med32 Flashcards

0
Q

quantification d’un PNT

A

petit : décollement inf 3cm à l’apex
moyen : décollement sup 3cm à l’apex
complet : décollement total, collapsus pulmoanire au hile

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1
Q

Rx thorax d’un PNT

A
en urgence
inspi profonde (jamais en expiration)

hyperclarté avasculaire
ligne bordante pleurale
poumon hyperdense rétracté au hile
souvent images localisées au sommet

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2
Q

gravité radiologique d’un PNT

A

PNT compressif : refoulement médiastinal controlat
hémo-PNT
PNT bilat ou sur poumon unique
bride pleurale (raccord entre parenchyme et plèvre pariétale)
parenchyme pulmonaire sous-jacent pathologiqe

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3
Q

etio de PNT

A
spontané :
  primitif
  secondaire : 
    BPCO, asthme
    PNPID
    PNP infectieuses
    CBP pariétal
    marfan, Ehler Danlos

traumatique :
iatrogène
accidentel

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4
Q

complication de PNT

A

décompensation de tares
fistule broncho pleurale
atéléctasie du poumon rétracté

iatrogène :
  OAP à vaccuo
  hémothorax
  pénétration d'organe lors de la pose
  malaise vagal
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5
Q

PEC d’un PNT grave suffocant

A

exsufflation à l’aiguille en urgence sans radio préalable si clinique evocatrice
drainage pleural en relais après Rx ne retardant pas le ttt

ttt sp : O2, antalgiques

transport med et hospit en réa
surveillance

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6
Q

PEC d’un PNT non grave

A

hospit en medecine, repos
ttt etio
ttt sp : O2, antalgique

puis selon volume ,tolérance, récidive, etat pulmonaire sous-jacent :
repos et surveillance ou drainage pleural

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7
Q

PEC d’un hémo-PNT

A

drainage de gros calibre voire double drain sup et inf

thoracotomie d’hémostase si echec

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8
Q

indications à enlever un drain pleural pour PNT

A

arrêt du bullage

épreuve de clampage 24h : Rx thorax montrant un recollement du poumon à la paroi

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9
Q

indication d’absentention thérap et surveillance devant PNT

A

PNT primitif bien toléré, petit, sans sg de gravité
après exsufflation ou non
surveillance radio à 6h puis à 24h puis quotidienne
en hospit ou ambu

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10
Q

indications et modalités de la chir du PNT

A
PNT récidivant :
  1ere récidive controlat
  2e récidive homolat
PNT bilat ou sur poumon unique
echec de drainage (bullage sup 7j faisant suspecter fistule broncho-pleurale)
premier épisode chez pro à risque

vidéo-thoracoscopie ou thoracotomie
symphyse pleurle (abrasion chimique par talcage ou mécanique)
biopsie pleurale pdt geste si suspicion de pathologie pleurale

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11
Q

mesures associées à un PNT

A

sevrage tabac
CI des efforts à glotte fermée
CI situations à risque (alpinisme, plongée)
CI des voyages en avion 1mois

info : risque de récidive homolat

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12
Q

types de PKRD

A

PKRD 1 : polycystine 1, chromosome 16, plus fq, age moyen de l’IRCT 54ans

PKRD 2 : polycystine 2, chromosome 4, age moyen de l’IRCT 69ans

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13
Q

risque de transmission d’une PKRD à ses enfants

A

1 sur 2

mais pénétrance variable selon familles et individus

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14
Q

comment faire diag de PKRD

A

pas d’indication à rechercher la mutation (seules indications : pas d’histoire familiale, et vérifier absence de PKRD chez donneur potentiel avec ATCD fam mais ayant imagerie normale)

histoire familiale compatible avec transmission autosomique dominante :
transmission père-fils
chaque génération atteinte

imagerie rénale : echo 1ere intention
atteinte toujours bilat
augmentation taille des reins
nb kystes déformant leurs contours
parfois polykystose hépatique

diag certain si :
3 kystes rénaux jusqu’à 40ans
2 kystes rénaux sur chaque rein si 40-60ans
4kystes rénaux sur chaque rein si sup 60ans

