Général et cognitive Flashcards
Les théories ascendantes : Perception directe
Théories de types « bottom-up » = perception dirigée par les données.
Contexte sensorielle ns permet à lui seul de perevoir.
Le monde détient assez d’éléments contextuel permettant les jugements perceptif ( Gibson )
Les théories descendantes : Perception indirecte
- Théories type top down→perception dirigé par les concepts.
- Données sensorielles interprété selon l’expérience, les co°, les attentes de l’individu .
Les théories descendante permettent de donner du sens aux percepts.
Synthèse des deux approches (top-down; bottom-up) + auteur
descendante (top down ) → permet de donner du sens au perceptions
Ascendante ( bottom up ) → fournis les perception ( pas de stimulus, pas de perception )
Modèle de Marr 1982
- Modèle s’inspirant à la fois des théorie desc et asc
Exemple de Théories de la percepton directes ( ascendantes )
Principe d’Affordance :
Perception directes ( avoir en face de nous les stimuli ) indissociable de l’action, l’E° est invariant, ne varie pas, et nous propose des objets que nous percevons directement selon leur utilisations possible.
Les processus intelligent ne sont pas nécessaires.
Contexte et sens, c’est tout ce dont nous avons besoin pour percevoir, on est programmé pour ne pas avoir besoin d’intelligence pour percevoir.
La théorie des Géons ( Biederman 1987 )
On stocke des formes simple, invariantes en 3 dimensions et on reconnaît les objets grâce aux formes qu’on a stocker en mémoire.
Les Géons sont des éléments géométrique et caractéristique des objet, qui permet le processus d’inférence, et arriver rapidement à un représentation 3D de l’objet.
Théorie du prototypes - Auteur
Rosch
Ce qui compte c’est les traits typique de l’objet, reconnaissance de l’objet ne repose pas sur un regroupement d’image mais sur l’analyse de traits ( Attribut indépendant ).
Ex : Autisme, perception des visages (propasognosie)
L’hypothèse Componentiel - Auteur
Treisman
Trait typique des objets, reconnaissance d’un objet ne reposerait pas sur un appariement d’image ( regroupement d’image) mais sur l’analyse de traits. On parle d’« attribut indépendant ».
Si on regarde trait par trait, de manière indépendante, il peut y avoir des erreurs d’analyse.
Modèle de Marr 1982
- Modèle s’inspirant à la fois des théorie desc et asc
Attention sélective/focalisée : Définition + Fonction
Def : Pour gérer une multitude d’infos sensorielles captés par nos sens, l’organisme opère un tri en fonction des stimuli et de leur caractéristiques.
En pratique, l’ind° sélectionne les stimuli pertinents, et inhibe les stimuli inutiles (distracteurs)
Fonction : Permet de sélectionner les infos en limitant les entrées d’infos. Grâce à cette selection d’infos, on approfondi le traitement et allège la mémoire de travail.
Preparation à l’action, face à l’arrivée probable d’un stimulus, on va capter l’attention pour traiter certains aspect d’un stimulus plus tard.
Mesurer l’attention sélective en psycho cognitive:
Écoute dichotique = Se concentrer, focalisé son attention sur 1 des 2 infos ( ex : mots= oreille droite/ chiffre = oreille gauche, resituer 1 des 2 infos)
Amorçage :
Positive = « il va se passer ça », on facilite l’orientation de l’attention.
Négatif = « vous ne vous focaliserez pas sur cette infos là », se concentrer sur ce qui ne vous concerne pas » on demande d’inhiber des distracteurs.
« Mémoire de travail » = Retenir, manipuler mentalement des infos, d’une capacité limité ( entre 5 et 9 infos ).
Ecpérience du Cocktail Party- Attention sélective/focalisé
- Si en pleine foule, on capte une info pour laquelle on a un intérêt, on est capable de sélectionner une infos parmi un grands nombres d’infos.
Résultats de l’écoute dichotique :
- Oreille attentive fourni de très bon résultats.
- Oreille inattentive, des infos peuvent être repérer quand même (environ 10 chiffre) = traitement superficiel.
Résultat technique d’amorçage :
Quand on demande de se concentrer sur une infos les résultats sont meilleurs.
Attention selective: Def
Def : limite les infos à traiter, ce qui permet de réaliser des trait° + profond et conscient, ce qui entraîne bcp d’efforts ( coût cognitif ). Traitement en série, étape par étape.
Attention divisée : Def + Fonction + évaluations
Def : Attention diffuse, globale, et attribuée à +ieurs sources d’infos. On à +ieurs objectifs, et donc +ieurs sources d’infos à traiter (ex : noter en écoutant, conduire en parlant). Peut être automatique.
Fonction : Saisir +ieurs infos à la fois ds l’E°. Réaliser +ieurs tâches simultanément, en même temps. Récupérer des infos en mémoire à long terme.
Evaluation :
Écoute dichotique = On restitue les 2 infos des 2 oreilles ( chiffres + mots ).
Paradigme de la double tâche = Donne des infos à la pers° (auditive) + écrire ou dessiner ( tâche graphique )
Tâche de reconnaissance de formes et de sons = La pers° doit reconnaître des sons aigu/grave et des forme ronde/carré/triangle.
