med18 Flashcards
dosages spécifiques de l’intoxication au CO
dosage de la carboxyhémoglobine (HbCO)
dosage du CO plasmatique
dosage du CO expiré
physiopath intoxication au CO
inhalation de monoxyde de carbone
fixation sur l’Hb avec une affinité très supérieure à celle de l’O2, hypoxie tissulaire par anomalie du transport de l’O2
fixation sur la myoglobine avec tox directe sur certains organes (cerveau et myocarde surtout)
PEC d’une intoxication au CO
urgence thérap
alerter réa
hospit à proximité d’un service de réa dans un hôpital muni d’un caisson hyperbare
MEC : repos, VVP, scope
ttt spé : oxygénothérapie haut débit normobare au MHC le plus précocément possible
oxygénothérapie hyperbare dans formes graves
ttt réa : remplissage vasc, amines si besoins
ttt sp : anti-vertigineux, anti-émétique, antalgiques
prévention complications decub
surveillance rapprochée
DO à l’ARS, prévenir lieu de travail pour évacuation de l’atmosphère toxique
réparation de la source, aération u local
enquête technique
sd post-intervallaire
intox au CO intervalle libre (environ 3S) tb neuropsy : rigidité plastique (sd extrapyramidal) amnésie antérograde tb du comportement DTS
causes de cervicalgies
cervicarthrose infectieux : SPD inflam :SPA, PR, CCA tumoral : méta, myélome neuro : tumeur intrarachidienne, fosse post post trauma : fractures et luxations
bilan PC devant cervicalgies et types de cervicarthrose
radio rachis cervical F, P(3 quart droit et gauche si NCB associée)
VS, CRP
discarthrose
uncarthrose
arthrose inter-apophysaire postérieure
complications de la cervicarthrose
névralgie cervico-brachiale
myélopathie cervicoarthrosique
insuffisance vertébro - basilaire :
compression de l’artère vertébrale par ostéophytes de l’uncodiscarthrose (aigue : AIT, sd alternes, chronique : céphalée, vertiges, acouphènes, myodésopsie)
ttt cervicalgie aigue
repos : AT court
antalgiques et AINS, décontractant musculaire
kiné antalgique
contention par collier cervical
ttt cervicalgies chroniques
kiné : rééduc proprioceptive, renforment musculaire et adaptation posturale
repos relatif, collier cervical mousse lors des poussées
antalgiques et AINS si poussées
crénothérapie
bilan PC devant dorsalgies
au moindre doute : Rx rachis thoracique F et P (plus ou moins IRM)
arguments en faveur d’une lombalgie symptomatique
début progressif sans FD atypie topographique : dl lombaire haute rythme inflam aggravation progressive des dl absence d'atcd lombalgiques raideur globale et intense du rachis AEG, atcd suspects age sup 50ans
PC devant lombalgie symptomatique
Rx rachis lombaire
NFS VS EPS bilan PC
étiologies de lombalgies
tumorales : malin : myélome, méta bénin : ostéome ostéoide infect : SPD inflam : SPA ostéopathie déminéralisante : ostéoporose, ostéomalacie, TV extra-rachidienne : anévrysme de l'aorte abdo, urinaire (lithiase, hydronéphrose, tumeur rénale), dig (tumeurs, pancréatite chronique) lombalgies communes
arguments pour lombalgie commune aigue
sujet jeune
épisode récent
dl brutale, de rythme mécanique
a l’occasion d’un effort, avec sensation de blocage
soulagée par décubitus dorsal
imulsivité à la toux et la défécation (origine discale)
limitation des mobilités rachidiennes élective)
pas de sg neuro, pas de sg de gravité
bilan PC devant lombalgie commune aigue
pas d’imagerie devant évolution inf à 7S sauf si doute sur lombalgie sp
durée d’évolution classique inf 15j
PEC d’une lombalgie aigue commune
antalgiques purs de clase I ou II sans AINS ni CTC en 1ere intention
AINS si pas atcd d’ulcère et dl résistante aux antalgiques classiques
myorelaxants en ttt d’appoint si nécessaire
pas de massage ni rééduc en phase aigue
concernant les activités :
pas de repos au lit, autorisé seulement si intensité des dl le justifie, le plus court possible
poursuite ou reprise progressive des activités de la vie quotidienne, réassurance
reprise d’activité pro dès que possible, AT le plus court possible
lombalgies chroniques communes : def
dl lombaires invalidantes sup 3 mois
rythme mécanique, pas de gravité
retentissement socio-pro
bilan PC devant lombalgies communes chroniques
radios simples du rachis lombaire en 1ere intention
PEC de lombalgies chroniques communes
multidisciplinaire avec séances d’éducation et de conseil, exercices physiques intensifs et PTS et professionelle
med : sp locale ou générale :
antalgiques de palier I ou II, prises systématiques
AINS, myorelaxants
infiltrations épidurales de CTC si conflit disco-radiculaire à l’imagerie
pas de CTC générale
rééducation active : renforcement musculaire, étirements entretien articulaire lombaire, travail des amplitudes rachidiennes correction des tb statiques apprentissage des techniques d'ergonomie rachidienne : auto rééduc, remise en confiance et réassurance programmes de réentrainement à l'effort pas de repos au lit soutien lombaire par ceinture crénothérapie
PEC psycho et pro :
psychotropes pour retentissement psycho
