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Psycho > Comp et motivation alimentaire > Flashcards

Comp et motivation alimentaire Flashcards

1
Q

Def comp alimentaire

A

“simple” -> faim, soif, satiété.
Mais
plus compliqué : goût, appétit, choix, adaptation.

+ieurs facteurs : CARPS
- culture
- apprentissage
- régulation
- psychologie
- subjectivité

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2
Q

A quoi servent les besoins énergetiques ?
Comment arriver à trouver un équilibre ?

A

1 - A maintenir un équilibre : Homéostasie
-physique
-Energétique

2- Trouvé par :
Absorption
Stockage
Consommation d’Energie
Elimination de déchets

Entrées et sortie d’E° :
Entrée : aliments
Sortie : Activité, croissance, augm T°, excréments.

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3
Q

Def homéostasie :
Entrée et sortie modulés par 3 paramètres :
+ exemple du rat

A

Equilibre entre entrée et sortie :
-> Energie apportée
-> Energie consommée

3 paramètres :
1- Réserves ( lipides, glucides ) !! on peut pas faire de réserve de protéines ( pb de goutte -> reins ).
2- Activités physiques
3- Comportement : choix, rythme, qualité, quantité.

  • Exemple 1 :

Un rat en cage toujours de la nourriture à disposition:
→ Il fera de nombreux petits repas.

Un rat a un seul repas par jour :
→ Il fera un gros repas.

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4
Q

Exemple prédateur/herbivore comp alimentaire :

A

Un prédateur sauvage mange rarement et bcp.
→ nourriture difficile à trouver.

  • Un herbivore mange pendant des heures.
    → nourriture plus disponible et moins calorique.
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5
Q

Le comportement alimentaire dépend de : la nature de la nourriture -> Exemple ( nourriture + E° et - E° ) :

A

Nourriture peu énergétique => mange bcp.
Nourriture très énergétique => mange peu.

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6
Q

Exemple sur l’hibernation :

A

Les animaux qui hibernent font des réserves
→ ours en automne.

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7
Q

La nourriture est composée de 3 groupes d’aliments énergétiques :

A

Lipides : graisse
Glucides : sucre et féculent
Protides : viande -> protéines

Notre organisme a besoin de ces 3 groupes d’aliments, avec des besoins minimum.

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8
Q

Symptômes carence en lipides : graisse

A
  • Peau sèche
  • Rein qui fatiguent
  • Cheveux et poils tombent
  • Croissance de l’enfant stoppé
  • développement cérébral ralenti

→ l’apport de certains Acides Gras insaturés stoppe ces troubles → « AG indispensables ».

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9
Q

Rôle des lipides : graisse

A
  • Membranes biologiques
    • Isolant thermique
    • Réserve énergétique
    • Vitamines A,D,E,K
      Ils stockent l’E° sous formes de triglycérides → tissu adipeux.
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10
Q

Les besoins de stockage lipidiques :

A
  • Triglycérides ( 3 AG sur 1 glycérol )
  • AG saturé (graisse animal, lait, crème) ou insaturé ( huile d’olive, avocat, de noix ).
  • Cholestérol
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11
Q

Besoins et stockage glucidiques :

A

Sucres et féculents

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12
Q

Si carence en besoins glucidiques = Anomalie protidique / lipidique :

A
  • Anomalie du métabolisme protidique : glycoprotéine
    → L’organisme transforme des AA -> glucose
    → Les AA non-utilisés passent dans l’urine
    → Usure des reins (microalbuminurie)
  • Anomalie du métabolisme lipidique : glycolipide
    → L’organisme transforme des graisses -> glucose
    → Déchets : acétone (Très dangereux).
    → Toxique (cétonurie).
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13
Q

Les glucides sont utilisés comme :

A

..Comme E° rapide!!
→ glucose

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14
Q

réserve : glucide

A

→ glycogène, dans le foie et muscle surtout.

  • Et glyco-lipides + glyco-protéines
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15
Q
  • Minimum 50g / 24h !!
  • Alimentation normale 350g / 24h !!
  • Valeur énergétique = 4 kcal /g
  • Composés de C,H,O, parfois P,S
A
  • Minimum 50g / 24h !!
  • Alimentation normale 350g / 24h !!
  • Valeur énergétique = 4 kcal /g
  • Composés de C,H,O, parfois P,S
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16
Q

Avantage des glucides :

A
  • très digeste
  • fait peu de déchets (comparé au protéines)
  • peu cher
    → Grande consommation (ex : Riz)
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17
Q

2 hormones qui contrôlent leur métabolisme -> Insuline/Glucagon :

A

L’insuline fait entrer le glucose dans les cellules.
→ le taux de glucose dans le sang baisse.
→ hypoglycémiante.

