Cancers Professionnels Flashcards

1
Q

Quel examen paraclinique doit être effectué dans le cadre d’une surveillance pour exposition chez les travailleurs entièrement exposés aux poussières de bois d’après les recommandations labellisées par la haute autorité de santé ?

A

➢ Nasofibroscopie

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2
Q

Citez 3 étiologies professionnelles du cancer broncho-pulmonaire qui font l’objet d’un tableau de maladies professionnelles du Régime Général ?

A

1-) Amiante (100% des mésothéliomes pleuraux, 7% des CBP)
2-) Silice
3-) Tabac (facteur adjuvant)
4-) Arsenic
5-) Béryllium
6-) Radon
7-) Pollution atmosphérique : gaz (NO2 SO2 O3), particules fines (véhicule diésel++)
8-) Cadmium
9-) Chrome
10-) Diésel
11-) Nickel
12-) HAP

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3
Q

Quel examen paraclinique doit être effectué dans le cadre d’une surveillance pour exposition chez des travailleurs entièrement exposés à la MOCA d’après les recommandations labellisée par la haute autorité de santé ?

A

Cette substance est classée en catégorie 2 de la Réglementation européenne (devant être assimilée à un cancérogène chez l’homme) et 2A par le CIRC (cancérogène probable).

Examens complémentaires : selon les recommandations de bonnes pratiques publiées par la Société française de médecine du travail, une surveillance
médicale est recommandée pour les salariés exposés au moins un an à la MOCA. Cette surveillance par cytologie urinaire doit être effectuée 20 ans après le
début de l’exposition et ensuite tous les 6 mois.

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4
Q

Agents cancérogènes certains (IARC groupe 1) avec excès de CBP

A
  • Amiante +++
  • Arsenic (et composés à base d’arsenic)
  • Béryllium (et composés à base de béryllium)
  • Bis(chlorométhyl)éther (BCME) et Chlorométhyl méthyl éther (CMME)
  • Cadmium (et composés à base de cadmium)
  • Dérivés du chrome hexavalent
  • Goudron de houille, brais de houille, suies, gazéification du charbon, production de coke, fonderie de fer et d’acier → hydrocarbures aromatiques polycycliques
  • Certains dérivés du nickel
  • Plutonium-239, radon-222 et produits de filiation (mine de fer)
  • Silice cristalline
  • carbure de tungstène-cobalt
  • Profession de peintre
  • Travaux au fond des mines de Fer
  • Tabagisme passif
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5
Q

Statistique SUMER et récentes sur le CP

A

12000 nouveau cas / ans de CP
3.6 % est imputable aux exposition professionnelle
1/10 travailleurs exposés au CMR

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6
Q

Fraction attribuable aux CP du Poumon et du nasopharynx

A

Chez l’homme, elle est estimée à 19 % pour le poumon ou le nasopharynx

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7
Q

Fraction attribuable aux Mésothéliome

A

83 % pour le mésothéliome

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8
Q

Vessie Fraction attribuable du CP

A

3 % pour la vessie

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9
Q

Les arguments en faveur de la cause « amiante » d’un cancer bronchique sont

A
  • métier exposant (penser aux métiers antérieurs, au début de carrière) ;
  • association (inconstante) à un syndrome interstitiel (asbestose) ou à des plaques pleurales sur la TDM (ou histologiquement à l’intervention) ;
  • analyse minéralogique dans le liquide de LBA ou du poumon (voire de l’expectoration) montrant une charge élevée en corps asbestosiques.
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10
Q

Surveillances post-exposition et post-professionnelle « amiante »

A

Cette surveillance est destinée à dépister les pathologies bénignes liées à l’amiante chez les sujets ayant été exposés à l’amiante (recommandation labellisée par la Haute Autorité de santé) et repose sur l’examen tomodensitométrique thoracique sans injection.

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11
Q

Les principales étiologies professionnelles du Cancer de la Vessie

A
  • certaines amines aromatiques (utilisées pour la synthèse de colorants) ;
  • les hydrocarbures aromatiques polycycliques (dérivés des goudrons de houille ou du pétrole).
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12
Q

Leucémies aiguës
Les principales étiologies professionnelles sont

A
  • benzène (présent dans le pétrole, l’essence) ;
  • radiations ionisantes (milieu médical, radiographie industrielle).
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13
Q

Tumeurs malignes cutanées (épithéliomas cutanés)
Les principales étiologies professionnelles sont :

A
  • radiations ionisantes (milieu médical, radiographie industrielle) ;
  • HAP dérivés du charbon ou de la houille (goudrons de houille, suies de combustion) ou du pétrole ;
  • Arsenic.
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14
Q

Cancers nasosinusiens
Les principales étiologies professionnelles sont

A

les poussières de bois (menuisiers, ébénistes) et certains dérivés du chrome (chrome hexavalent).