techniques de relaxation, PTS ou TCC
encourage la reprise précoce du travail
contacter med travail avec accord du patient pour adaptation de poste
lombalgies articulaire postérieure : terrain et clinique
femme en excès pondéral
hypercyphose dorsale et hyperlordose lombaire avec arthrose inter-apophysaire postérieure
dl lombaires basses irradiant aux fesses, cuisses, sans atteindre le pied, à type de brulures, mécaniques
bilan PC à visée diagnostique devant rétention aigue d’urine
aucune, diag clinique
sondage vésical : détail de la pose
asepsie stricte
système clos
utilise une sonde de Foley(canal du ballonet séparé du canal évacuateur)
sonde lubrifiée au gel de xylocaine puis enfoncée par l’urètre jusqu’à la garde
ballonet gonflé à l’eau stérile
verge recallotée (évite le paraphimosis
précautions à prendre lors du traitement de la rétention aigue d’urine
prévention du SLO : surveillance de la diurèse horaire après drainage, perfusion du patient en cas de diurèse excessive
prevention de l’hematU à vaccuo : vidange progressive du globe (250 à 500mL à la fois)
ECBU des urines prélevées
complications vésicales de la rétention aigue d’urine
perte des capacités de contraction du détrusor (vessie claquée)
apparition de diverticules vésicaux
epaississement du muscle vésical
hématU a vaccuo
rétention vésicale chronique (avec ou sans distension vésicale)
bilan PC devant rétention aigue d’urine
sans retarder le ttt : iono urée creat echo rénale bilat ECBU (au moment du drainage) TP-TCA
CI au sondage urinaire
trauma pelvien
prostatite aigue
sténose urétrale
inconvenients sonde urétrale et KT sus-pubien
SU :
risque de lésion urétrale (sténose à distance)
pas d’épreuve de clampage
risque infectieux
KT sus-pubien :
perforation vasc ou dig
risque obstructif plus important
CAT devant rétention aigue d’urine avec prostatite et anticoagulants
INR si AVK, si anticoag efficace :
ATB forte dose puis sondage à demeure
déroulement drainage sur hématU
décaillotage manuel à la séringue
irrigation vésicale continue grâce à une sonde urétrale à double courant
mécanismes possibles des occlusions
obstruction
strangulation
fonctionnelle
caractéristiques des NHA coliques et grêliques
coliques vs greliques
plus haut que large vs plus large que haut
périph vs centraux
haustrations coliques vs valvules conniventes
PEC globale d’un sd occlusif
hospit, urgence thérap MEC : scope, a jeun, SNG en aspi douce, correction volume par volume, repos antalgiques IV RHE réhydratation avis chir discuter test à la graffine
critères de gravité de pré-éclampsie
mère :
HTA sup 160 110 résistante aux anti HTA
oligurie (inf 500mL), créat sup 135, proU sup 5
OAP ou barre épigastrique persistante ou HELLP sd
eclampsie ou tb neuro(visuels, ROT polycinétiques et vifs, céphalées, phosphènes, acouphènes)
aggravation brutale des oedèmes
TBP inf 100000
HRP
hyperuricémie (sup 70)
hémolyse (anémie, schizocytes, LDH élevé)
foetus :
diminution voir arrêt des MAF
HU inf à la normale pour age gestationnel (RCIU ou oligoamnios)
anomalies du RCF
doppler pathologique (ombilical et ou cérébrale)
complications de la pré-éclampsie
éclampsie HELLP sd hépatiques (hématome sous caps du foie, rupture capsulaire) CIVD OAP IRénaleA avec oligoanurie HRP AVC, hémorragie cérébro-méningée décollement de rétine
foetales : RCIU dysharmonieux, oligo-amnios prémat induite MFIU souffrance foetale aigue
ttt anti HTA utilisables chez femme enceinte
action centrale
inhib calcique
alpha-bloquant
BB (seulement labétalol)
IEC ARAII diurétiques et régime hyposodé CI
PEC d’une éclampsie
hospit en USI
anticonvulsivants : MgSO4 en prévention secondaire, diazepam
anti HTA IVSE
PEC d’une éventuelle CIVD
extraction foetale par césarienne en urgence
surveillance maternelle en unité de soin adaptée au PP
myélinolyse centro-pontine : clinique, cause et moyen de l’éviter
parésie pyramidale des 4 membres, tb de la déglutition
correction trop rapide d’une hyponatrémie
correction progressive de l’hyponatrémie (max 0,5mmol par h voire 2 si gravité)
confirmation d’une hyperprolactinémie
PRL plasmatique sup 20 ng par mL vérifié dans un labo spécialisé d’hormonologie (chromatographie éliminant fausses hyperprolactinémie par macro-agrégats)
causes d’hyperprolactinémie
grossesse, allaitement
iatrogène : oestrogènes, neuroleptiques, antiémétiques, antidépresseurs, isoniazide, opiacés
IRénaleC
IHC
hypoT périph
adénome hypophysaire : adénome à prolactine, adénome hypophysaire avec hyperprolactinémie de déconnexion
SOPK
mécanisme de sécrétion de la prolactine
synthétisée et sécrétée par cellules lactotropes de l’antéhypophyse
s’élève pdt la grossesse et participe au développement de la glande mammaire
durant la grossesse la progestérone sécrétée par le placenta bloque les effets de la prolactine sur la lactation et l’éjection du lait
après l’accouchement la chute d’oestrogènes et de progestérone permet l’initiation de la lactation