Le glucagon hydrolyse le glycogène en glucose.
→ le taux de glucose dans le sang augmente.
→ hyperglycémiant.

Si y’a – de glucagon, le taux de glucose baisse.

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18
Q

Besoins protidiques :

A

Protéines, peptides, Acides Aminés (AA)
Il existe 20 AA, dont 8 essentiels, que notre organisme ne sait pas synthétiser.
→ obligatoires dans l’alimentation.

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19
Q

Rôles des protides :

A
  • Structure, cytosquelette
    • Hormones, messagers
    • Récepteurs
    • Transporteurs
    • Enzymes
    • Antigènes, anticorps

Les protides apportent de l’azote (N).
ADN et ARN on aussi de l’azote mais pas bcp

  • Pas de stockage, tout est utilisé ou éliminé.
    → « loi de l’équilibre azoté »
    → l’excès est éliminé sous forme d’urée
    → Si trop : acide urique → urate de Na+
    → Maladie de la « goutte »
20
Q

Besoins : (protide)

A

Minimum 30g/24h
Normale 80g/24h
Valeur énergétique 4kcal/g
- Unité de base → acides aminés (AA)

21
Q

Le métabolisme basal :

A

C’est les besoins minimaux de l’organisme.
→ Fonctions de base: posture, coeur, respiration, SNC

22
Q

Thermorégulation :

A

Pour maintenir le corps à 37°C
Température extérieur optimale = 20°C

→ Si <20°C thermogenèse, consomme + d’E
→ Si >20 °C, sudation, consomme + d’E
( au dessus de 44°C on est sûr de mourir → les « bonnes bactéries » meurent ).

23
Q

Cas particuliers d’empreinte et impregnation :
+ thermorégulation (petit et grand)

A

Femme enceinte, ses besoins augmentent
Enfant et ado, selon l’âge
Selon la taille ( éléphant # souris ) ( souris besoin de + de kcal )

Thermorégulation : plus pour les petits que pour les grands ( éléphants se refroidissent avec leur oreilles ). Souris = son coeur bat vite.

24
Q

Aliments non-énergétiques :

A

Nécessaires, mais pas pour l’E qu’ils pourrait apporter.

-Eau : solvant, hydratation, biochimie (hydrolyse).

-Minéraux : rôles très variés

-Vitamines : activent des réactions métaboliques
→ fixation du Ca (D), vision (A), Coagulation (K)

25
Q

Mécanismes cérébraux du contrôle du comportement alimentaire: la sensation de faim

A

Apparaît en cas de manque de sucre (glucose):

Glycémie normale =1g/L

Si < 0,88g/L de glucose = hypoglycémie
→ des glucorécepteur (artères) le détectent
→ stimule l’hypothalamus latéral
→ faim

  • Un animal qui a mangé n’a plus faim, mais une injection d’insuline fait réapparaître la sensation de faim ( baisse le taux de glucose ).
26
Q
  • Manque « physique » de nourriture : poly schéma arbre
A
  • l’estomac est vide
    → contraction gastriques
    → Mécanorécepteurs stimulés
    → hypothalamus latéral stimulé
    → faim
27
Q

Thermorégulation à travers la faim :

A
  • l’organisme affamé se refroidi
    → hypothermie ( légère )
    → thermorécepteurs (partout ds le corps)
    → hypothalamus latéral
    → faim
28
Q
  • Réserves lipidiques :
A
  • Après l’hypoglycémie
  • lipolyse
    → les réserves de triglycérides baissent
    → liporécepteurs stimulés ( artères )
    → hypothalamus latéral stimulé
    → faim
29
Q

Stimulations par l’intensité lumineuse :

A

Animaux diurnes ou nocturnes
→ la lumière diminue le soir
→ les nocturnes ont faim

  • Saisons
    → le temps de l’intensité de la lumière baisse en automne
    → stimule la faim, surtout chez les hibernants.
  • La diminution de la lumière stimule l’épiphyse
    → produit de la mélatonine
    → endort les diurnes, réveil les nocturnes
  • rythme biologique circadiens ( 24h )
  • Remarque: la lumière bleue réveille, l’orange endort.
  • la sensation de faim est donc produite par stimulations de l’hypothalamus latéral.

→ - les lésions ( AVC…) de cette zone produisent une aphasie et adipsie.
- au contraire, des stimulations activent la faim.

