med31 Flashcards
PEC lithiase de la VBP non compliquée
ttt endoscopique si patient n'est pas à opérer (déja cholecystectomisé ou comorbidités) : duodénoscopie pour repérer papille CPRE pour reperer calculs sous ATB sphinctérotomie endoscopique puis extraction des calculs à la sonde voire cholecystectomie coelio a distance
ttt chir si découverte per op de lithiase de la VBP ou patient jeune sans comorbidités :
après cholecystectomie
accès VBP par canal cystique ou par choledocotomie
extraction des calculs par sonde ou pince
verif de la vacuité de la VBP par CPRE
discuter drainage des VB
echo d’une cholecystite aigue
murphy echo
vésicule anormale : parois épaissies sup 4mm, aspect en double contour, augmentation du volume vésiculaire voire sludge vésiculaire
calcul enclavé dans le collet vésiculaire ou canal cystique
VBP non dilatée en dehors de lithiase de la VBP ou sd de Mirizzi
complications CPRE
AG hémorragie papille perforation duodénale angiocholite aigue PA
PEC d’une angiocholite aigue lithiasique
urgence thérap
hospit en chir, jeun, bilan preop
VVP, RHE, controle HD
ATB proba IV par augmentin et aminosides pour 10-14j
si evolution favorable : ttt comme lithiase de la VBP non compliquée
si sepsis non controlé après ttt med ou PA associée :
CPRE et sphinctérotomie endoscopique pour drainage des VB en urgence
PEC vésicule dans un 2e temps
grands principes de ttt d’une pancréatite aigue biliaire
si sup 48h : ttt comme PA
si inf 48h : ttt comme angiocholite
critères de colique néphrétique compliquée
terrain : GG Irénale rein unique clinique : fièvre anurique hyperalgique
PEC colique néphrétique compliquée et non
ttt dl :
restriction hydrique à phase aigue
antalgiques classe I ou II, antispasmodiques, AINS
tamissage systématique des urines
si compliquée :
fébrile = PNO
urgence chir
CI AINS sinon choc septique
dérivation des urines en urgence et ATB par FQ et aminosides
persistance dl malgré ttt 1ere intenton :
Nefopam IVSE
si echec morphine
si echec (CN hyperalgique) : dérivation des urines
PEC spécifiques des calculs rénaux
abstention thérap si asp et inf 5mm
si sp ou sup 5mm :
lithotritie extra-corporelle
ureteroscopie (siège pelvien)
nephrolithotomie percutanée (si sup 20mm)
controle systématique de la stérilité des urines par ECBU
CI et ES ttt spé des calculs rénaux
LEC : IU, tb hémostase, GG
ureteroscopie : risque de lésion urétérale
NLPC : risque de plaie sur trajet (vasc, dig)
bilan PC etio d’une lithiase urinaire
bilan PC, uricémie, creat, NFS
sur urines : calciurie, uraturie, phosphaturie, cristallurie, ionoU, ECBU
uroscanner
analyse spectrophotométrique par infrarouge du calcul
RHD des calculs urinaires (avec spécificité pour chaque type)
boissons abondantes 2L par j
eviter déshydratation
calcique : acidification urines
acide urique : alcalinisation des urines, régime hypo-uricémiant
struvite : ttt de l’IU, alcalinisation des urines
indications a dérivation des urines en urgence dans colique néphrétique
anurie
fièvre
colique néphrétique hyperalgique
rupture de la voie excrétrice
etio de calcul rénal calcique
hypercalciurie avec hypercalcémie : hyperparaT intox vit D sarcoidose immobilisation hypercalciurie sans hypercalcémie : hypercalciurie idiopathique hyperparaT primaire à calcémie N endoc : hyperT, cushing, phéo, acromégalie rénales : acidose tubulaire, diurétiques de l'anse, acétazolamide, lithium Paget
etio de calcul rénal urique
idiopathique (le plus fq)
goutte primitive
lyse tumorale
bilan PC devant maladie de Parkinson
aucun si typique
DAT scan si cas difficile
IRM cérébrale en cas de sg d’alerte ou FDR CV importants
bilan cuivre si sujet jeune
evolution classique d’une maladie de Parkinson
phase lune de miel sous ttt :
excellente dopa-sensibilité initiale
controle maladie, disparition des sg moteurs
phase des complications motrices :
fluctuations motrices :
akinésie de fin de dose : secondaire à l’épuisement des réserves dopaminergique