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15
Q

complications rénales de la PKRD

A
HTA
IRénaleC
migration lithiasique
hémorragie intra-kystiqe
PNA
infection de kyste (ATB 4-6S)
hématU macroscopique
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16
Q

complications extra-rénales de la PKRD

A

anévrysmes cérébraux

cardio :
  CM hypertensive
  prolapsus valvulaire mitral (voire IM)
  IAo
  anévrysme de l'aorte

polykystose hépatique (compression, hémorragie, infection)

dig :
diverticulose colique
HI, ombilicale
kystes pancréatiques

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17
Q

PEC d’une PKRD

A
controle TA
dépistage et PEC FDRCV
hydratation abondante
PEC IRénale
info et educ patient sur transmission
100% ALD, PTS
dépistage familial proposé : echo à partir de 18ans pour fratrie et enfants
surveillance régulière
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18
Q

clinique d’une schizophrénie (grands traits)

A
sd dissociatif :
  intellectuel :
    tb du cours de la pensée
    tb du contenu de la pensée
    tb du langage
  affectif
  moteur

sd délirant :
mécanismes multiples
thèmes polymorphes
pas de systématisation : délire paranoide (flou et incohérent)
adhésion totale, parfois critique après résolution
participation affective : parfois massive, souvent anxieuse, parfois discordante

repli autistique

évolution sur au moins 6 mois et retentissement socio-pro pour porter diag

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19
Q

types de schizophrénie

A

paranoide (délire)
hébéphrénique (déficit intellectuel et affectif)
dyshtymique (tb humeur)
pseudo-psychopathique (héboidophrénique) : tb comportements majeurs
catatonique

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20
Q

bilan PC devant suspicion de schizophrénie

A

recherche tox et tb métabo systématiques
imagerie cérébrale au moindre doute
EEG

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21
Q

PEC d’une schizophrénie

A

hospit en psy initiale

antipsychotique le plus tôt possible avec efficacité en 4-6S, monothérapie autant que possible
ajout ponctuel de neuroleptique sédatifs si agitation ou anxiété importante

durée : au moins 2 ans après un épisode et 5ans après plusieurs

formes retard IM si inobservance

clozapine si schizophrénie résistante

ECT pour formes catatonique, rarement en cas de résistance ou intolérance aux antipsychotiques

autres ttt med selon forme de schizophrénie

PTS, TCC, familiale
education sur maladie
assoc patients et familles
remédiation cognitive : limiter déclin cognitif

sociothérapie :
100%
AAH, majoration pour vie autonome, garantie de ressource si pas d'emploi
mesure de protection des biens
aides au logement
favoriser insertion socio-pro :
  reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé
  travail protégé parfois
  hopital de jour

PEC comorbidités
surveillance, pluridisciplinaire
soins somatiques

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22
Q

def d’une shcizophrénie résistante

A

2 ttt antipsychotiques successifs bien conduits avec observance satisfaisante (attendre 4-6S avant de juger de l’efficacité sur délire et 2-3M pour l’émoussement affectif)

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23
Q

PHC : clinique

A

femme agée vivant seule
début progressif ou brutal, parfois FD

délire :
mecanisme : hallu psychosensorielles, intrapsychiques, interprétations et intuitions parfois
thèmes persécutif, sexuel, d’influence, mystique
adhésion totale et forte participation émotionnelle

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24
Q

PEC d’une PHC

A
hospit lors des poussées
PEC ambu au long cours
antipsychotiques incisifs : 
  dose minimale efficace
  respecter un délire résiduel si sans conséquence
PTS, psychoéducation
protection des biens
ALD, AAH
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25
Q

def délires paranoiaques

A

délires chroniques interprétatifs systématisés (cohérents)
parfois éléments intuitifs, voire imaginatifs
adhésion totale et forte participation émotionnelle

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26
Q

types de délires paranoiaques

A

délires passionnels
délire d’interprétation (sérieux et capgras)
délire de relation des sensitifs (Kretschmer)

