med32 Flashcards
quantification d’un PNT
petit : décollement inf 3cm à l’apex
moyen : décollement sup 3cm à l’apex
complet : décollement total, collapsus pulmoanire au hile
Rx thorax d’un PNT
en urgence inspi profonde (jamais en expiration)
hyperclarté avasculaire
ligne bordante pleurale
poumon hyperdense rétracté au hile
souvent images localisées au sommet
gravité radiologique d’un PNT
PNT compressif : refoulement médiastinal controlat
hémo-PNT
PNT bilat ou sur poumon unique
bride pleurale (raccord entre parenchyme et plèvre pariétale)
parenchyme pulmonaire sous-jacent pathologiqe
etio de PNT
spontané : primitif secondaire : BPCO, asthme PNPID PNP infectieuses CBP pariétal marfan, Ehler Danlos
traumatique :
iatrogène
accidentel
complication de PNT
décompensation de tares
fistule broncho pleurale
atéléctasie du poumon rétracté
iatrogène : OAP à vaccuo hémothorax pénétration d'organe lors de la pose malaise vagal
PEC d’un PNT grave suffocant
exsufflation à l’aiguille en urgence sans radio préalable si clinique evocatrice
drainage pleural en relais après Rx ne retardant pas le ttt
ttt sp : O2, antalgiques
transport med et hospit en réa
surveillance
PEC d’un PNT non grave
hospit en medecine, repos
ttt etio
ttt sp : O2, antalgique
puis selon volume ,tolérance, récidive, etat pulmonaire sous-jacent :
repos et surveillance ou drainage pleural
PEC d’un hémo-PNT
drainage de gros calibre voire double drain sup et inf
thoracotomie d’hémostase si echec
indications à enlever un drain pleural pour PNT
arrêt du bullage
épreuve de clampage 24h : Rx thorax montrant un recollement du poumon à la paroi
indication d’absentention thérap et surveillance devant PNT
PNT primitif bien toléré, petit, sans sg de gravité
après exsufflation ou non
surveillance radio à 6h puis à 24h puis quotidienne
en hospit ou ambu
indications et modalités de la chir du PNT
PNT récidivant : 1ere récidive controlat 2e récidive homolat PNT bilat ou sur poumon unique echec de drainage (bullage sup 7j faisant suspecter fistule broncho-pleurale) premier épisode chez pro à risque
vidéo-thoracoscopie ou thoracotomie
symphyse pleurle (abrasion chimique par talcage ou mécanique)
biopsie pleurale pdt geste si suspicion de pathologie pleurale
mesures associées à un PNT
sevrage tabac
CI des efforts à glotte fermée
CI situations à risque (alpinisme, plongée)
CI des voyages en avion 1mois
info : risque de récidive homolat
types de PKRD
PKRD 1 : polycystine 1, chromosome 16, plus fq, age moyen de l’IRCT 54ans
PKRD 2 : polycystine 2, chromosome 4, age moyen de l’IRCT 69ans
risque de transmission d’une PKRD à ses enfants
1 sur 2
mais pénétrance variable selon familles et individus
comment faire diag de PKRD
pas d’indication à rechercher la mutation (seules indications : pas d’histoire familiale, et vérifier absence de PKRD chez donneur potentiel avec ATCD fam mais ayant imagerie normale)
histoire familiale compatible avec transmission autosomique dominante :
transmission père-fils
chaque génération atteinte
imagerie rénale : echo 1ere intention atteinte toujours bilat augmentation taille des reins nb kystes déformant leurs contours parfois polykystose hépatique
diag certain si :
3 kystes rénaux jusqu’à 40ans
2 kystes rénaux sur chaque rein si 40-60ans
4kystes rénaux sur chaque rein si sup 60ans
complications rénales de la PKRD
HTA IRénaleC migration lithiasique hémorragie intra-kystiqe PNA infection de kyste (ATB 4-6S) hématU macroscopique
complications extra-rénales de la PKRD
anévrysmes cérébraux
cardio : CM hypertensive prolapsus valvulaire mitral (voire IM) IAo anévrysme de l'aorte
polykystose hépatique (compression, hémorragie, infection)
dig :
diverticulose colique
HI, ombilicale
kystes pancréatiques
PEC d’une PKRD
