med24 Flashcards

0
Q

objectifs anti-Xa et TCA pour HBPM et HNF en curatif

A

HNF :
anti-Xa : 0,3 à 0,7
TCA : 2-3
HBPM : anti-Xa : 1,2 plus ou moin 0,17

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1
Q

etio de surdosage en AVK

A

difficulté d’équilibration au début du ttt
erreur de prise, mauvaise compliance
pathologie intercurrente modifiant la biodisponibilité des AVK :
déshydrat, dénutrition
tb dig
cancer, maladie inflam, hyperthyroidie, cholestase
IM :
antifongiques azolés
ATB (pénicillines)
sulfamides
AINS
statines
thyroxine
amiodarone
IH, IRénale, maladie hémorragique préexistante

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2
Q

antidote des héparines

A

sulfate de protamine IV, dose adaptée à l’anti-Xa

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3
Q

orientation sur la localisation d’une dyspnée laryngée

A

bradypnée inspiratoire

sus glottique : stridor, voix étouffée, dysphagie
glottique : stridor et ou cornage, dysphonie, toux majeure
sous glottique : cornage, voix normale ou rauque, toux rauque

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4
Q

bilan PC devant un tableau de laryngite aigue sous glottique

A

aucun

diag clinique

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5
Q

PEC d’une laryngite aigue sous glottique

A

PEC initiale aux urgences (pas d’hospit systématique)
accord parental, réassurance

MEC : O2, position demi-assise, scop, VVP

adré en nébulisation
CTC IV puis relais PO

surveillance : rééval après quelques heure :
si echec : hospit et poursuite ttt
si amélioration : retour à dom avec CTC PO pdt 3j, PEC de la rhinopharyngite associée

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6
Q

physiopath et complications d’une épiglottite aigue

A

infection supra-glottique à HI (plus rarement staph) responsable de micro-abcès de l’épiglotte voire d’une septicémie

DRA, décès
septicémie, choc septique
méningite aigue purulente (souvent associée)

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7
Q

PEC d’une épiglottite aigue

A

hospit, urgence thérap en USI ped
MEC : demi-assis, O2 voire IOT en position assise, scope, VVP

ATB IV après HC par augmentin
CTC IV quelques j après debut atb

MAJ du calendrier vaccinal à distance
ATBprophylaxie pour sujets contact : riampicine 4j
surveillance rapprochée

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8
Q

PEC d’un corps étranger de l’oreille

A

tympan intact : lavage d’oreille pour évacuation
perforation tympanique : évacuation CI, l’utilisation d’instruments mousses est effectuée par le spécialiste
si CE volumineur : chir

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9
Q

PEC d’un corps étranger intra-nasal

A

extraction instrumentale par voies naturelles avec vasoconstriction locale et rétraction de la muqueuse

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10
Q

complications d’un corps étranger trachéo-bronchique

A
précoce :
  bronchoalvéolite
  oedème réactionnel localisé
tardive :
  bronchorrhée
  sténose bronchique
  bronchectasies
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11
Q

laryngomalacie : clinique, diag positif, PC, PEC

A

terrain : nourrisson inf 6mois
stridor inspi aggravé aux efforts, détresse respi aigue

nasofibroscopie pour diag positif et éliminer diag dif

pas de PC sauf si mauvaise tolérance : endoscopie laryngoscopie laryngo-trachéo-bronchqiue sous AG

abstention thérap si bonne tolérance avec surveillance au long cours (développeent staturo-pondéral)
si mauvaise tolérance ttt anti reflux voire PEC chir par voie endoscopique si échec

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12
Q

physiopath laryngite aigue sous-glottique et clinique

A

inflammation de la région sous-glottique d’origine virale (myxovirus, parfois influenza A et B, adénovirus)
oedème sténosant la lumière laryngée

garcon de 1 à 3ans, contexte hivernal
épisode infectieux ORL bénin
fièvre élevée
bradypnée inspi, cornage, voix rauque, toux rauque prédominance nocturne
parfois asphyxie

examen oropharyngé normale
si bonne tolérance nasofibro mettant en évidence un oedème situé au-dessous des CV