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27
Q

types de délire passionnels

A
de jalousie
erotomanie
de revendication :
  inventeur méconnus
  quérulents processifs
  idealistes passionés
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28
Q

phases de l’érotomanie

A

espoir
dépit
rancune

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29
Q

PEC d’une délire paranoiaque

A

hospit si dangerosité ou anxiété importante
PEC ambu sinon

antipsychotiques incisif : ttt de fond
poso minimale efficace
neuroleptique sédatif si besoin
AD, BZP si besoin

PTS
ALD, AAH

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30
Q

arguments pour lombosciatique commune

A
mono-radiculaire
rythme mécanique
lombalgies associées
effort déclenchant
intensité rapidement maximale, régressant progressivement
ATCD lombaires
origine discale : impulsivité de la dl
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31
Q

urgences chir d’une lombosciatique

A

lombosciatique paralysante : déficit moteur inf ou égal à 3 et ou aggravation d’un déficit moteur
sd queue de cheval ou cone terminal
sciatiques hyperalgiques résistants aux antalgiques majeurs

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32
Q

bilan PC devant lombosciatique d’origine discale probable

A

aucun chez l’adulte jeune

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33
Q

indications radio devant lombo-radiculalgie

A
ado ou age sup 65ans
atcd infection, tumeur
fièvre
sg neuro déficitaire
tableau atypique
dl persistante ou s'aggravant sup 15j
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34
Q

indication TDM ou IRM devant lombo radiculalgie

A

echec ttt med 6-8S en vue d’un ttt chir

lombosciatique paralysante ou sd queue de cheval en urgence

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35
Q

PEC d’une lombosciatique discale

A
repos relatif
antalgiques, AINS
si echec : infiltration péridurales et ou péri-radiculaires de CTC après imagerie
si echec 6-8S : TDM ou IRM pour ttt chir
orthèse lombaire rigide 4-6S
rééduc lombaire à distance
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36
Q

deux hypothèses devant lombo-radiculalgie discale récidivante après chir

A

recidive herniaire

fibrose post-op

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37
Q

etio de NCB

A
communes :
  arthrose cervicale du sujet sup 40ans
  HD du sujet jeune, post-traumatique
sp :
  inflam
  infectieuse
  tumorale (pancoast tobias)
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38
Q

bilan PC devant NCB

A

systématiques : Rx rachis cervical F P et trois quarts

TDM et IRM si :
suspicion de NCB sp
bilan avant infiltration de CTC
chir des NCB rebelles au ttt med

si C8-T1 : Rx thorax (Pancoast-tobias)

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39
Q

PEC de la NCB commune

A

repos relatif
collier d’immobilisation
AINS voire CTC générale 2 à 3S si besoin
infiltrations péri radiculaires de CTC : discutées
ttt chir si echec ttt med ou déficit moteur important

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40
Q

sensibilité du nerf médian

A

face palmaire 3 premiers doigts et moitié radiale de l’annulaire
face dorsale des 2e et 3e phalanges de l’index, majeur et moitié radiale de l’annulaire

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41
Q

motricité du nerf médian

A
thénar : 
  court abducteur du pouce
  faisceau superficiel du court fléchisseur
  opposant du pouce
lombricaux externes
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42
Q

bilan PC devant sd canal carpien

A

Rx poignet F P et incidence défilé carpien à la recherche d’une anomalie osseuse

EMG : si formes frustes et atypiques ou en préop systématique (médico-légal)

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43
Q

etio du sd du canal carpien

A
idiopathique
trauma :
  cal vicieux
  séquelles fracture du radius
  activités pro ou sportives répétitives
endoc :
  GG
  hypoT
  diabète
  acromégalie
rhumatismale :
  ténosynovite inflame (PR)
  infectieuse : TB
  arthrose
  kyste synovial
goutte, CCA, apatite
amylose
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44
Q

