CM cognitif linguistique Flashcards

1
Q

Pragmatique :

A

Etude du langage sur contexte d’énonciation.
Ex : rôle des utilisateurs, sous-entendus, implication.

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2
Q

Sémantique :

A

Etude sur le sens du langage.
Ex : cheval -> signifie animal etc..

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3
Q

Syntaxe :

A

Etude règle d’assemblage des mots ( morphèmes, syntagmes etc… ) dans les phrases.
Ex : sujet - verbe - complément. ou concordance des temps.

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4
Q

Morphologie :

A

Etude des éléments qui composent les phrases : les morphèmes.
Ex : La conjugaison d’1 mot.

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5
Q

Phonologie :

A

Etude du son du langage sur leur fonction dans une lague précise.
Ex : T / F sont 2 phonèmes # -> signification #

Etudie la manière dont on doit assemblés les phonèmes pour faire des unités signifiantes.

grec : “logos” -> discours, traité.

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6
Q

Phonétique :

A

Etude du son du langage.
Ex : Sons, acoustiques, abstraits.

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7
Q

Les # domaines de la linguistique : …<…

A

Pragmatique -> sémantique -> syntaxe -> morphologie -> phonologie -> phonétique.

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8
Q

Def linguistique :ses 3 tâches

A

-> Constitué par ttes les manifestations du langage. 3 tâches de la L° :
-Description & histoire : des langues -> famille de langue. Reconstitue les langues mères de familles.
Chercher les forces des langues / voir les lois générales ( on peut dégager des phénomènes de l’histoire ).
Se délimiter et définir elle-même.
+ rapports avec science : donne et emprunte des données.

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9
Q

2 liens linguistique - psy sociale :

A
  • Not° psycho dans langue (mat/mec : chgnt sons )
  • Linguistique donne des données en psy sociale -> font corps.
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10
Q

Saussure “métaphore de la communication”

A

Pouvoir de la nomination : qd une chose n’existe plus, on peut encore la nominée. ( ex : main n’est plus, mais le sens de la main, relié au terme existe toujours ).

Regroupe l’ind, notion de cité.

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11
Q

Homère “insociable” :

A

Ennemi des lois, sans foyer, proies car se combattes pas.

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12
Q

La nature de l’homme - Aristote :

A
  • Animal de société/combat dans sa nature.
    (pas dû aux circonstances)
  • Seul animal fait pour la société (politique) -> possède la raison.
    #
    animaux ->ressentent des émotions (inflexion de la voix). MAIS pas en capacités de dire ce qui est juste ou injuste / bien et mal sur des actions.
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13
Q

Ferdinand de Saussure - Notion de linguistique est complexe à schématiser :

A

+ Facile d’aborder la Langue. = Norme de ttes les autres manifestations du langage. Donne def de manière autonome. Rassurant pr l‘esprit.

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14
Q

Langue # LANGAGE

A

Langue :
- Une partie déterminé et essentielle du langage.
- Produit social pr faculté du langage
- Ensemble de conventions adopté par le corps social, pr la pratique de cette langue.
- Un tt en soi et un principe de classification.
- Sys grammatical nécessaire

Langage :
- Multiforme & hétéroclite ( sur plusieurs domaines : physiques, psychique, physiologique).
- Domaine individuel + social.
- Sait pas comment intégrer le langage donc pas de catégories.

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15
Q

Sémiologie :

A

Etude des signes. grec “sêmeîon” . La linguistique est dans ( schéma )

F-S :
Ce n’est pas le langage parlé, mais la faculté de constituer une langue qui est naturel à l’homme via des signes correspondant à des idées distinctes !!!

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16
Q

Langue articulée :

A

Latin “membre, partie, subdivision d’une suite de choses” :
-Sub chaîne parlé en syllabe.
-Sub chaîne des signifactions.
(unité)

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17
Q

Broca - Décoiverte : caractère naturel du langage :

A

Cerveau -> 3eme circonvolution frontale gauche : langage, faculté de parler + écriture. zone de wernicke

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18
Q

Linguistique -> science qui étudie..?

A

Science étudie # langues, constituent des manifestations particulières du langage.

Considère langage = Faculté humaine, générale, indéterminée.

Langue = Sys° de signes institué par +ieurs locuteurs pour exercer le langage .

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19
Q

Formes d’aphasie dû aux lésions sur ces localisations : BROCA

A

1- Troubles divers au langage oral # façons. ( aussi écrit ) zone de wernicke
2- Atteint faculté de faire un son, ou tracer un signe.
= y’a faculté générale, la linguistique, qui commande les signes.

