Quels sont les produits sucrés autorisés ?

A

Les sucres et produits sucrés peuvent être autorisés mais en quantité contrôlée et en fin de repas.

Édulcorants de synthèse (à discuter avec le patient), biscuits et pâtisseries maison « sans sucre » ou peu sucrés, entremets « sans sucre » ou peu sucrés.

45
Q

Quels sont les aromates et épices autorisés ?

A

Sel, poivre, herbes aromatiques, épices, moutarde, coulis de tomates

46
Q

Quels sont les aromates et épices déconseillés ?

A

Ketchup (saccharose), sauces cuisinées (saccharose et lipides)