phénomène on off : réapparition brutale d’une akinésie sans chronologue fixe par rapport à la prise de dopa
dyskinésies :
milieu de dose : surdosage, choréo-athétose
début et fin de dose : sous-dosage, dystonies
phase de détérioration progressive :
sg axiaux : instabilité posturale avec chute
sg cognitifs : démence
tb vésico-sphinctériens
PEC tremblements dans Parkinson
anticholinergiques
PEC dyskinésies de fin de dose
galénique à libération prolongée augmenter doses fractionner doses associer agoniste dopaminergique inhib de la dégradation de la L-dopa : inhib de la catechol-O-méthyltransférase = entacapone IMAO B = selegiline
PEC dyskinésies de milieu de dose
diminuer L-dopa
fractionner doses
amantadine
PEC périodes on off sévère
apomorphine (agoniste dopaminergique D2)
stylo auto-injectable SC
ES L-Dopa
hypoTA
tb dig
tb psy
PEC d’une psychose dopaminergique
dans l'ordre : arrêt des anticholinergiques arrêt des agonistes dopa dose minimale efficace de L-dopa ajout neuroleptique 2e génération si echec : clozapine avec surveillance NFS
sg en faveur de névralgie trigéminale primaire (et par antagonisme secondaire)
predominance féminine
sup 50ans
dl à type de décharge électrique brève très intense
durée de quelques secondes
V2 ou V3 jamais V1
parfois les 2
zone gachette
période refractaire
examen neuro normal
etio de névralgie trigéminale secondaire
tumorale : tumeur de l'angle ponto-cérébelleux (neurinome, méningiome, cholestéatome) tumeur sinus caverneux (méningiome) méningite carcinomateuse trauma : fracture rocher vasc : compression vasc par anévrysme du tronc basilaire TBP sinus caverneux AVC tronc cérébral infectieux : zona gg de Gasser inflam : SEP lupus sarcoidose
PEC névralgie trigéminale
ttt med en 1ere intention :
si dl continues (secondaire) : antidépresseur tricylcliques
si dl paroxystiques : antiépileptique (gabapentine, carbamazépine, clonazepam)
ttt chir si echec :
thermocoagulation percutanée du gg de Gasser sous controle stéréotaxique
radio chir
décompression chir du trijumeau
PTS
surveillance
maladies souvent associées à la myasthénie
pathologies thymiques (hyperplasie, thymome bénin ou malin) pathologies AI : dythyroidie Biermer vitiligo lupus PR
FD de la myasthénie
infection med curares myorelaxants (baclofène) ATB : aminosides, sulfamide cardio : BB, quinidines BZP, neuroleptiques anti-épileptiques GG trauma, chir
examen physique devant suspicion de myasthénie
testing musculaire :
normal au repos
déficit moteur apparaissant à l’effort (flexions extensions, serrer main plusieurs fois)
manoeuvre de Mary-Walker :
poser garrot et serrage du poing pls fois
apparition d’un ptosis à la levée du garrot
spécifique mais peu sensible
test glacon : régression du ptosis au froid
test diag pharmaco aux anticholinestérasiques :
inj SC de prostigmine améliore déficit en 30min
en hospit
précédée d’inj d’atropine pour prevenir effets cholinergiques
sd de Lambert-Eaton : clinique, EMG
paranéo d’un CBPC
bloc neuro-musculaire pré-synaptique
homme sup 50ans tabagique
abolition ROT aux MI
sd dysautonomique
amélioration transitoire du déficit moteur à l’effort
EMG avec stimulation répétitive :
bloc neuro-musculaire pré-synaptique :
bloc neuro-musculaire à basse fq
incrément du potentiel d’action motrice et potentialisation à haute fq
diag dif d’une myasthénie auto-immune
myasthénie congénitale sd de Lambert Eaton SEP tox : curare, organophosphorés, venins hypokaliémie D-penicillamine botulisme hypothyroidie polymyosite cytopathies mitochondriales
PEC d’une crise aigue myasthénique
urgence thérap auto-inj d'1 ampoule de prostigmine SC appel 15, SAMU hospit en réa MEC : demi-assis, VVP, scope, SNG, a jeun
O2 pour SpO2 sup 94%
ttt etio :
anticholinestérasiques IV
Ig IV polyvalentes IV ou échanges plasmatiques si échec
PEC FD
ttt sp :
kiné respi
PEC tb deglutition
préventions decub
surveillance
clinique et ttt spécifique d’une crise cholinergique
