med31 Flashcards
PEC lithiase de la VBP non compliquée
ttt endoscopique si patient n'est pas à opérer (déja cholecystectomisé ou comorbidités) : duodénoscopie pour repérer papille CPRE pour reperer calculs sous ATB sphinctérotomie endoscopique puis extraction des calculs à la sonde voire cholecystectomie coelio a distance
ttt chir si découverte per op de lithiase de la VBP ou patient jeune sans comorbidités :
après cholecystectomie
accès VBP par canal cystique ou par choledocotomie
extraction des calculs par sonde ou pince
verif de la vacuité de la VBP par CPRE
discuter drainage des VB
echo d’une cholecystite aigue
murphy echo
vésicule anormale : parois épaissies sup 4mm, aspect en double contour, augmentation du volume vésiculaire voire sludge vésiculaire
calcul enclavé dans le collet vésiculaire ou canal cystique
VBP non dilatée en dehors de lithiase de la VBP ou sd de Mirizzi
complications CPRE
AG hémorragie papille perforation duodénale angiocholite aigue PA
PEC d’une angiocholite aigue lithiasique
urgence thérap
hospit en chir, jeun, bilan preop
VVP, RHE, controle HD
ATB proba IV par augmentin et aminosides pour 10-14j
si evolution favorable : ttt comme lithiase de la VBP non compliquée
si sepsis non controlé après ttt med ou PA associée :
CPRE et sphinctérotomie endoscopique pour drainage des VB en urgence
PEC vésicule dans un 2e temps
grands principes de ttt d’une pancréatite aigue biliaire
si sup 48h : ttt comme PA
si inf 48h : ttt comme angiocholite
critères de colique néphrétique compliquée
terrain : GG Irénale rein unique clinique : fièvre anurique hyperalgique
PEC colique néphrétique compliquée et non
ttt dl :
restriction hydrique à phase aigue
antalgiques classe I ou II, antispasmodiques, AINS
tamissage systématique des urines
si compliquée :
fébrile = PNO
urgence chir
CI AINS sinon choc septique
dérivation des urines en urgence et ATB par FQ et aminosides
persistance dl malgré ttt 1ere intenton :
Nefopam IVSE
si echec morphine
si echec (CN hyperalgique) : dérivation des urines
PEC spécifiques des calculs rénaux
abstention thérap si asp et inf 5mm
si sp ou sup 5mm :
lithotritie extra-corporelle
ureteroscopie (siège pelvien)
nephrolithotomie percutanée (si sup 20mm)
controle systématique de la stérilité des urines par ECBU
CI et ES ttt spé des calculs rénaux
LEC : IU, tb hémostase, GG
ureteroscopie : risque de lésion urétérale
NLPC : risque de plaie sur trajet (vasc, dig)
bilan PC etio d’une lithiase urinaire
bilan PC, uricémie, creat, NFS
sur urines : calciurie, uraturie, phosphaturie, cristallurie, ionoU, ECBU
uroscanner
analyse spectrophotométrique par infrarouge du calcul
RHD des calculs urinaires (avec spécificité pour chaque type)
boissons abondantes 2L par j
eviter déshydratation
calcique : acidification urines
acide urique : alcalinisation des urines, régime hypo-uricémiant
struvite : ttt de l’IU, alcalinisation des urines
indications a dérivation des urines en urgence dans colique néphrétique
anurie
fièvre
colique néphrétique hyperalgique
rupture de la voie excrétrice
etio de calcul rénal calcique
hypercalciurie avec hypercalcémie : hyperparaT intox vit D sarcoidose immobilisation hypercalciurie sans hypercalcémie : hypercalciurie idiopathique hyperparaT primaire à calcémie N endoc : hyperT, cushing, phéo, acromégalie rénales : acidose tubulaire, diurétiques de l'anse, acétazolamide, lithium Paget
etio de calcul rénal urique
idiopathique (le plus fq)
goutte primitive
lyse tumorale
bilan PC devant maladie de Parkinson
aucun si typique
DAT scan si cas difficile
IRM cérébrale en cas de sg d’alerte ou FDR CV importants
bilan cuivre si sujet jeune
evolution classique d’une maladie de Parkinson
phase lune de miel sous ttt :
excellente dopa-sensibilité initiale
controle maladie, disparition des sg moteurs
phase des complications motrices :
fluctuations motrices :
akinésie de fin de dose : secondaire à l’épuisement des réserves dopaminergique
phénomène on off : réapparition brutale d’une akinésie sans chronologue fixe par rapport à la prise de dopa
dyskinésies :
milieu de dose : surdosage, choréo-athétose
début et fin de dose : sous-dosage, dystonies
phase de détérioration progressive :
sg axiaux : instabilité posturale avec chute
sg cognitifs : démence
tb vésico-sphinctériens
PEC tremblements dans Parkinson
anticholinergiques
PEC dyskinésies de fin de dose
galénique à libération prolongée augmenter doses fractionner doses associer agoniste dopaminergique inhib de la dégradation de la L-dopa : inhib de la catechol-O-méthyltransférase = entacapone IMAO B = selegiline
PEC dyskinésies de milieu de dose
diminuer L-dopa
fractionner doses
amantadine
PEC périodes on off sévère
apomorphine (agoniste dopaminergique D2)
stylo auto-injectable SC
ES L-Dopa
hypoTA
tb dig
tb psy
PEC d’une psychose dopaminergique
dans l'ordre : arrêt des anticholinergiques arrêt des agonistes dopa dose minimale efficace de L-dopa ajout neuroleptique 2e génération si echec : clozapine avec surveillance NFS
sg en faveur de névralgie trigéminale primaire (et par antagonisme secondaire)