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13
Q

clinique épiglottite aigue et gestes CI

A
garcon de 3 ans non vacciné contre HI
fièvre élevée
dyspnée inspi majeure de début brutal
voix étouffée
dysphagie

AEG majeure
ADP cervicales
position demi-assis, penché en avant la bouche ouverte avec refus de la position allongée

CI :
  faire allonger l'enfant
  utiliser un abaisse langue
  fibro laryngée
  prélèvement de gorge
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14
Q

sg d’hypoxémie

A
cyanose
polypnée (FR sup 30)
tachypnée (polypnée superficielle)
tachycardie
tb conscience
anxiété
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15
Q

sg d’hypercapnie

A
agitation
hypersudation
encéphalopathie (astérixis, flapping tremor)
tb conscience
HTA
céphalée
tachycardie
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16
Q

sg d’épuisement respi

A

bradypnée (FR inf 10)
pauses respi
apnée

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17
Q

CI à la VNI

A
tb conscience (somnolence, coma)
tb déglutition
vomissements
hématémèse
gastrectasie aigue
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18
Q

particularités d’une insuffisance respiratoire aigue sur chronique

A

lutte contre hypoxémie avec SaO2 88-92%
O2 inf 2-3L par min (risque d’aggraver hypercapnie et acidose respi) mais la correction de l’hypoxémi prime (si besoin débit plus fort)

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19
Q

etio de dyspnée néonat laryngée

A

laryngomalacie
paralysie des cordes vocales
laryngite néonat herpétique
malformations laryngée

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20
Q

etio de dyspnée laryngée entre un et 6mois

A

hémangiome sous-glottique
sténoses congénitales
laryngite aigue sous-glottique (rare à cet age)

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21
Q

etio de dyspnée laryngée chez l’enfant (plus de 6mois)

A
CE
épiglottite aigue
laryngite aigue oedémateuse sous-glottique
laryngo-trachéo-bronchite hypersécrétante bactérienne
laryngite striduleuse
laryngite morbilleuse
laryngite diphtérique
traumatismes
quincke
tumoral : papillomatose laryngée
IC
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22
Q

laryngite striduleuse : clinique et ttt

A

fq et bénin
spasme glottique de survenue brutale, dyspnée laryngée inf 1h
régression spontanée, récidives fq

CTC PO

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23
Q

PEC d’une intox aux opiacés

A

urgence thérap
VVP, LVAS
O2 à fort débit au MHC ou IOT
scope

tt spé :
stimuler le patient
antidote : Naloxone IV en titration pour FR sup 10 et PAs sup 100 puis IVSE en entretien

PEC d’une RAU

surveillance : FR, SaO2, TA, diurèse, examen neuro

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24
Q

bilan PC devant une suspicion de décompensation acido-cétosique d’un diabète

A
GDS lactates
iono, urée, creat
glycémie
BU avec recherche cétonurie
tox sanguins et urinaires
bilan PC
NFS CRP
Rx thorax
ECG si hyperK
HC
ECBU
autres en fonction
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25
Q

pourquoi souvent hyponatrémie dans acido-cétose

A

fausse hyponatrémie avec DIC due à une hyperglycémie majeure

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26
Q

hypophyse se rehausse t elle avec le PDC et pourquoi

A

oui
car absence de barrière hémato-encéphalique donc passage du PDC dans le secteur extra-cellulaire à la différence du parenchyme cérébral

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27
Q

situation physiologiques d’hypertrophie et d’hypotrophie hypophysaire

A
hypo :
  enfant
  adulte sup 50ans
hyper :
  puberté
  GG
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28
Q

grandes causes d’amenorrhée secondaire

A
basses :
  ovariennes :
    ménopause précoce
    SOPK
  utérine :
    grossesse
    stenose cicatricielle du col
    synéchie utérine
    iatrogène (DIU, implant sous cut)
causes hautes :
  hypophysaires :
    sd de Sheehan
    hypophysite AI
    hyperprolactinémie
  hypothalamique
    post-pilule
    anorexie mentale
    sportifs haut niveau
    psychogène
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29
Q

complications du coma avec station au sol prolongée

A
respi :
  PNP d'inhalation voire SDRA
  hypoventilation alvéolaire
escarres
rhabdomyolyse et ses complications :
  IRénaleA organique (NTA)
  hyperkaliémie
  acidose lactique
hypothermie par dérégulation thermique
TVP
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30
Q

