L3 cognitif Flashcards

1
Q

Automatisation :

A

1- Se construit / déconstruit (schneider & Shiffrin).
2- Pas besoin de mobiliser bcp d’attention, fait des réserves pour d’autres tâches.
3- s’éxecute rapidement.
4- Sans pleine conscience des faits et gestes executés, pas besoin de contrôle qd c’est lancé.

Relié à la mémoire procédurale, moteur → Ex : faire du vélo.
Mais également intellectuel. Ex : langage, grammaire.

du réflexe qui est inné

Paradigme de la double tâches → permet de connaître si il y a présence d’automatisme, avec présence d’automatisme sur 1 des tâches, + de rapidités.

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2
Q

Activation / inhibition :

A

1- Système cognitif avec 1 info sur laquelle l’inconscient est porté. Le système intentionnel va choisir de l’activé, la sélectionnée et la faire entrer dans la mémoire de travail car elle est pertinente.
Ce sont également des infos stockées dans la mémoire à long terme qui sera réactivé, pas seulement infos externes.
Ex : “Cette notion sera à l’examen” -> ACTIVATION

2- Système cognitif identifie des infos non-pertinente, les empêches de rentrer dans la mémoire de travail.
Ex : “Ca ne sera pas à l’examen” -> INHIBITION

Ex : test de Stroop

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3
Q

Catégorisation :

A

Opération intellectuelle. Permet de découper/détacher la forme présent dans le réel pour le classer en catégorie. (Piaget).
Ex : bcp de catégorisation par le langage. ( ex : catégorisation des objets )

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4
Q

Conscience :

A

Toutes les activités sur lesquelles ont peut porter notre attention.
Mémoire explicite ( dans le conscient ) Mémoire implicite ( dans l’inconscient ).

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5
Q

Contrôle :

A

Antonyme d’automatisme → contrôle.
1- Activité dont on a conscience.
2- Pas de parallélisme d’opération ou très peu. Ex: contrôle de tout les faits et gestes
3- Coûts attentionnels.
4- Inconvénient : prend + de temps.

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6
Q

Information :

A

Les infos sont des unités de contenus intégrés dans le sys cognitifs. Utiliser pour quantifier l’efficience d’infos reçus dans le sys cognitif (bit). Toutes infos qui rentre dans le SI est transformée en représentation ne reste pas brut → traitement/ processus intellectuel ( ex : catégorisation)

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7
Q

Traitement :

A

Opérations réalisés sur l’information.

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8
Q

Représentation :

A

Une entité interne au système cognitif, correspondant cognitif individuel des réalités externes expérimenté par un sujet.

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9
Q

Modularité :

A

Module de traitement de l’information ( une des étapes pour passer d’une information à une représentation. Ex : langage). Concevoir le sys cognitif avec des boîtes qui traites les infos → étapes modulaire.

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10
Q

Constructivisme / fonctionnalisme :

A

1- l’intelligence se construit ( Piaget explique que l’int de l’enfant se construit grâce à des activités etc..)
2- Idée de fonctionnement de l’int, comment il marche.

Ex : dysfonctionnement de la structure ou du fonctionnement?

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11
Q

Dualisme / Monisme :

A

Pbmatique de la psycho centré sur corps - esprit

1- 2 entités #
2- 1 unité

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12
Q

Format propositionnel :

A

Se pose sur la nature des représentations mentales.

-> Ces propositions sont enregistrés dans la mémoire sémantique.

-> La mémoire procédurale va repêcher ces propositions.

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13
Q

Imagerie mentale :

A

L’info originale se transforme en représentation, relié à une nature propre.
Ex : se faire une représentation de paroles.

L’image mentale est une autre proposition de format -> imagerie mentale.

Tridimensionnalité
( on peut intéragir avec )

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14
Q

Réseau sémantique :

A

Les mots sont stockés dans la mémoire avec des liens entre eux, tel le réseau neuronal.
( connexionnisme )

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15
Q

Métacognition :

A

Utiliser son intelligence pour comprendre comment fonctionne son intelligence. C’est une activité méta.

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16
Q

Symbole :

A

Ne rentre pas dans le connexionnisme. Une image n’est pas nécessairement symbolique. C’est une formation codé, unité qui va se détacher de la réalité, mais qui va la représenter.
Ex: Crayon dans le dos .

L’activité symbolique peut-être + ou - détaché de la réalité.

17
Q

Quelles questions fondamentales se posent dans le champ de la psychologie cognitive ?

