Uro Flashcards
Indications d’une transplantation rénale
IRC stade 5 (DFG inf 15mL/min)
À envisager dès que IRC sévère (DFG inf 30mL/min)
Intérêt des marqueurs tumoraux dans les tumeurs du testicule
Intérêt des marqueurs pour le diagnostic et le suivi
- LDH: séminomes, corrélée à la masse
- aFP: carcinome embryonnaire (pathognomonique)
- HCG totale: choriocarcinomes et tumeurs mixtes
Tableau clinique de gonococcie chez l’homme
Urétrite aiguë Tableau bruyant: -brûlure mictionnelle, dysurie -apyrexie -écoulement urétral spontané sale +/- purulent
Rechercher des c°:
- orchi-epididymite: signes G, dlr scrotale, inflamm
- prostatite aiguë: TR douleur exquise
Tableau clinique de chlamydiose chez l’homme
Urétrite aiguë
Tableau peu bruyant:
-brûlure mictionnelle modérée, dysurie inconstte
-apyrexie
-écoulement urétral clair inconstt peu abondant
Rechercher des c°:
- orchi-epididymite: signes G, dlr scrotale, inflamm
- prostatite aiguë: TR douleur exquise
Exploration d’une urétrite
BU ECBU PCR sur 1er jet d’urine
Pvt locaux, ex direct, mise en culture sur gélose chocolat, immunofluorescence, ABG
Bilan d’IST: séros VIH VDRL TPHA VHB VHC dépistage des partenaires
Bilan clinique d’une orchi-épididymite
Âge, atcd uro
Contage, installation, évolution
Signes G: fièvre parfois élevée, frissons
Signes U: brûlures mictionnelles, pollakiurie, dysurie
Douleur scrotale unilat, soulagée par la suspension
Inspection: scrotum inflammatoire, hydrocèle réactionnel
Palpation: douleur, disparition du sillon épididymo-testiculaire (s. de Chevassu)
BU+++: infection U?
Palpation des orifices herniaires
TR pour prostatite, examen du méat pour urétrite
Recherche abcédation, fistulisation, signes septiques G
Exploration d’une orchi-épididymite
ECBU, PCR sur 1er jet
Pvt urétral: ex direct et culture sur gélose chocolat pour gono
Bilan IST
2 ppaux dg différentiels de l’orchi-épididymite
Torsion du cordon spermatique
Hernie inguinale étranglée
PEC d’une orchi-épididymite
Ambu
Paracétamol
AINS+++: diminuent le risque d’infertilité
Suspensoir
ABT probabiliste, adaptation II à l’ABG à la cs de contrôle à J7
- jeune: biABT minute C3G IM et azithromycine PO
- vieux: FQ PO 3S
- si doute: FQ + C3G
MA aux IST
Contrôle J7 systématique!!: vérifier guérison, adaptation à l’ABG, résultats des séros IST, éducation
Mesures associées aux IST
Séros VIH/VHB/VHC/VDRL-TPHA
Dépistage+/-ttt des partenaires
Rapports protégés jq guérison (préservatif)
Info et éducation de la patiente sur les IST
Vaccin VHB
Différence entre infections urinaires basses et hautes, compliquées et non compliquées
Basse: urètre ou vessie, apyrétique, ABT courte ‘minute’
Haute: uretère, rein, fébrile, risque de c°, ABT prolongée
Compliquées: prostatite++, PNA et cystite compliquées (homme, comorb, uropathie sous-jacente)
Interprétation d’un ECBU
Leucocyturie significative si sup 10^4/mL
Bactériurie:
- sup 10^3 UFC/mL: cystite à E. coli
- sup 10^4 UFC/mL: PNA, prostatite
- sup 10^5 UFC/mL: cystite à autres germe que E. coli
Bilan clinique d’une cystite
Nombre d’épisode/an, date du dernier épisode (cystite récidivante si sup 4x/an)
SFU: brûlures mix, pollakiuries, impériosités mix
Dysurie, hématurie
Apyr et pas de dlr à l’ébranlement lombaire: éliminer PNA !!!