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20
Q

Signifiant / signifié : Lien / “Bouba-Kiki effect”

A

lien arbitraire, signe linguistique arbitraire
[ diapo crâne à voir ]

1er principe arbitraire du signe : “ Bouba-Kiki effect” :
Forme ronde -> Bouba
Forme traits -> Kiki

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21
Q

Signe :

A

Signifiant + Signifié.
Signifiant -> Ex : aspect matériel ( mot “cheval” )
Signifié -> Ex : aspect conceptuel (image cheval)

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22
Q

pragmatique # sémantique : CNTRL

A

Sémantique s’occupe du sens des phrases identifiées à leurs contenu représentatif.
La pragmatisue s’occupe de l’utilisation par els sujet parlant.

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23
Q

Phonologie # phonétique : CNTRL

A

phonologie : s’intéresse pas à la production des sons.

Découverte de la phonologie ont eu une gde influence ds le dvlpt du structuralisme.

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24
Q

Les niveau phonologiques :

A

Caractéristiques :
- perception catégorielle
- rapidité ( 250 mots / mn )
- variabilité

Caractère lavunaire de parole :
Warren et Obusek 1970

Il a été constaté qu’elle était sur :
- w(heel)
- m(eal)
- p(eel)

Table
Axle
Orange

Restauration phonétique : sémantique -> phonologique.

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25
Q

Lexique et Lexicologie :

A

Grec “lexicon” (biblion) -> “livre des mots”.
Ensemble des unités qui sont dotées d’un sens ds une langue. Dont la combinaison selon les lois de la grammaire produit les phrases, le discours. les mots grammaticaux.

Ex : prépositions, conjonctions font pas partie du lexique.

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26
Q

niveau lexical etude :

A

rapidité de cette évolution ( surtout à partir de 2 ans découle directement des progrès cognitifs de l’enfant, de son exploration du monde ( # ciation des objets et de leur fonction, catégorisation, adéquation de la dénomination ).

Niveau lexical :
-> Caractériqtique

  • effet de fréquence
  • amorçage sémantique (priming)

-> exp Swinney 1979 :

” en bousculant la table, il fait tomber le verre”
immédiat “vin” différé “vin”.

“En ouvrant le camenbert, il a trouvé un ver”
immédiat “terre” différé “terre”.

Décision lexicale sur mot présenté visuellement : temps identique

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27
Q

Le patient de Broca, Louis Victor Le borgne surnommé “TanTan” :

A

Il répondait “tantan” à tt mais s’aidait de ses mains pr transmettre une infos.
ex:
-“depuis combien de temps habiter-vous ici?”
-“TanTan ouvre 4 fois sa mains et lève 1 doigts
- 21 ans

Broca dit :
“ Je lui donnerai donc le nom d’aphémie..car ce qui manque à ces malades, c’est seulement la faculté d’articuler les mots.. la faculté du langage…persiste évidemment tte entière, puisque les malades comprennent parafitement le langage articulé et le langage écrit.”

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28
Q

Franz Josef Gall - 1828 :

A

pense que le volume du crâne sur certaines zones jouent sur des qualités morales et aptitudes.

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29
Q

entre possibilité d’articuler des mots & faculté du langage. exemple :
+ pensé de Gratiolet 1863

A

un des patients de Broca parvenait à dire 5 mots ( voc restreint ->aphémique ). prouvait qu’il pouvait articuler, tandis que faculté du langage est étiente.

G : soulève une difficulté “ comment comprendre la conservation de l’intelligence coïncidant avec la perte du langege? “

30
Q

2 types d’aphasie : Wernicke / Broca :

A

Wernicke :

  • Elocution aisée : peu de répétitions spontanées.
  • Syntaxe convenable
  • Grammaire convenable
  • Mots inventés ou inappropriés
  • Compréhension amoindrie

Broca :

  • Elocution saccadée : tendance à répéter les phrases et les mots ( perseveration )
  • Syntaxe désorganisée
  • Grammaire perturbée
  • Structure désorganisée des mots individuels
  • Compréhension intact
31
Q

2 sys d’écritures du japonais “Kanji & Kana”

A

Font appel à des circuits cérébraux # qui ne sont pas affectés de la même manière par l’aphasie.