PEC d’un sd du canal carpien

A

etio
med :
immobilisation du poignet par attelle de repos nocturne
infiltration de CTC (CI si matériel d’ostéosynthèse)

chir : neurolyse du nerf médian après section du ligament annulaire antérieur du carpe si :
forme sévère d’emblée : amyotrophie, déficitaire
echec ttt med

ttt prophylactique (attelle de fonction, adaptation de poste)
déclaration en MP
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45
Q

physiopath RGO (et donc FDR)

A

perméabilité de la barrière oeso-gastrique :
hernie hiatale par glissement
hypotonie du SIO

augmentation de la pression intra-abdo : 
  GG
  obésité
  constipation
  toux chronique

défaut de compensation du RGO physiologique :
hyposialorrhée
tb moteurs oesophagiens

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46
Q

facteurs aggravants RGO

A

alimentation trop riche, alcool, chocolat, thé, café

med : aspirine, AINS, DN, inhib calcique, BZP, morphinique, OP, anti-cholinergiques, B2 mimétiques

SNG

GG

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47
Q

triade clinique du RGO

A
pyrosis
régurgitations
sd postural : sp majoré par
  décubitus
  antéflexion
48
Q

indication à EOGD devant RGO

A
sup 50ans
sp atypiques :
  ORL
  respi
  cardio
  dentaires
sg d'alarme : 
  odynophagie, dysphagie
  hémorragie dig ou anémie ferriprive
  AEG, gg de Troisier
  echec ttt ou récidive précoce
49
Q

indication pH métrie 24h oesophagienne et résultats attendus

A

EOGD normale ne permettant pas d’établir le diag, préop ou echec ttt

diag posé so pH inf 4 pdt plus de 5% du temps ou sup 3 épisodes par 24H de plus de 5min pH inf 4

50
Q

complications du RGO

A
récidive après ttt
oesophagite peptique
sténose peptique
hémorragie dig
EBO
51
Q

classification de l’oesophagite peptique

A

classif de Savary-Miller en grades

1 : erosions ou ulcérations non confluentes
2 : erosions multiples confluentes non circonférentielles
3 : érosions confluentes circonférentielles non sténosantes
4 : oesophagite peptique compliquée : ulcère, sténose ou EBO

biopsie seulement si aspect d’EBO, ID ou sténose associée

52
Q

RHD d’un RGO

A

perte de poids
sevrage alcoolo-tabagique
arrêt des FF : transit, ttt toux chronique, med
surélévation de la tête du lit de 20cm

53
Q

med disponibles pour le RGO

A

antiacides
alginates
anti-H2
IPP

54
Q

indications de ttt med selon sp pour RGO

A

pour tous : antiacide ou alginate à la demande

RGO typique non compliqué avant 50ans :
sp espacés (inf 1 par S) : anti-H2 ou IPP faible dose
sp rapprochés : IPP mi-dose 4S

après endoscopie :
pas d’oesophagite : IPP mi-dose 4S
oesophagite grade 1-2 : IPP pleine dose 4S
oesphagite grade 3-4 : IPP pleine dose 8S (et EOGD a la fin du ttt)

oesophagite compliquée : IPP double dose 8S

sp atypiques : IPP pleine dose 8S

55
Q

ttt chir du RGO avec bilan préop et complications

A

fundoplicature par voie coelio
a discuter si altération qualité de vie

préop :
EOGD, si pas possible TOGD
pH-métrie 24h
manométrie oesophagienne : eliminer tb moteurs de l'oesophage CI la chir
préop standard

complications :
dysphagie post-op
gas bloat sd

56
Q

hernie hiatale favorisant le RGO

A

par glissement

57
Q

complications de hernie hiatale

A

par glissement : RGO
par roulement : etranglement herniaire
ulcère du collet herniaire
HD à bas bruit

58
Q

examen de référence et indications pour RGO de l’enfant

A

pH métrie 24h

formes extra-dig
RGO non evident cliniquement
malaises du nourrisson

59
Q

PEC d’un RGO chez enfant

A

rassurance parents

RHD :
reconstitution des biberons
epaississement des biberons
lutte contre tabac passif
ne pas allonger nourrisson après prise biberon

