med21 Flashcards
clinique d’un acromégale mis à part sd dysmorphique
asthénie peau épaissie, grasse hypersudation malodorante surtout nocturne dl articulaires HTA SAOS canal carpien bilat céphalées
sd dysmorphique de l’acromégale
visage : nez élargi, paupières et oreilles épaissies, rides marquées, macroglossie,front bombé, pommettes saillantes, lèvres épaissies, prognathisme
mains : en battoir, élargies, doigts épaissis, boudinés, sg de la bague, peau des paumes épaissie
pieds : en battoirs, carrés,coussinets plantaires épaissis, sg de la pointure
rachis : hyperlordose lombaire, sternum projeté en avant, cyphose dorsale
bilan PC pour confirmer acromégalie
IGF1 : augmentée
HGPO : absence de freinage de la GH (sup à 1ng par mL)
cycle de GH sur 4 à 8h : GH élevée en permanence
complications de l’acromégalie
cardiaques : cardiopathie hypertrophique, IC congestive, HTA, cardiomégalie
métabo : diabète ou intolérance au glucose, hypercalcémie
rhumato : arthropathie acromégalique, rhumatisme acromégalique, sd canalaires
SAOS
goitre multinodulaire
polypes du colon (susceptibilité aux cancers du colon)
ostéoporose secondaire
bilan PC d’une acromégalie(diag déja confirmé)
bilan tumoral :
IRM hypothalamo-hypophysaire
AV et champ visuel, FO, test de Lancaster
bilan fonctionnel des autres fonctions hypophysaires : gonado : LH, FSH, testo, oestrogènes corticotrope : cycle ACTH, cortisol thyréotrope : TSH, T4, T3 lactotrope : prolactine
bilan retentissement : cardio : ETT, ECG, Rx thorax, EAL métabo : GAJ, HbA1c, bilan PC respi : polysomnographie echo thyroidienne CCR : coloscopie initiale, puis à 3 puis par 5ans DMO
etio de coma
EXTRA-CEREBRALES : tox : alcool, CO, drogues, organo-phosphorés sevrage, intox aigue med : psychotropes, opiacés, anticholinergiques métabo : dysnatrémie, hypoG, hypercalcémie, IRénale avec encéphalopathie urémique, encéphalopathie hépatique, anoxie, hypercapnie, acidocétose, coma hyperosmolaire, encéphalopathie urémique endoc : diabète, ISA, hypothyroidie carentielles : gayet wernicke choc hypothermie
INTRA-CEREBRALES : trauma : HSD, HED infectieuse : M, ME, abcès cérébral, neuropalu epilepsie et déficit post-critique tumorales vasc : HM, hématome cérébrale, AVC, TBPC, encéphalopathie hypertensive
bilan PC devant un coma en l’absence d’orientation
GDS, lactates iono, urée, creat bilan PC NFS VS CRP BHC INR, TP TCA glycémie veineuse bilan toxico sanguin et urinaire orienté (garder sérothèque et urothèque pour documentation ultérieure) alcoolémie CPK HbCO HC PL (après TDM cérébrale)
Rx thorax F
TDM cérébrale sans puis avec injection ou IRM cérébrale
ECG, tropo
EEG
etio de compression médullaire
intramédullaire : astrocytome, épendymome, malformations vasculaires
intradurales extra-médullaires : méningiome, schwannome (neurinome)
extra durale :
néoplasies :
malignes = épidurite : tumeur vertébrale primitive, epidurite métastatique, hémopathies malignes
bénin : hémangiome vertébral
dégénérative : myélopathie cervicarthrosique, HD
infectieuse : spondylodicite, épidurite à pyogènes, TB
inflam : PR et luxation atloido-axoidienne
vasc : hématome extra-dural
évolution d’une compression médullaire non traitée
myélomalacie : infarctus médullaire secondaire à la compression du tronc artériel vascularisant la moelle
sd de compression médullaire
sd rachidien
sd lésionnel
sd sous-lésionnel
tb mnésiques : comment savoir si plutôt de type hippocampique cliniquement
pas d’amélioration à l’indiçage
diag dif face à sd confusionnel
neuro :
démence
ictus amnésique
aphasie de Wernicke
psy :
BDA
ponction lombaire d’un Alzheimer
proteine tau totale et phospho tau