controle TA dépistage et PEC FDRCV hydratation abondante PEC IRénale info et educ patient sur transmission 100% ALD, PTS dépistage familial proposé : echo à partir de 18ans pour fratrie et enfants surveillance régulière
clinique d’une schizophrénie (grands traits)
sd dissociatif : intellectuel : tb du cours de la pensée tb du contenu de la pensée tb du langage affectif moteur
sd délirant :
mécanismes multiples
thèmes polymorphes
pas de systématisation : délire paranoide (flou et incohérent)
adhésion totale, parfois critique après résolution
participation affective : parfois massive, souvent anxieuse, parfois discordante
repli autistique
évolution sur au moins 6 mois et retentissement socio-pro pour porter diag
types de schizophrénie
paranoide (délire)
hébéphrénique (déficit intellectuel et affectif)
dyshtymique (tb humeur)
pseudo-psychopathique (héboidophrénique) : tb comportements majeurs
catatonique
bilan PC devant suspicion de schizophrénie
recherche tox et tb métabo systématiques
imagerie cérébrale au moindre doute
EEG
PEC d’une schizophrénie
hospit en psy initiale
antipsychotique le plus tôt possible avec efficacité en 4-6S, monothérapie autant que possible
ajout ponctuel de neuroleptique sédatifs si agitation ou anxiété importante
durée : au moins 2 ans après un épisode et 5ans après plusieurs
formes retard IM si inobservance
clozapine si schizophrénie résistante
ECT pour formes catatonique, rarement en cas de résistance ou intolérance aux antipsychotiques
autres ttt med selon forme de schizophrénie
PTS, TCC, familiale
education sur maladie
assoc patients et familles
remédiation cognitive : limiter déclin cognitif
sociothérapie : 100% AAH, majoration pour vie autonome, garantie de ressource si pas d'emploi mesure de protection des biens aides au logement favoriser insertion socio-pro : reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé travail protégé parfois hopital de jour
PEC comorbidités
surveillance, pluridisciplinaire
soins somatiques
def d’une shcizophrénie résistante
2 ttt antipsychotiques successifs bien conduits avec observance satisfaisante (attendre 4-6S avant de juger de l’efficacité sur délire et 2-3M pour l’émoussement affectif)
PHC : clinique
femme agée vivant seule
début progressif ou brutal, parfois FD
délire :
mecanisme : hallu psychosensorielles, intrapsychiques, interprétations et intuitions parfois
thèmes persécutif, sexuel, d’influence, mystique
adhésion totale et forte participation émotionnelle
PEC d’une PHC
hospit lors des poussées PEC ambu au long cours antipsychotiques incisifs : dose minimale efficace respecter un délire résiduel si sans conséquence PTS, psychoéducation protection des biens ALD, AAH
def délires paranoiaques
délires chroniques interprétatifs systématisés (cohérents)
parfois éléments intuitifs, voire imaginatifs
adhésion totale et forte participation émotionnelle
types de délires paranoiaques
délires passionnels
délire d’interprétation (sérieux et capgras)
délire de relation des sensitifs (Kretschmer)
types de délire passionnels
de jalousie erotomanie de revendication : inventeur méconnus quérulents processifs idealistes passionés
phases de l’érotomanie
espoir
dépit
rancune
PEC d’une délire paranoiaque
hospit si dangerosité ou anxiété importante
PEC ambu sinon
antipsychotiques incisif : ttt de fond
poso minimale efficace
neuroleptique sédatif si besoin
AD, BZP si besoin
PTS
ALD, AAH
arguments pour lombosciatique commune
mono-radiculaire rythme mécanique lombalgies associées effort déclenchant intensité rapidement maximale, régressant progressivement ATCD lombaires origine discale : impulsivité de la dl
urgences chir d’une lombosciatique
lombosciatique paralysante : déficit moteur inf ou égal à 3 et ou aggravation d’un déficit moteur
sd queue de cheval ou cone terminal
