med19 Flashcards
bilan PC devant lymphome hodgkinien
TDM TAP sans et avec inj PET scan BOM NFSP LDH,VS (pronostic) B2 microglob CRP EPS sd de lyse bilan rénal bilan hépatique Rx thorax hémostase
bilan pré-transfu BHCG (si femme) CECOS alb pré-thérap, chimio séro VIH
sg d’alarme d’une récidive d’AVC
FAST
face : faiblesse, engourdissement, asymétrie de la face
arm : faiblesse, engourdissement, asymétrie du bras ou de la jambe
speech : difficulté de langage
time : brutal
facteurs pronostics de lymphome hodgkinien
age élevé masculin sg généraux récidive stade III ou IV type histo Bulky marqueurs EMA positifs LDH élevés sp B et VS sup 30 ou VS seule sup 50 mauvaise réponse au ttt initial hypoalb inf 40 anémie, hyperleucocytose, lymphopénie résistance à la chimio
pourquoi pas de scintigraphie osseuse devant myélome
lésions sont hypofixantes
clinique d’une amylose AL
organomégalie IC atteinte rénale OMI ecchymoses des paupières en lis de vin
niveaux de maternité : seuil du terme et possibilités de chacun
I : 35SA
II : 32SA unité de néonat
III : 25SA réanimation néonat, possibilité de ventilation mécanique
physiopath du diabète gestationnel
modifications hormonales de la grossesse entrainant :
hyperinsulinisme (oestrogènes et progestérone) et insulinorésistance
donc hyperglycémie maternelle puis foetale car glucose traverse la barrière
insuline ne traverse pas le placenta : hyperinsulinisme foetal
PEC d’un diabète gestationnel avec objectifs
PEC ambu, pluridisciplinaire
RHD : régime à 1600-2000Kcal, équilibré, réparti en 3 repas et 2 collations, éviter grignotage, activité physique adapté au terme
auto-surveillance des glycémies capillaires 4 à 6 fois par jour avec carnet de glycémies
éducation de la patiente : importance de l’observance du régime
objectifs :
inf 0,95 à jeun
inf 1,40 à H1
inf 1,20 à H2
pas d’insulinothérapie en 1ere intention, RHD pdt 7 à 10j
si échec insulinothérapie
consult régulières avec diabéto (par 15j en alternance avec obstétricien)
surveillance obs rapprochée par échographies (echo supplémentaire proposée au 3e T pour dépister macrosomie)
complications d’un diabète gestationnel
maternels : HTA gravidique MAP et RPM infectieux risque de césarienne, trauma de la filière génitale, hémorragie de la délivrance
foetaux : macrosomie foetale (dystocie des épaules, fracture de clavicule, paralysie du plexus brachial, disproportion foeto-pelvienne) hydramnios MFIU prémat pas de malformations congénitales
néonat : hypoglycémie néonat MMH cardiomyopathie hypertrophique augmentation mortalité néonat ictère néonat hypocalcémie polyglobulie
a distance :
maternel : récidive de DG (50%), DT2 (50% à 10ans)
enfant : obésité, intolérance au glucose ou DT2
évaluation de la surface brulée chez adulte et enfant
règle des 9 de Wallace
adulte : 9% pour la tête 9% pour chaque bras 36% pour le tronc et l'abdomen 18% pour chaque membre inf 1% pour les OGE
ce qui change chez l’enfant :
18% pour la tête
14% pour chaque membre inf
profondeur d’une brulure : degrés et leur description
1er : atteinte superficielle de la couche cornée sans désépidermisation, érythème rose, humide, sensible
2e :
superficiel : désépidermisation, respect couche basale, phlyctènes, exulcérations douloureuse, rose humide, sensible
intermédiaire : destruction partielle de la couche basale, peau pale avec hypoesthésie
profond : destruction totale de la couche basale avec respect du derme, peau pale avec souvent anesthésie
3e : destruction totale de l’épiderme et du derme, escarre noiratre, anesthésie totale