BU
Cystite compliquée, cystite récidivante
Compliquée=terrain particulier:
- homme, femme enceinte
- DB, ID, IR
- uropathie sous-jacente: lithiase, sténose, tumeur, résidu post-mix, reflux
Récidivante: au moins 4 épisodes par an, et absence de critères pour une cystite compliquée
Enfant: au moins 3 épisodes par an
Exploration d’une cystite
ECBU ssi cystite compliquée, récidivante, ou suspicion de PNA
Écho rénale et des voies urinaires ssi cystite compliquée ou récidivante
P° des IU
Apport hydrique suffisant (au moins 1,5L/j)+++
Mictions non retenues+++
Régularisation du transit+++
Mictions post-coïtales++
Hygiène générale (lavage des mains), périnéales
Éviter vêtements moulants, synthétiques
Facteurs favorisants de cystite récidivante
Infections génitales, période pré-menstruelle, grossesse
Troubles du transit, insuffisance ou excès d’hygiène
Apport hydriques insuffisants, sondage
Quoi évoquer devant:
- ECBU positif sans signe clinique d’IU
- ECBU avec leucos+ mais bactériurie inf 10^4/mL
Colonisation urinaire: pas d’ABT
Leucocyturie aseptique: cystite décapitée+++
ABT sur cystite simple, compliquée, récidivante
Simple: fosfomycine-trométanol dose unique (Monuril), ou monoflocet
Compliquée: nitrofurantoïne 7J, ou FQ 5J
Récidivante: monuril, apports hydriques+++, ABP au cas par cas
NB: HCG avant FQ!!!
IU chez la femme enceinte
BACTÉRIURIE ASYMPTO: on traite! Amox PO 5J
ECBU mensuel
CYSTITE GRAVIDIQUE: ECBU syst, céfixime PO 5J
ECBU à 10J et mensuel, pas de FQ!!
PNA gravidique: hospit, ECBU, écho, C3G IV puis relais oral, au moins 14J
ECBU à 48h, puis à 10J, puis à l’arrêt du ttt, puis mensuel
Bilan clinique d’une PNA
ATCD de cystites, PNA, uropathies, DB
Ancienneté, évolution, cystite simple première
Signes fonx:
-dlr lombaire unilat++, irr OGE
-s. associés: signes dig, hématurie, urines troubles
Consttes: fièvre!!
Douleur à l’ébranelement lombaire, BU positive++
SdG: AEG, sepsis, oligurie, signes de choc septique
Exploration d’une PNA
BU+, ECBU+++
Echo rénales et des voies U syst+++ en urgence
- oedème, hypotonie des CPC, dédifférenciation cortico-medullaire
- dilatation des cavités pyélocalicielles
- abcès rénal
Uroscanner si PNA compliquée
CI si IRA!!!
ASP si calcul lithiasique sur 1er épisode de PNA
NFS CRP, iono-u-créat, hémocs
PEC d’une PNA
Hospit+++, ambu ssi jeune sans sdg, comorb et observance satisfaisante
ABT+++:
- PNA simple ambu: ABT probabiliste après ECBU active contre germes urinaires: ofloxacine PO 7J
- PNA hospit: ABT probabiliste après ECBU, parentérale, double, active sur E. coli: C3G (ou FQ) +/- genta, relais PO à 48h d’apyrexie, 3S
Tt sympto: hudratation, paracétamol, antiémétique, antispasmodique
DÉRIVATION DES URINES en urgence ssi dilatation des CPC à l’écho
- drainage par sonde uretérale++, ou nephrostomie percut (homme++)
- tt étio
P° des IU+++
Cs de contrôle à J3, adapt à l’ABG
ECBU de contrôle si hospit: à 48h et en fin de ttt
Ppal facteur favorisant de prostatite aiguë
HBP
Bilan clinique d’une prostatite
ATCD d’HBP, IU ou RAU
SFU irritatifs et obstructifs (dysurie avec miction hachée, jet faible…)
Fièvre, dlr pelv, sd rectal
Csttes: t°, diU, PA FC
TR++: douleur exquise, volume augmenté, tendue, régulière, chaude
Recherche globe vésical, sespis, choc
Exploration d’une prostatite aiguë
BU ECBU
Écho des voies U syst en urgence+++: dilatation CPC
NFS CRP hémocs iono-u-créat
À distance: bilan uro-dynamique: débitmétrie urinaire
Ppale complication d’une prostatite
RAU
PEC d’une prostatite aiguë
Hospit si Sdg
Prostatite aiguë ambu: ABT probabiliste après ECBU à pénétration prostatique active sur E. coli: FQ 2 à 3S
Prostatite aiguë compliquée: ABT probabiliste parentérale double: C3G (ou FQ) et genta IV, relais PO à 48h d’apyrexie, 3S en tout
Ttt sympto: RHE, paracétamol, alpha-bloquanti dysurie sévère
Ttt des c°: drainage des u en U si RAU
TT étio si HBP
Cs de contrôle à 7J indispensable!