sciatiques hyperalgiques résistants aux antalgiques majeurs
bilan PC devant lombosciatique d’origine discale probable
aucun chez l’adulte jeune
indications radio devant lombo-radiculalgie
ado ou age sup 65ans atcd infection, tumeur fièvre sg neuro déficitaire tableau atypique dl persistante ou s'aggravant sup 15j
indication TDM ou IRM devant lombo radiculalgie
echec ttt med 6-8S en vue d’un ttt chir
lombosciatique paralysante ou sd queue de cheval en urgence
PEC d’une lombosciatique discale
repos relatif antalgiques, AINS si echec : infiltration péridurales et ou péri-radiculaires de CTC après imagerie si echec 6-8S : TDM ou IRM pour ttt chir orthèse lombaire rigide 4-6S rééduc lombaire à distance
deux hypothèses devant lombo-radiculalgie discale récidivante après chir
recidive herniaire
fibrose post-op
etio de NCB
communes : arthrose cervicale du sujet sup 40ans HD du sujet jeune, post-traumatique sp : inflam infectieuse tumorale (pancoast tobias)
bilan PC devant NCB
systématiques : Rx rachis cervical F P et trois quarts
TDM et IRM si :
suspicion de NCB sp
bilan avant infiltration de CTC
chir des NCB rebelles au ttt med
si C8-T1 : Rx thorax (Pancoast-tobias)
PEC de la NCB commune
repos relatif
collier d’immobilisation
AINS voire CTC générale 2 à 3S si besoin
infiltrations péri radiculaires de CTC : discutées
ttt chir si echec ttt med ou déficit moteur important
sensibilité du nerf médian
face palmaire 3 premiers doigts et moitié radiale de l’annulaire
face dorsale des 2e et 3e phalanges de l’index, majeur et moitié radiale de l’annulaire
motricité du nerf médian
thénar : court abducteur du pouce faisceau superficiel du court fléchisseur opposant du pouce lombricaux externes
bilan PC devant sd canal carpien
Rx poignet F P et incidence défilé carpien à la recherche d’une anomalie osseuse
EMG : si formes frustes et atypiques ou en préop systématique (médico-légal)
etio du sd du canal carpien
idiopathique trauma : cal vicieux séquelles fracture du radius activités pro ou sportives répétitives endoc : GG hypoT diabète acromégalie rhumatismale : ténosynovite inflame (PR) infectieuse : TB arthrose kyste synovial goutte, CCA, apatite amylose
PEC d’un sd du canal carpien
etio
med :
immobilisation du poignet par attelle de repos nocturne
infiltration de CTC (CI si matériel d’ostéosynthèse)
chir : neurolyse du nerf médian après section du ligament annulaire antérieur du carpe si :
forme sévère d’emblée : amyotrophie, déficitaire
echec ttt med
ttt prophylactique (attelle de fonction, adaptation de poste) déclaration en MP
physiopath RGO (et donc FDR)
perméabilité de la barrière oeso-gastrique :
hernie hiatale par glissement
hypotonie du SIO
augmentation de la pression intra-abdo : GG obésité constipation toux chronique
défaut de compensation du RGO physiologique :
hyposialorrhée
tb moteurs oesophagiens
facteurs aggravants RGO
alimentation trop riche, alcool, chocolat, thé, café
med : aspirine, AINS, DN, inhib calcique, BZP, morphinique, OP, anti-cholinergiques, B2 mimétiques
SNG
GG
triade clinique du RGO
pyrosis régurgitations sd postural : sp majoré par décubitus antéflexion
indication à EOGD devant RGO
sup 50ans sp atypiques : ORL respi cardio dentaires sg d'alarme : odynophagie, dysphagie hémorragie dig ou anémie ferriprive AEG, gg de Troisier echec ttt ou récidive précoce
indication pH métrie 24h oesophagienne et résultats attendus
EOGD normale ne permettant pas d’établir le diag, préop ou echec ttt
diag posé so pH inf 4 pdt plus de 5% du temps ou sup 3 épisodes par 24H de plus de 5min pH inf 4
complications du RGO
récidive après ttt oesophagite peptique sténose peptique hémorragie dig EBO
classification de l’oesophagite peptique
classif de Savary-Miller en grades