% d’erreurs chez les aphasique japonais :
kanji : 45%
Contrôle : 16%
Kana : 96%
Contrôle : 0%

32
Q

Chomsky “ Colorless green ideas sleep furioulsy” :

A

possible d’examiner séparemment les aspects syntaxique d’une langue, autrement dit les règles qui gouvernent sa grammaire, et ceux qui ont à trait à la sémantique. Il donne le célèbre exemple de la phrase : “ Colorless green ideas sleep furioulsy”

..qui est dénuée de sens mais grammaticalement correcte par opposition, la suite de mots est agrammatique :
“ Furiously sleep ideas green colorless “

33
Q

1ere théories sur le langages en psychologie cognitive- Chomsky , théorie de récursivité : + expliquer Énumération récursive :

A

« la grammaire est mieux formulé comme un objet d’étude autosuffisant indépendant de la sémantique » - Noam Chomsky.

+ d’intérêt pour la syntaxe que la sémantique.

Diapo avec arbre, on peut faire un ensemble de termes lexicaux, dénué de sens, cependant il est possible d’examiner séparément les aspect syntaxiques de la langue, par exemple avec la grammaire. Puis ceux en lien avec la sémantique.

Énumération récursive : Pour tout les éléments qui composent cette phrase on peut en découler un certains nb de valeur ( ex : grammaire )

diapo arbre + numéro

34
Q

def récursion de Chomsky :
+ qu’est-ce q’il veut trouver ?

A

Processus dont le déroulement suppose de faire intervenir le processus lui-même.

Ex : les dessins fractales sont le résultat de fonctions récursives qui font appel à elles-mêmes.
Ou
On peut délier une phrase pour inspecter chaque aspect.
Ou exemple d’un objet qui se répète à l’infini ( PI ).

35
Q

Galilée / Descartes : règle combinatoires
+ les 2 propriétés inhérentes au langage :

A

→ permet de créer de nouvelles combinaisons de mots.

Grâce à la grammaire générative de Chomsky. ( 1950 )

2 propriétés :
- lexique -> langue limité
- combinaison terme -> illimité

Lié à la récursivité de Chomsky : valable pour toutes les langues
ex : Marie est parti / pierre dit que Marie est parti → une phrase s’emboîte ds une autre.

36
Q

Discontinuisme :

A

Théorie introduisant l’origine du langage par une évolution de l’homme ( qui est le seul animal à pouvoir créer un langage ).
Argument génétique Défendu par Chomsky avec l’exemple la protéine Box P2 qui à subit un changement et modifie ses aptitudes.

37
Q

Continuisme :

A

Théorie introduisant l’origine du langage sur lequel les facultés sémiotiques humaine évolue, mais sont # en degrés aux autres animaux.

38
Q

Hypothèse Innéisme / nativiste de l’acquisition au langage :

A

→ pr qu’un enfant acquière la langue, il faut une aptitude génétique inné pr le langage .
→ attentes grammaticales universelles pré-câblé.
- 3 positions dans cette théorie – Chomsky- Steven Pinker – Jerry Fodor.

39
Q

Hypothèse empiriste de l’acquisition du langage :

A

→ Acquisition d’une forme d’apprentissage. Est en contradiction avec hyp° innéiste.
→ ex : Tabula rasa.

40
Q

Pour justifier la théorie innéiste – Chomsky :
+
Hypothèse nativiste :

A
  • lois grammaticales sont innés
  • rapidité des enfants pr app° ces règles renforce le caractère inné.
  • pauvreté du stimulus = exp ling° limité de l’enfant. → alors impossible d’apprendre aussi vite à former des phrases = règles grammaticales.
  • Il y a un code génétique qui donne des bases sur :
    Les catégories, Grammaire universelle.
    Il est appelé « Module du langage » l’enfant doit juste deviner la syntaxe de sa langue par tatonnement.
41
Q

Fodor- Module d’inférence + exemple :

A

ss-sys° encapsulé spé ds le traitement autonome de certains inputs du même type. Ils sont pareil pr tous les ind°

exemple :
Les infos qui entrent et sortent font pas intervenir des éléments extérieur.
Ex : Illusion d’optique, même si on sait que les 2 lignes sont de la même tailles, on reste sur notre perception 1ere.

42
Q

Fodor- Langage de la pensée, le mentalais, ou LOT :

A

hyp° d’un sys symbolique inné nécessaire pr la sémantique/ repr° mentales + autres catégories élémentaire sur base d’inférence.

43
Q

Fodor- « La modularité de l’esprit » :
- 3 types de système
- 5 points du sys périphérique modulaire
- expérience

A

Esprit humain : 3 types de sys°
- Traducteurs
- sys périphériques
- sys centraux

* Fonctionnent uniquement à partir de l’info reçue à l’entrée.  
* Spécifique à un domaine d’info. 
* Cognitivement encapsulés et impénétrables, fcct automatique. 
* Innés, s’appuyer sur bases neurologiques.
* Schéma du modèle interactif: top→ down. 