ECBU de contrôle à 4S (fin de ttt)
Différences entre cystite et PNA chez l’enfant
Enfant vs tout âge
Apyrétique vs fièvre élevée
Dlrs abdos-pelvs vs abdos+lombaires (ébranlement fosses L)
SFU intenses vs peu marqués mais ictère cholestatique
Hématurie prédominante vs protéinurie prédominante
Ppale uropathie des enfants
Reflux vésico-uretéral+++
Fonctionnel (intermittent) ou malformatif (constant)
Disparition spontanée dans la majorité des RVU fonx
Risque de nephropathie de reflux (NTI) puis IR terminale
ABT de la cystite de l’enfant
ABT de la PNA de l’enfant
Augmentin PO pdt 5J
Amikacine 3J puis adaptation à l’ABG
Relais PO pour durée totale 14J
FQ CI chez l’enfant !!
Sd de Von-Hippel-Lindau
2 hémangioblastomes: rétinien + cérebelleux
Ou 1 hémangioblastome + 1 K viscéral
- phéo
- CCC
- tumeur neuroendoc du pancréas
- tumeur du cul de sac lymphatique
Types histos de K rénaux
BÉNINS: kyste simple+++
MALINS
- CCC+++: cellules du TCP
- carcinome tubulo-papillaire: cellules du TCD
- carcinome chromophobe, carcinome sarcomatoïde
Bilan clinique d’un K rénal
Âge, VHL, K
Tabac, obésité
AEG
Triade++: hématurie+dlr flanc+masse lombaire
VARICOCÈLE
- gauche: thrombus veine rénale G
- droit: thrombus de la veine cave inf (OMI ?)
SD PARANÉOS
- polyglubulie par EPO
- HTA résistante par sécrétion de rénine
- sd inflamma par IL 2/6
- hyperCa par PTH-like
- sd de stauffer par cholestase anictérique
- anémie, fièvre
GGL (Troisier), signe d’appel de métas
Exploration d’une tumeur rénale
ECHOD Rénal: masse isoéchoG déformant les contours, vasc, recherche thrombus tumoral veineux
UROSCANNER+++ 4 temps
Masse isodense avec réhaussement précoce
Étude du rein controlat
Si pas de réhaussement=kyste
BIOPSIE RÉNALE rare, conditions spés
NFS VS CRP Ca PAL
TDM TAP injectée: extensions locale, régionale, à distance
+/-scinti os, TDM cérébrale
AngioIRM si thrombose de la veine cave
Bilan préop, cs de conseil génétique
PEC d’un K du rein
RCP PPS CS d’annonce
FORME LOCALISÉE: néphrectomie partielle ou élargie + curage gglr
MÉTAS:
- nephrectomie + immunothérapie ou antiangiogéniques
- immunothérapies et thérapies ciblées (antiVEGF+++)
- radiothérapie osseuse et cérébrale
- pas de chimio, cellules claires insensibles
PEC douleur, soins palls, soutien psy, 100%
Surv 1x/an à vie, uroscann, NFS, créat, VS CRP
4 éléments de la classification pronostique de Motzer du K du rein
Karnofsky
LDH
Ca corrigé
Intervalle dg et ttt
Type histo ppal de tumeur vésicale
Carcinome urothélial+++
Favorisé par tabac et solvants
Autre type: carcinome épidermoïde, favorisé par bilharziose
Bilan clinique d’une tumeur vésicale
Tabagisme, expo professionnelle, atcd RCT, RAI, cyclophosphamide
Origine géo, voyages
Hématurie macroscopique totale récidivante indolore
Pollakiurie, dysurie, impériosités (hyperact detrusorienne)