1 : erosions ou ulcérations non confluentes
2 : erosions multiples confluentes non circonférentielles
3 : érosions confluentes circonférentielles non sténosantes
4 : oesophagite peptique compliquée : ulcère, sténose ou EBO
biopsie seulement si aspect d’EBO, ID ou sténose associée
RHD d’un RGO
perte de poids
sevrage alcoolo-tabagique
arrêt des FF : transit, ttt toux chronique, med
surélévation de la tête du lit de 20cm
med disponibles pour le RGO
antiacides
alginates
anti-H2
IPP
indications de ttt med selon sp pour RGO
pour tous : antiacide ou alginate à la demande
RGO typique non compliqué avant 50ans :
sp espacés (inf 1 par S) : anti-H2 ou IPP faible dose
sp rapprochés : IPP mi-dose 4S
après endoscopie :
pas d’oesophagite : IPP mi-dose 4S
oesophagite grade 1-2 : IPP pleine dose 4S
oesphagite grade 3-4 : IPP pleine dose 8S (et EOGD a la fin du ttt)
oesophagite compliquée : IPP double dose 8S
sp atypiques : IPP pleine dose 8S
ttt chir du RGO avec bilan préop et complications
fundoplicature par voie coelio
a discuter si altération qualité de vie
préop : EOGD, si pas possible TOGD pH-métrie 24h manométrie oesophagienne : eliminer tb moteurs de l'oesophage CI la chir préop standard
complications :
dysphagie post-op
gas bloat sd
hernie hiatale favorisant le RGO
par glissement
complications de hernie hiatale
par glissement : RGO
par roulement : etranglement herniaire
ulcère du collet herniaire
HD à bas bruit
examen de référence et indications pour RGO de l’enfant
pH métrie 24h
formes extra-dig
RGO non evident cliniquement
malaises du nourrisson
PEC d’un RGO chez enfant
rassurance parents
RHD : reconstitution des biberons epaississement des biberons lutte contre tabac passif ne pas allonger nourrisson après prise biberon
RGO simple : RHD seules, et si echec IPP
RGO compliqué : RHD et IPP
ttt chir si : malaises oesophagites sévères encéphalopathies echec ttt med et persistance reflux plusieurs années anomalie malformative
etio de rétrecissement aortique
dégénératif = rétrecissement aortique calcifié = maladie de Monckeberg
RAA
congénital = bicuspidie
souffle de rétrecissement aortique
souffle ejectionnel mésosytolique max au foyer aortique irradiant le long du bord gauche du sternum et aux carotides dur et rapeux
sg auscultatoire de rétrecissement aortique serré
diminution ou abolition B2
galop pré-systolique B4 lié à l’HVG et aux tb de relaxation
crépitants pulmoanires
eclat du B2 au foyer pulmonaire (HTAP)
bilan PC devant suspicion de rétrecissement aortique
ECG
Rx thorax
ETT
epreuve d’effort (CI si RAC sp)
préop : eradication foyers infectieux : ECBU, panoramique dentaire, TDM sinus, consult stomato et ORL coro si sup 40 ans ou FDRCV echo des TSA préop standard FDRCV
complications de retrecissement aortique
ICG puis globale mort subite tb conductifs (BAV par calcif septales) tb du rythme ventriculaire EI (peu fq)
PEC d’un rétrecissement aortique asp
surveillance par 6 mois, echo annuelle
eviter efforts violents et vasodilat artériels
prévention EI
discuter chir si : FEVG inf 50% ou progression rapide des calcifications valvulaires
PEC rétrecissement aortique serré symptomatique
ttt sp des complications (diurétiques, regime hyposodé)
ttt chir :
en semi-urgence, a froid
sous CEC
remplacement valvulaire par valve mécanique ou bioprothèse
remplacement par voie percutanée peut etre discutée si risque opératoire trop élevé
prévention de l'EI carte de porteur de prothèse education patient AC selon valve surveillance régulière
clinique d’une spondylarthropathie
atteinte articulaire axiale sup 3 mois : dorsolombalgies inlam sacro-ilite atteinte articulaire périph (doigt ou orteil en saucisse) enthésopathies (talalgies) atteintes extra-articulaires : UAA entérocolopathie inflam psoriasis atteintes cardiaques efficacité des AINS
