CM cognitive Flashcards
Mémoire primaire et mémoire secondaire + Auteur :
- Les infos stchées en mémoire ne sont pas indépendante, elles sont connectées entre elles.
William James :
Mémoire primaire : MLT. Qqchose qi est rappeler dans l’immédiat alors que ça a été stocké depuis longtemps.
Mémoire secondaire : MCT infos stockées en mémoire sur courte durée/période. Dans l’immédiat de la conscience.
Patient H.M : Amnésie Antérograde.
pb de base.
Nom chirurgien et son hypothèse.
Symptôme avant et après chirurgie.
A quoi à servit le cas H.M.
ce qu’il sait faire et plus faire post-opération.
Après blessure.
Niveau d’épilepsie forte, invivable (crise)
William Scoville- pense que l’épilepsie est relié au foyer epiléptogène. Il retire les 2 hippocampes + amygdales.
S° avant : épilepsie
S° après : plus d’épilépsie Mais peut plus mémoriser durablement de nouvelles infos. ( amnésie antérograde ).
Son cas à servit à #cier la mémoire épisodique et sémantique.
Sait faire
- des personnes politiques
- des acteurs connus
- Dessiner le plan RDC de sa maison post opération
- Dans de rares cas app° de nouvelles infos ( via évnts émotionnel ).
Ne sait plus :
- ce qui c’est passé la veille ou y’a 5 min
- app° de nouveaux mots.
Le Test du tracé miroir :
On s’entraîne à faire une figure précise ( ex: étoile) puis on la reproduit avec un miroir en face du dessin, censé perturber la vision spatial.
H.M :
Se souvient plus de ce qu’il a dessiné 5 min avant( confond arbre et une étoile ).
!! Mais il arrivait au Test miroir !!
Bilan patient H.M :
Peut garder des souvenirs avec une grande charge émotionnelle.
Hippocampe :
Endroit où est encodée et distribué l’info via des circuits.
Encode des souvenirs dans le reste du Cortex qu’à l’extérieur.
Murgan Burges Powell- Amnésie rétrograde :
Comment et où a-t-il été retrouvé ?
Ses symptômes ?
Sait faire :
Sait plus faire :
Retrouvé derrière un fastfood, avec bcp de blessure au niveau duu crâne. Complètement perdu/désorienté, ne sait plus qui il est.
Ses ymptômes sont caractérisés par une amnésire total de son identitié (fris echrono de sa vie avec évènement ), ça lui prendra +ieurs années pour retrouver qui il est.
Sait encore :
- Parler
- écrire
- lire
- co° co° général
Intro modèle de mémoire : la cybernetique.
On sait que les ordi traie=tent les infos d’une manière précise.
=> Métaphore au cerveau.
=> cerveau traite l’info également.
- Question sur le fonctionnement de l’esprit;
Rappel : behaviorisme : la psycho se centre pas sur l’esprit mais sur le comp°
Les grands rapports à la cybernétique :
- Norbert Wiener : “la cybernétique, ou le contrôle et la communication chez l’animal et la machine “
- Warren McCulloch & Walter Pitts : “le neurone formel” calcul logique des idées immanentes à l’activité nerveuse.
- Church Turing : La thèse.
- Claude Shanon “A mathematician Theory of communication”
Logique Formelle : Raisonnement formel
” Tous les hommes somnt mortels, hors Socrate est un homme, donc Socrate est mortel”.
Rétroaction : “cerveau moteur”
Processsus causal.
Ex: Si la vapeur atteint un certain seuil, alors elle s’échappera par une ouverture automatique”
Modèle de Arkinson & Shiffrin : Le “multi store”0
“Multi Store” -> +ieurs “store” = unité de stockage séparées dans la mémoire.
- Registre sensoriel
- Unité de stockage à LT
- Unité de stockage à CT
Aussi appelé “Modal” parce-que ttes les unités de stockages auraient # modalités de traitements.
=> Elles opèrent parallèlement les unes des autres et correspondent aux # types d’infos sensorielles.