predominance féminine
sup 50ans
dl à type de décharge électrique brève très intense
durée de quelques secondes
V2 ou V3 jamais V1
parfois les 2
zone gachette
période refractaire
examen neuro normal
etio de névralgie trigéminale secondaire
tumorale : tumeur de l'angle ponto-cérébelleux (neurinome, méningiome, cholestéatome) tumeur sinus caverneux (méningiome) méningite carcinomateuse trauma : fracture rocher vasc : compression vasc par anévrysme du tronc basilaire TBP sinus caverneux AVC tronc cérébral infectieux : zona gg de Gasser inflam : SEP lupus sarcoidose
PEC névralgie trigéminale
ttt med en 1ere intention :
si dl continues (secondaire) : antidépresseur tricylcliques
si dl paroxystiques : antiépileptique (gabapentine, carbamazépine, clonazepam)
ttt chir si echec :
thermocoagulation percutanée du gg de Gasser sous controle stéréotaxique
radio chir
décompression chir du trijumeau
PTS
surveillance
maladies souvent associées à la myasthénie
pathologies thymiques (hyperplasie, thymome bénin ou malin) pathologies AI : dythyroidie Biermer vitiligo lupus PR
FD de la myasthénie
infection med curares myorelaxants (baclofène) ATB : aminosides, sulfamide cardio : BB, quinidines BZP, neuroleptiques anti-épileptiques GG trauma, chir
examen physique devant suspicion de myasthénie
testing musculaire :
normal au repos
déficit moteur apparaissant à l’effort (flexions extensions, serrer main plusieurs fois)
manoeuvre de Mary-Walker :
poser garrot et serrage du poing pls fois
apparition d’un ptosis à la levée du garrot
spécifique mais peu sensible
test glacon : régression du ptosis au froid
test diag pharmaco aux anticholinestérasiques :
inj SC de prostigmine améliore déficit en 30min
en hospit
précédée d’inj d’atropine pour prevenir effets cholinergiques
sd de Lambert-Eaton : clinique, EMG
paranéo d’un CBPC
bloc neuro-musculaire pré-synaptique
homme sup 50ans tabagique
abolition ROT aux MI
sd dysautonomique
amélioration transitoire du déficit moteur à l’effort
EMG avec stimulation répétitive :
bloc neuro-musculaire pré-synaptique :
bloc neuro-musculaire à basse fq
incrément du potentiel d’action motrice et potentialisation à haute fq
diag dif d’une myasthénie auto-immune
myasthénie congénitale sd de Lambert Eaton SEP tox : curare, organophosphorés, venins hypokaliémie D-penicillamine botulisme hypothyroidie polymyosite cytopathies mitochondriales
PEC d’une crise aigue myasthénique
urgence thérap auto-inj d'1 ampoule de prostigmine SC appel 15, SAMU hospit en réa MEC : demi-assis, VVP, scope, SNG, a jeun
O2 pour SpO2 sup 94%
ttt etio :
anticholinestérasiques IV
Ig IV polyvalentes IV ou échanges plasmatiques si échec
PEC FD
ttt sp :
kiné respi
PEC tb deglutition
préventions decub
surveillance
clinique et ttt spécifique d’une crise cholinergique
musculaire : fasciculations, crampes respi : hypersécrétion bronchique dig : dl abdo, diarrhée CV : bradycardie hypersudation, sialorrhée, pilo-érection myosis
atropine
clinique d’une algie vasculaire de la face
homme jeune tabagique
durée : 15min à 3h
dl péri-orbitaire à type d’arrachement et de broiement de l’oeil
unilat, tjs même coté
sg vasomoteurs homolat :
congestion nasale, rhinorrhée
hyperhémie conjonctivale, larmoiement
sd de CBH
erythème de la pommette, hypersudation du front
rythme : 1 à 5 crise par j à heure fixe
périodicité des crises : périodes de quelques semaines, pédominant au printemps et automne, séparées par intervalles libres de plusieurs mois
PC devant algie vasc de la face
aucun
diag clinique
PEC d’une algie vasculaire de la face
info et educ patient sevrage tabac et alcool ttt crise : sumatriptan SC O2 haut débit (10L par min) ttt de fond : inhib calcique (vérapamil PO) PTS surveillance
conditions de réalisation d’une PBR
info CLA
absence de risque hémorragique : pas d'HTA dévère pas d'AAP ni AINS dans les 10j précédents pas de tb de l'hémostase pas de thrombopénie
absence d’IU (ECBU stérile)
echo rénale :
deux reins de taille normale bien défférenciés
pas de masse hypervascularisé ni kystique volumineuse
pas de DCPC
Gp Rh RAI
réalisation au lit du patient après repérage echographique
après : prévention risque hémorragique repos strict en décubitus dorsal 24h hydratation abondante (prevention caillotage))
PEC d’une néphropathie glomérulaire globale
ttt néphroprotecteur
antiproteinurique : objectifs proU inf 0,5g par j
régime (uniquement chez adulte) :
hypopro si EG normal : 0,8g par kg par j
normopro si risque dénutrition : 1g par kg
hyperpro si dénutrition : 1,2g par kg
med toujours même si pas d’HTA : IEC et ou ARAII
anti-HTA : objectif inf 140 90 régime hyposodé med : privilégier IEC et ARAII dépister et ttt autres FDRCV CI néphrotoxiques
définition sd néphrotique pur et impur
sd néphrotique :
proU sup 3g par 24h
et alb inf 30g par L
et ou protidémie inf 60g par L
pur si absence :
HTA
hématU
IRénale organique
etio de sd néphrotique
primitives : sans hematU : LGM HSF GEM avec hematU : GEM Berger GNMP
secondaires : sans hématU : LGM HSF GEM amylose AL ou AA diabète avec hematU : GEM IgA secondaire lupus GNMP