RGO simple : RHD seules, et si echec IPP

RGO compliqué : RHD et IPP

ttt chir si :
  malaises
  oesophagites sévères
  encéphalopathies
  echec ttt med et persistance reflux plusieurs années
  anomalie malformative
60
Q

etio de rétrecissement aortique

A

dégénératif = rétrecissement aortique calcifié = maladie de Monckeberg
RAA
congénital = bicuspidie

61
Q

souffle de rétrecissement aortique

A
souffle ejectionnel
mésosytolique
max au foyer aortique
irradiant le long du bord gauche du sternum et aux carotides
dur et rapeux
62
Q

sg auscultatoire de rétrecissement aortique serré

A

diminution ou abolition B2
galop pré-systolique B4 lié à l’HVG et aux tb de relaxation
crépitants pulmoanires
eclat du B2 au foyer pulmonaire (HTAP)

63
Q

bilan PC devant suspicion de rétrecissement aortique

A

ECG
Rx thorax
ETT
epreuve d’effort (CI si RAC sp)

préop :
eradication foyers infectieux : ECBU, panoramique dentaire, TDM sinus, consult stomato et ORL
coro si sup 40 ans ou FDRCV
echo des TSA
préop standard
FDRCV
64
Q

complications de retrecissement aortique

A
ICG puis globale
mort subite
tb conductifs (BAV par calcif septales)
tb du rythme ventriculaire
EI (peu fq)
65
Q

PEC d’un rétrecissement aortique asp

A

surveillance par 6 mois, echo annuelle
eviter efforts violents et vasodilat artériels
prévention EI

discuter chir si : FEVG inf 50% ou progression rapide des calcifications valvulaires

66
Q

PEC rétrecissement aortique serré symptomatique

A

ttt sp des complications (diurétiques, regime hyposodé)
ttt chir :
en semi-urgence, a froid
sous CEC
remplacement valvulaire par valve mécanique ou bioprothèse
remplacement par voie percutanée peut etre discutée si risque opératoire trop élevé

prévention de l'EI
carte de porteur de prothèse
education patient
AC selon valve
surveillance régulière
67
Q

clinique d’une spondylarthropathie

A
atteinte articulaire axiale sup 3 mois :
  dorsolombalgies inlam
  sacro-ilite
atteinte articulaire périph (doigt ou orteil en saucisse)
enthésopathies (talalgies)
atteintes extra-articulaires :
  UAA
  entérocolopathie inflam
  psoriasis
  atteintes cardiaques
efficacité des AINS
68
Q

critères diag de spondylarthrite ankylosante

A

clinique :
lombalgies avec raideur sup 3 mois améliorées par l’effort ne cédant pas au repos
limitation de la mobilité du rachis lombaire dans les plans saggital et frontal
limitation de l’ampliation thoracique par rapport aux valeurs normales corrigées pour l’age et le sexe

critère radio :
sacro-ilite bilat de grade sup ou égal à 2 ou unilat de grade au moins 3

diag si au moins un critère clinique et critère radio

diag probable si 3 critères clinique ou critère radio

69
Q

bilan PC devant suspicion de spondylarthrite ankylosante

A

sd inflam faible
HLA B27 si cas douteux

Rx rachis cervical, thoracique et lombaire F P et bassin face (cliché de De Sèze
pieds de profil
Rx thorax

IRM pour diag précoce
scinti osseuse pour diag d’enthésite
echographie articulaire

EFR
ECG

70
Q

PEC d’une spondylarthrite ankylosante

A

education et info :
arrêt tabac
dormir sur plan ferme en décubitus ventral
repos lors des poussées
activité physique et rééduc entre poussées avec auto-éduc
PTS
100% ALD

ttt med :
AINS : dose optimale, prise le soir d’une forme à action prolongée, si inefficacité pdt 1S : changement de famille d’AINS
echec des AINS si 3 AINS inefficaces succesivement
antalgiques
ttt locaux : infiltration de CTC si résistance aux AINS
ttt de fond :
indication : réponse insuffisante aux AINS et aux soins locaux ou atteinte extra-articulaire sévère
si périph : sulfasalazine, méthotrexate ou leflunomide
si echec de 4mois : anti-TNF alpha
si axiale : BASDAI sup 40 sur 100 a deux reprises malgré AINS (3 types essayés, echec 3mois) : anti TNF alpha

