6.7 glandes mamaires Flashcards
hyperplasie épithéliale
Canal N: Membrane basale + 2 assises cellulaires (épithéliale+myoépithéliale)
Augmentation du nombre de couches cellulaires (prolifération augmentée et apoptose diminuée) obstruction des canaux
proliférations intra-épithéliales
Prolifération de cellules épithéliales se produisant à l’intérieur de l’arbre galactophorique pouvant intervenir à tous les niveaux de l’arbre galactophorique , mais surtout au niveau de l’UTDL
Canalaire et lobulaire
prolifération
toute multiplication cellulaire dépassant 2 couches au dessus de la couche des cellules myoépithéliales
hyperplasie canalaire
Localisée le plus souvent au niveau distal Quantifiée en fonction des couches: 3 à 4 : légère 5 à 6 : modérée >6 : floride
DD papillomes intracanalaires
continuum biologique
Hyperplasie atypique =)
Carcinome in situ =)
Carcinome infiltrant
Critères de diagnostic portent sur l’architecture, la polarisation, les noyaux, les glandes ou tubules
CANCER MAMMAIRE-
OMS 2012
Carcinome in situ / invasif
Lobulaire vs canalaire
Dépistage augmentation de l’incidence des carcinomes in situ
néoplasie mamaires in situ
Regroupent toutes les proliférations néoplasiques des cellules épithéliales luminales confinées dans les acini des lobules et dans les canaux galactophoriques
canaux galactophoriques
Découvertes le plus souvent en péri ménopause
Dépistage mammographique organisé (microca+)
Associées à un risque de développer un carcinome infiltran
lésions précurseurs
2 types, en fonction du type cellulaire constitutif :
Canalaire
Lobulaire
néoplasie mammaire in situ
dia 43
Classification des lésions prolifératives canalaires in situ
Atypies épithéliales planes DIN1a Hyperplasie canalaire atypique DIN1b CC in situ de bas grade DIN1c CC in situ de grade intermédiaire DIN2 CC in situ de haut grade DIN3
D ductal I intra-épithélial N néoplasie
Carcinome canalaire in situ
5 types architectural: Comédocarcinome Papillaire Micropapillaire Solide cribriforme Comédocarcinome= plages solides de cellules malignes avec nécrose centrale(calcifications)
Carcinome canalaire in situ
Classification basée:
Grade nucléaire – nécrose – polarisation cellulaire – architecture
Grade nucléaire
Bas-grade: noyaux monomorphes de petite taille (max 2x noyau de cellule normale)
Grade intermédiaire : entre les deux catégories
Haut-grade: noyaux pléomorphes dont la taille est > 2x noyau de cellule normale
45% haut-grade, 35% intermédiaire , 1% à bas-grade
CCIS role du pathologiste
Chirurgie conservatrice : tumorectomie
Dans le compte rendu doit figurer (entre autres) l’état des berges d’exérèse et la distance minimale séparant le CCIS de la berge la plus proche
(à mesurer au microscope en mm)
Car il s’agit du facteur histologique le plus important pour prédire la récidive après traitement conservateur
Si marge <2mm, il faut réaliser une réexcision
carcinome lobulaire in situ
Prolifération au niveau des canaux terminaux ou ductules par des cellules monomorphes, peu cohésives, petit noyau rond
Rarement calcificationDécouverte de hasard!!!bilatéraux
carcinome lobulaire in situ
Caractéristique génétique: inactivation du gène CDH1 ( 16q22)
CDH1 code pour E-cadhérine (cohésion)
Pas d’expression de E-cadhérine
Classification des lésions prolifératives lobulaires in situ
Hyperplasie lobulaire Atypique (HLA) LIN 1
Carcinome lobulaire in situ/HLA LIN 2
CL in situ LIN 3
L lobular I intraépithélial N néoplasie
Pas encore validé par études cliniques
cancer key points
Le type histologique le plus fréquent est l’adénocarcinome issu de l’épithélium glandulaire
Autres cancers :
Sarcomes , lymphomes : RARES
Tout âge Rare avant 25 ans 40-70 ans Quadrant sup ext (plus de glandes) Axillaire!!! Symptômes : masse palpabl
classification carcinomes OMS le plus fréquents
1) carcinome infiltrant de type non spécifique ( canalaire TNS)
2) carcinome lobulaire infiltrant