suivi ophtalmo d’un ttt par APS
FO (maculopathie en oeil de boeuf)
champ visuel central automatisé
ERG multifocal
par an, a faire dès la 1ere année de ttt (pas avant d’instaurer le ttt)
ttt d’un ictère libre chez nn, pourquoi traiter
photothérapie (discuter perfusion d’albumine et plus rarement exsanguino-transfusion)
risque d’ictère nucléaire
Quand commencer anticoagulation après thrombolyse
Juste après plutôt par HNF (car demie vie plus courte que HBPM et antidote plus efficace)
comment confirmer hépatite aigue alcoolique (détailler)
PBH
infiltrat inflam à PNN, ballonisation des hépatocytes, corps de Mallory, souvent cirrhose sous-jacente
comment savoir si vaccin VHB efficace
Ac anti Hbs sup :
10 pour pop normale
100 pour professions de santé
autre score que child pugh pour gravité cirrhose et ses items
MELD
prend en compte INR, bili, creat
ttt spécifique du VHB chronique
interféron pégylé 4 à 6 mois si sauvage, 12 mois si pré-C
antiviraux (analogues nucléosidique ou nucléotidique)
qu’est-ce que le PSA et causes d’élévation
Prostatic specific antigen
glycoproteine sécrétée par la prostate non spécifique du cancer de prostate
prostatie aigue
HBP
massage prostatique
cancer prostatique
complications de biopsies prostatiques
dl
saignement : rectorragies, hémospermie, hématU macroscopique
infection : prostatite
cancers à l’origine de métastases pulmonaires
PPRSTT pulmonaire prostate rein sein thyroide testicule
effets pharmacologiques des corticoides
anti-inflam
anti allergiques
IS
métaboliques (hyperglycémiant, minéraloCTC, catabolisme protidique, repos de l’axe hypothalamo-hypophysaire)
nécrose digitale à l’introduction d’AVK, etio à évoquer
déficit congénital en proteine C
profil thyroidien normal sous amiodarone
chez patient euthyroidien :
augmentation de la T4 libre et de la rT3
diminution de la T3 libre
TSH normale
bilan pré-thérapeutique lithium
examen clinique ECG NFS creat, iono, BU TSH BHCG
surveillance ttt par lithium
efficacité :
clinique : sd maniaque, éval du risque suicidaire
tolérance :
clinique : tremblements, tb dig, prise de poids, polyuro-polydipsie
PC : TSH, creat, ECG, NFS
observance :
lithémie, BHCG
PEC d’un accès maniaque
hospit (sous contrainte si besoin)
med : neuroleptiques sédatifs PO si besoin, contraception efficace avant de commencer lithium
PT : soutien, TCC
social : sauvegarde de justice si nécessaire, PEC 100%
surveillance
lithium et désir de grossesse
grossesse programmée
arrêt des ttt CI
projet réalisé dans période ou maladie sera controlée
arrêt du lithium et switch pour ttt par olanzapine non CI pdt la GG
durée du ttt thymorégulateur dans un tb bipolaire
à vie
classification des BPCO selon gravité
GOLD en stades selon VEMS 1 : sup 80% 2 : entre 80 et 50% 3 : entre 50 et 30% 4 : inf à 30% ou inf 50% associé à ICD ou IRespi
causes de dyspnée aigue laryngée
CE laryngite aigue épiglottite aigue oedème de Quincke paralysie récurrentielle bilatérale tumeur laryngée
causes de dyspnée aigue trachéale
CE
tracheite
granulome trachéal
tumeur trachéale
causes de dyspnée aigue avec sibilants
crise d’asthme
OAP cardiogénique
exhacerbation de BPCO
causes de dyspnée aigue avec crépitants
PNP inf contusion pulmonaire PHS OAP cardiogénique ou lésionnel fibrose pulmonaire
causes de dyspnée aigue avec ronchi
exhacerbation de BPCO
bronchectasies
bronchite
causes de dyspnée aigue à auscultation normale
EP tamponnade anémie aigue acidose métabolique platypnée-orthéodéoxie pathologies neuro-musculaires fracture costale dyspnée psychogène