musculaire : fasciculations, crampes respi : hypersécrétion bronchique dig : dl abdo, diarrhée CV : bradycardie hypersudation, sialorrhée, pilo-érection myosis
atropine
clinique d’une algie vasculaire de la face
homme jeune tabagique
durée : 15min à 3h
dl péri-orbitaire à type d’arrachement et de broiement de l’oeil
unilat, tjs même coté
sg vasomoteurs homolat :
congestion nasale, rhinorrhée
hyperhémie conjonctivale, larmoiement
sd de CBH
erythème de la pommette, hypersudation du front
rythme : 1 à 5 crise par j à heure fixe
périodicité des crises : périodes de quelques semaines, pédominant au printemps et automne, séparées par intervalles libres de plusieurs mois
PC devant algie vasc de la face
aucun
diag clinique
PEC d’une algie vasculaire de la face
info et educ patient sevrage tabac et alcool ttt crise : sumatriptan SC O2 haut débit (10L par min) ttt de fond : inhib calcique (vérapamil PO) PTS surveillance
conditions de réalisation d’une PBR
info CLA
absence de risque hémorragique : pas d'HTA dévère pas d'AAP ni AINS dans les 10j précédents pas de tb de l'hémostase pas de thrombopénie
absence d’IU (ECBU stérile)
echo rénale :
deux reins de taille normale bien défférenciés
pas de masse hypervascularisé ni kystique volumineuse
pas de DCPC
Gp Rh RAI
réalisation au lit du patient après repérage echographique
après : prévention risque hémorragique repos strict en décubitus dorsal 24h hydratation abondante (prevention caillotage))
PEC d’une néphropathie glomérulaire globale
ttt néphroprotecteur
antiproteinurique : objectifs proU inf 0,5g par j
régime (uniquement chez adulte) :
hypopro si EG normal : 0,8g par kg par j
normopro si risque dénutrition : 1g par kg
hyperpro si dénutrition : 1,2g par kg
med toujours même si pas d’HTA : IEC et ou ARAII
anti-HTA : objectif inf 140 90 régime hyposodé med : privilégier IEC et ARAII dépister et ttt autres FDRCV CI néphrotoxiques
définition sd néphrotique pur et impur
sd néphrotique :
proU sup 3g par 24h
et alb inf 30g par L
et ou protidémie inf 60g par L
pur si absence :
HTA
hématU
IRénale organique
etio de sd néphrotique
primitives : sans hematU : LGM HSF GEM avec hematU : GEM Berger GNMP
secondaires : sans hématU : LGM HSF GEM amylose AL ou AA diabète avec hematU : GEM IgA secondaire lupus GNMP
def sd néphritique aigu
sd néphrotique explosif OMI HTA IRénal enf 48h hématU macroscopique ou micro (de fort débit)
etio de sd néphritique aigu
primitive : sans hypocomplémentémie : Berger avec hypocomplémentémie : GNMP secondaire : sans hypocomplémentémie : purpura rhumatoide avec hypocomplémentémie : GNA post inf (strepto, endocardite, abcès,...) GNMP (VHC, cryo)
def GNRP
hématU micro de fort débit ou macroscopique IRénale rapidement progressive proU glomérulaire peu ou pas d'HTA peu ou pas d'OMI
sd d’hématuries macroscopiques récidivantes : etio
primitive : Berger sd d'Alport secondaire : néphropathies à IgA secondaires : cirrhose alcoolique maladie coeliaque purpura rhumatoide SPA crohn cryoglob
def glomerulonéphrite chronique
sup 3mois
etio de LGM
idiopathique le plus souvent
maladie de Hodgkin et autres lymphomes
AINS
diag de LGM
sp néphrotique le plus souvent pur
certitude histo : pas de lésion ni en MO ni IF
PEC LGM
si primitive ou associée aux AINS : CTC voie générale 1mg kg puis décroissance progressive après rémission mesures associées si secondaire : ttt de la cause ttt sp surveillance
evolution d’une LGM idiopathique
corticosensible
rémission
rechutes : a l’arrêt de la CTC = CTC dépendance
ou tardives imprévisibles
CTC résistance : envisager ttt d’épargne CTC par IS
sd néphrotique de l’enfant : etio plus fq et quand faire PBR
LGM dans 90% des cas
cas typique = pas de PBR si : sd néphrotique pur age 1-11ans pas de sg extra-rénaux pas d'ATCD fam de maladie rénale complément normal, bilan AI neg
etio d’HSF
idiopathique secondaire : VIH (HIVAN) obésité réduction néphonique (toute néphropathie, uropathies obstructives, agénésie rénale) drépano, med...