Expérience : phrase enregistré – demande si tout les mots évoqués sont perçues ( on enlève au fur et à mesure des voyelles )
La plupart des gens ne sauront pas qu’il y a eu chgt, encore + difficile de savoir où est la modification( sur quelle voyelle ).
Seulement 40 % des gens avaient la capacités d’isoler la partie modifié.

44
Q

Fodor- les 3 étapes de compréhension au langage parlé :

A
  • acoustique ( # selon les langues )
  • sémantique
  • orthographique
45
Q

« The langage instinct » - Steven Pinker et la théorie innéiste / théorie du discontinuisme ( qu’il va pas suivre ) :

A

Rejoint Chomsky sur le déterminisme génétique ds l’app au langage.
Mais il met de côté le postulat de discontinuisme. décrit l’apparition du langage comme propre à l’ê-h mais explique cette apparition ds le cadre évolutionniste.

46
Q

Tomastelllo- rejoint théorie de l’acquisition

A

Le langage n’est pas un instinct MAIS une compétence comportementale qui sont :
- stéréotypés ds l’expression
- apparaîtraient au cours de l’ontogenèse même si un individu était élevé en dehors de l’ensemble des individus de son espèce.

Mais le langage ne correspond à aucun de ces deux critères, même de loin…

Qd Pinker et les les personnes chomskiennes évoquent l”instinct” . Il entendent en réalité par le terme langage, une grammaire universelle.

47
Q

Théorie gestuelle des origines du langage humain : Michael Tomastello.

A

Les vocalisations chez le singe sont intuitives,
contrairement aux fonctions vocales.

Selon lui, ce qui rends la cognition humaine unique est :
- L’intentionnalité individuelle, partagée et collective.

48
Q

Théorie de l’esprit : Tomastello :

A

cognition humaine / animale : la maîtrise, dès 4 ans, on peut avoir des croyances er désirs via la psychologie.

49
Q

Luigi Rizzi- Les singes # des hommes ds le langage :

A

Singes – cousins proches de l’homme. Pourtant ne passe pas par la récursion dans leur langage
→ ils font très peu de combinaison de mots # des hommes qui en font bcp.

La récursivité semble être propre à l’homme. ( p-ê en lien avec le fait que les animaux savent pas compter ).

→ Les chimpanzés peuvent visualiser des quantité, effectuer des additions jusqu’à un certains seul. Contrairement à l’homme.

50
Q

Saussure- Le langage articulé chez l’homme # animaux :

A

Le langage articulé est propre à l’homme, avec des signes distincts ( certains animaux peuvent le faire → trouve d’autres théories pour prouver le caractère unique du langage de l’homme.)

51
Q

Le langage dans le monde animal – ASL ( American Sign Langage ) par des chimpanzés, ex Washoe :

A

Washoe (chimpanzé)
Prouve que les capacités syntaxiques sont pas identiques aux hommes mais similaire.

-> Washoe manie 240 signes et peut en associer jusq’à 8.
Enfant de Wahoe - Loulis maîtrise 75 signes.
Dar, Tatu, Moja sont entre les 2
( richesse syntaxique - forte que personne sourde ).

il n’y a pas de dressage pour Washoe, elle a notamment transmis naturellement les signes à Loulis.

52
Q

Morphème # mot :

A

morphème -> plus petite unités de sons susceptibles de communiquer du sens. Mais peut pas avoir du sens isolement dans une phrase.
Mots -> plus peite unité de sons susceptibke de communiquer du sens. A du sens en dehors d’une phrase. Ex : “Animaux” ou pronom “il,elle”.

53
Q

Contenu du lexique - dans un terme on trouve obligatoirement :

A
  • Forme perceptive du mot; acoustique, articulée, lue, écrite..
  • Propriétés grammaticales
  • Signification du mot
54
Q

2-Phénomènes expérimentaux : lexique -Effet de fréquence / Effet de Priming :

A

Effet de fréquence : La rapidité d’identification d’un mot est une fonction croissante de sa fréquence.
f= fréquence d’apparition d’un mot.

Effet de Priming : L’identification d’un mot est facilité par la présence auparavant d’un mot auquel il est lié sur le plan sémantique.
ex : bread - doctor / nurse - doctor

= les personnes identifient + rapidement le terme “doctor” qd il est accompagné de “nurse”
“nurse” -> indice qui réduit de nbre d’interprétation.
ou
les “Non-mots” mettent plus de temps à être identifiés ( temps de s’appercevoir qu’ils existent pas ).

