med22 Flashcards
PEC d’une menace d’accouchement prématuré
hospit (centre adapté au terme), urgence thérap
repos, AT
tocolyse au minimum 48h en dehors de CI (chorioamniotie, pathologie rendant périlleuse la suite de la grossesse)
molécules utilisables :
1e intention : inhib calcique (nifédipine PO, nicardipine IV)
B2 mimétiques en IV (CI : grossesse gémellaire, atcd cardio, diabète gesta a éviter ES : tremblements, palpitations, sueurs, agitations, flush facial, nausées, vomissements bilan préthérap : ECG, kéliémie, glycémie)
antagonistes de l’ocytocine IV
pas de tocolyse après 34SA
CTC prénatale de maturation (2inj IM à 24h d’intervalle de bétaméthasone)
ttt etio
etio et FDR de menace d’accouchement prémat (tout en même temps)
maternelles : ATCD d'accouchemet prémat ages extrêmes longs trajets quotidiens travail difficile mère célibataire bas NSE tabac
générales : infection ou fièvre anémie maternelle diabète gesta (infection, macrosomie, hydramnios) trauma abdo
locales :
malformations utérines, utérus distilbene
béance cervico-isthmique
fibrome endo-cavitaire volumineux
foetales : grossesse multiple hydramnios chorioamniotite RPM anomalie placentaire (PP, décollement) métrorragies du 2e et 3e T
idiopathique dans 40% des cas
def RPM
rupture des membranes survenant avant début du travail
etiologies de RPM
infection PP hydramnios béance cervicale amniocentèse tardive trauma abdo idiopathique
complications RPM
infection de l’oeuf par voie vaginale ascendante
chorioamniotite
infections périnatales
premat
décollement placentaire
si oligoamnios sévère avec RPM précoce : hypoplasie pulmonaire, déformation membres et face
comment faire diag de RPM (clinique et PC)
ecoulement de liquide retrouvé à l’interro et au spéculum
test à la diamine oxydase positif (amnicator, promtest)
eviter TV pour limiter risque infectieux
recherche chorioamniotite
PC : NFSP, CRP bilan preop PV ECBU HC monitoring echo avec mesure quantité de liquide, manning, estimation poids foetal echo du col si MAP
PEC d’une RPM
avant 34SA :
hospit, repos, transfert materno-foetal adapté
ATB courte durée par amox 7-14j
CTC maturative
surveillance quotidienne clinique et PC
puis :
si chorioamniotite :
extraction foetale en urgence par césarienne
si pas d’infection :
expectative pour certains
extraction foetale après 48h pour d’autres
plus RPM précoce, plus on fera expectative
après 34SA :
proposer naissance rapide, maturation pour déclenchement du travail après 12 ou 24h de rupture plus précocément si PV positif
RCIU : def
biométries foetales inf 10e percentile
sévère si inf 3e percentile
causes de RCIU harmonieux
anomalies chromosomiques
causes infectieuses
bilan etio d’un RCIU
interro taille des parents exam clinique complet sérologies TORSCH bilan HTA bilan immuno selon contexte doppler des artères utérines
foetale :
echo obs avec doppler ombilical et cérébral
amnocentèse après consult DAN (caryotype foetal, bilan infectieux)
IRM cérébrale à 32 SA pour certains
complications d’un RCIU
augmentation morbi-mortalité hypoglycémie hypocalcémie hypothermie polyglob thrombopénie désordre HE asphyxie périnatale
def asthme du nourrisson
au moins 3 épisodes de bronchiolites avant 36 mois
Radio d’une fracture en motte de beurre
image linéaire condensée
soufflure de la corticale
PEC d’une fracture en motte de beurre
ttt ortho pdt 3S par attelle platrée
ttt sp : antalgiques simples
réassurance parentale
education thérap, surveillance d’un malade sous platre
complication secondaire particulière d’une fracture épiphysaire chez l’enfant
epiphysiodèse post-traumatique :
fusion prématurée des cartilages de croissance avec arrêt de la croissance
si partiel : risque de désaxation progresive du segment de membre