Ex test : « Double tâche de Baddeley » ; « tâche d’empan » ( case à remplir avec des croix + série de chiffre à répétée ) .
Résultats :
Temps de réaction qui augmente avec la complexité de la tâche, + les messages donnés sont difficiles, plus le sujet met de temps à les restituer.
(on relève si il y a présence d’omission/ fausse alarme)
-Ecoute dichotique = Résultats moins bon qu’en écoute selective. Il peut y avoir amélioration des résultats avec entraînement.
L’attention divisée permet de divisé son intérêt entre +ieurs sources, cela conduit à réaliser des traitements + superficiel, et parfois inconscient ou automatique qui nécessite peu d’effort de la part du sujet. Dans ce cas le traitement des infos est parallèle, et permet de répondre à +ieurs tâches à la fois. Notion d’automatisation.
Attention sélective et partagée- def + Fonction
Def : Attention pour une tâche unique mais complexe (car +ieurs stim à capter ).
En pratique l’attention selective ne suffit pas à entrevoir toutes les possibilités.
L’attention divisé ne permet pas un traitement assez poussé.
Fonctions :
1- Sélection des infos,
2- La planification des actions,
3- L’évaluation de la cohérence entre l’action prévu,
4- Le résultat + déplacement de la focalisation de l’attention vers des action nouvelles en cas d’incohérence.
Tâche de résolution de problème avec observation de traitement de résolution.
Filtre attentionnel précoce – Broadbent 1958
Image d’un tube en Y → Qd 2 infos arrivent simultanément, le sys se bloquent ( goulot d’étranglement ).
2 sys de traitement de l’info :
- Sys sensoriel : traite toute les caractéristiques de la stimulation puis codage l’ensemble des infos extraites de la stimulation ( # canaux et chaque canal fonctionne en parallèle ) .
- Sys perceptif : identifie les infos extraites.
Filtre sélectif entre les 2 systèmes → ne laisse passer qu’un code à la fois
Filtre
goulot d’étranglement qui ne retient qu’un candidat parmi l’ensemble des infos sensorielles disponibles ( Fonctionnement en « Tout ou rien » ).
- 2 facteurs gèrent la sélectivité du filtre:
- Effet d’attitude du sys perceptif : si la personne s’attend à une certaines catégorie d’infos
- Si la personne ne s’y attend pas.
Modèle d’atténuation + auteur
Treisman
- Le filtre atténuateur filtre le message des infos non prioritaires pour laisser passer le message des infos pertinentes .
- Les infos non-focalisées sont également traitées pour définir leur niveau de pertinence et opérer le tri.
*Filtre n’élimine pas l’élément distracteur, il l’atténue
Treisman propose un modèle d’attention sélective en 3 étapes :
1- Étape préattentive :
Il y a des propriétés pertinentes du stimulus. Si ce traitement révèle des propriétés non-pertinents pour réaliser la tâche en cours, alors les traitements sensoriels non pertinents sont atténuer. Contrairement aux propriétés significative / pertinentes qui vont recevoir un traitement plus poussées.
2- Étape formelle : pattern du stimulus : si ce pattern ressemble au pattern cible, il continue sinon il est atténué.
3- Etape de Signification du stimulus
Selon Treisman : traitements sont dits physique, formels et sémantiques.
Schéma du filtre Treisman et Broadbent
Modèle du filtre tardif + auteur
Deutsh et Deutsch 1963 – Filtre est + tardif que dans le modèle de Broadbent
Schéma
Toutes les infos sont traitées avant l’étape de l’organisation de la réponse → seule l’info associée à la réponse pertinente accède à la réponse formulée.
Illustration avec le phénomène du Cocktail Party de Cherry. ( on peut orienté notre attention spontanément ).
Synthèse- Nesser- 1967
Processus pré-attentifs : automatique , rapides, fonctionnant en parallèle avec enregistrement de l’ensemble des caractéristiques sensorielles des stimuli, non-focalisés (pas de recherche de liens entre les stimuli.)
Processus pré attentif : contrôlés, lent, séquentiels → aboutissent à une représentation mentale synthétique.
Synthèse Johnston – 1992
Analyse continue des propriétés des stimuli
-Puis, analyse des propriétés sémantiques
-MAIS attention aux capacités de mémoire de travail !!
Critiques sur les modèles de filtre attentionnel :
- Théorie trop réductrices.
- Devraient tenir compte d’autres facteurs tels que la nature de la tâche (complexe ou simple) de la situation, de la personne (attente, motivation, capacités attentionnelles..).
- Théorie de filtre s’activeraient en fonction de la difficulté de la tâche.
Modèle du faisceau ou pinceau- Posner
Modèle proposé par Posner.
Modèle concerne essentiellement l’attention visuo-spatiale.
faisceau de taille fixe qui permet de mettre en surbrillance la religion de l’espace pertinent vers lequel est dirigé le faisceau.
- Infos éclairées sont rehaussées.
- Régions voisines sont inhibées.
- Permet la formulation d’une réponse plus rapide et d’un comportement adapté.
- Diminution de la charge cognitive.
Notion de désengagement de la focalisation attentionnelle d’un espace spatiale à un autre.
Ex : Personne qui dirige sont regards vers une personne, par ex pour voir en détail les émotions.