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15
Q

G: Cancer du nasopharynx
La principale étiologie professionnelle est

A

l’exposition au formaldéhyde (formol).

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16
Q
A
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17
Q

Les professions les plus exposées ont été (circonstances d’exposition):

A
  • les calorifugeurs, soudeurs, plombiers, chauffagistes, ouvriers non qualifiés du gros œuvre du bâtiment et ouvriers qualifiés de la maintenance en électricité et en électronique ;
  • industries avec d’importantes sources de chaleur (verrerie, sidérurgie) ;
  • chantiers de réparation navale.
18
Q

Amine aromatique circonstances d’exposition

A

Les amines aromatiques sont des intermédiaires de synthèse largement utilisés dans l’industrie chimique (notamment l’industrie des colorants mais également comme accélérateurs et antioxydants dans l’industrie du caoutchouc). Seules certaines d’entre elles sont cancérogènes et elles ont été peu à peu supprimées.

19
Q

Arsenic ; circonstances d’exposition

A

Métallurgie (raffinage des métaux), en fonderie (pour durcir le cuivre, le plomb ou l’or),
Verrerie ou dans l’industrie des colorants.
Il est entré également dans la composition d’insecticides.

20
Q

Benzène, circonstance d’exposition

A

Le benzène est un des composés du pétrole et est présent dans l’essence en grande quantité (jusqu’à 5 % dans les années 1990).
Les expositions se rencontrent donc en raffinage, en pétrochimie mais également chez ceux qui manipulent des carburants automobiles (pompistes, transporteurs).

21
Q

L’exposition au chrome

A

se rencontre dans la métallurgie du chrome et
dans le traitement de surface (dépôt par électrolyse d’une couche de chrome pour l’acier inoxydable).

22
Q

Le formaldéhyde (formol)

A

est encore largement utilisé en anatomopathologie, et à un degré moindre comme désinfectant de locaux en milieu de soins.

Le formaldéhyde est également utilisé dans la fabrication de certaines résines (industrie du bois, du papier, de la construction, etc.).

23
Q

Les hydrocarbures aromatiques polycycliques

A

sont des mélanges de composés à deux ou plus noyaux benzéniques. On les rencontre dans l’industrie du pétrole ou de la houille, dans les bitumes (application pour la confection de routes ou de revêtements de toitures), mais également dans les fumées de diesel et dans certaines peintures pour étanchéifier (sur des canalisations ou sous les véhicules).

24
Q

Les radiations ionisantes

A

sont utilisées en milieu de soins (radiographie, radiothérapie)
Mais également en milieu industriel (radiographies pour le contrôle des soudures).
On les rencontre aussi en centrale nucléaire (irradiation externe, contamination).

25
Q

SILICE Circonstances d’apparition

A

Depuis l’arrêt de l’activité minière en France, l’exposition à la silice se rencontre principalement dans les carrières (granit, mais pas seulement), le bâtiment (préparation du béton, découpage de bordures), la fabrication des tuiles et de la céramique (sanitaires, carrelages) ainsi qu’en fonderie.

26
Q

Larynx et ovaire nouveautés

A

Désormais, en sus des cancers bronchopulmonaires et des mésothéliomes, les cancers du larynx et de l’ovaire provoqués par l’inhalation de poussières d’amiante sont inscrits au tableau des maladies professionnelles 1 ( décret n° 2023-946 du 14 octobre 2023 2)

27
Q

Polychlorobiphényl

A

Cnacer colorectale, voies biliaire et pancréas !

28
Q
A
29
Q

CANCERS DE LA VESSIE PROFESSIONNELS - ARRÉTÉ DU 5 AVRIL 1985

A

Mise en surveillance médicale spéciale
Recherche de facteur pouvant accroître la sensibilité individuelle aux substances urotoxiques.

Fréquence des examens à l’appréciation du médecin du travail :

  • Bandelettes urinaires, cytologie urinaire
  • NFS, méthémoglobinémie
  • Mesure des enzymes hépatiques (SGOT, SGPT)
  • Pour l’exposition à certaines amines aromatiques, recherche dans les urines des dérivés aminés libres
30
Q

LE SUIVI POST-PROFESSIONNEL DES SALARIES EXPOSÉS AUX AMINES AROMATIQUES

A

Les modalités du suivi des personnes exposées aux amines aromatiques, figurant dans le tableau de maladie professionnelle n° 15terdu régime général de la Sécurité Sociale, sont précisées par l’Arrêté du 28/02/1995. Il fixe les modalités de cette surveillance en période d’activité (avec exposition potentielle). Ce suivi obligatoire, associe, tous les 2 ans :

Un examen clinique,

Un examen d’urines avec une biologie urinaire (bandelettes urinaires et cytologie urinaire).