CI du flumazenil

A

poly-intoxications, on ne l’utilise que dans les mono-intox aux BZP

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31
Q

score de glasgow liege (description du liege uniquement)

A
à ajouter au score de glasgow
si présence de tous les réflexes du TC : 5pts
si perte de :
fronto palpébral : 4pts
oculo-céphalique vertical : 3pts
RPM : 2pts
oculo-céphalique horizontal : 1pt
oculo-cardiaque : 0pt
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32
Q

diag dif de coma

A
psy : 
  conversion hystérique
  catatonie
  simulation 
neuro :
  locked-in sd
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33
Q

sd de Brown-Sequard physiopath et clinique

A
atteinte de l'hémimoelle :
  atteinte voie lemniscale :
    tb sensibilité profonde homolat
    tb du tact épicritique homolat
  atteinte du faisceau pyramidale :
    sd pyramidal homolat
  atteinte de la voie spinothalamique :
    tb de la sensibilité thermo-algique controlatérale (car décussation au niveau du point d'entrée de la moelle)
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34
Q

IRM d’un méningiome médullaire

A

lésion intradurale extra-médullaire arrondie bien limitée
rattachée à la dure-mère en queue de comète
base d’implantation large
isosignal T2, PDC important
effet de masse sur la moelle
absence de prolongement dans le foramen de conjugaison

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35
Q

FF des méningiomes à ne pas oublier

A

contraception oestroprogestative

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36
Q

types de claudication et leurs caractéristiques rapidement

A

médullaire :
indolore
sd pyramidal avec déficit moteur à la marche, spasticité, lourdeur des jambes
prolongée après arrêt de l’effort

vasculaire :
  FDRCV
  abolition des pouls périph
  dl, à type de crampes aux mollets
  dl disparaissant rapidement après arrêt de l'effort
  IPS inf 0,9

radiculaire :
dl suivant un trajet radiculaire
disparait à l’arrêt en quelques min (moins rapide que vasculaire)
soulagées par antéflexion du tronc (sg du caddie)

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37
Q

1 truc à pas oublier dans PEC d’un méningiome

A

CI des oestroprogestatifs (FF)

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38
Q

IRM d’un schwannome médullaire

A
bien délimitée
centrée sur foramen de conjugaison
en forme de sablier sur les coupes axiales
refoulant le cordon médullaire
intradurale mais extra-médullaire
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39
Q

etio de sd de la queue de cheval

A

tumoral :
neurinome de la QDC
ependymome du filum terminal
tumeurs osseuses : primitives ou secondaires

infectieuse:
SPD

dégénérative :
volumineuse HD lombaire

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40
Q

éléments du sd rachidien

A

dl à la palpation des épineuses
contracture para-vertébrale
raideur rachidienne

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41
Q

éléments du sd lésionnel

A

sd neurogène périph dans le territoire de la racine atteinte :
dl radiculaire
deficit moteur avec hypotonie (pas de sd pyramidal)
abolition ROT
déficit sensitif
tb trophiques

42
Q

éléments du sd sous-lésionnel

A
atteinte des voies longues :
  faisceau pyramidal :
    claudication médullaire
    sd pyramidal
  sd cordonal post :
    niveau sensitif
    ataxie proprioceptive
    dl cordonales post à type d'étau
    sg de Lhermitte
  faisceau spino-thalamique :
    déficit sensibilité thermo-algique sous lésionnel
  tb vésico-sphinctériens (impuissance, RAU, constip)
43
Q

sd de la queue de cheval

A
sd rachidien
sd neurogène périph pluri-radiculaire :
  dl pluriradiculaires
  déficit moteur périph :
    hypotonie
    abolition des ROT, RCP flexion
  déficit sensitif complet des MI
anesthésie périnéale en selle, abolition des réflexes périnéaux
tb vésico-sphinctériens : impuissance, dysurie
44
Q

sd du cône terminal

A

sg de compression médullaire : sd pyramidal distal avec Babinski bilat

et sg périph :
déficit moteur flasque proximal
anesth en selle
tb vésico-sphinctériens précoces
abolition réflexes périnéaux
45
Q

bilan PC devant une compression médullaire

A

urgence diag
IRM médullaire ou de la queue de cheval en urgence (T1 T2 T1gado FATSAT coupes sagittales et axiales)

sans retarder PEC thérap :
Rx rachis F et P
TDM rachis

préop : calcémie si tumeur osseuse

46
Q

diag dif de compression médullaire

A

myélite (SEP, HSV, VZV)
infarct médullaire
SCM
syringomyélie (atteinte suspendue, déficit moteur périph, anesth thermo-algique)