Avec # modalités de mémoires postulé :
- auditive
- visuelle
- odorante
schéma modèle A&S
Modèle de Baddeley & Hitch
Inverse du modèle A&S ds lequel la MCT est : sys unitaire (malgré ses # modalités)
Mémoire de travail = nature composite où interviennent. Intervient ss la supervision d’un système “ maître” => ADMINISTRATEUR CENTRAL.
Il y a 2-3 sys° ss-esclaves qui fonctionnent indépendamment les uns des autres.
!! Sauf par l’intermédiaire de l’administrateur central !!
A-C : coordonne les 3 notions.
Ex: parvenir à parler en écrivant. -> Les 2 mémoires communiquent.
Boucle phonologique - Alan Baddeley
Mémoire de travail auditif et visuelle.
(approfondi pas la notion de mémoire de T°)
A des intéractions avec la mémoire sémantique.
Le Buffer épisodique - Baddeley
Mémoire tampon épisodique ( ds la mémoire de travail ).
Baddeley et Hitch prennent 2 raisons de remettre en cause le modèle de Arkinson et Shiffrin
1- Certaines affections semblent réduire l’empan MnésiQue des patients pour les tâches phonologiques sans affecter les autres.
( juste tâches phonologiques touché, et donc pas relié aux autres ).
2- Expériences de doubles-tâches attentionnelles =
+ facile de réaliser 2 tâches de nature #.
Modèle du contrôle attentionnel de l’action chez Timothy Shallice & Donald A. Norman :
Le sys° attentionnel superviseur (intervient dans modèles des fonctions Executives)
est comparable à
L’ADMINISTRATEUR CENTRAL de Baddeley et Hitch.
[ schéma ]
Endel Tulving - # conceptuelle entre mémoire sémantique et épisodique ( ou autobiographique)
Mémoire sémantique :
Regroupe des co sur le monde et sur soi :
-concept
-sens
-mots
Permet de faire des associations ( chaise -> meuble ou berlin -> chute du mur ).
Sys de mémoire plus abstrait car deconnecté de la perception ou du vécu.
Cortex temporal et préfrontal.
Mémoire épisodique :
Enregistre une info ou un évènement dans :
- un temps donné
- un espace défini
- un espace émotionnel particulier
Ex : anniversaire -> prank = va s’en souvenir toute sa vie. Encré.
hippocampe, cortex pariétal, cortex préfrontal.
Daniel Schacter : # conceptuelle MLT explicite et implicite .
MLT implicite : Se manifeste quand la performance d’une tâche est facilitée en l’absence d’un rappel conscient.
Ex: Une odeur qui créer un sentiment de peur.
OU
apprendre du vélo.
MLT explicite : Se manifeste quand on a une tâche qui requière le rappel conscient d’une expérience antérieur.
Mémoire procédurale :
Marcher, écrire ou “test du tracé miroir” = M.P -> mvt qu’on peut mobiliser sans vraiment savoir comment on fait.
Organisation interne de la M° sémantique :
Ontologie : Organisation des catégories générales qui servent à classer et définir les objets particuliers.
Théorie du prototye : L’exemple typique à partir duquel on génère la catégorie.
Réseau de relation sémantique.
Empnan mnésique :+ auteur
Notion introduite par George A. Miller, en 1956, . Désigne le nombre d’éléments que l’on peut restituer immédiatement après les avoir entendus. Ce nombre est de 7 plus ou moins 2.
Histoire du conditionnement classique ( 2 auteurs) MLT implicite
1903- Fraisse
Congrès de Madrid “ il est possible de déclencher des Réactions Réflexes par des Stimuli Inefficaces seul après avoir associé ces Stimuli Conditionnels au Stimuli Inconditionnel”
Ex: déclencher salivation (réaction) suite à bruit de cloche (SI -> SC) après l’avoir associé au stimuli Inconditionnel (salivation)
1956- Issu de Pavlov “ physiologie de la digestions par la méthode des résidus”
-> réact° du sys digestif déclenchées sans excitant spécifique.
Il parle de “sécretion psychique = salivation chez le chien ; et de réflèxe à distance (de la nourriture).
Ex: le chien de Pavlov.
S’intéresse à la boîte noire.