31
Q

Les dispositions relatives aux agents chimiques dangereux (articles R. 4412-1 et suivants du code du travail) sont applicables.

A

Elles prévoient notamment:

une évaluation des risques liés aux produits utilisés et aux procédés de travail;

la substitution par des agents chimiques moins dangereux quand c’est possible;

la réduction au minimum du nombre de travailleurs exposés, de la durée de l’exposition et de la quantité d’agents chimiques dangereux présents sur le lieu de travail;

la mise en place en priorité de mesures de protection collectives telles que la captation des vapeurs toxiques au plus près de la source d’émission, et si nécessaire le port d’équipements de protection individuelle;

des mesures d’hygiène et des procédures de travail appropriées;

la vérification des installations et appareils de protection collective;

le contrôle de l’exposition et notamment des valeurs limites d’exposition professionnelle (il existe actuellement une valeur moyenne d’exposition (VLEP 8 heures) indicative non réglementaire de 335 mg/m3);

l’information et la formation des travailleurs sur les risques;

une surveillance médicale et la constitution d’un dossier médical en santé au travail.

32
Q

Le perchloréthylène

A

Le perchloréthylène ou tétrachloroéthylène (ou PCE) est un solvant. Ce composé organique volatil (COV) est surtout utilisé pour le nettoyage à sec de tissus et pour dégraisser des métaux. Il s’évapore facilement dans l’air et a une odeur âcre.

Le perchloréthylène est visé dans un tableau de maladies professionnelles (article L 461-1 al 2 du code de la sécurité sociale) en raison des effets sur la santé. Il s’agit du tableau 12 du régime général.

33
Q

Tumeurs de vessie et étiologies professionnelles

A

3 principales familles de substances chimiques incriminées:

• Certains hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) (benzo(a)pyrène, brais de houille, goudrons de houille, suies,…)

• Certaines amines aromatiques (benzidine et dérivés, 4-aminobiphenyle, B-naphtylamine, 2-méthylaniline-ortho-toluidine. Les dérivés cancérogènes certains du CIRC= interdits en France depuis 1989)

• Certaines nitrosamines (aucune classée cancérogène certain pour l’homme. Molécules rencontrées dans industrie du caoutchouc, industries productrices ou utilisatrices de certains fluides de coupe, industrie du tannage du cuir, industries de conservation et de transformation des poissons/fabrication de farines de poisson, Industrie de salaisons et de fumage de viandes, industrie des colorants azoïques, fonderies: procédé Ashland, Carburant de fusée)

Arsenic (certains pesticides, certaines chimiothérapies)

34
Q

Principaux secteurs d’activité à risque de cancer de vessie
Situations avec exposition à des hydrocarbures aromatiques polycycliques)

A

Production d’aluminium (procédé Söderberg ++)(avant 1989)

Fonderies de fer ou d’acier

Exposition aux suies de combustion du charbon

Production de gaz de charbon (avant 1970)

Travaux d’étanchéité des toitures

Fumées d’échappement de moteurs diesel

Usinage des métaux exposant aux huiles de coupe

Construction de moyens de transport et réparation auto

Autres secteurs Nettoyage à sec / Viticulteurs (avant 2001)

35
Q

Principaux secteurs d’activité à risque de cancer de vessie
Situations avec exposition à des amines aromatiques

A

Industrie du caoutchouc (avant 1989)

Manufacture de colorants (pour fabrication d’encres, peintures, vernis…)(avant 1990)

Industrie textile (teinture, tissage) (avant 1970 pour teinture, 2003 pour tissage)

Industrie du cuir et du tannage (avant 1990)

Plasturgie (si exposition à la MBOCA= 4,4’-méthylène bis 2 chloroaniline)

Production de pesticides à base de 4-chloro-orthotoluidine (avant 1986)

Coiffeurs (avant 1980)

Imprimerie (avant 1970)

Peintres (peintures anti-corrosion, avant 1980)

36
Q

Tumeurs naso-sinusiennes et étiologies professionnelles

A

• Poussières de bois

Epidémiologie: estimation d’environ 500 000 travailleurs exposés au bois (300 000 effectifs actifs, 200 000 retraités); 200 cas/an cancers de l’ethmoide