47
Q

racine reflexe bicipital

A

C5

48
Q

racine reflexe stylo-radial

A

C6

49
Q

racine reflexe tricipital

A

C7

50
Q

racine reflexe cubito-pronateur

A

C8-T1

51
Q

racines réflexe cutané abdominaux

A

T4 à T10

52
Q

racine reflexe rotulien

A

L3-L4

53
Q

racine réflexe achiléen

A

S1

54
Q

racines reflexes bulbo-caverneux ou clitorido-anal

A

S2-S4

55
Q

examen de première intention devant suspicion d’hypertrophie benigne de prostate

A

BU

ECBU seulement si suspicion ou ATCD d’IU

56
Q

complications de l’hypertrophie bénigne de la prostate

A

aigue :
prostatite aigue, PNA
RAU
chroniques :
retentissement vésical : vessie de lutte, diverticules vésicaux, rétention chronique d’urine (sup 100mL)
incontinence par regorgement
hématU
retentissement rénal : urétéro-hydronéphrose, IRénaleC
hernies inguinales ou crurales, hémorroides

57
Q

PEC de l’hypertrophie bénigne de prostate et indications

A

asp : surveillance simple
sp non compliqué : RHD et ttt med
HBP compliquée ou résistance au ttt med : chir

RHD :
diminution apports hydriques le soir
régularisation du transit (activité physique)
CI med anticholinergiques

med :
phytothérapie
alphabloquants
inhib 5 alpha réductase
tadalafil (HBP avec dysfonction érectile)
associations thérap
(anticholinergiques autorisés si SFU irritatifs et obstructifs concommitant mais tjs en association)

chir :
RTUP (inf 60g)
AVH (sup 60g)
ICP (jeune, inf 30g)

alternatives si non opérable :
endoprothèse urétrale
sondage à demeure
abstention thérap avec surveillance

58
Q

sur quoi repose la décision thérap d’une hypertrophie bénigne de prostate

A

gêne sp
complications
souhaits du patient

59
Q

surveillance de l’hypertrophie bénigne de prostate

A
clinique :
  interro
  score IPSS
  TR
annuelle
60
Q

bilan PC pour confirmer une insuffisance surrénalienne

A

sans retarder le ttt

cortisol plasmatique effondré
ACTH plasmatique (effondrée ou augmentée selon etio)
aldostérone basse
rénine augmentée

dosage dynamique : test au synacthène ordinaire negatif (pas d’élévation du cortisol)

61
Q

polyendocrinopathie auto immune de type 2

A
thyroidite AI
IS par rétraction corticale AI
DT1
vitiligo
myasthénie
Biermer
...
62
Q

polyendocrinopathie auto-immune de type 1

A

hypoparathyroidie
candidoses
IS par rétraction corticale AI
thyroidite AI

63
Q

PEC d’une insuffisance surrénale chronique

A

urgence sans attendre résultats des examens bio

ambu en l’absence de décompensation aigue

hormonothérapie substitutive de l’IS :
glucoCTC : hydrocortisone 20-40mg par j (en 2-3 prises par j)
minéraloCTC : fludrocortisone 50 à 150 microg en une seule prise par j
à vie

education thérap :
ttt a vie
régime normosodé
doubler dose d’hydrocortisone si fièvre ou pathologie intercurrente
pas d’automed (diurétiques, laxatifs)
avoir toujours au domicile une ampoule de 100mg d’hydrocortisone
carte d’Addisonien
prévenir tout nouveau médecin consulté
connaitre les sg d’ISA
hydrocortisone par voie parentérale si tb dig avec apprentissage de la technique d’inj par l’entourage