causes de dyspnée chronique avec auscultation pulmonaire normale
anémie chronique acidose métabo HTAP primaire ou secondaire IC péricardite chronique constrictive pathologies neuro-musculaires pathologies pariétales (déformations thorax)
examen physique d’une fracture bimalléolaire (le plus fq)
inspection :
de face :
coup de hache latéral
saillie interne d fragment tibial
pied en rotation externe et éversion
élargissement transversal du cou de pied
de profil :
raccourcissement de l’avant-pied
accentuation de la concavité du tendon d’achille
equinisme
subluxation postérieure, saillie du pilon tibial en antérieur
palpation :
dl à la palpation des malléoles
palpation systématique du col de la fibula a la recherche d’une fracture de maisonneuve
cutanées
ostéo-articulaires : luxation postérieure de cheville
vasc : palpations des pouls périph avant et après réduction
nerveux : lésion du sciatique poplité externe dans les maisonneuve
bilan imagerie devant fracture bimalléolaire
RX cheville face stricte, face avec 20° de rotation interne, profil strict, clichés de face et profil prenant les interlignes talo-crurale et fémoro-tibiale à la recherche de maisonneuve
PEC d’une fracture bimalléolaire
hospit
MEC : VVP, a jeun
antalgiques
réduction d’une éventuelle luxation par manoeuvre de l’arrache botte avant la radio surtout si menace cutanée
si non déplacé : ttt ortho par botte platrée suro-pédieuse 6S puis botte platrée de marche 6S
si déplacée : ostéosynthèse à foyer ouvert et immobilisation pendant 6S
fixateur externe si ouverture cauchoix II sup 6h ou III ou comminutive
complications fractures bimalléolaires
secondaires : cutanées, déplacement sous platre, ostéo-arthrite de cheville, TE, complication sous-platre
tardives : algodystrophie, raideur, cals vicieux, arthrose tibio-tarsienne post-traumatique
fracture de la clavicule : mécanisme le plus fq et localisation la plus fq
trauma indirect par chute sur le moignon de l’épaule
tiers moyen dans 75% des cas
examen physique d’une fracture de la clavicule
interro : EVA
inspection :
abaissement du moignon de l’épauke
saillie de l’extrémité distale du fragment interne
antépulsion du moignon
palpation :
mobilité passive de l’articulation scapulo-humérale conservée
mobilité du fragment interne
complications :
vasc : lésion du pédicule sous-clavier, palpation des pouls
neuro : lésion du plexus brachial, examen neuro complet sensitivo-moteur
pulmonaire : PNT, hémothorax, hémo-PNT, auscultation pulmonaire
cutanée
osseuse : sd omo-cleido-thoracique (fractures scapula, clavicule et 7 premières cotes)
radios à demander devant suspicion de fracture clavulaire
défilé claviculaire
épaule de face
épaule profil de Lamy
thorax de face
PEC d’une fracture de la clavicule
Ambu ou hospit
ttt sp : antalgiques
ttt chir si fracture compliquée, bilatérale ou du quart externe par ostéosynthèse
ttt ortho sinon (même si déplacée) : réduction par manoeuvres de rétropulsion
immobilisation soit par anneaux en huit de Zimmer si déplacée 6S, sinon écharpe coude au corps pendant 3S
surveillance (Rx à J8, J21, J45)
complications tardives d’une fracture de la clavicule
cal vicieux responsables de tb esthétiques ou de compressions vasculo-nerveuses
algodystrophie
pseudarthrose
fracture lefort 2 : clinique et complications
tb de l’articulé dentaire (béance antérieure et contact molaire prémat)
mobilité du maxillaire et de la pyramide nasale par rapport au reste du massif