Type histologique: adénocarcinome +++

Type de bois? risque maximal dans l’industrie du meuble (bois durs et exotiques), mais pas de démonstration de l’innocuité des bois tendres

Age moyen: 60 ans environ. 90% ont 50 ans et plus

Relation dose-effet et durée d’exposition-effet (mais cancer possible pour des durées courtes)

Latence (début exposition -> tumeur): en moyenne 40 ans

Tumeur d’évolution lente a priori au début (mauvaise connaissance de l’histoire naturelle)

• Certains composés du nickel

Raffinage du nickel

• Certains dérivés du chrome Fabrication, conditionnement de chromates

• Formaldéhyde? (le formaldehyde est en revanche un cancérogène certain pour le nasopharynx, reconnu en maladie professionnelle)

37
Q

Leucémies et étiologies professionnelles

A

1) Benzène (LAM et LAL, syndromes myéloprolifératifs)

Travailleurs du cuir et chaussure

Rotogravure

Industrie du caoutchouc

Chimie, pétrochimie

Peintres

Industrie automobile, mécaniciens, pompistes

Industrie des plastiques

2) Radiations ionisantes (hors LLC)

Radiologues (médecins et radiographies industrielles: contrôle de soudures….)

Utilisation de radioéléments (32P)

Industrie nucléaire

Surveillance dosimétrique obligatoire de ces travailleurs (DATR)

3) Formaldéhyde

1,3-butadiène (fabrication de caoutchouc de synthèse)

Autres étiologies ou situations professionnelles suspectées/controversées: champs électromagnétiques, travailleurs agricoles (rôle de pesticides?), oxyde d’éthylène (LLC, LNH, myélome)

38
Q

Cancers cutanés et étiologies professionnelles

A

1) Hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP, dérivés de la houille ou du pétrole)

Travaux exposant à des suies de combustion (travaux de ramonage et entretien de chaudières ou cheminées)

Travaux avec contact cutané avec des goudrons de houille, huiles et brais de houille

Travaux avec contact cutané avec des huiles minérales peu ou non raffinées ou recyclées (notamment pour le travail des métaux), huiles moteurs usagées, résidus de craquage-raffinage du pétrole, huiles d’origine pétrolière (par exemple pour démoulage…), bitumes

2) Arsenic

Métallurgie des métaux non ferreux

Pesticides arsenicaux

Travail du cuir

Travail en verrerie

Travaux en électronique

3) Radiations ionisantes (RX, Ry)

Responsables de carcinome basocellulaire

4) Ultraviolets (UVA, UVB)

Carcinome basocellulaire, carcinome épidermoïde, mélanome

Populations exposées: marins, travailleurs agricoles et du bâtiment, soudeurs à l’arc, polymérisation UV (en plasturgie, imprimerie), etc

Affections non reconnues en maladie professionnelle dans le cadre des tableaux dans le régime général de la Sécurité sociale.

39
Q

Aspects réglementaires en milieu de travail

«< Décret CMR&raquo_space; (décret 2001-97 du 1er février 2001, intégré au Code du Travail livre II, titre III, section 5)

A

⚫ réduire le risque au maximum pour

les substances ou mélanges relevant des catégories cancérogènes 1 et 2 de l’Union européenne (désormais: catégories 1A et 1B du règlement CLP)

liste de travaux ou procédés exposant (arrêté du 5 janvier 1993 modifié):

  • fabrication d’auramine
  • travaux exposant aux HAP
  • grillage-électroraffinage du nickel
  • fabrication alcool isopropylique (procédé à l’acide fort)
  • travaux exposant aux poussières de bois inhalables
  • formaldehyde

o prise en compte de toutes les expositions susceptibles de mettre en danger la santé ou la sécurité des salariés

⚫ contrôles techniques destinés à vérifier le respect des valeurs limites

⚫ établissement d’une fiche d’exposition (art R4412-41)

⚫ résultats de contrôle de l’exposition individuelle au poste de travail

40
Q

Aspects réglementaires en milieu de travail
Obligations de l’employeur +++ (en résumé)

A

évaluation des risques +++, traçabilité des risques

substitution si possible, système clos, sinon captage à la source

limitation du nombre de travailleurs affectés aux travaux à risque

prévoir les situations d’urgence

balisage (des zones concernées) - étiquetage

Formation information des travailleurs (y compris port des équipements de protection individuelle)

Organisation d’un suivi médical

41
Q

Principales étiologies professionnelles de cancers hépatiques :

A

Le chlorure de vinyle monomère;

Hépatite B par séroconversion AES;

Hépatite C par séroconversion AES.