ttt non med :
kiné : travail en extension rachidienne avec travail de l’amplitude respi
physiotherap, ergotherap

ttt chir : prothèse de hanche, intervention sur le rachis

71
Q

surveillance d’une spondylarthrite ankylosante

A

clinique : par 3-6mois
atteinte axiale (métrologies, ampliation thoracique, EVA, RN, DM,…)
atteinte articulaire periph : NAD et NAG
entésopathie
atteinte extra-articulaire
BASDAI
BASFI

bio : sd infla

radio par 2-3ans :
Rx rachis cervical P
Rx dorso-lombaire F et P
bassin de F

72
Q

complications de spondylarthrite ankylosante

A
amylose AA
néphropathie à IgA
fibrose pulmonaire, sd restrictif, dysplasies bulleuses kystiques des apex
cardio : IAo, tb condution
ostéoporose, risque fracturaire
73
Q

description radio de rhumatisme psoriasique

A

lésions destructrices : érosion marginale (en pointe de crayon de la dernière phalange), ostéolyse
lésions reconstructrices : hyperostose, appositions périostées, enthésiophytes exubérants, ankylose

sacro-ilite asymétrique
syndesmophytes grossiers et asymétriques

74
Q

ttt de fond du rhumatisme psoriasique

A

méthotrexate essentiellement

75
Q

PEC arthrite réactionnelle

A

AINS
ATB si persistance d’une infection tardive
bilan et education IST

76
Q

sd SAPHO

A
synovite
acné sévère
pustulose
hyperostose
ostéite (atteinte sterno-claviculaire évocatrice)
77
Q

complications sous platre

A
cutanées :
  escarres, macération
  infection
musculaires :
  sd des loges
  amyotrophie
vasculaires :
  compression artérielle ou veineuse
  TVP, EP
neuro :
  nerf fibulaire commun pour botte platrée
  nerf ulnaire ou médian pour BABP
articulaires :
  raideur
  algodystrophie
osseuse :
  déplacement secondaire
  pseudarthrose
  cal vicieux
78
Q

surveillance d’un malade sous platre

A
interro :
  pas de dl
  pas de tb sensitivo-moteur
  bonne coloration et chaleur extrémités
  absence d'oedème des extrémités

a rechercher également à l’examen physique

PC :
radio de controle après immobilisation puis régulièrement

79
Q

education d’un malade sous platre

A

consulter en urgence si :
dl intense
tb sensitivo-moteur

surélévation du membre
AC préventive si platre du MI
kiné sous platre :
  débuter contraction musculaire
  poursuite à l'ablation du platre
80
Q

clinique sd des loges

A

dl extremement intense résistant à la morphine
tension dl des masses musculaires : muscles durs à la palpation
sg neuro : sensitif puis moteurs
pouls conservés

81
Q

bilan PC devant sd des loges

A

aucun examen ne retarde la PEC

dans cas difficiles : capteur intra-musculaire de pression musculaire (normale = 10-12mmHg)

82
Q

PEC d’un sd de loges

A

antalgiques
fendre platre

si persistance discuter aponevrotomie de décharge
fermeture cutanée secondaire
info patient sur risque de séquelles neuro

83
Q

classifications des blocs sino-auriculaires

A

1 : allongement de la conduction sans tb ECG
2 : blocage complet et intermittent de la conduction sino-auriculaire, pas d’onde P de manière intermittente à l’ECG
3 : blocage complet et total de la conduction sino-auriculaire, pas d’onde P à l’ECG (en général échappement jonctionnel : QRS fins et FC inf 45 bpm)

84
Q

classification des BAV

A

BAV I : allongement fixe du PR, bloc nodal et bénin

BAV II :
Mobitz 1 : allongement progressif du PR puis blocage de l’onde P et absence de QRS, bloc nodal et bénin
Mobitz 2 : onde P non suivie d’un QRS de facon intermittente, bloc hissien ou infra-hissien grave