100% ALD
PTS, assoc de malades
suivi régulier

surveillance :
sg cliniques
iono sang

64
Q

sd de Schmidt

A

thyroidite AI (hashimoto) + IS périph AI (rétraction corticale)

65
Q

comment différencier carie de l’émail, de la dentine, pulpite aigue, desmodontite aigue (clinique et PC)

A

carie émail :
asp
rugosité à l’inspection et au sondage

carie dentine :
  dl provoquée (froid, acide)
  percussion indolore
  vitalité : dl (préservée)
  lacune radio-transparente
pulpite aigue :
  dl spontanée
  percussion transverse dl
  vitalité : dl (préservée)
  atteinte pulpaire à la radio
desmodontite aigue :
  dl spontanée
  impression de dent longue
  percussion axiale dl
  vitalité : indolore (non préservée)
  élargissement de l'espace alvéolo-dentaire
66
Q

PEC d’une pulpite aigue

A
en aigu :
  soins dentaires : ouverture de la chambre pulpaire
  antalgiques locaux et généraux
au décours :
  pulpectomie = dévitalisation
  obturation par un amalgame
éducation :
  HBD
  arrêt tabac
67
Q

diag dif d’une cellulite cervico-faciale et comment les différencier

A

sous mandibulite aigue

tuméfaction inflam adhérente à la mandibule : pas de sillon

68
Q

complications des cellulites cervico-faciales et lésions dentaires

A
sepsis sévère, choc
EI, SPD, arthrite septique
médiastinite
thrombophlébite du plexus ptérygoidien ou de la veine facio-ophtalmique
sinusite maxillaire
ostéite chronique (kyste et granulome)
abcès dentaire
69
Q

stades de cellulite cervico-faciale et clinique rapidement pour chacun

A
séreuse = inflam (tuméfaction inflam mal limitée)
collectée = abcédée (collection fluctuante, trismus, fièvre élevée)
diffusée = gangréneuse (crépitants, emphysème sous-cutané) à ne pas confondre avec diffuse
70
Q

bilan PC devant cellulite cervico-faciale

A
NFS VS CRP
HC
prélèvements locaux
TDM facio-cervico-thoracique injecté
panoramique dentaire
bilan préop
creat, hémostase
71
Q

PEC d’une cellulite cervico-faciale

A

hospit en urgence
MEC : jeun, VVP
arrêt AINS
ttt sp : antalgiques, antipyrétiques
ATB : IV double proba urgence efficace sur anaérobies et strepto
ttt chir pour les formes collectées et gangreneuses : drainage de l’abcès avec bactério, exérèse des tissus nécrosés
dans tous les cas : avulsion de la dent causale

ttt préventif de le thrombophlébite de la veine faciale ou du plexus ptérygoidien : AC préventive
surveillance

72
Q

FF de lésions dentaires

A
locaux :
  MHBD
  alimentation sucrée
  hyposialie
  tabac
  malposition dentaire
  trauma dentaires
  parodontopathie
  tb articulé dentaire
généraux :
  hérédité
  diabète
  carence fluor
  ID
  AEG
  iatrogénie
73
Q

PEC d’une carie

A

ablation du tissu carié
obturation par un amalgame
éducation (HBD)

74
Q

PEC d’une desmodontite aigue

A

ATB 5j et ttt conservateur : pulpectomie et obturation par amalgame
ou avulsion

75
Q

types d’ostéite de l’os alvéolaire, aspect radio et ttt

A

granulome (inf 5mm)
kyste (sup 5mm)

lacune radiotransparente de l’os alvéolaire au niveau de l’apex

avulsion de la dent
ablation du kyste
ATB

76
Q

PEC d’une gingivite

A

BdB
détartrage
éducation

77
Q

FF de caries

A

MHBD
tabac
hyposialie
AEG

78
Q

education des lésions dentaires

A

HBD
réduction conso de sucres
supplémentation fluor
surveillance régulière (au moins 1 par an par dentiste)

79
Q

types de gingivopathie

A

gingivite tartrique
gingivite ulcéro-nécrotique
gingivite odontiasique (liée aux dents de sagesse le plus souvent)