Aires gglr, palpation fosses lombaires
Exploration d’une tumeur vésicale
ECBU, écho des voies urinaires =bilan d’hématurie
Cystoscopie souple diagnostique sous AL+++ avec biopsies sous AG
Cystoscopie thérapeutique avec éxérèse complète
Uroscann, TDM TAP pour extension
PET scan au 18F-FDG avec protocole d’hyperdiurèse
+/-scinti os
PEC d’une tumeur vésicale
RCP PPS cs d’annonce
RÉSECTION ENDOSCOPIQUE première à visée curative+++
=cystoscopie sous AG, après ECBU!!!, résection complète, ex anapath
+/- selon extension: chimio, cystectomie élargie+curage gglr
Puis dérivation urinaire post-cystectomie
Arrêt tabac
Déclaration en maladie professionnelle
PEC douleur, soins palls, soutien psy, 100%
Surv à vie 1x/an, ECBU, clinique
Tumeurs du testicule: types histologiques
Germinales+++
- séminomateuse: séminome typique++
- non séminomateuse: carcinome embryonnaire++, choriocarcinome
Non germinales: cellules de Leydig, de Sertoli
Bilan clinique de tumeur testiculaire
Homme jeune, cryptorchidie+++, orchite, dysgénésie gonadique, attophie testiculaire, IST (pour dg diff)
AEG, pesanteur pelvienne, augment volume de la bourse, baisse de la libido
Palpation testiculaire bilatérale comparative:
Masse testiculaire dure ou pierreuse, indolore, séparée de l’épididyme avec conservation du sillon épididymo-testiculaire (=signe de CHEVASSU)
Palpation des aires gglr (Troisier)
Gynécomastie (unilat?)
Signes de compression médiastinale, HMG méta
Diagnostic + d’une tumeur du testicule
ÉCHO testiculaire en urgence: lésion intratesticulaire hypoéchogène ou hétéroG vascularisée avec microcalcifications
Vérifier testicule controlat
MARQUEURS TUMORAUX: LDH, aFP, HCG totale
ORCHIDECTOMIE DG par voie inguinale!!, ex anapath
Après info et cryconservation du sperme au CECOS
Ligature 1ère du cordon spermatique
Mep d’une prothèse testiculaire
Surveillance d’une tumeur testiculaire
Dosage marqueurs tumoraux à +3S, TDM TAP 1x/6M, écho
Autopalpation+++
Bilan clinique devant une HBP
Homme sup 50ans, atcd G et uros, épisodes de RAU
Hématurie, tbles neuro, fdr de sténose de l’urètre
SFU:
-signes obstructifs+++: sd dysurique et résidu post-mix
-signes irritatifs non prédominants
International Prostatic Symptoms Score+++: auto-évaluation des signes fonx et du retentissement, calendrier mictionnel
TR+++: prostate globalement augmentée de volume, lisse, régulière, ferme, élastique, indolore, +/- disparition du sillon médian
Examen des OGE, palpation des orifices herniaires, des aires gglr, percussion lombaire
BU+++
Exploration d’une HBP
Dg clinique+++
Selon clinique: ECBU, iono-u-créat, PSA
Bilan de seconde intention:
- écho réno-vésico-prostatique: V3 prostatique, retent
- débitmétrie: pour suivi
- bladder-scan: mesure du résidu post-mix
- bilan uro-dynamique=débitmétrie+cystomanométrie+profilométrie
- urétrocystoscopie: tumeur vésicale?