ecchymose périorbitaire
enfoncement du nez et du nasillon entre les orbites
breche osteo-méningé avec risque de méningite à PNC
trauma oculaire
lésion du nerf sous-orbitaire (V2)
PEC d’une fracture Lefort
urgence antalgiques chir en urgence : a jeun, VVP, bilan préop, consult anesth réduction fracture, contention par ostéosynthèse mouchage des fosses nasales pour évacuer les caillots, méchage et tamponnement antérieur des fosses nasales rééduc : kiné ATB systématique par augmentin vaccination anti pneumococcique CMI surveillance
critères de gravité d’une plaie faciale
lésion d’un élément noble (PF, vaisseaux de la face, stenon, oeil et paupières, voie lacrymale)
caractéristiques de la plaie (perte de substance, perforante, orificielle)
trauma cranien associé
morsure de chien
CE
PEC d’une plaie faciale
hospit en urgence
MEC : VVP, a jeun, bilan préop, consult anesth
ttt med : antalgique, SATVAT
ttt chir au bloc le plus souvent sous AG :
exploration première pour bilan lésionnel
lavage, désinfection, brossage, parage
suture des lésions d’éléments nobles
fermeture par suture
rééduc : kiné faciale à distance
surveillance
causes possibles d’une surdité de transmission dans fracture du rocher
hémotympan
perforation tympanique
luxation ou fracture de la chaine ossiculaire
lefort 1 : clinique et complication
tb articulé dentaire (béance antérieure et contact molaire prématuré)
mobilité de l’arc maxillaire par rapport au reste du massif facial
ecchymose au niveau du maxillaire (endo et exobuccal)
lésions dentaires
luxation de l’articulation temporo-mandibulaire : clinique et grands points de PEC
vacuité de la cavité glenoidale
saillie du condyle
blocage de l’ouverture buccale
béance irréductible
panoramique dentaire pour éliminer fracture du condyle
réduction par manoeuvre de Nelaton (abaissement et rétropulsion de la mandibule)
contention (bandage en oeuf de paques)
dans fracture du rocher : types de sd cochléovestibulaire déficitaire partiel dissocié
fistule péri-lymphatique : rupture de la fenêtre ovale responsable d’une augmentation de la pression endolymphatique, surdité de perception en plateau, des acouphènes et des tb de l’équilibre sans vertiges
commotion labyrinthique par fracture longitudinale : surdité de perception en plateau, vertiges rotatoires et tb de l’équilibre
surdité de transmission par hémotympan ou perforation tympanique
VPPB post traumatique
sd subjectif des traumatisés craniens
asthénie céphalées tb de la concentration et du sommeil acouphènes tb de l'équilibre disparaissent en 2 mois
PEC d’un luxation alvéolo-dentaire
si incomplète : réduction et contention
si complète : conservation de la dent luxée en milieu humide (SP ou lait), réimplantation en urgence
complications d’hémangiome
ulcération
surinfection
saignement
psychologique
séquelles rares : cicatrice atrophique, zone de peau flasque
localisations à risque d’hémangiome et pourquoi
orbito-palpébrale : occlusion, amblyopie
pointe du nez : préjudice esthétique, déformation
sous-glottique : obstruction laryngée
etendus : sd PHACE, région périnéale, malformations
miliaire : nb petits hémangiomes, hémangiomes viscéraux, retentissement HD possible par shunt
bilan PC devant hémangiome
aucun sous sous-glottique : endoscopie laryngée pour proposer ttt précoce
FDR d’hémangiome
absence de transmission génétique
risque supérieur pour les prématurés
pathologie fq (10%)
PEC d’un hémangiome
abstention thérap
si loc à risque : BB ou CTC
plus rarement : laser, chir
