med32 Flashcards
quantification d’un PNT
petit : décollement inf 3cm à l’apex
moyen : décollement sup 3cm à l’apex
complet : décollement total, collapsus pulmoanire au hile
Rx thorax d’un PNT
en urgence inspi profonde (jamais en expiration)
hyperclarté avasculaire
ligne bordante pleurale
poumon hyperdense rétracté au hile
souvent images localisées au sommet
gravité radiologique d’un PNT
PNT compressif : refoulement médiastinal controlat
hémo-PNT
PNT bilat ou sur poumon unique
bride pleurale (raccord entre parenchyme et plèvre pariétale)
parenchyme pulmonaire sous-jacent pathologiqe
etio de PNT
spontané : primitif secondaire : BPCO, asthme PNPID PNP infectieuses CBP pariétal marfan, Ehler Danlos
traumatique :
iatrogène
accidentel
complication de PNT
décompensation de tares
fistule broncho pleurale
atéléctasie du poumon rétracté
iatrogène : OAP à vaccuo hémothorax pénétration d'organe lors de la pose malaise vagal
PEC d’un PNT grave suffocant
exsufflation à l’aiguille en urgence sans radio préalable si clinique evocatrice
drainage pleural en relais après Rx ne retardant pas le ttt
ttt sp : O2, antalgiques
transport med et hospit en réa
surveillance
PEC d’un PNT non grave
hospit en medecine, repos
ttt etio
ttt sp : O2, antalgique
puis selon volume ,tolérance, récidive, etat pulmonaire sous-jacent :
repos et surveillance ou drainage pleural
PEC d’un hémo-PNT
drainage de gros calibre voire double drain sup et inf
thoracotomie d’hémostase si echec
indications à enlever un drain pleural pour PNT
arrêt du bullage
épreuve de clampage 24h : Rx thorax montrant un recollement du poumon à la paroi
indication d’absentention thérap et surveillance devant PNT
PNT primitif bien toléré, petit, sans sg de gravité
après exsufflation ou non
surveillance radio à 6h puis à 24h puis quotidienne
en hospit ou ambu
indications et modalités de la chir du PNT
PNT récidivant : 1ere récidive controlat 2e récidive homolat PNT bilat ou sur poumon unique echec de drainage (bullage sup 7j faisant suspecter fistule broncho-pleurale) premier épisode chez pro à risque
vidéo-thoracoscopie ou thoracotomie
symphyse pleurle (abrasion chimique par talcage ou mécanique)
biopsie pleurale pdt geste si suspicion de pathologie pleurale
mesures associées à un PNT
sevrage tabac
CI des efforts à glotte fermée
CI situations à risque (alpinisme, plongée)
CI des voyages en avion 1mois
info : risque de récidive homolat
types de PKRD
PKRD 1 : polycystine 1, chromosome 16, plus fq, age moyen de l’IRCT 54ans
PKRD 2 : polycystine 2, chromosome 4, age moyen de l’IRCT 69ans
risque de transmission d’une PKRD à ses enfants
1 sur 2
mais pénétrance variable selon familles et individus
comment faire diag de PKRD
pas d’indication à rechercher la mutation (seules indications : pas d’histoire familiale, et vérifier absence de PKRD chez donneur potentiel avec ATCD fam mais ayant imagerie normale)
histoire familiale compatible avec transmission autosomique dominante :
transmission père-fils
chaque génération atteinte
imagerie rénale : echo 1ere intention atteinte toujours bilat augmentation taille des reins nb kystes déformant leurs contours parfois polykystose hépatique
diag certain si :
3 kystes rénaux jusqu’à 40ans
2 kystes rénaux sur chaque rein si 40-60ans
4kystes rénaux sur chaque rein si sup 60ans
complications rénales de la PKRD
HTA IRénaleC migration lithiasique hémorragie intra-kystiqe PNA infection de kyste (ATB 4-6S) hématU macroscopique
complications extra-rénales de la PKRD
anévrysmes cérébraux