proteine A-beta42
réservée aux cas difficiles
ponction lombaire d’un Creutzfeldt jakob
proteine 14-3-3
démence vasculaire : clinique, IRM, ttt spécifique
évolution en marche d’escaliers
sd pyramidal
sd pseudo-bulbaire
tb du comportement
leuco-araiose, lacunes
PEC des FDRCV
AAP
démence à corps de Lewy : clinique, PC
dégénerescence des voies dopaminergiques
fluctuations cliniques sd parkinsonien hallu visuelles tb comportement en sommeil paradoxal hypersensibilité aux neuroleptiques
DAT scan
polysomnographie
démence parkinsonienne : clinique, PC
dégénérescence des voies dopaminergiques
stade final de la maladie de parkinson
sd parkinsonien
puis sd démentiel
DAT scan
démence fronto-temporale : clinique, PC, ttt spécifique
forte prédisposition génétique (autosomique dominant dans 30% des cas)
sd frontal
IRM : atrophie fronto-temporale
scintigraphie de perfusion cérébrale
conseil génétique
maladie de Creutzfeldt jakob : clinique, PC et ttt spécifique
détérioration intellectuelle rapide
sd cérébelleux
myoclonies
EEG : pointes lentes triphasiques
PL : proteine 14-3-3
IRM : hypersignal de toute la substance grise en séquence de diffusion
isolement
déclaration matériovigilance
tests neuropsychologiques pour evaluer un sd frontal
BREF (batterie rapide d’efficience frontale)
NPI (neuropsychiatric inventory)
ttt spécifiques de la maladie d’Alzheimer
MMSE sup 20 : inhibiteur de l’acétylcholinestérase
MMSE 10-20 : inhibiteur de l’acétylcholinestérase ou antiglutamate
MMSE inf 10 : antiglutamate
avantages et inconvénients des stents actifs ou nus
actifs :
A : très peu de resténose sur stent
I : sur-risque de thrombose sur stent initial d’ou bithérapie anti-aggrégante pendant au moins un an
nus :
A : cout faible
I : taux de resténose plus élevé
haut, moyen et bas rectum, comment différencier?
distance à la marge anale :
bas : 0-5cm
moyen : 5-10cm
haut 10-15cm
couches histologiques du rectum
muqueuse sous-muqueuse musculeuse graisse péri-rectale fascia-recti
marges carcinologiques du cancer du rectum
méso-rectum : 5cm
par rapport à la ligne pectinée : 1cm
marge latérale : 1mm par rapport au fascia recti
FDR de cancer epidermoide cutané
de tous les cancers cutanés :
age
expo solaire chronique cumulée
phototype clair
spécifique : affections génétiques (xeroderma pigmentosum, epidermodysplasie verruciforme, naevomatose basocellulaire) ID infection HPV radiations ionisantes dermatose inflam plaies chroniques carcinogènes chimiques (tabac, arsenic, goudron)
FDR de carcinome baso-cellulaire
commun à tous les cancers cutanés :
age
expo solaire intense et intermittente sur des zones habituellement protégées surtout avant 10ans
phototype clair
aucun FDR spécifique du BC
lésions précancéreuses du carcinome épidermoide cutané
kératose actinique leucoplasie maladie de Bowen lichen plan papillomatose lichen scléreux génital lichen érosif buccal
comment prouver nature maligne d’une lésion cutanée (épithéliale)
exérèse chir complète si petite taille
(biopsie si lésions volumineuses ou geste difficile : à éviter à l’ECN)
et envoi en anapath
facteurs de mauvais pronostic d’un carcinome épidermoide
cliniques : taille, localisation céphalique, invasion, récidive, ID
histo : epaisseur, profondeur, tumeur peu différenciée, invasion périnerveuse, forme histo
scintigraphie et IRM d’une algodystrophie
scinti :
hyperfixation loco-régionale précédant les sg radio à tous les temps (précoce, intermédiaire et tardif)
hypofixation à la phase froide ou chez l’enfant et l’ado
IRM :
précocité des anomalies comme la scinti
oedème régional ostéo-médullaire en hypoT1 corrigé par injection, hypersignal T2 et STIR