sd correspondant à HSF
sd néphrotique impur
glomérulonephrite chronique
histo d’une HSF
lésion :
turgescence podocytaire
synéchies floculo-capsulaires
dépots hyalins (substance amorphe)
segmentaires : seule une partie du glomérule est touchée
focales : seuls certains glomérules sont touchés
PEC d’une HSF
primitive : CTC secondaires : HIVAN : antiretroviraux drepano, réduction néphronique : pas de ttt spé obésité : perte de poids
etio de GEM
idiopathique : Ac PLA2R secondaire : VHB, syphilis cancer (adenoK poumon, sein, colon, mélanome) lupus sarcoidose med
sd correspondant à GEM
sd néphrotique pur ou impur
sd glomérulaire chronique
bilan PC devant GEM
sero VHB
recherche cancer : Rx thorax examen gyneco, mammographies TR : rectum prostate PSA examen ORL, FOGD, scan thorax, fibro bronchique voire coloscopie totale a adapter selon patient
si femme jeune : recherche lupus
PEC GEM
etio si secondaire
néphroprotection
pas de ttt IS en 1ere intention : indiqué si sg de gravité
néphropathies à IgA etio
primitive : Berger secondaire : purpura rhumatoide hépatopathies chroniques crohn, maladie coeliaque cancers
sd correspondant à néphropathie à IgA dans l’ordre de proba
glomérulonéphrite chronique
hématurie macro récidivantes (surtout après infection des VAS)
sd néphrotique impur
GNRP
histo d’une néphropathie à IgA
toujours : dépots mésangiaux d’IgA en IF (parfois visibles en MO)
autres possibles : rien prolifération cellulaire mésangiale prolifération endo ou extra capillaire stade avancé : sclérose glomérulaire, fibrose interstitielle lésions vasc chroniques
facteurs de mauvais pronostic de néphropathie à IgA
homme
noir
HTA, proU abondante
histo : fibrose interstitielle, lésions vasc
PEC d’une néphropathie à IgA
si hématU isolée : rien
si proU : néphroprotecteur
si forme grave proliférative active : discuter CTC
bilan PC devant GNRP
etio :
complément C3 C4 CH50
auto Ac : ANCA, anti-MBG, FAN, anti-DNA natif
cryobglob
sero VIH, VHB, VHC
PBR avec MO (prolif cellulaire endo et ou extra cap) et IF
complications : iono, GDS NFS Rx thorax TDM thorax sans inj au moindre doute
PEC d’une GNRP (détailler PEC pour goodpasture et vascularites à ANCA)
hospit en urgence en réa ou néphro
EER si besoin
ttt d’une HIA
ttt sp : RHE
ttt etio : pour goodpasture et vascularites à ANCA :
ttt IS en urgence :
CTC fortes doses IV :
3 bolus de solumédrol, relais PO, mesures associées
et cyclophosphamide ou rituximab IV
echanges plasmatiques (effet suspensif en attendant effet des IS) :
systématiques dans GP
vascularites à ANCA seulement si :
IRénale sévère
atteinte viscérale menacant pronostic vital
discuter si IRénale sévère non dialysée ou creat inf 500 mais rapidement progressive
sclérose latérale amyotrophique : clinique
atteinte corne antérieure de la moelle
evolution ascendante chronique
fasciculations
sd pyramidal parfois (atteinte du premier neurone moteur)
etio de mononeuropahie multiple
diabète
vascularite (PAN, lupus, Wegener, …)
lèpre, VIH, Lyme
etio de polyneuropathie longueur-dépendante
endoc : diabète hypothyroidie métabo : amylose IRénale tox : alcoolo-carentielle CT : platine, poisons fuseau isoniazide amiodarone tumoral : paraneo : Denny-Brown hémopathie : dysglobulinémie inflam : vascularite sarcoidose infectieux : VIH VHB VHC lèpre génétique : maladie de Charcot-Marie-Tooth
bilan etio devant polyneuropathie longueur-dépendante
selon HAS :
1e intention : GAJ NFS CRP GGT, VGM fonction rénale TSH
2e intention : EPS BHC sero VIH, VHB, VHC dosage B1 B6 B12 folates
classification des IMC
inf 18,5 : maigreur 18,5-25 : normal 25-30 : surpoids 30-35 : obésité grade 1 35-40 : obésité grade 2 sup 40 : obésité grade 3 (morbide)
def obésité androide et gynoide
selon rapport TdT sur TdH androide : sup 0,8 pour femme sup 0,95 pour homme gynoide : inf 0,8 pour femme inf 0,95 pour homme