30
Q

b- La sensation de satiété :

A
  • Gérée par l’hypothalamus ventromédian ( inférieur au milieu )
  • Même facteurs que la faim, mais contraires.
31
Q
  • Glucorécepteurs :
A
  • Buccaux, gastriques, artériels
    → hyperglycémie ( > 1,2 g/l de glucose sanguin )
    → hypothalamus ventromédian
32
Q
  • Mécanorécepteurs :
A
  • Buccaux, œsophagiens, gastriques
    → ventre plein
    → mécanorécepteurs stimulés
    → satiété
  • traitement contre l’obésité, anneaux gastrique.
33
Q

Chemorécepteurs : poly schéma

A
  • Buccaux, gastriques, intestinaux, artériels.
  • détectent des augmentations de concentration de molécules biochimiques. ( sucre, acides gras, AA )
    → hypothalamus ventromédian
    → satiété
34
Q

Goûts et odeurs :

A

→ récepteurs gustatifs et olfactifs
- Buccaux et nasaux
→ hypothalamus ventromédian
→ satiété

35
Q
  • Température :
A
  • la température augmente
    → hypothalamus ventromédian
    → satiété
36
Q

Liporécepteurs :

A
  • Artériels
    → les concentrations de lipides augmentent
    → liporécepteurs
    → hypothalamus ventromédian
    → satiété
  • Des lésions ( AVC…) ds cette zone de l’hypothalamus suppriment la satiété → obésité.
37
Q
  • La leptine :
A
  • Augmentation des lipides ds l’estomac et l’intestin
    → sécrétion de leptine
    → satiété
38
Q

La sérotonine :

A
  • Stimule l’hypothalamus ventromédian → satiété
39
Q
  • La dopamine :
A
  • Stimule l‘hypothalamus latéral → faim
40
Q

La noradrénaline :

A
  • Stimule l’hypothalamus latéral → faim
  • Mais hyperglycémiant si stress
41
Q
  • Les taux de NT varient selon les saisons :
A

→ moins de sérotine en automne
→ satiété diminue
→ animaux, réserves (graisse) pour l’hiver.

42
Q

PALATABILITE:

A

Ensemble de jugements subjectifs de valeurs de l’aliment, basé sur des stimulus sensoriels et la culture personnelle.

Faim et satiété dépendent aussi de jugements subjectifs, liés à des stimulus sensoriels et à une culture personnelle.

  • Signaux sensoriels: aspect, couleur, odeur, goût, consistance.
43
Q

→ Test de goût en fonction de la couleur..
Ces signaux vont exciter ou inhiber la faim.

A

Expérience :

Si on propose une grande variété de nourriture à un rat il va manger plus et grossir, mais il fera aussi des choix subjectifs.

→ Si on lui propose le choix entre :

  • Une boisson non-énergétique au goût sucré et
  • Une boisson énergétique amère

Il choisira celle au goût sucré.
→ mauvais choix subjectif.

44
Q
  • Les choix dépendent de l’espèce et de la culture, de l’histoire de l’individu :
A

Homme et rat aiment le sucré, pas le chat
Un homme diabétique aimera moins le sucré
Philosophies et religions influenceront ces choix alimentaires

  • L’histoire personnelle, …
    → expérience négative, voir traumatisante
    → maladie, accident, guerre…
45
Q
  • Les papilles gustatives sur la langues : entre 5 et 10 000
A

Acide → côté postérieurs
Sucré → pointe
Salé → côté antérieurs
Amer → arrière
Umami →partout.

Ces zones ne sont pas exclusives, mais sont plus « concentrés » en récepteurs spé
→ le comp alimentaire présente donc une aspect quantitatif et qualitatif, avec 2 aspects qualitatifs :
- Les composés biochimiques (glucides, lipide..)
- le goût.

46
Q
  • Comportement inné et appris, acquis :
A
  • Inné et physiologique : herbivore, carnivore, omnivore.
  • Appris : culturellement et conditionné.

→ on peut écœurer un rat du goût sucré , en y associant par exemple un vomitif.

47
Q

Les TCA :

A
  • Hyperphagie :
  • absence de satiété
  • Dérèglements hormonaux ( trop dopamine, manque sérotonine).
  • Génétique : absence d’une enzyme, hormone, récepteur…
    → risque d’obésité, car à long terme.
  • Absence de faim et de satiété :
  • l’ind° mange san auto-contrôle ( horaires et quantités )
  • T° émotionnels et stress passagers : pas d’obésité car à court terme.

Grignotage :
- Absence de rythme de vie, de chronologie.
→ l’ind° mange n’importe quand

  • Situation de stress, solitude, dépression, rythmes de travail décalé.

→ risques d’obésité, diabète, car âs de satiété obtenue ( plein de petits repas )

Boulimie :
- Volontaire, refus + ou – conscient de staiété
- État dépressif

  • Surtout fille ado ( > 90%)
    → obésité variable selon le rythme des crises.
  • Anorexie mentale :
  • Volontaire, refus de manger.
  • État dépressif, fragilité subjective, influence..
  • Surtout filles ado ( > 90%)
    → cachexie, jusqu’à la mort.

!!! 5 p-ê question

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