cardio : CM hypertensive prolapsus valvulaire mitral (voire IM) IAo anévrysme de l'aorte
polykystose hépatique (compression, hémorragie, infection)
dig :
diverticulose colique
HI, ombilicale
kystes pancréatiques
PEC d’une PKRD
controle TA dépistage et PEC FDRCV hydratation abondante PEC IRénale info et educ patient sur transmission 100% ALD, PTS dépistage familial proposé : echo à partir de 18ans pour fratrie et enfants surveillance régulière
clinique d’une schizophrénie (grands traits)
sd dissociatif : intellectuel : tb du cours de la pensée tb du contenu de la pensée tb du langage affectif moteur
sd délirant :
mécanismes multiples
thèmes polymorphes
pas de systématisation : délire paranoide (flou et incohérent)
adhésion totale, parfois critique après résolution
participation affective : parfois massive, souvent anxieuse, parfois discordante
repli autistique
évolution sur au moins 6 mois et retentissement socio-pro pour porter diag
types de schizophrénie
paranoide (délire)
hébéphrénique (déficit intellectuel et affectif)
dyshtymique (tb humeur)
pseudo-psychopathique (héboidophrénique) : tb comportements majeurs
catatonique
bilan PC devant suspicion de schizophrénie
recherche tox et tb métabo systématiques
imagerie cérébrale au moindre doute
EEG
PEC d’une schizophrénie
hospit en psy initiale
antipsychotique le plus tôt possible avec efficacité en 4-6S, monothérapie autant que possible
ajout ponctuel de neuroleptique sédatifs si agitation ou anxiété importante
durée : au moins 2 ans après un épisode et 5ans après plusieurs
formes retard IM si inobservance
clozapine si schizophrénie résistante
ECT pour formes catatonique, rarement en cas de résistance ou intolérance aux antipsychotiques
autres ttt med selon forme de schizophrénie
PTS, TCC, familiale
education sur maladie
assoc patients et familles
remédiation cognitive : limiter déclin cognitif
sociothérapie : 100% AAH, majoration pour vie autonome, garantie de ressource si pas d'emploi mesure de protection des biens aides au logement favoriser insertion socio-pro : reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé travail protégé parfois hopital de jour
PEC comorbidités
surveillance, pluridisciplinaire
soins somatiques
def d’une shcizophrénie résistante
2 ttt antipsychotiques successifs bien conduits avec observance satisfaisante (attendre 4-6S avant de juger de l’efficacité sur délire et 2-3M pour l’émoussement affectif)
PHC : clinique
femme agée vivant seule
début progressif ou brutal, parfois FD
délire :
mecanisme : hallu psychosensorielles, intrapsychiques, interprétations et intuitions parfois
thèmes persécutif, sexuel, d’influence, mystique
adhésion totale et forte participation émotionnelle
PEC d’une PHC
hospit lors des poussées PEC ambu au long cours antipsychotiques incisifs : dose minimale efficace respecter un délire résiduel si sans conséquence PTS, psychoéducation protection des biens ALD, AAH
def délires paranoiaques
délires chroniques interprétatifs systématisés (cohérents)
parfois éléments intuitifs, voire imaginatifs
adhésion totale et forte participation émotionnelle
types de délires paranoiaques
délires passionnels
délire d’interprétation (sérieux et capgras)
délire de relation des sensitifs (Kretschmer)
types de délire passionnels
de jalousie erotomanie de revendication : inventeur méconnus quérulents processifs idealistes passionés
phases de l’érotomanie
espoir
dépit
rancune
PEC d’une délire paranoiaque
hospit si dangerosité ou anxiété importante
PEC ambu sinon
antipsychotiques incisif : ttt de fond