facteur prédictif d’obésité dans l’enfance
rebond d’adiposité inf 6ans
bilan PC devant obésité chez enfant et adulte
adulte : GAJ et EAL si sup 45ans et IMC sup 28 uricémie ECG recherche complications sur point d'appel
enfant : aucun examen complémentaire systématique
etio d’obésité
primaire
secondaire : endoc : hypoT hypercorticisme insuffisance hypothalamo-hypophysaire déficit en GH chez l'enfant iatogène : CTC... génétique : Prader-Willi
complications de l’obésité chez l’adulte
CV : athérome accéléré AOMI, AVC, IDM HTA MTEV, IV ostéo-articulaire : arthrose ostéonécrose aseptique de la tête fémorale respi : sd restrictif, IRespi SAOS dig : NASH lithiase biliaire RGO cutané : infection (érysipèle, mycose) acanthosis nigricans métabo : DT2 dyslipidémie hyperuricémie cancer : sein, endomètre, prostate psychosocial : dépression, anxiété TCA opératoire : augmentation morbimortalité
PEC d’une obésité chez l’adulte (sans ttt chir)
objectifs : perte 10% du poids en 6-12mois puis stabiliser le poids
RHD : consult diet dédiée alimentation équilibrée, diversifiée, hypocalorique 3 repas par j voire une collation riche en fibres, fruits et légumes pas de grignotage lutte contre sédentarité, activité physique (3X30min par S) lutte contre FDRCV education nutritionnelle
ttt med : orlistat : inhib des lipases intestinales (diminue absorption des graisses) :
si echec des mesures classique, IMC sup 30 ou 28 avec complications
durée 1an max non remboursé, CI chez l’enfant
PEC complications
mesures associées :
PTS, TCC
info, educ, entretien motivationnel
surveillance à vie
ttt chir de l’obésité : types, indications, CI, complications
restriction gastrique : anneau gastrique gastrectomie longitudinale malabsorption intestinale : dérivation bilio-pancréatique by-pass gastrique
indication :
echec ttt med bien conduit pdt 1 an et :
IMC sup 40
IMC sup 35 avec complications améliorables par chir (HTA, SAOS, diabète)
CI : TCA (eval psy systématique)
complications : tb dig dumping sd carence martiale et B12 dénutrition séquelles esthétiques de l'obésité
FDR obésité chez enfant
obésité parentale ATCD fam de diabète petit poids de naissance ou macrosomie absence d'allaitement maternel GG : prise de poids excessive
douleur de pancréatite
épigastrique, transfixiante, irradiant vers hypochondres, très intense, permanente, soulagée par antéflexion
sg gravité clinique d’une pancréatite aigue
choc
sg Cullen (ecchymoses péri-ombilicales)
sg de Grey Turner (infiltration hématique des flancs)
obésité
bilan PC devant suspicion de pancréatite aigue
lipasémie
trypsinogène de type 2 sur BU (VPN 99%)
NFSP CRP BHC glycémie LDH iono urée creat bilan PC TP TCA GDS
imagerie : pas en urgence si diag posé
echo abdo (systématique)
TDM abdo sans et avec inj à 48-72h
IRM pancréatique si CI TDM
etio de pancréatite aigue
lithiase biliaire alcoolique maligne : adenoK tête du pancréas ampullome vatérien TIPMP métabo : hypercalcémie hypertriglycéridémie muco medicamenteuse anomalie canalaire infectieuse post-op ou CPRE MICI, connectivites, PAN génétique idiopathique
score orientant vers etio de pancréatite aigue d’origine lithiasique
score de Blamey : femme age sup 50ans PAL sup 2,5N (meilleur marqueur) ALAT sup ASAT avec ALAT sup 2-3N amylase sup 13N
meilleure marqueur de gravité bio d’une pancréatite aigue
CRP sup 150 à H48
score pronostic clinico-bio de la pancréatite aigue
score de Ranson, pour PA biliaires ou alcoolique, sup ou égal à 3
à l'admission : glycémie sup 2g par L age sup ou égal 55ans leuco sup 16000 LDH sup 1,5N ASAT sup 6N
avant la 48e heure : diminution des bicar sup 4mmol par L PaO2 inf 60mmHg augmentation de l'urée sup 1,8mmol calcémie inf 2mmol par L diminution de l'hématocrite sup 10% eau : séquestration liquidienne sup 6L