critères diag de spondylarthrite ankylosante
clinique :
lombalgies avec raideur sup 3 mois améliorées par l’effort ne cédant pas au repos
limitation de la mobilité du rachis lombaire dans les plans saggital et frontal
limitation de l’ampliation thoracique par rapport aux valeurs normales corrigées pour l’age et le sexe
critère radio :
sacro-ilite bilat de grade sup ou égal à 2 ou unilat de grade au moins 3
diag si au moins un critère clinique et critère radio
diag probable si 3 critères clinique ou critère radio
bilan PC devant suspicion de spondylarthrite ankylosante
sd inflam faible
HLA B27 si cas douteux
Rx rachis cervical, thoracique et lombaire F P et bassin face (cliché de De Sèze
pieds de profil
Rx thorax
IRM pour diag précoce
scinti osseuse pour diag d’enthésite
echographie articulaire
EFR
ECG
PEC d’une spondylarthrite ankylosante
education et info :
arrêt tabac
dormir sur plan ferme en décubitus ventral
repos lors des poussées
activité physique et rééduc entre poussées avec auto-éduc
PTS
100% ALD
ttt med :
AINS : dose optimale, prise le soir d’une forme à action prolongée, si inefficacité pdt 1S : changement de famille d’AINS
echec des AINS si 3 AINS inefficaces succesivement
antalgiques
ttt locaux : infiltration de CTC si résistance aux AINS
ttt de fond :
indication : réponse insuffisante aux AINS et aux soins locaux ou atteinte extra-articulaire sévère
si périph : sulfasalazine, méthotrexate ou leflunomide
si echec de 4mois : anti-TNF alpha
si axiale : BASDAI sup 40 sur 100 a deux reprises malgré AINS (3 types essayés, echec 3mois) : anti TNF alpha
ttt non med :
kiné : travail en extension rachidienne avec travail de l’amplitude respi
physiotherap, ergotherap
ttt chir : prothèse de hanche, intervention sur le rachis
surveillance d’une spondylarthrite ankylosante
clinique : par 3-6mois
atteinte axiale (métrologies, ampliation thoracique, EVA, RN, DM,…)
atteinte articulaire periph : NAD et NAG
entésopathie
atteinte extra-articulaire
BASDAI
BASFI
bio : sd infla
radio par 2-3ans :
Rx rachis cervical P
Rx dorso-lombaire F et P
bassin de F
complications de spondylarthrite ankylosante
amylose AA néphropathie à IgA fibrose pulmonaire, sd restrictif, dysplasies bulleuses kystiques des apex cardio : IAo, tb condution ostéoporose, risque fracturaire
description radio de rhumatisme psoriasique
lésions destructrices : érosion marginale (en pointe de crayon de la dernière phalange), ostéolyse
lésions reconstructrices : hyperostose, appositions périostées, enthésiophytes exubérants, ankylose
sacro-ilite asymétrique
syndesmophytes grossiers et asymétriques
ttt de fond du rhumatisme psoriasique
méthotrexate essentiellement
PEC arthrite réactionnelle
AINS
ATB si persistance d’une infection tardive
bilan et education IST
sd SAPHO
synovite acné sévère pustulose hyperostose ostéite (atteinte sterno-claviculaire évocatrice)
complications sous platre
cutanées : escarres, macération infection musculaires : sd des loges amyotrophie vasculaires : compression artérielle ou veineuse TVP, EP neuro : nerf fibulaire commun pour botte platrée nerf ulnaire ou médian pour BABP articulaires : raideur algodystrophie osseuse : déplacement secondaire pseudarthrose cal vicieux
surveillance d’un malade sous platre
interro : pas de dl pas de tb sensitivo-moteur bonne coloration et chaleur extrémités absence d'oedème des extrémités
a rechercher également à l’examen physique
PC :
radio de controle après immobilisation puis régulièrement
education d’un malade sous platre
consulter en urgence si :
dl intense
tb sensitivo-moteur
surélévation du membre AC préventive si platre du MI kiné sous platre : débuter contraction musculaire poursuite à l'ablation du platre
clinique sd des loges
dl extremement intense résistant à la morphine