L’effet d’Amorçage ou le “Priming effect” MLT implicite
MLT implicite
1ere étape = avoir la présentation d’un stimulus (banc)
2eme étape = présentation d’un autre stimulus.
( pigeon)
!!Modification consécutive consciente ou non-consciente de la réponse!!
=> le pigeon nous fais penser au déjeuné qu’on a passé le midi sur un banc (il y avait un pigeon).
Ex: pendant une expérience sur la connotation associée, on peut repenser à un moment de la journée avec un mot, objet etc… “banc”.
!! Il est obligatoire d’avoir passé un moment précis avec ce mot/objet, sinon l’amorçage se ferait pas.
autre exemple
pendant la même expérience, effet de P° qd l’ordre des mots changent.
c’est un phénomène utile pr la mémorisation MAIS pr(ésdente des biais !
Apprentissage non-associatifs : L’habituation / La sensibilisation :
Habituation : app° où y’a affaiblissment d’une réaction automatique qui est normalement associé à la présentation d’un stimulus.
Ex : Réduction de la phobie des araignées grâce à une exposition régulière dans un contexte rassurant.
La sensibilisation : app° où y’a renforcement d’une réponse face à la représentation de certains stimulus.
Ex : Aggravation de la phobie des araignées suite à des expostitions toujours + désagréables.
Rosch- Organisation de la MLT sémantique : La Théorie du prototype
Def = Stimulus prenant une position saillante dans la formation d’une catégorie parce-qu’il est le 1er à avoir été associé à cette catégorie.
Exemple : Si la catégorie “oiseaux” est formé à partir de prototype : “ pigeons, aigles, moineaux”.
Alors = il est plausible qu’elle décrive les oiseaux comme des animaux qui volent.
Pourtant = “autruches, manchots, peroquets” ds la même catégorie mais -> exemple atypiques, parfois implicitement négligé qd il faut faire généralisation.
2 avis # Rosch -> prototype d’une catégorie + important pr la def des caractéristiques générale que les autres membres.
#
… ?
“ Tous les mmbres d’une catégorie ont un esemble de caractéristiques nécessairent et suffisantes qui justifient le fait qu’on les identifient comme tel “.
Wittgenstein- Influence de la notion “d’air de famille”
- Théorie du prototype
Ex : activité qu’on appelle “jeux”
= Jeu de table, jeu de cartes, jeu de balles…
“Qu’on t-ils en communs ?”
=> on trouve pas des points communs, mais:
Similitudes, des Relations.
= Comme les ressemblances dans une famille : couleurs des yeux, grains de beautés, cheveux..”
Notion de distance sémantique et de véctorisation de concept :
Idée qu’il peut y avoir une distance + ou - proche entre 2 concepts.
Ex: CNTRL = dictionnaire poussé. Ss forme de schéma avec des termes ayant un sens + ou - rapprochés du termes que l’on inscrit.
Rappel / reconnaissance de mots :
Rec° = le sujet doit détermniner quel mots étaient présents dans la liste qu’il a pu apprendre, dans la liste qui lui est présentés.
“Oh je reconnais ce mots !”
Rappel = Le sujet doit réciter les mots qui étaient présent dasn la liste apprise, sans support.
“ Te rappel-tu des mots appris ?”
Rappel indicé / Facteur de récupération :
Rappel libre : se souvenir des mots de la liste.
Rappel indicé : se souvenir des mots de la liste avec un indice.
ex: Nom d’une catégorie qui regrouppe ttes les choses évoqués par les mots dans la liste à apprendre.
Résultats expérience rappel/reconnaissanec :
liste de 1000 mots :
Tâche de rappel : - bon ( 38% )
Tâche de reconnaissance : + bon ( 96% )
Renforcement pe,nsée de Tulving :pas obligé de passer par le rappel pr avoir des infos encodées en mémoire.
Tulving- Disponibilité & accessibilité :
situation où :
-> infos stockées sans que l’ind s’en souvienne de manière explicite.
-> infos qui existe pas en mémoire.
=> y’a + d’infos encodées en mémoire ( disp) que d’infos accessible par le rappel.