C° ppale de l’HBP
RAU
TURP syndrome=sd de réabsorption du glycocolle
=effet secondaire du tt chrir d’une HBP
=hypoNa de dilution lié au passage du glycocolle
Arrêt de l’intervention, iono-u-créat
Risque d’oedème cérébral
Restriction hydrique +/-diU
2 Effets secondaires ppaux d’une chir d’une HBP
Éjaculation rétrograde
TURP syndrome
Stratégie thérapeutique de l’HBP
Info du patient: tt selon son souhait
-abstention thérapeutique++
-ttt meds: si complication (prostatite++)
-ttt chir: si souhait ou si complications (RAU+++)
Info sur le risupque d’éjaculation rétrograde, ex anapath extempo
Pas de boisson abondante le soir et en fin de journée
Activité phy régulière adaptée
Éviter les cholinergiques
Tt meds de l’HBP
Prise quotidienne PO au long cours
ALPHABLOQUANTS++: jeune: Xatral
ES: hypoTA orthostatique, éjaculation rétrograde
INHIBITEURS DE LA 5a-réductase: vieux
ES: diminution de la libido, DE
PHYTOTHÉRAPIE: Permixon
FdR de K de la prostate
Afrique, Antilles ATCD fams Pesticide Élévation de la testostéronémie (dopage) ATCD gono
L’HBP n’est pas un FdR de K de la prostate !!!
Type histo le + fréquent des K de la prostate
AdénoK+++
C’est un K hormonodépendant
Interprétation du score de Gleason
De 0 à 10 Sur les 12 biopsies, on additionne les deux grades les plus fréquemment représentés!!! -2-4: tumeur bien différenciée -5-6: moyennement -7-10: indifférencié: mauvais pronostic
Modalités du dépistage du K de la prostate
Dépistage individuel ciblé et éclairé
Après info des risques et des bénéfices
À propose aux hommes de 50 à 75ans: TR+PSA 1x/an
Pas de dépistage de masse car cancer d’évolution lente, chez les hommes âgés qui décèdent d’autres comorbs, un dépistage de masse aurait pour effet de surdiagnostiquer des K cliniquement non significatifs.
Bilan clinique d’une tumeur de la prostate
Homme sup 50ans, fdr fams ou ethniques
Asympto si T1/T2
Signes urinaires irritatifs ou obstructifs
AEG, dlrs osseuses, signes neuros
TR++: nodule dur irrégulier indolore +++, extension locale Aires gglr (troisier), globe vésical, OMI, palpation cadre osseux, ex neuro
Interprétation du PSA
Faux positifs, faux négatifs
Indiqué devant tout TR évocateur, ou dépistage
Calcul du rapport PSAlibre/total si PSA élevés et biopsie N
PSA total sup4ng/mL indique une biopsie+++
PSAlibre/total inf 20%: refaire des biopsies en saturation
Faux-positifs: HBP, prostatite, geste endo-urétral, coït récent
Faux-négatifs: alpha5réductase
Modalités, complications des biopsies transrectales de prostate
Après info du oatient: risque de prostatite grave
En ambu, échoguidé, sous AL, ABP (FQ)
Bilan prébiopsie: ECBU, hémostase, préparation colique
Au moins 12 biopsies, 6/lobe
Envoie en anapath pour ex histo
Prostatite aiguë+++, hémorragies (hématurie, rectorragies, hémospermie)
Exploration d’une tumeur de la prostate
PSA+biopsies prostatiques transrectales
EXT: systématiquement: IRM prostatique et pelvienne+TDM AP+scinti os
+/-écho réno-vésico-prostatique
+/-lymphadénéctomie
PRÉTHÉRAP: ECBU, iono-u-créat, préop, CECOS
Si métas os: Ca en U, IRM et radios des zones douloureuses
Score de d’Amico et CAT
Risque faible ssi: inf T2a, Gleason inf 6, PSA inf 10: ttt curatif direct, pas de bilan d’extension
Risque intermédiaire si: T2b ou Gleason 7 ou PSA 10-20: bilan d’ext, lymphadenectomie
Risque élevé si: sup T2c ou Gleason sup 8, PSA sup 20: bilan d’ext, ttt palliatif
Stratégie thérapeutique du K de la prostate
AMICO FAIBLE: prostatectomie +/-curage, ou curiethérapie, ou radiothérapie externe
AMICO INTERMÉDIAIRE: prostatectomie+/-curage, radioth externe seule ou associée à 6M d’hormonothérapie
AMICO ÉLEVÉ: radioth externe + 3ans d’hormonothérapie
MÉTAS: hormonothérapie: blocage androgénique complet
Effets secondaires de l’hormonothérapie dans le K de la prostate (3) et moyens de p°
Flare-up: aggravation initiale des douleurs osseuses
P° par introduction d’anti-androgène 15J avant anti-LHRH!!!