score pronostic imagerie de la pancréatite aigue
score de balthazar sup 4 réalisé à 72h
avant inj :
A = 0 = pancréas normal
B = 1 = agumentation diffuse ou focale du volume pancréatique
C = 2 = infiltration de la graisse alentour
D = 3 = 1 seule coulée de nécrose péri-pancréatique
E = 4 = 2 ou + coulées de nécrose péri-pancréatiques ou à distance, ou 1 coulée avec bulle d’air
après inj : 0 = 0% de nécrose 2 = inf 30% nécrose 4 = 30-50% nécrose 6 = sup 50% nécrose
complications de pancréatite aigue
générales : infectieuses SDMV fonctionnelles : insuffisance exocrine ou endocrine locales : collections liquidiennes nécrose pancréatique (pas de rehaussement après inj au TDM) pseudo-kyste (pas à phase aigue)
PEC infection de nécrose pancréatique
ponction sous TDM avant ttt
ATB large spectre adaptée à l’ATBgramme et drainage chir ou radio
PEC d’une pancréatite aigue, particularités pour etio biliaire
hospit : milieu médico-chir, réa pour formes graves, voire SNG
alimentation : jeune initial, reprise alimentation sans graisse après 48H sans dl
nutrition artificielle (entérale par SNJ si pas d’iléus) si PA sévère (jeune prévisible sup 7j)
sevrage alcool et prévention DT
surveillance
ttt sp : antalgiques, palier 3 si besoin aspirine et AINS CI RHE controle HD pas d'ATB si pas d'infection
si pancréatite biliaire :
cholecystectomie sous coelio avec CPRE per op pdt la même hospit
CPRE avec sphinctérotomie indiquée en urgence si PA avec angiocholite ou ictère obstructif, discutée dans les 72h si PA grave, cholecysstectomie avec CPRE à distance
cas particulier des patients à haut risque opératoire : sphinctérotomie sans cholecystectomie
etio de péricardite
virale TB néoplasique post-IDM purulente post-op maladies de système radique IrénaleC myxoedémateuse de l'hypoT
douleur de péricardite
pseudo-angineuse majorée par inspiration et décubitus calmée par antéflexion non irradiante ne survient pas à l'effort, trinitro-résistante
bilan PC devant suspicion péricardite
ECG Rx thorax ETT tropo NFS VS CRP
etio : si orientation VIH bilan TB iono urée creat TSH, recherche cancer,...
ECG d’une péricardite
tb repolarisation evoluant en 4 stades :
sus ST concave vers le haut dans toutes les dérivations (circonférentiel, pas sytématisé à un territoire artériel), pas de miroir
retour à la ligne iso-électrique du ST
négativation des ondes T de facon circonférentielle
retour à la ligne iso-électrique des ondes T
sous décalage PQ
tb du rythme parfois
tamponnade :
microvoltage diffus
alternance électrique
peut être normal
complications d’une péricardite
tamponnade
myocardite
récidive
péricardite constrictive
pericardite constrictive : def, clinique et ttt
péricardite sup 3mois
insuffisance VD chronique par adiastolie
ttt : décortication chir du péricarde
PEC péricardite virale
ambu
repos
ttt anti-inflam :
aspirine à dose anti-inflam
assoc systématique à IPP
AINS en 2e intention
puis dose décroissante à partir de la disparition de la dl et sd inflam
colchicine associé dès le 1er épisode pour diminuer taux de récidive
durée : 3S
AT
surveillance
education : consult en urgence si mauvaise tolérance
info du risque de récidive
CI AC
PEC péricardite purulente
drainage péricardique chir
examen bactério
ATB adaptée
PEC péricardite néoplasique
drainage péricardique chir
examen anapath
PEC du cancer
PEC d’une tamponnade
hospit en urgence en réa
pronostic vital
MEC : repos, jeun, demi-assis, LVAS, VVP, scope
ttt du choc et IC : remplissage par SP, dobu si besoin
ttt chir :
en urgence, drainage péricardique, examen anapath et bactério
drainage percutané echoguidé envisageable si pas de drainage chir possible en urgence
ttt med etio
surveillance
etio de péritonite secondaire
appendicite diverticulite biliaire perforation d'UGD traumatique ischémie colique ou mésentérique abcès