poso minimale efficace
neuroleptique sédatif si besoin
AD, BZP si besoin
PTS
ALD, AAH
arguments pour lombosciatique commune
mono-radiculaire rythme mécanique lombalgies associées effort déclenchant intensité rapidement maximale, régressant progressivement ATCD lombaires origine discale : impulsivité de la dl
urgences chir d’une lombosciatique
lombosciatique paralysante : déficit moteur inf ou égal à 3 et ou aggravation d’un déficit moteur
sd queue de cheval ou cone terminal
sciatiques hyperalgiques résistants aux antalgiques majeurs
bilan PC devant lombosciatique d’origine discale probable
aucun chez l’adulte jeune
indications radio devant lombo-radiculalgie
ado ou age sup 65ans atcd infection, tumeur fièvre sg neuro déficitaire tableau atypique dl persistante ou s'aggravant sup 15j
indication TDM ou IRM devant lombo radiculalgie
echec ttt med 6-8S en vue d’un ttt chir
lombosciatique paralysante ou sd queue de cheval en urgence
PEC d’une lombosciatique discale
repos relatif antalgiques, AINS si echec : infiltration péridurales et ou péri-radiculaires de CTC après imagerie si echec 6-8S : TDM ou IRM pour ttt chir orthèse lombaire rigide 4-6S rééduc lombaire à distance
deux hypothèses devant lombo-radiculalgie discale récidivante après chir
recidive herniaire
fibrose post-op
etio de NCB
communes : arthrose cervicale du sujet sup 40ans HD du sujet jeune, post-traumatique sp : inflam infectieuse tumorale (pancoast tobias)
bilan PC devant NCB
systématiques : Rx rachis cervical F P et trois quarts
TDM et IRM si :
suspicion de NCB sp
bilan avant infiltration de CTC
chir des NCB rebelles au ttt med
si C8-T1 : Rx thorax (Pancoast-tobias)
PEC de la NCB commune
repos relatif
collier d’immobilisation
AINS voire CTC générale 2 à 3S si besoin
infiltrations péri radiculaires de CTC : discutées
ttt chir si echec ttt med ou déficit moteur important
sensibilité du nerf médian
face palmaire 3 premiers doigts et moitié radiale de l’annulaire
face dorsale des 2e et 3e phalanges de l’index, majeur et moitié radiale de l’annulaire
motricité du nerf médian
thénar : court abducteur du pouce faisceau superficiel du court fléchisseur opposant du pouce lombricaux externes
bilan PC devant sd canal carpien
Rx poignet F P et incidence défilé carpien à la recherche d’une anomalie osseuse
EMG : si formes frustes et atypiques ou en préop systématique (médico-légal)
etio du sd du canal carpien
idiopathique trauma : cal vicieux séquelles fracture du radius activités pro ou sportives répétitives endoc : GG hypoT diabète acromégalie rhumatismale : ténosynovite inflame (PR) infectieuse : TB arthrose kyste synovial goutte, CCA, apatite amylose
PEC d’un sd du canal carpien
etio
med :
immobilisation du poignet par attelle de repos nocturne
infiltration de CTC (CI si matériel d’ostéosynthèse)
chir : neurolyse du nerf médian après section du ligament annulaire antérieur du carpe si :
forme sévère d’emblée : amyotrophie, déficitaire
echec ttt med
ttt prophylactique (attelle de fonction, adaptation de poste) déclaration en MP
physiopath RGO (et donc FDR)
perméabilité de la barrière oeso-gastrique :
hernie hiatale par glissement
hypotonie du SIO
augmentation de la pression intra-abdo : GG obésité constipation toux chronique
défaut de compensation du RGO physiologique :
hyposialorrhée
tb moteurs oesophagiens
facteurs aggravants RGO
alimentation trop riche, alcool, chocolat, thé, café
med : aspirine, AINS, DN, inhib calcique, BZP, morphinique, OP, anti-cholinergiques, B2 mimétiques
SNG
GG