si complet : risque d’inégalité de longueur des membres
fracture en bois vers : def
fracture diaphysaire d’une seule corticale avec réaction périostée en regard
classification des fractures épiphysaires de l’enfant et leur type de ttt respectif
salter et harris :
1 : décollement épiphysaire pur et complet sans fracture, déplacé ou non
2 : décollement épiphysaire partiel et fracture métaphysaire
3 : décollement épiphysaire partiel et fracture trans épiphysaire (=articulaire)
4 : fracture trans épiphyso-métaphysaire sans décollement épiphysaire
5 : écrasement du cartilage de croissance
1 : orthopédique
2 : orthopédique, chir si instable après réduction
3, 4 : chir
5 : ttt des complications seulement
ttt ortho :immobilisation platrée 5S
fracture spécifique de l’enfant métaphysaire
en motte de beurre
fracture spécifique de l’enfant diaphysaire
incurvation ou déformation plastique ou élastique
fracture en bois vert
fracture en cheveux
bilan PC devant suspicion fracture de l’ESF
en urgence
Rx bassin F
Rx hanche atteinte F et P (chir d’Arcelin)
Rx thorax F (bilan preop)
PEC aux urgences d’une fracture de l’ESF
hospit, urgence en ortho
MEC : a jeun, VVP, bilan préop, allitement strict
ttt sp : antalgiques
mise en traction en suspension du membre si Garden 3 ou 4
ttt spécifiques et indications d’une fracture cervicale vraie
selon Garden
age inf 60 ans :
I et II : ostéosynthèse
III et IV : ostéosynthèse
age sup 75 ans :
I et II : ostéosynthese ou ttt fonctionnel (garden I) selon les équipes
III et IV : arthroplastie (prothèse intermédiaire ou cervico-céphalique)
entre 60 et 75 ans :
I et II : ostéosynthèse
III et IV : prothèse totale, intermédiaire ou ostéosynthèse
kiné précoce, active et prolongée
HBPM recommandée 45j
radio de controle à 48h de la chir
FDR de GCAO
HTO ATCD fam age sup 40ans diabète CTC ethnie noire myopie forte
physiopath GCAO
nevrite optique chronique et progressive secondaire à la compression de la tête du NO par l’HTO et hypoperfusion de la papille par insuffisance circulatoire au niveau de la tête du NO
l’HTO est secondaire à la dégénerescence du trabéculum
bilan PC devant GCAO : que retrouve t on
champ visuel statique : scotome arciforme de Bjerrum ressaut nasal scotome para-central jusqu'à champ visuel tubulaire normal n'élimine pas le diag
OCT :
mesure de l’épaisseur des fibres nerveuses optiques au niveau de la papille (permet diag précoce)
pachymétrie : mesure de l’épaisseur cornéenne
permet d’interpréter plus précisement le TO
PEC d’un GCAO avec escalade thérapeutique et surveillance
ttt med : hypotonisant
aux 2 yeux à vie
local en monothérapie en 1ere intention (BB ou prostaglandines)
ttt etio : equilibre glycémique et de la TA
surveillance régulière par 3-6 mois à vie:
efficacité : TO, FO, périmétrie(par 6mois-1an)
tolérance et observance
escalade : local monothérapie local bithérapie local trithérapie ajouter acétazolamide voie générale en attendant la chir
collyres dispo : BB (attention asthme), prostaglandines, agonistes alpha2 adrénergiques, inhib de l’anhydrase carbonique (attention allergie sulfamides), parasympathomimétique (pilocarpine quasiment abandonné)
ttt laser par trabéculoplastie (photocoag de l’angle irido-cornéen
ttt chir :
trabeculectomie et iridectomie périphérique
sclérotomie profonde non perforante
clinique d’un GCAO
longtemps asp
altération du champ visuel
stade évolué : champ visuel tubulaire en canon de fusil, BAV, cécité irréversible
oeil blanc et indolore
LAF : normale
gonioscopie : angle ouvert
TO sup 21mmHg (à confronter à la mesure de l’épaisseur cornéenne à la pachymétrie)
FO : excavation papillaire
cup sur disc sup 0,3 (anormal) ou sup 0,6 (franchement pathologique)
encoche d’un bord papillaire
rejet nasal des vaisseaux émergeants de la papille