80
Q

etio d’hypertrophie gingivale

A
idiopathique
hormonale
carentielle
iatrogene
hémopathie
81
Q

FDR de transformation d’un adénome en CCR

A
taille sup 1cm
importance de la composante histologique (villeux plus que tubuleux)
degré de dysplasie
nb de polypes
base d'implantation large
82
Q

surveillance d’un CCR après ttt

A

clinique : par 3 mois pdt 2 ans puis tous les 6mois pdt 3ans

coloscopie a 2 ans puis par 5ans

Rx thorax annuelle pdt 5ans

echo abdo tous les 3 mois pdt 3ans puis par 6mois pdt 2 ans (peut être remplacé par TDM TAP inj dont la fq est définie par le stade du CCR)

ACE par 3mois pdt 3ans

83
Q

bilan d’extension devant un carcinome baso-cellulaire

A

aucun car évolution lente, locale et pas de dissémination à distance

84
Q

maladie de Bowen : description

A

lésion carcinomateuse in situ
plaque rouge érythémateuse
bien délimitée
au niveau de la peau ou en zone muqueuse

85
Q

grands diag dif d’appendicite

A
dig : 
  adénolymphite mésentérique (sup 3ans)
  IIA (inf 3ans)
  diverticule de Meckel (enfant)
  crohn
  iléite infectieuse : yersinia, CMV, TB
  diverticulite colique droite
  cancer caecum infecté
  GEA
  cholecystite aigue, hépatite virale, budd-chiari
  UGD perforé
  occlusion du grêle
urinaires :
  PNA
  colique néphrétique
gynéco :
  GEU
  salpingite aigue
  torsion d'annexe, rupture de kyste ovarien
pneumo :
  PNP base droite
systémique :
  purpura rhumatoide
86
Q

indications d’imagerie et aspect scannographique d’une appendicite

A

si tétrade CRP, hyperleucocytose, défense en FID, T° sup 38 : pas d’imagerie chir d’emblée

si absence de certains éléments : imagerie

si aucun des 4 : pas d’imagerie

TDM abdomino-pelvienne :
epaississement de la muqueuse appendiculaire
infiltration de la graisse péri-appendiculaire formant une image en cocarde
complications

87
Q

sg de gravité d’une crise d’asthme (et donc définissant l’asthme aigu grave)

A
DEP inf 60%, inf 150L par min
SaO2 inf 90%
FR sup 25
FC sup 110
cyanose
parole impossible
sg d'épuisement
respiration paradoxale
diminution des sibilants (silence auscultatoire)
sg de coeur droit aigu
agitation
confusion
impossibilité de s'allonger
GDS :
  PO2 inf 60
  PCO2 sup 45
88
Q

PEC d’un asthme aigu grave (sans surveillance) avec poso adulte et enfant

A

urgence, hospit
scope, sat, VVP, patient assis
LVAS
O2 par lunettes ou masque pour sat sup 95%
bronchodilatateurs :
B2 mimétiques action rapide en nébulisation (salbutamol 5mg par 2mL par 20min X3 en 1h puis par 4h)
anticholinergiques 1 fois sur 2 en nébulisation (bromure d’ipratopium 0,5mg en 20min puis par 6h)
CTC systémiques : prednisone 2mg par kg par j avec supplémentation potassique
si échec : salbutamol IVSE, adré si choc anaphylactique
kiné respi
ttt FD
surveillance
mesure DEP

89
Q

surveillance clinique du ttt d’un asthme aigu grave

A
scope : FC, TA
Sat
FR
dyspnée
détresse respi
conscience
DEP
90
Q

facteurs déclenchants d’une crise d’asthme ou d’un asthme aigu grave à rechercher

A

observance
technique de prise
compréhension de la différence entre ttt de fond et ttt de crise
prise med : BB, AINS, aspirine

environnement :
tabac
allergène pro ou loisir
expo à des polluants

co-morbidité aggravante :
  rhinite, sinusite chronique
  RGO
  SAOS
  IC gauche
91
Q