Hypogonadisme: baisse de libido, DE, gynéco’astie, ostéoporose
P° par MHD, supp vit-D-Ca
Sd métabo
P° par arrêt tabac, régime équilibré, activité phy
Modalités du blocage androgénique complet
Anti-androgènes PO 1x/J
Assoxiation 1M ou permanente
Casodex
Anti-LHRH SC ou IM 1x/3M à vie+++, réversible à l’arrêt
Décaceptyl ou Enantone
P° de l’effet flare-up!!: introduire anti-LHRH que après 15J d’anti-androG efficace
Étios des RAU
HBP+++, prostatite
Tumeur vésicale, pelvienne, prostatique
Sténose urétrale, lithiase vésicale, CE intra-urétraux
Contraction rfx sur fécalome+++ ou hémorroïdes
Patho neuro: SEP, Parkinson, sd de Q de cheval, neuroP DB
Bilan clinique devant une RAU
Atcd de RAU, HBP connue, DB, SEP, tumeur pelvienne,
Prise de meds!!
Install brutale, fc déclenchant
Douleur sus-pubienne, fièvre, signes U
Csttes: t°
Globe vésical+++
Retent: fosses lombaires, sepsis, AEG, sd confusionnel
Étio: TR, examen des OGE
PEC d’une RAU
Urgence thérapeutique
DRAINAGE DES URINES en urgence:
-sondage endo-urétral en 1ère intention (sauf prostatite!!)
-cathéterisme sus-pubien en 2è intention (sauf hématurie!!)
P° du SLO et hémorragie vésicale
Examens co au décours
Antalgiques, RHE
Rechercher et traiter le fc déclenchant
Surv de reprise de la diurèse+++
P° du SLO
P° de l’hémorragie vésicale a vacuo
Dans RAU
Compensation de la diurèse: 2L de NaCl + 1/2 diurèse IV
Drainage profressif: clampage tous les 500mL évacués
Bilan au décours d’une RAU
RETENT
Infectieux: NFS CRP ECBU
Rénal: iono-u-créat
Écho rénale et voies U: dilatation des CPC
ÉTIO: ECBU, écho réno-vésico-prostatique, PSA +/- bilan uro-dynamique, urétro-cystographie rétrograde
Ppale complication d’une RAU
IRA
Bilan minimal d’une dysfonction érectile (7)
ECG Gly à jeûn EAL Iono-u-créat BU Uricémie BHC
Traitement med de première intention devant des troubles de l’érection, et ses CI
Inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5 PO à jeûn
CI: cardioP ischémique+++, hypoTA orthostatique++, nitrés, poppers
Exploration d’une dysurie
BU ECBU Créat Écho post-mix: mesure résidu++ Écho vésico-prostatique Écho transrectale Urétrocystographie rétrograde et mictionnelle Endoscopie urétro-vésicale Bilan uro-dynamique: débitmétrie+++
Bilan uro-dynamique
Débitmétrie
Cystomanométrie
Profilométrie
3 mécanismes possibles à l’origine d’incontinence urinaire
HYPERMOBILITÉ URÉTRALE: femme++, à l’effort!