PEC d’un angiome plan
pluridisciplinaire
chir, embolisation, laser ou contention
caractéristiques d’un hémangiome
fq
intervalle libre après la naissance
hausse progressive puis régression
consistance élastique
non pulsatiles, ne soufflent pas, ne se vident pas à la pression
types d’hémangiomes
superficiels ou tubéreux : très rouges, posés sur la peau
dermiques purs : bleutés
mixtes : rouges et bleutés
angiomes (malformations vasculaires matures) : types et caratéristiques
inactives :
angiomes plans : malformations capillaires, taches rouges (risque de localisation neuro)
angiomes veineux : masses bleutées sous-cutanées avec parfois varices associées
lymphangiomes : malformations lymphatiques, petites vésicules groupées sur une zone cutanée
active :
MAV : tache rouge, chaude, battante, soufflante, thrill à la palpation
PC devant angiome
echo-doppler voire IRM(hyperT2 évoque un MAV), artériographie
maladie de rendu-osler
angiomatose familiale autosomique dominante
fragilité vasc : épistaxis à répétition, télangiectasies lèvres et langue
atteinte viscérale : poumons, estomac, foie
mauvais pronostic
sd de Sturge-Weber-Krabe
angiome plan cutané du visage (territoire V1)
angiome méningé de la pie-mère
glaucome congénital
indications indiscutables de VNI
décompensation de BPCO
OAP cardiogénique (mal tolérés, med insuffisamment efficaces)
PEC d’une glomérulonéphrite lupique
néphroprotecteur : IEC ou ARAII pour proU inf 0,5g par j et PA inf 140 90 controle des FDRCV CI aux néphrotox prévention des poussées : APS
prévention des complications du sd néphrotique
classes 3 et 4 :
urgence, ttt IS :
induction : CTC fortes doses puis relais PO, cyclophosphamide IV avec protection vésicale par uromitexan
entretien : décroissance progressive de la CTC, azathioprine ou mycophenolate
classe V : ttt néphroprotecteur en 1ere intention, si pas d’amélioration discuter ttt IS
atteintes rénales du lupus
néphropathie glomérulaire
vasculaire (MAT) et interstitielle aigue surtout liés au SAPL
classification des leucémie aigues myeloides et sp souvent associés a certains
FAB
LAM : 0 : peu différenciée 1 : pas de différentiation granulocytaire (insuffisance médullaire) 2 : différentiation granulocytaire (SM) 3 : promyélocytaire (corps d'Auer : cristallisation intracellulaire MPO et autres enzymes, CIVD) 4 : myelomonocytaire 5 : monoblastique (leucostase) 6 : erythroblastique 7 : mégacaryocytaire
escalade de moyens d’exploration pour hémorragies dig basses
si saignement abondant ou instable ou méléna : EOGD
coloscopie
TDM abdomino-pelvienne sans et avec inj
artériographie coelio-mésentérique supérieure si saignement important ou scintigraphie aux hématies marqués si faible
exploration du grêle : vidéo-capsule, entéroscopie (souvent en association)
classification des ulcères gastro-duodénaux lors d’hémorragie dig, traitement selon stades (escalade thérap)
Forrest
Ia : saignement actif en jet Ib : suintement diffus en nappe IIa : vaisseau visible non hémorragique IIb : caillot adhérent IIc : taches pigmentées III : cratère à fond propre
thérapeutique seulement pour I et IIa par sclérose endoscopique, electrocoagulation au plasma d’argon ou clip
si échec : chir d’hémostase (antrectomie)
si récidive précoce : 2e hémostase endoscopique, chir d’hémostase si terrain fragile, ulcère sup 2cm, ulcère de la face postérieure du bulbe, gravité du 1er saignement
causes les plus fq d’hémorragie dig d’extériorisation basse
causes d’HD hautes
MICI en poussée
diverticules coliques