FDR d’asthme aigu grave et de mort par asthme

A

co-morbidités en particulier psy
ado et sujet agé
ATCD d’asthme presque fatal ou de séjour en réa pour asthme
VEMS inf 40%
réversibilité sous B2 sup 50%
visites fq aux urgences ou hospit itératives
patients mauvais percepteurs de leur obstruction bronchique
conso tabac sup 20PA
mauvaise observance, déni de la maladie
utilisation de 3 ou plus med pour l’asthme
arrêt d’une CTC orale dans les 3mois
intolérance à l’aspirine

92
Q

physiopath rosacée

A
anomalies de vascularisation faciale : 
  bouffées vasomotrices
  érythème permanent
colonisation par Demodex folliculorum (acarien) :
  favorisée par DCTC
  à l'origine de phénomènes inflam
  papulo-pustules
93
Q

mesures associées au ttt med dans acné

A

ambu

ttt préventif :
hygiène locale : toilette biquotidienne avec pain dermato sans savon
pas d’antiseptique locaux
pas de manipulation des lésions
crème hydratante quotidienne adaptée aux peaux acnéiques
éviter cosmétiques trop occlusifs

education répétée :
pas de régime alimentaire particulier
pas d’expo solaire exagérée (amélioration transitoire avec recrudescence secondaire)
préférer OP sans activité angrogénique ou anti-androgène
information sur l’efficacité au long cours du ttt, observance
risque des ttt et modalités particulières de suivi

PTS

94
Q

stades de la rosacée et leur description

A

phénomènes vasculaires paroxystiques : bouffées vasomotrices :
flushes du visage et cou
régression spontanée en quelques min
evolution chronique par poussée

phénomènes vasculaires permanents : rosacée érythémato-télangiectasique :
erythrose faciale permanente
télangiectasies des joues et ailes du nez

stade papulo-pustuleuse :
stade inflam
papulo-pustules sur fond érythémateux

stade hypertrophique : rhynophyma
nez volumineux, rouge, orifices folliculairs dilatés, peau épaissie (trogne)
pas d’origine alcoolique

95
Q

FD des flushes de rosacée

A

alcool
changement de T°
plats épicés

96
Q

complications fq de la rosacée

A

oculaires :
conjonctivites
blépharites
kératite

97
Q

diag dif des lésions de rosacée selon les stades

A
flush :
  sd carcinoide
  cancer médullaire thyroide
érythémato-télangiectasique :
  lupus
  sd cushing
  maladie de Vaquez
  rosacée cortisonique
inflam papulo-pustuleux :
  acné
  dermatite seborrheique
rhinophyma :
  alcool chronique
98
Q

PEC d’une rosacée selon les stades

A

ambu

flushes :
arrêt FD

erythémato-télangiectasiques :
laser vasculaire ou électrocoagulation

inflam papulo-pustuleux :
formes mineures : topiques au métronidazole (2 par j pdt 3mois)
formes étendues : topiques métronidazole et cycline PO
CI CTC

rhinophyma :
laser CO2 ou ttt chir

le ttt est suspensif, risque de récidive à l’arrêt

99
Q

physiopath dermatite seborrheique

A

role d’une levure : malassezia furfur

association préférentielle avec VIH

100
Q

clinique d’une dermatite seborrheique

A

homme 18-40ans
evolution chronique par poussées

visage :
plaques érythémato-squameuses, mal limitées
recouvertes de petites squames grasses non adhérentes
prédominance dans les zones seborrheiques (sillons naso-labiaux, sourcils, glabelle, lisière antérieure du cuir chevelu)

cuir chevelu :
peut être isolée sans atteinte faciale
état pelliculaire simple

tronc :
plaques annulaires à bordures squameuses à la face antérieure

101
Q

bilan PC devant dermatite seborrheique

A

aucun pour diag clinique

séro VIH

102
Q

PEC d’une dermatite seborrheique

A

ambu

education :
affection chonique, ttt permettent la rémission mais pas la guérison définitive
ttt au long cours
ES possibles

toilette à base lavante douce
shampooing adapté (zinc, sélenium ou antifongique)
antifongiques locaux ou gluconate de lithium pdt 2-4S
formes sévères : DCTC modérés en cure courte

103
Q

terrains de la dermatite seborrheique

A

parkinson
alcoolique
cancer ORL
VIH