A

On s’intéresse au fonctionnement du système cognitif. (comment je fais pour percevoir, mémoriser etc.)

18
Q

Théorie de l’esprit :

A

Lien entre psy cognitive et psy sociale.

On a notre propre esprit avec nos propre représentation. On a la capacité de se représenter que l’autre n’a pas la même représentation que nous. Permet d’intégrer la représentation de l’autre dans la sienne.

Test → Tablette. ( l’enfant ne peut pas se décentrer se sa représentation, il s’agit d’une étape cruciale du développement intellectuel ).

19
Q

Questions fondamentales :

A

Questions fondamentales :

→ Qu’est-ce que sont les structures de la pensées ?
→ On veut connaître comment fonctionne ce réseaux ?
→ Comment l’activité psychologique émerge de l’activité cérébral ?
→ Comment on arrive à construire des représentations symboliques ?
→ Comment on contrôle notre activité intellectuel ?

20
Q

Sciences Cognitives :

A

« Cognition » → « Connaissance ». Mode de réflexion pour essayer de comprendre quelles sont les connaissances et comment on les utilisent ?

« Les sciences cognitives se sont des disciplines qui ont pour objets de décrire, d’expliquer et le cas échéant de simuler les principales dispositions et capacités de l’esprit humain »-1980 Daniel Andler

Né dans les années 50 avec l’arrivée de l’informatique.

21
Q

Disciplines associées :

A

Psychologie, philosophie, linguistique, anthropologie, neuroscience, IA.

22
Q

Définition de la psychologie cognitive :

A

Michel Launay
« discipline scientifique centré sur l’étude des processus mentaux d’acquisition et d’utilisation des co chez l’être-humain. »

Modification fondamentale de l’objet d’étude, s’intéresse à la boîte noire.
Discipline scientifique.

23
Q

Champs théoriques de la psychologie sont des précurseurs de la psy cognitive ?

A

Gestalt-1920-1930 → Débutent les recherches sur la boîte noire. Font l’hypothèse que notre esprit est structuré, a des formes « loi de structuration ». Ex : Perception des formes.

Jean Piaget- 1920 → L’enfant, par le biais de stimulation sensorimotrice construire des schèmes, pour construire des opérations mentales, base de la structuration de l’esprit.

Miller & Bruner- 1950-1960 → capacité de stockage de la MCT décrit les limites du fonctionnement de l’esprit humain. Espace limité de stockage = l’esprit est limité.

Bruner – L’esprit est limité, cependant ont stock continuellement des infos. Quand on arrive à travailler sur les infos qui entre on peut travailler cette capacité de stockage, par organisation des stimulis. Ex : mnémotechnique.

24
Q

Les différentes formes de cognitivisme ( computationnel, connexionniste ) :

A

1- Modèle computationniste → « computer → calculateur » La pensée est réductible à un ensemble de calculs

2- Modèle connexionniste → La pensée fonctionne comme un réseau de micro-éléments en interaction et qui s’organisent spontanément.

25
Q

Méthodes souvent utilisés en psy cognitive ?

A

1- Décrire → observer les comportements.
2- Expliquez avec méthode expérimentale ( explique par le biais des facteurs les comp )

Ex d’observation : lire un texte → comportement

26
Q

Méthodologies : outils ( temps réelle / différé + quantitatif / qualitatif )

A

Méthodologie en temps réelle ( mesure durant la passation du test )

Méthodologie en différé mesure des temps, variables qualitatives sur le résultat donné).

Quantitatif / qualitatif

NB : Le temps est une variable qui est importante sur les observations, cependant → il ne relève pas exactement du nombre d’opération cognitives réalisé par le sujet.

27
Q

En quoi le paradigme cognitiviste computationnel peut-il être qualifié de réductionniste ?

A

Pensée réductrice : l’esprit ne fonctionne pas comme la machine. La machine est un outil raisonnement rationnel. L’homme ne peut pas être comparé à ce fonctionnement unique, qui peut, par biais cognitif, induire des erreurs. Raisonnement intuitif / rationnel ( + intuitif que rationnel selon les circonstances ).

28
Q

Cognitivisme computationnel / Paradigme computationnel :

A

Cognitivisme Computationnel → l’esprit fonctionne comme la machine
Paradigme computationnel→ le cerveau fonctionne par le biais de symbole.
Ex : mémorisation, jugements, catégorisation issus d’un calcul. Codage computationnel → symbole.
Via suite de réseaux de nœuds.
La représentation émerge de l’état d’un réseau de nœud interconnectés. ( ex : métaphore des fourmis ).