angiodysplasies coliques
CCR, polype
ulcérations thermométriques
pathologie hémorroidaire
causes les plus fq d’hémorragie dig d’extériorisation haute
rupture de VO
UGD
def hémorragie dig haute et basse
en amont ou en aval de l’angle de Treitz (duodéno-jéjunal)
echelle de douleurs neuropathiques
DN4
complication principale d’un sd de steven-johnson
transformation en sd de lyell
PEC d’une toxidermie
grave : hospit, simple : ambu
arrêt total et définitif du med incriminé à vie
ttt sp :
désinfection antiseptique des lésions cutanées
douche tiède avec pain sans savon
antalgiques
marquer les périphéries des lésions au feutre indélébile
SATVAT
déclaration à la pharmacovigilance
surveillance
complications de la transfusion
hémolyse intra-vasculaire aigue
TRALI
allo-immunisation antiplaquettaire ou anti-leucocytaire (sd frissons-hyperthermie)
réactions allergiques
infectieux
maladies de surcharge (volémique, citrate, fer)
maladies de surcharge post-transfusionnelle
volémique : patient agé, IC et transfusion rapide ou grand volume, OAP de surcharge
citrate : tremblements, paresthésies, tb du rythme(hypocalcémie par chélation), sd hémorragique
fer (par transfusions itératives) : hémochromatose iatrogène
sd frissons-hyperthermie
surtout chez patients polytransfusés, par allo-immunisation
clinique : fièvre frissons dès le début de la transfusion
surtout si transfusion de plaquettes
clinique et PC d’une hémolyse intravasculaire aigue
collapsus en quelques minutes ou heures avec IRénaleA et CIVD, ictère à bili retardé
fièvre, frissons, sueurs, malaise, dl lombaires, urines porto
bilan d’hémolyse positif, hémoglobinurie, bilan rénal et d’hémostase
commande de produits sanguins labiles
identité prescripteur et signature, date et heure
identité du patient, numéro EFS, age, poids
indication de la transfusion et derniers chiffres de NFS
type de produit et spécifications
nb d’unités demandées
degré d’urgence, heure prévue de transfusion :
urgence vitale immédiate : CGR O- délivrés sans groupage ni RAI
urgence vitale : délivrés en moins de 30min après détermination ABO-Rh sans RAI
urgence relative : délivrés en 2-3h après ABO-Rh et RAI
joindre carte de Gp ou 2 déterminations indépendantes et RAI
indications de transfusion de PFC
CIVD, MAT
TP inf 40%
hémorragie massive avec perte de F de coag
types de concentré plaquettaire
CPS : standard (pool de plusieurs donneurs)
CPA : aphérèse (donneur unique)
indications de transfusion de concentré plaquettaire
P inf 20
P inf 50 ou thrombopathie connue avant geste invasif
hémorragie massive
types de CGR
phénotypé et déleucocyté standard (ABO Rh DCEce Kel1)
phénotypé étendu : Ag supplémentaires pour polytransfusés et femme en age de procréer
compatibilisé : si RAI (mélange test des 2 sangs)
déplasmatisé : si risque allergique
CMV neg
irradié : receveur gravement ID
rendement transfusionnel moyen
+ 1 Hb
+ 2% Ht
indications de transfusions de CGR
anémie aigue ou sp
Hb inf 7 si patient sans ATCD
Hb inf 8-9 si atcd CV
Hb inf 10 si angor, IC sp, mauvaise tolérance
classification d’un lymphome
ann arbor
I : 1 territoire gg
II : 2 ou plus territoires gg du même coté diaphragmatique
III : atteinte gg de part et d’autre du diaphragme
IV : atteinte viscérale à distance d’une groupe gg ou 2 atteintes extra-ganglionnaires contigues
A : pas de sg clinique, B : sg d’évolutivité clinique (fièvre sup 38, sueurs nocturnes, perte de poids sup 10% en 6mois)
a : pas de sg d’évolutivité bio, b : sd inflam bio
E : atteinte extra-gg contigue d’un territoire gg