BAV III : dissociation auriculo-ventriculaire complète avec echappement, atteinte hissienne ou infra-hissienne de mauvais pronostic :
echappement jonctionnel : QRS fins et FC inf 45bpm
echappement ventriculaire : QRS large, FC inf 30bpm

85
Q

ECG d’un BBG

A

QRS sup 0,12ms (0,08 si incomplet)
aspect QS en V1 V2 V3, tb repolarisation (onde T neg en V4 V5 V6)
déviation axiale G possible
aspect R exclusif ou en M (RR’) en V6 et DI

86
Q

ECG d’un BBD

A

QRS sup 0,12ms (0,08 si incomplet)
aspect rSr’ en V1 V2
onde S trainante en DI et V6
déviation axiale droite rare

87
Q

ECG d’un hémibloc de branche gauche

A

QRS fin, déviation axiale

antérieur :
  déviation G
  aspect QISIII
postérieur :
  déviation D
  aspect SIQIII
88
Q

etio de tb de conduction cardiaque

A

aigue :
cardiopathie ischémique post IDM
med : digitaliques, BB (meme collyre), inhib calciques
metabo : hyperK
neuro : M, HM, guillain barré
post-chir
infectieux : EI avec abcès septal, diphtérie, Lyme

chronique :
dégénératif
valvulopathies (RAC avec calcif septales)

89
Q

PEC d’un tb de conduction intra-cardiaque

A
hospit en urgence en USIC
MEC : repos, VVP, scope
arrêt de tout ttt bradycardisant
RHE, correction HD et respi
coup de poing sternal, MCE et ventilation au masque si ACR

accélération de la FC par :
atropine IV
isoprénaline : 5 ampoules dans 250mL de G5%

mise en place d’une SEES
ttt etio
ttt des complications traumatiques dues a la chute

a distance si tb conductif de haut degré persiste : PM

90
Q

grandes caractéristiques du sd dépressif

A

tristesse de l’humeur, anhédonie

modification du contenu des pensées : autodévalorisation, pessimisme

idées suicidaires

RPM : bradypsychie, aboulie, bradyphémie, hypo ou amimie, incurie, clinophilie, asthénie

manifestations somatiques : anorexie, baisse de libido

anxiété très fq

91
Q

EDM : def

A

sd dépressif quotidien depuis au moins 2S
entravant le fonctionnement (rupture avec état antérieur)
non attribuable à cause organique ou tox, deuil récent ou épisode mixte

92
Q

dépression recurrente : def

A

au moins 2 EDM (intervalle libre de 2 mois), peut etre saisonnier

93
Q

depression chronique : def

A

EDM sup 2 ans

94
Q

mélancholie clinique

A
dl morale intense
anhédonie et anesthésie affective
culpabilité importante
ralentissement majeur
prépondérance matinale
perte de poids
haut risque suicidaire
95
Q

types de mélancholies

A

stuporeuse (ralentissement majeur)
anxieuse
délirante (dont Cotard)

96
Q

PEC d’un EDM

A

hospit si risque suicidaire élevé, tb somatique
prévention risque suicidaire

ttt etio si retrouvé

ttt AD si EDM d’intensité modérée à sévère :
ISRS 1ere intention
IRSNa ou tricyclique si résistance
début faible poso, augmentation progressive
4 à 9 mois apr!s rémission des sp pour prévention de rechute
info et educ :
effet du ttt, nécessité d’observance, sevrage progressif

ttt sp :
anxiolytique, hypnotique
antipsychotique incisif si délire
ttt sédatif si besoin

PT : soutien, TCC, analytique…

AT

surveillance

97
Q

def dépression résistante et ttt à proposer

A

deux ttt AD bien conduits dont un tricyclique

assoc de 2 AD
ttt adjuvant (thymorégulateur, antipsychotique atypique, hormones thyroidiennes…)
ECT
PT structurée

