Psycho 3 Flashcards
Dès le 18e siècle
- psychologie se veut rationnelle au sens où elle se fonde uniquement sur le raisonnement (je pense, Descartes)
- influencée par les dvlpts de la science, elle se remettra en cause et se séparera de la philosophie
Déf psychologie
- avant : étude de l’âme
- étude des faits de consciences qui en constituent en qq sorte le versant observable
Melanchton
- philosophe allemand
- 1er à avoir employé le terme psychologie
Coeckel
- 1er à avoir donné 1 titre de livre avec ce terme
James - Déf psychologie
La psychologie est la science de la vie mentale à la fois de ses phénomènes et de ses conditions
1930-1960
Prééminence du Behaviorisme
- behavior = comportement
- objet central scientifique de la psychologie devient le comportement
1970
- psychologie devient l’étude du comportement et des processus psychiques
Déf générale de la psychologie
- étude scientifique des manières de penser, sentir et d’agir qui caractérise 1 personne, 1 animal ou 1 groupe
1913
- naissance du mvt béhavioriste
- ce mvt va faire l’objet d’adeptes nombreux et divers dans le domaine de la sociologie, de l’éducation et d’orientations de certaines politiques
- c’est aux USA qu’explosent ces conceptions
- il s’agit d’1 psychologie qui se veut fonctionnelle et prédictive qui prend appui sur une interaction Stimulus-Individu-Réponse
- en fn du stimulus, on essaie de prédire la réponse
Naissance du behaviorisme
- Watson établit en 1913 les principes de base du mvt
- pour que la psycho puisse être considérée comme 1 science naturelle, elle doit se limiter aux événements mesurables et observables
- elle doit se débarrasser sur le plan théorique de toutes les interprétations qui font appel à la notion de conscience
- sur le plan méthodologique, l’usage de l’introspection est banni
- l’apprentissage devient 1 objet central pour l’étude du comportement
- individu assimilé à 1 boîte noire, ses sensations ne résultent que des stimulations de l’environnement
Doron, Parot - Déf apprentissage
L’apprentissage est une modification adaptative relativement permanente résultant de l’interaction avec l’environnement et se traduisant par 1 élargissement du répertoire comportemental
Les apprentissages non-associatifs : l’habituation
- l’habituation est 1 forme d’apprentissage consistant en la diminution graduelle et relativement prolongée de l’intensité ou de la fréquence de la réponse suite à la présentation répétée ou prolongée de stimulus l’ayant déclenché
Habituation implique ?
- la présentation d’1 stimulus inconditionnel càd d’1 stimulus qui déclenche 1 réponse automatique
- c’est cet automatisme que l’on cherche à modifier
Exemple d’habituation
Chiens de chasse
- ils présentent 1 grande sensibilité naturelle
- par habituation, ils apprennent à ne pas sursauter ou se figer quand ils entendent 1 bruit fort
- exposés à ce bruit (coup de fusil) depuis le + jeune âge, ils en viennent à ne plus être terrorisés lorsqu’ils l’entendent
Les apprentissages associatifs : le conditionnement
- 1ères expériences réalisées par Thorndike
- chat placé dans 1 boîte dont l’ouverture se trouve à l’intérieur va utiliser toutes sortes de comportements pour essayer de se libérer
- après pls essais et erreurs, il apprendra à repérer la réponse comportementale qui le libère autrement dit à effectuer la réponse spé : sortir de la boîte qui constitue sa récompense
Loi de Thorndike/ Loi de l’effet
- si une action entraîne une conséquence positive, cette action est renforcée
Concept de “réflexe conditionné” de Pavlov
- but est de montrer que l’on peut conditionner un réflexe
- pour cela il faut déplacer 1 stimulus inconditionnel, la vision de la nourriture, vers un stimulus conditionnel : le bruit de la cloche
- en effet, alors que le couple vision de la nourriture/salivation correspond au schéma stimulus inconditionnel/réponse inconditionnelle, par association, par apprentissage, le simple son de la cloche devient suffisant pour faire saliver le chien
- stimulus conditionnel (son de la cloche) provoque 1 réponse conditionnée = prix Nobel de médecine de 1905
Conditionnement opérant de Skinner
- s’appuie sur la loi de l’effet de Thorndike
- 2 protocoles expérimentaux : la cage de Skinner et le labyrinthe
- idée que le comportement est causé par les conséquences de ce comportement
- conditionnement opérant vise à modifier la probabilité d’apparition d’1 comportement
La cage de Skinner
- l’animal en cage est mis en présence d’1 stimulus électrique
- à l’aide d’1 instrument (levier), le rat peut arrêter les décharges électriques
- il doit donc apprendre qu’en actionnant le levier, il supprime le stimulus désagréable
- la performance s’apprécie au nbre d’essais et d’erreurs commises
Le labyrinthe
- ensemble de voies dont seule 1 mène à la sortie
- rate est alors récompensé par de la nourriture
- efficacité d’1 animal s’apprécie en comptant le nbre d’erreurs ou la durée nécessaire pour trouver la sortie
Renforcement positif (conditionnement opérant)
- stimulus appétitif (plaisant) est présenté suite à 1 comportement = ↑ probabilité de réapparition du comportement
Punition négative (conditionnement opérant)
- stimulus appétitif supprimé suite à 1 comportement = ↓ de la probabilité de réapparition du comportement
Renforcement négatif (conditionnement opérant)
- stimulus déplaisant supprimé suite à 1 comportement = ↑ de la probabilité de réapparition du comportement
Punition positive (conditionnement opérant)
- stimulus déplaisant présenté suite à 1 comportement = ↓ de la probabilité de réapparition du comportement