tension dl des masses musculaires : muscles durs à la palpation
sg neuro : sensitif puis moteurs
pouls conservés
bilan PC devant sd des loges
aucun examen ne retarde la PEC
dans cas difficiles : capteur intra-musculaire de pression musculaire (normale = 10-12mmHg)
PEC d’un sd de loges
antalgiques
fendre platre
si persistance discuter aponevrotomie de décharge
fermeture cutanée secondaire
info patient sur risque de séquelles neuro
classifications des blocs sino-auriculaires
1 : allongement de la conduction sans tb ECG
2 : blocage complet et intermittent de la conduction sino-auriculaire, pas d’onde P de manière intermittente à l’ECG
3 : blocage complet et total de la conduction sino-auriculaire, pas d’onde P à l’ECG (en général échappement jonctionnel : QRS fins et FC inf 45 bpm)
classification des BAV
BAV I : allongement fixe du PR, bloc nodal et bénin
BAV II :
Mobitz 1 : allongement progressif du PR puis blocage de l’onde P et absence de QRS, bloc nodal et bénin
Mobitz 2 : onde P non suivie d’un QRS de facon intermittente, bloc hissien ou infra-hissien grave
BAV III : dissociation auriculo-ventriculaire complète avec echappement, atteinte hissienne ou infra-hissienne de mauvais pronostic :
echappement jonctionnel : QRS fins et FC inf 45bpm
echappement ventriculaire : QRS large, FC inf 30bpm
ECG d’un BBG
QRS sup 0,12ms (0,08 si incomplet)
aspect QS en V1 V2 V3, tb repolarisation (onde T neg en V4 V5 V6)
déviation axiale G possible
aspect R exclusif ou en M (RR’) en V6 et DI
ECG d’un BBD
QRS sup 0,12ms (0,08 si incomplet)
aspect rSr’ en V1 V2
onde S trainante en DI et V6
déviation axiale droite rare
ECG d’un hémibloc de branche gauche
QRS fin, déviation axiale
antérieur : déviation G aspect QISIII postérieur : déviation D aspect SIQIII
etio de tb de conduction cardiaque
aigue :
cardiopathie ischémique post IDM
med : digitaliques, BB (meme collyre), inhib calciques
metabo : hyperK
neuro : M, HM, guillain barré
post-chir
infectieux : EI avec abcès septal, diphtérie, Lyme
chronique :
dégénératif
valvulopathies (RAC avec calcif septales)
PEC d’un tb de conduction intra-cardiaque
hospit en urgence en USIC MEC : repos, VVP, scope arrêt de tout ttt bradycardisant RHE, correction HD et respi coup de poing sternal, MCE et ventilation au masque si ACR
accélération de la FC par :
atropine IV
isoprénaline : 5 ampoules dans 250mL de G5%
mise en place d’une SEES
ttt etio
ttt des complications traumatiques dues a la chute
a distance si tb conductif de haut degré persiste : PM
grandes caractéristiques du sd dépressif
tristesse de l’humeur, anhédonie
modification du contenu des pensées : autodévalorisation, pessimisme
idées suicidaires
RPM : bradypsychie, aboulie, bradyphémie, hypo ou amimie, incurie, clinophilie, asthénie
manifestations somatiques : anorexie, baisse de libido
anxiété très fq
EDM : def
sd dépressif quotidien depuis au moins 2S
entravant le fonctionnement (rupture avec état antérieur)
non attribuable à cause organique ou tox, deuil récent ou épisode mixte
dépression recurrente : def
au moins 2 EDM (intervalle libre de 2 mois), peut etre saisonnier
depression chronique : def
EDM sup 2 ans
mélancholie clinique
dl morale intense anhédonie et anesthésie affective culpabilité importante ralentissement majeur prépondérance matinale perte de poids haut risque suicidaire
types de mélancholies
stuporeuse (ralentissement majeur)
anxieuse
délirante (dont Cotard)
PEC d’un EDM
hospit si risque suicidaire élevé, tb somatique
prévention risque suicidaire
ttt etio si retrouvé
ttt AD si EDM d’intensité modérée à sévère :
ISRS 1ere intention
IRSNa ou tricyclique si résistance
début faible poso, augmentation progressive
4 à 9 mois apr!s rémission des sp pour prévention de rechute