98
Q

evolution et complications EDM

A

guérison (rémission sup 4mois)
résistance au ttt
chronicisation
rechute (réapparition moins de 4mois après réponse au ttt)
récidive
virage maniaque (définit tb bipolaire de type 3)

99
Q

grands traits du sd maniaque

A

exaltation de l’humeur : euphorie, hypersyntonie, désinhibition, ludisme, labilté émotionnelle

accélération PM : tachypsychie, coq à l’ane, logorrhée, tachyphémie, multiplication des initiatives et des projets

modif du contenu de la pensée : anosognosie, au max délire (mégalomanie, congruence à l’humeur)

perturbations instinctuelles : insomnie quasi-totale avec hypersthénie, hyperphagie, libido exacerbée

100
Q

épisode maniaque : def

A

sd maniaque durant au moins 7j avec rupture avec état antérieur

101
Q

PEC d’un épisode maniaque

A

hospit
sauvegarde de justice
imagerie cérébrale si 1er épisode
bilan IST

ttt etio si retrouvé

ttt curatif : thymorégulateur type lithium
antipsychotique plus rapide si agitation
ECT si fureur maniaque ou résistance au ttt

ttt sp :
hypnotique
sédatif si agitation
réhydratation, prévention sevrage

surveillance

102
Q

indications de l’ECT dans sd dépressif

A

mélancholie stuporeuse, très agitée, délirante

dépression résistante

103
Q

classification des tb bipolaires

A

type I : accès maniaque
type II : hypomaniaque
type III : virage sous AD

104
Q

examens de réfraction objective

A

skiascopie sous cycloplégique
réfractomètre automatique
kératométrie

105
Q

examens pour mesurer acuité visuelle subjective

A

loin : monoyer (en 10e)

près : parinaud (de P20 à P2)

106
Q

myopie clinique et types

A

myopie axile : oeil trop long
myopie réfractive par atteinte cornéenne ou cristalinienne

BAV de loin
vision améliorée sur fond rouge

107
Q

def myopie forte

A

sup -6Dioptries

108
Q

complications de la myopie

A

DR
GCAO
cataracte précoce
maculopathie (néovaisseaux)

109
Q

PEC d’une myopie

A

lunette ou lentilles divergentes, sphériques

chir réfractive par laser après stabilisation de la myopie

110
Q

hypermétropie : clinique et types

A

hypermétropie axile : longueur du globe trop petite
hypermétropie réfractive : atteinte cornéenne ou cristalinienne

soit BAV de loin et de près dès l’enfance si hypermétropie forte, soit BAV vers 30-40ans si hypermétropie faible
céphalées sus-obitaires majorées en fin de journée, fatigue visuelle
hyperhémie conjonctivale, larmoiement
vision améliorée sur fond vert

111
Q

complications hypermétropie

A

céphalées
strabisme convergent accomodatif (enfant)
presbytie précoce
FDR GAFA après 50ans

112
Q

PEC hypermétropie

A

lunettes ou lentilles convergentes, sphériques

chir réfractive au laser après hypermétropie stable

113
Q

astigmatisme : def comment le caractériser et clinique

A

sphère cornéenne irrégulière

pouvoir réfractif et son axe

flouvisuel
fatigue visuelle, céphalées
hyperhémie conjonctivale
confusion des lettres
difficultés à apprendre à lire et à écrire
au max : diplopie monoculaire
114
Q

bilan PC devant astigmatisme

A

ophtalmomètre de Javal
autoréfractomètre
skiascopie chez l’enfant

115
Q

causes secondaires d’astigmatisme

A

plaie cornéenne
kératocone
cataracte
trauma oculaire

116
Q

PEC astigmatisme

A

lunettes ou lentilles cylindriques définies par leur axe et leur puissance, convergents ou divergents

chir réfractive

117
Q

presbytie : def, clinique et PEC

A

perte progressive et physio du pouvoir accomodatif du cristallin

BAV de près débutant après 40ans
fatigue visuelle
révélée plus précocément chez hypermétrope que myope

verres progressifs ou à double foyer