peut être normal dans formes froides d’emblée
PEC d’une algodystrophie
repos en phase chaude
suppression de l’appui du MI
bas de contention, pas d’immobilisation stricte
rééducation :
phase chaude : progressive et indolore avec pour objectifs :
PEC de la dl
PEC des tb trophiques
prévention des rétractions
(moyens : bain ecossais, drainage de l’oedème, mobilisation active aidée avec respect de la non douleur)
phase froide :
limitation des rétractions capsulo-ligamentaires
lutte contre l’enraidissement articulaire
ttt med : aucun n’a prouvé son efficacité
antalgiques classiques, AINS, CTC si besoin
biphosphonates IV : hors AMM
neurostimulation transcutanée (TENS)
prévention de l’algodystrophie
limitation de l’immobilisation platrée
meilleure PEC de la dl post-op
rééducation douce
examen de première intention pour rechercher un appendicite, que recherche t on
echo abdo (mais non systématique si typique)
diag positif :
appendice de diamètre sup 6mm
epaississement de la paroi appendiculaire
aspect en cocarde
infiltration de la graisse préi-appendiculaire
stercolithe
eliminer un diag dif :
IIA
diverticule de Meckel
adénolymphite mésentérique
recherche complications :
abcès appendiculaire
épanchement intra-péritonéal
complications secondaires au ttt d’une appendicite
per op :
anesth
hémorragiques
infectieuses
précoces :
lachage du moignon appendiculaire avec péritonite secondaire
abcès de paroi, du cul de sac de douglas, sous-phrenique, intra-abdo
hématome de paroi
iléus post-op
fistule grelique
de décubitus
tardif :
occlusion sur bride
eventration
stérilité tubaire (adhérence)
grades de gravité d’une appendicite
catarrhale, ulcérée, nécrosée, gangréneuse
critères permettant de ne pas faire d’appendicectomie
absence de réaction pariétale à la palpation abdo
Temp inf 38°
absence d’hyperleucocytose
physiopath acné
séborrhée : sécrétion déclenchée par dihydrotestostérone, secondaire à une sénsibilisation accrue de la glande sébacée et des kératinocytes aux androgènes
kératinisation infundibulaire : hyperprolifération des kératinocytes du follicule pilo-sébacé entrainant une obstruction du canal infundibulaire
infection : propionibacterium acnes responsable d’inflammation
lésions élémentaires de l’acné
rétentionelles : comédons ouverts comédons fermés (microkystes) inflammatoires : papules pustules nodules séborrhée (peau grasse) cicatrices
ttt disponibles de l’acné et lésions sur lesquelles elles agissent, escalade thérap
locaux :
rétinoides topiques (rétentionnelle)
peroxyde de benzoyle (inflam et bactérien)
ATB topiques : erythromycine ou clindamycine (inflam et bactérien)
généraux : ATB : cyclines ou macrolides (inflam et seborrhéique) gluconate de zinc (inflam) isotrétinoine (retentionelle, inflam) hormonothérapie
monothérapie locale
si echec :
bithérapie topique par rétinoide + PBO ou ATB local
ou ttt général gluconate de zinc ou ATB PO associé à ttt local (PBO ou retinoide)
si échec : isotrétinoine
isotrétinoine : indications, ES et suivi, éducation
acné conglobata ou nodulaire ou échec ttt standard
tératogène sécheresse cutanée cytolyse hépatique dyslipidémie HTIC si associé aux cyclines
arrêt des autres thérap anti acneique surtout cyclines
utilisation quotidienne de crème hydratante
contraception efficace 1 mois avant et après
consentement parents et patiente
efficacité : diminution des lésions acnéiques
tolérance :
controle mensuel des BHCG, délivrance à la pharmacie nécessite test de grossesse neg, dernier a lieu à 5S de l’arrêt
surveillance bio tous les 3M des transaminases et EAL
suivi psychologique