X : masse tumorale volumineuse (Bulky sup 10cm, rapport médiastin thorax sup un tiers)
S : atteinte splénique
PEC d’un lupus
ambu
education : info CLA : maladie, évolution, ttt, bénéfices et risques, observance contraception efficace : CI OP sevrage tabac photoprotection
ttt med : APS (hydroxychloroquine) antalgiques : AINS AAP : aspirine discuter anticoag préventive, CTC lors des poussées
mesures associées :
ALD, 100%
surveillance régulière
physiopath pré-éclampsie
tb précoce de la palcentation responsable d’une insuffisance placentaire aboutissant à un défaut de la vascularisation placentaire et a une ischémie placentaire
2types de conséquences :
retentissement foetal : RCIU, oligoamnios
retentissement maternel : MAT, tb coag, HTA
risque du lupus pendant la grossesse
pour la mère :
poussée au 3eT et dans le PP
pré-éclampsie ou éclampsie
pour le foetus : FCS, MFIU surtout si SAPL lupus néonat lié à la présence d'anti-Ro SSA : BAV complet et définitif prémat RCIU et morti-natalité
indication de PBR dans lupus
proU sup 1g par j ou sup 0,5g par j et hématU microscopique, ou IRénale elle est systématique
dépots dans la glomérulonéphrite lupique
toutes les Ig
complément (C1q spécifique du lupus) visible en IF parfois en MO
ttt spécifique d’une hémorragie dig du cirrhotique
ttt vaso-actif (somatostatine ou terlipressine) et hémostase endoscopique
vaso-actif le plus tôt possible poursuivi 2 à 5j
eviter excès de remplissage vasc : objectif PAM=80, Ht=25-30%, Hb=8
ligature de VO ou sclérose (pas à faire si pas de saignement actif et BB)
si echec ou récidive : 2e endoscopie
si nouvel echec : hémorragie réfractaire, anastomose porto-cave percutanéee (TIPS)
sondes de tamponnement en attendant, anastomose chir en dernière intention
ttt associés : ATB par norfloxacine lactulose prévention DT IPP systématiques
prophylaxie d’hémorragie dig par rupture de varices oesophagiennes chez cirrhotique
endoscopie systématique au diag de cirrhose :
absence de VO : surveillance par 3ans
VO grade 1 : surveillance par 2ans
VO grade 2 ou 3 : BB non cardio-sélectifs à vie sans surveillance endoscopique en l’absence de CI
ligature endoscopique si BB CI
prévention secondaire :
BB ou ligature endoscopique ou les 2 chez patient non traité
ligature chez patient déja traité, vérifier observance
TIPS chez patients ligaturés en prévention primaire
transplant hépatique à considérer si child-pugh B ou C
ou envoyer une ponction articulaire
bactério
anapath (cristaux)
biochimie
cytologie
etiologies de goutte
primitive : familiale
sd X-métabolique
enzymopathie rare : déficit en hypoxanthine guanine phosphoribosyl transferase
idiopathique
secondaires :
med : diurétiques, aspirine,ciclosporine antituberculeux
IRénaleC
hémopathie, cancer
PEC d’une poussée de goutte
urgence
ttt sp :
immobilisation de l’articulation
glacage du genou
colchicine : 3mg J1, 2mg J2, 1mg J3 et poursuite à 1mg
antalgiques associés palier I ou II, AINS ou CTC en 2e intention
infiltration articulaire si arthrite rebelle
ttt etio :
inhibiteurs de la xanthine oxydase : allopurinol à instaurer à distance de l’épisode aigu si goutte récidivante ou compliquée (tophus, arthropathie, atteinte rénale) en association à la colchicine 3 à 6mois à poursuivre à vie
objectif : uricémie inf 360micromol
RHD : régime hypouricémiant, hypocalorique, suppression des boissons alcoolisées et des aliments riches en purines (viande, volaille, abats), restriction lipidique, cure de diurèse alcaline
PEC des FDRCV