INSUFFISANCE SPHINCTÉRIENNE: trauma ou patho neuro, au repos! ou à l’effort!
HYPERACTIVITÉ DÉTRUSORIENNE: impériosités!, tumeur vésicale!!
Bilan clinique d’une incontinence urinaire
Atcd gynéco-obs, atcd rééduc périnéale, ménopause, chir pelv
Meds
Date d’apparition, trauma, fc déclenchant
Circonstances de survenue: effort/repos, calendrier mictionnel, retent sur qualité de vie
Signes associés: impériosités, brûlures mix, hématurie, constipation
Ex uro-gynéco++: prolapsus, cicatrice épisio, béance, globe, testintg musculaire du plancher
Manoeuvre de TVT: doigts de part et d’autre de l’urètre au TV
-suppr fuites à l’effort=IU par hypermobilité urétrale
-fuites persistent: insuff sphinctérienne
BU et Ex neuro pour éliminer une cause organique
2 questions essentielles devant une incontinence urinaire
Intermittente ou permanente ? Si permanente=fistule
Si intermittente: survenue à l’effort ou par impériosités ?
Exploration d’une incontinence urinaire
BU ECBU sont les seuls systématiques
Écho vésicale, bilan urodynamique, cystoscopie
Ppal dg différentiel d’une incontinence urinaire
Fistule vésico-vaginale
Tt d’une incontinence U
Ttt des fc favorisants: constipation, IU, toux
Rééducation périnéo-sphinctérienne en 1ère intention AVANT toute chir+++
Insuff d’effort: tt chir: bandelettes de soutènement+++
Insuff par impériosités: anticholinergiques+++: oxybutinine (Ditropan)
Composition des lithiases U
Oxalate de Ca+++ Phosphate de Ca+ Acide urique (goutte...) Struvite Cystine Meds
Bilan clinique d’une CCN
Atcd de CN, goutte, hyperCa, rein unique
Fc déclenchant (chaleur, apport hydrique insuffisant)
Douleur lombaire unilat irradie sur OGE brutale, pas de position antalgique
+/-SFU
Csttes: température, diurèse
Douleur à l’ébranlement lombaire+++
Hématurie microscopique à la BU+++
SdG: CCN fébrile, hyperalgique, anurique: hospit et drainage des urines en U!!!
DG+ de CN
En U si BU- ou SdG, sinon à 48h
Soit couple écho-ASP
Soit TDM AP hélicoïdale non injectée++
Écho rénale et des voies U: visualise le calcul hyperéchoG, cône d’ombre post, dilatation des CPC
ASP face debout: opaque si Ca
TDM AP hélicoïdale non injectée: dilatation des CPC, visualise le calcul, couronne hypodense autour du calcul, pâleur du rein
Explorations une fois le dg de CCN posé
RETENT
ECBU, iono-u-créat, NFS CRP
ÉTIO à distance de la crise
Uroscanner
Bilan sanguin: créat, Ca
Urines des 24h: créatu, calciu, uricurie, urée u, Nau, volume
Urines du lever: pH, densité, BU
Analyses spectrophotometrique infra-rouge+++ après récupération du calcul par tamissage
Bilan préAINS
Quoi évoquer devant une CCN qvec douleur persistante malgré AINS
Colique nephrétique hyperalgique+++
Infarctus rénal, thrombose de la veine rénale, hémorragie sur tumeur rénale
Cause extra-urologique: colique hépatique, pancréatite, appendicite…
PEC d’une CCN en phase aiguë
Aux urgences, hospit si SdG
Repos au lit et maintient à jeûn
AINS+++ après créat et HCG!!: Profénid IV 100mg puis PO 7J max
Paracétamol IV +/- ixprim
Antispasmodiques: Spasfon IV puis PO
Si c°: DÉRIVATION DES URINES EN URGENCE !!