info et educ :
effet du ttt, nécessité d’observance, sevrage progressif
ttt sp :
anxiolytique, hypnotique
antipsychotique incisif si délire
ttt sédatif si besoin
PT : soutien, TCC, analytique…
AT
surveillance
def dépression résistante et ttt à proposer
deux ttt AD bien conduits dont un tricyclique
assoc de 2 AD
ttt adjuvant (thymorégulateur, antipsychotique atypique, hormones thyroidiennes…)
ECT
PT structurée
evolution et complications EDM
guérison (rémission sup 4mois)
résistance au ttt
chronicisation
rechute (réapparition moins de 4mois après réponse au ttt)
récidive
virage maniaque (définit tb bipolaire de type 3)
grands traits du sd maniaque
exaltation de l’humeur : euphorie, hypersyntonie, désinhibition, ludisme, labilté émotionnelle
accélération PM : tachypsychie, coq à l’ane, logorrhée, tachyphémie, multiplication des initiatives et des projets
modif du contenu de la pensée : anosognosie, au max délire (mégalomanie, congruence à l’humeur)
perturbations instinctuelles : insomnie quasi-totale avec hypersthénie, hyperphagie, libido exacerbée
épisode maniaque : def
sd maniaque durant au moins 7j avec rupture avec état antérieur
PEC d’un épisode maniaque
hospit
sauvegarde de justice
imagerie cérébrale si 1er épisode
bilan IST
ttt etio si retrouvé
ttt curatif : thymorégulateur type lithium
antipsychotique plus rapide si agitation
ECT si fureur maniaque ou résistance au ttt
ttt sp :
hypnotique
sédatif si agitation
réhydratation, prévention sevrage
surveillance
indications de l’ECT dans sd dépressif
mélancholie stuporeuse, très agitée, délirante
dépression résistante
classification des tb bipolaires
type I : accès maniaque
type II : hypomaniaque
type III : virage sous AD
examens de réfraction objective
skiascopie sous cycloplégique
réfractomètre automatique
kératométrie
examens pour mesurer acuité visuelle subjective
loin : monoyer (en 10e)
près : parinaud (de P20 à P2)
myopie clinique et types
myopie axile : oeil trop long
myopie réfractive par atteinte cornéenne ou cristalinienne
BAV de loin
vision améliorée sur fond rouge
def myopie forte
sup -6Dioptries
complications de la myopie
DR
GCAO
cataracte précoce
maculopathie (néovaisseaux)
PEC d’une myopie
lunette ou lentilles divergentes, sphériques
chir réfractive par laser après stabilisation de la myopie
hypermétropie : clinique et types
hypermétropie axile : longueur du globe trop petite
hypermétropie réfractive : atteinte cornéenne ou cristalinienne
soit BAV de loin et de près dès l’enfance si hypermétropie forte, soit BAV vers 30-40ans si hypermétropie faible
céphalées sus-obitaires majorées en fin de journée, fatigue visuelle
hyperhémie conjonctivale, larmoiement
vision améliorée sur fond vert
complications hypermétropie
céphalées
strabisme convergent accomodatif (enfant)
presbytie précoce
FDR GAFA après 50ans
PEC hypermétropie
lunettes ou lentilles convergentes, sphériques
chir réfractive au laser après hypermétropie stable
astigmatisme : def comment le caractériser et clinique
sphère cornéenne irrégulière
pouvoir réfractif et son axe
flouvisuel fatigue visuelle, céphalées hyperhémie conjonctivale confusion des lettres difficultés à apprendre à lire et à écrire au max : diplopie monoculaire
bilan PC devant astigmatisme
ophtalmomètre de Javal
autoréfractomètre
skiascopie chez l’enfant
causes secondaires d’astigmatisme
plaie cornéenne
kératocone
cataracte
trauma oculaire
PEC astigmatisme
lunettes ou lentilles cylindriques définies par leur axe et leur puissance, convergents ou divergents
chir réfractive
presbytie : def, clinique et PEC
perte progressive et physio du pouvoir accomodatif du cristallin
BAV de près débutant après 40ans
fatigue visuelle
révélée plus précocément chez hypermétrope que myope
verres progressifs ou à double foyer