Baddeley & Godden - modèles de récupération en mémoire :lecontexte d’encodage
Le contexte d’encodage - facteur de recup° :
ex : si on a appris une liste de mots ss l’eau, on a + de chance de s’en souvenir ss l’eau.
2 formes d’interférences :
rétroactive : qd de nouvelles infos intérfèrent avec les infos anciennes.
Proactive : qd d’anciennes infos interfèrent avec le rappel en mémoire d’infos + récentes.
Les 3 modèles de récupérations :
L’exploration sérielle exhaustive - stenberg - 1966.
La génération-reconnaissance de Kintsh- 1970
qL’ecphorie synergétique de Tulving- 1983
L’exploration sérielle exhaustive - stenberg - 1966
Le sujet aun liste de 1 à 6 chiffres.
On présente ensuite 1 unique chiffre
On demande si il était dans la liste
Stenberg note que les telps de réponses augmentent avec la longueur de la liste.
Conclusion : Le sujet utilise sa mémoire de travail pour comparer 1 à 1 le chiffre avec chacuns des items de la liste.
Kintsch-1790 La génération-reconnaissance :
Aussi appelé “duel process”
2 étapes # :
1-Génération -> qd le sujet cherche à se rappeler d’un mot de la liste apprise pr la tâche.
=> génère une multitude de mots susceptibles de constituer un candidat plausible.
2- Reconnaissance :
Examine ces candidats pr voir si il les reconnais.
Conclusion :
processus de reconnaissance repose sur la détection de marqueur mnésique encodés sur les mots lors de l’apprentissage.
Tulving- 1983 Ecphorie synergétique :
Basé sur les travaux de Semon = “ Notion d’Ecphorie”; “Engram Emotionnel”
- Engram : Trace mnésique résultant de l’encodage.
- Ecphorie synergétique : processus par lequel la coïciendence de l’indice de récupération ( via l’engramme ) permet une intéraction dont le résultat est :
1- L’info synergétique : + ou - fidèle à l’évnmt d’origine dont l’engram était la trace.
2- L’expérience du souvenir.
1983 Tulving- Le rappel en mémoire d’un souvenir :
S’éloigne sur +ieurs points du Modèle Génération-reconnaissance.
1- Rappel / reconnaissance reposant sur l’ecphorie.
2- L’indice de rappel et l’engram se combinent = info ecphorique et l’ecpérience associés qui va ds l’engram d’origine.
Conclusion :
- Le fait de se souvenir de qqchose -> modifie / actualise la trace mnésique de base.
- L’interférence d’une info nouvelle intervient dan sle processus de récupération de l’info encodée.
Etude des faux souvenirs et des formes + ou - délibérer de manipulation de la mémoire : Elizabeth Loftus : intro
Chercheuse sur la “maléabilité de la mémoire et les faux souvenirs “.
- possible de susciter : volontairement ou NON la formations de faux souvenirs en utilisant un paradigme original nommé : “perdu dans un centre commercial”
Etude des faux souvenirs et des formes + ou - délibérer de manipulation de la mémoire : Elizabeth Loftus :
Effet de désinformation & ce que ça entraîne :
Effet de désinformation :
y’a des interférences rétroactives qui altèrent la fidélité originelle des souvenirs.
-> autres souces d’infos erronés MAIS crédibles sont mémorisées au même titre.
Entraîne :
réevaluation de la source originelle ou des confusions entre elles.
Donald Hebb- 1949 Principe de connexionnisme : Modèles computo-symbolique :
Niveau du traitement cognitif dépend d’opération du nature selique.
Infos reçues -> stockées (unités discrètes) susceptible d’être localisées dans un support.
Opération Sombolique : réalisé de manière séquentielle par des modules d’interférence spé répondant à une fonction bien défini et des entrées / sorties qui leurs correspondent.
M° du connexionisme supposent :
- Quel niveau élémentaire de traitement de l’info s’effectue à un niveau + fondamentale que celui des symboles : celui des réseaux neurones.
- que les infos sont stockées de manière distribuée ds l’ensemble des poids du réseaux.
- Traitement // de l’info ds les # modules du réseaux dont les fonctions peuvent être reçues.