- fébrile: sonde uretérale ou nephrostomie percut, biABT: FQ+genta
- hyperalgique: titration de morphine
Surv EVA+++, persist malgré AINS 4-6h (hyperalgique)
Au décours: tamissage des urines, bilan étio
Indications de RAD, documents à remettre
Indications de RAD après CCN, documents
CN non compliquée, reprise de la diurèse
Antalgie 4h après la dernière injection
Pres d’AINS PO 7J
Pres d’examens co à faire dans les 48h
Encourager le patient à filtrer ses urines
Consignes écrites: cs si fièvre, anurie, hématurie, douleur
Cs MT après examens cos J3-J7
Alternatives de ttt étio d’une CCN
Si pas d’élimination spont du calcul
Lithotritie extra-corporelle (LEC)+++
Nephrolithotomie percutanée (NLPC)
Uretéroscopie (URS)
3 techniques chir de l’HBP en fonction de la taille
Ordre croissant:
Incision cervico-prostatique
Résection transurétrale endoscopique++
Adénectomie par voie haute
Signes cliniques en faveur d’une torsion du cordon spermatique
Épisodes de subtorsion, rapport sex non protégé
DOULEUR SCROTALE AIGUË
-intense+++, brutale, unilat irr sur le cordon spermatique
-signes dig ou urinaires associés
-apyrétique!!
Testicule ascensioné, retracté à l’anneau, unilat
Bourse inflamm et douloureuse à la palpation
Signe de Prehn négatif: pas de soulagement par suspension (=/ OE)
Abolition fréquente du rfx crémastérien
Parfois tours de spires du cordon palpables
Signes negs: abdo souple, orifices herniaires libres, urines claires, bourse controlat N, TR indolore, pas d’écoulement
PEC d’une torsion du cordon spermatique
Hospit en U en urologie
Tentative de détorsion manuelle à visée exclusivement antalgique
Maintient à jeûn, cs anesth, VVP, antalgiques
Info du patient/des parents: risque d’orchidectomie
Autorisation parentale écrite indispensable
TT CHIR+++: scrototomie, extériorisation, détorsion, examen de la viabilité: orchidopexie ou orchidectomie, orchidopexie controlat préventive
Définition d’une cryptorchidie
Défaut de migration embryologique d’un ou des testicules
Fonction exocrine tjrs détruite (même si ttt), endocrine préservée
Distinguer de testicule non descendu et de testicule ectopique
Peu discernables en pratique
Définition du phimosis
Sténose modérée de l’orifice préputial
Proposer dermocorticoïdes topiques 3S pour essayer d’éviter la chir
Orientation d’une hématurie en faveur d’une cause uro vs cause nephro
Sang rouge vs sang brun
Caillots+++ vs pas de caillot
Douleurs lombaires/pelviennes vs pas de douleur
Signes urinaires associés vs pas de SFU
Hématurie uro: s’orienter devant caractère initial ou terminal de l’hématurie
Hématurie initiale=cause URÉTROPROSTATIQUE probable
-prostatite, urétrite, K prostate, HBP
Hématurie terminale=cause VÉSICALE probable
-cancer vésical, cystite, bilharziose
Non discriminant
-CCN, PNA, K rein
6 examens devant toute hématurie
BU+++ ECBU Iono-u-créat Écho rénale et des voies U NFS P TP TCA
Prévention des lithiases
Boisson abondante continue: diurèse sup 2L/J
CALCUL CALCIQUE
- limitation des apports calciques, protidiques, sodés
- diU thiaz en deuxième intention
- si oxalate, réduction du chocolat, thé, oseille
CALCUL URIQUE
- alcalinisation des urines: eau de Vichy 1L/J
- limiter aliments riches en purines (abats)
- allopurinol ssi uricurie sup 4mM/j malgré mesures diéts
CALCUL CYSTINIQUE
- alcalinisation des urines
- limiter aliments riches en méthionine (morue, cheval, parmesan)
4 alternatives thérapeutiques d’un cancer de la prostate à risque faible
Prostatectomie totale
Radiothérapie externe
Curiethérapie
Surveillance active
Hématurie terminale, évoquer ?
Tumeur de la vessie JPDC