hémorragies superficielles secondaires à des poussées d’HTO
formes spécifiques de glaucome chronique
glaucome à pression normale : cornée fine, BB
glaucome pseudo-exfoliatif : synthèse de matériel exfoliatif par l’iris et l’uvée qui obstrue le trabéculum
glaucome pigmentaire : frottement de l’épithélium pigmentaire de l’iris contre le cristallin qui provoque un sd de dispersion pigmentaire dans le segment antérieur
glaucome cortisonique
med possibles du GCAO et leur effet
diminuent sécrétion de l’humeur aqueuse :
BB
inhibiteur de l’anhydrase carbonique
agonistes alpha2-adrénergiques
augmentent l’écoulement de l’humeur aqueuse :
analogues de la prostaglandine
agonistes alpha2-adrénergiques
parasympatomimétiques
ES des analogues de la prostaglandine en collyre
hyperpigentation de l’iris et des cils
rougeur oculaire
sensation de CE
ES de la pilocarpine
allergie myosis tb accomodation sueurs bradycardie
CI de l’inhibiteur de l’anhydrase carbonique
atcd lithiases urinaires insuffisance hépatique insuffisance rénale GG allergie aux sulfamides
physiopath du goitre
croissance de la thyroide sous dépendance de la TSH et d’autres facteurs de croissance
en cas de carence iodée :
diminution prévisible du taux d’hormones thyroidiennes
augmentation de la sensibilité de la thyroide à la TSH
et donc croissance de la thyroide qui augmente de volume
examen clinique devant un goitre
interro :
ATCD perso et fam de pathologie thyroidienne
carence d’apport en iode
recherche de facteurs favorisants : oestrogènes, GG
tabac
sg d’hyper et d’hypothyroidie
sg de goitre compressif : dyspnée, dysphonie, dysphagie, sd cave sup, manoeuvre de Pemberton pour démasque gêne au retour veineux
EP : mesure du goitre repérer les nodules eventuels caractère mobile à la déglutition schéma daté signé recherche d'ADP cervicales
bilan PC devant un goitre
echo thyroidienne (confirmation si sup 18mL chez la femme, 20mL chez l’homme)
TSH en 1ere intention, T4l
Ac anti TPO, TRAK, anti TG
scinti thyroidienne si TSH basse (recherche de nodules fonctionnels)
calcitonine : seulement dans contexte évocateur de CMT ou avant une intervention sur la thyroidie
exploration d’un goitre plongeant : Rx thorax ou TDM IRM cervicale sans inj
PEC d’un goitre non compliqué
ambulatoire inhibition de la croissance thyroidienne par : freinateurs de la TSH (LT4) ou iodure de potassium ou association des deux
éducation de la patiente : observance du ttt
principale complication d’un goitre et comment confirmer (détailler)
goitre plongeant compressif
Rx thorax : elargissement médiastin antérieur, déviation trachéale, réduction du calibre trachéal
TDM cervicothoracique non inj ou IRM : visualisation du goitre et de ses limites, visualisation des organes de voisinage, calibre trachéal
PEC d’un goitre compressif
ttt radical par :
thyroidectomie
IRA thérapie à l’iode 131
physiopath hémochromatose
surcharge en fer de l’organisme par augmentation des transporteurs du fer (DMT1 et ferroportine), entrainant une augmentation de l’absorption et une diminution de l’excrétion entérocytaire du fer
hepcidine effondrée : augmentation de l’absorption du fer car elle a pour fonction d’inhiber la ferroportine
comment confirmer diag d’hémochromatose
dépistage génétique après info éclairée du patient et consentement écrit
recherche de la mutation C282Y ou H63D du gène HFE1 à l’état homozygote
principales complications de l’hémochromatose et comment les rechercher
hépato : cirrhose, CCH transaminases, echo hépatique éval co-morbidités : VHB, VHC, EAL cardio : CMD avec risque IC, ACFA ETT, ECG endoc : diabète : GAJ hypogonadisme : impuissance, amenorrhée, perte libido, ostéoporose, atrophie testiculaire testostéronémie, LH, FSH DMO si autres FDR CCA mélanodermie