29
Q

4 caractéristique sur les modèles computationnel / connexionniste :

A

1ere caractéristique – Métaphore
Modèle computationnel : Métaphore de la machine
Modèle connexionniste : Métaphore du cerveau

2eme caractéristique – Cumul d’info traité :
M° computationnel : Les infos sont traités en séries (tel la machine ) opération après opération.
M° Connexionniste : Les infos sont traités en parallèle, traitement effectué sur +ieurs endroits.

Exemple : une fois l’expertise acquis dans un domaine, on peut faire du traitement en parallèle, quand on est débutant ( ex : étudiant ) on traite les infos par série, un par un.

3eme caractéristique –
M° computationnel : Modules de traitements
M° connexionniste : Réseaux interconnectés

4eme caractéristique – …

30
Q

Questionnements : Est-ce que la machine peut faire des choses dont nous ne sommes pas capable ? Est-ce que la machine n’est qu’un outils, utilisé par l’homme ?

A

Avantage de la machine :

Argument temporel : Vitesse d’exécution → la machine est + compétente que l’homme.

Argument spatial : Stockage d’information qui peut s’agrandir ( rajout de data center ) pour les machines.

L’esprit humain est une machine à traiter l’information mais à capacité limité.

Avantage de l’être-humain :

Question du sens : article de la chambre chinoise, les IA sont programmés pour chercher les infos pertinentes, les assembler. Cependant, la sémantique (sens, compréhension) est inexistante.

→ L’homme à accès à la signification.

Article « Quand Marie découvre les couleurs » - l’homme à un atout supplémentaire : l’expérience. ( Piaget → adaptation )

( Au lieu du fonctionnement de la machine, il serait pertinent de s’intéresser au fonctionnement humain pour duper nos connaissances. )0

31
Q

Définition des fonctions exécutives ( FE) :

A

Ensemble de processus dont la fonction principale est de s’adapter à des situations nouvelles, c’est-à-dire à des situations qui ne peuvent être résolues par des routines, des habiletés cognitives surapprises.

Les fonctions exécutives semblent commencer là où la tâche requiert le mise en œuvre de processus contrôlés.

32
Q

Fonction Executive - Inhibition :

A

Capacité à :

→ S’empêcher de reproduire une réponse automatique et inappropriée pour réaliser la tâche en cours.
Ex : Conduire en Angleterre

→ Empêcher l’accès d’infos non-pertinentes pour la réalisation de la tâche en cours.
Ex : Étudier avec la télé allumée.

→ Empêcher l’accès d’infos devenues non-pertinentes pour réaliser la tâche.
Ex : Calcul mental avec retenue.

33
Q

Fonction Executive - La planification / stratégie :

A

Impliqués dans des situation nouvelles où il nous faut être capable de :
→ Formuler un but
→ Planifier à l’avance et envisager les # plans d’actions qui permettront d’atteindre le but
→ Choisir le meilleur plan d’action
→ Initier ce plan tout en tenant compte d’incidents ou de changements nécessaires à l’atteinte du but fixé.
Ex : Examens (imprévu : fête…) ou aller à l’université (grève des trains).

34
Q

Fonction Executive - La flexibilité

A

→ Capacité à déplacer notre focus attentionnel d’une classe de stimuli à une autre ou d’alterner entre des sets cognitifs différents.
Ex : ajouter puis soustraire

  • la mise à jour / gâteau au chocolat → utiliser une unité de mesure # selon la nature de l’aliment considéré (ml, grammes) / répondre au téléphone quand on cuisine.

Test stroop : relier point dans un ordre de couleur / relier les lettres dans l’ordre alphabétique / Test relier les couleurs dans un ordres associés aux lettres dans l’ordre alphabétique = la flexibilité

35
Q

Fonction Executive - La mise à jour (updating)

A

→ cela implique la modification du contenu sur la base de l’info entrante + récente afin de mettre à jour la mémoire de travail.
Cette mise à jour d’une action nécessite la surveillance et le codage de l’information entrante pour la pertinence de la tâche en cours d’exécution. Alors, elle révise d’une façon appropriée les items conservés en mémoire de travail en remplaçant l’info préexistante pr une info + récente et pertinente.

Ex : Test de Stroop. ( travail sur l’inhibition de la lecture, concentration sur la couleur du terme )