55
Q

Pb à propos du lexique : Nature / fonctionnement ?

A

Nature : Que contient t-il ? ( morphème ? )
La notion de mot est pas évidente
Exemple :
mots composés (table-ette)
mot polysémique ( avocat )
locutions toute faites ( se mettre à table )

Fonctionnement : Quels sont les processus par lesquels on accède au lexique?
3 modèles : Forster - Morton - Marlsen et Wilson.

56
Q

1ère théorie d’accès au lexique- 1976- Inspiré de l’informatique- Forster :

A

L.’informatique : Des fichiers périphériques d’accès aux infos orthographique/phonologique en compréhension sémantique/syntaxique de production.
- un fichier central
- des codes d’accès avec «pointer» pr naviguer des fichiers périphériques aux fichiers central.
[ schéma ]
( l’orthographe du mot chat est le code d’accès- une fois qu’il est reconnu il va dans le fichier maître qui va faire la reconnaissance du terme ).

57
Q

2e théorie d’accès au lexique-1983- inspiré des neurosciences-Morton :

A

Logogène : Reçoit le lexique
l’id d’un mot se fait via 2 sys d’entrée des logogènes : visuelle – auditive.

→ Analyse auditive (une fois que le sys d’entrée à reçue un stimuli assez « fort » pr être traiter)

→ Analyse visuelle (une fois que le sys d’entrée à reçue un stimuli assez « fort » pr être traiter)
[ image tableau vert ] # entre les 3 phénomènes expérimentaux.
Morton a pas d’explications particulière sur le temps de reconnaissance des non-mots.

58
Q

3e théorie d’accès au lexique- 1978- « Modèle de la cohorte » -Marlsen-Wilson :

A

2 étapes :

1- Prise d’info phonétique pr délimiter un ensemble de candidats. Ex : mots commençant par « pa »

2- Sélection parmi ces candidats, à partir d’info multiples ( syntaxique, sémantique, contexte…) du mot.

→ On supprime des possibilités qui existent ( ex : « Il y a du gel hydroalcoolique sur la table » → ce n’est pas « il y a un alcoolique sur la table » )
Algorithme = donne des éléments en entrées et une compréhension d’un terme en sortie.

59
Q

Théorie en pragmatique - Dan Sperber- 1942

A

Interprétation des énoncés :
Étape modulaire = décodage linguistique, logique qui sert d’input pr une 2eme étape inférentielle centrale.

Étape inférentielle centrale = consiste à enrichir contextuellement la forme logique décodée de façon à construire une hypothèse sur l’intention informative du locuteur.

Un expression délibérément opaque peut conduire à une interprétation plus riche. On donne un sens dans la phrase, qui estt autre que le sens principal « elle chante », ds la 2eme proposition, on peut deviner que l’auteur « se moque » de la performance de Mme X.

Ex 2 formulations :
Mme X chanta « Home Sweet Home »
Mme X produisit une série de sons qui correspondait étroitement à la partition de « Home Sweet Home »
Notion d’implicature : si on apprends une notion « le président Kennedy à été tué ». Crée ue attente ds l’esprit du locuteur « il a été tué dans la période où il pensait faire.. » → il y a un sens, une sensation d’attente chez l’interlocuteur, il va en déduire que « le président à été tué parce que… »
le propre des êtres humains dans la langue est la récursion, cependant les théoriciens admettaient que les animaux ont la capacité de communiquer par un langage propre.

60
Q

Notion d’implicature : Dan Sperber

A

si on apprends une notion « le président Kennedy à été tué ». Crée ue attente ds l’esprit du locuteur « il a été tué dans la période où il pensait faire.. » → il y a un sens, une sensation d’attente chez l’interlocuteur, il va en déduire que « le président à été tué parce que…»

61
Q

« Alex » ( Avian Langage EXperiment ) -Iren Pepperbeg :

A

Irene Pepperberg a cherché durant plus de 30 ans à entraîner un perroquet « Alex » ( Avian Langage EXperiment à parler avec elle dans une langue humaine « anglais » en ayant recours à la technique du modèle / rival. Le perroquet avait un voc de de + de 150 mots ; compte jusqu’à 8 ; réponds à des questions simples ( ex : questions sur les couleurs ) ; réussi à comprendre des concepts abstraits ( le 0 ).

62
Q

Vocalisation des mésanges de Chine : 3 phrases

A

« regarde les environs »
« viens ici »
« viens regarder ici »

63
Q

Faculté du langage chez les dauphins + abeilles :

A
  • Les grands dauphins Tursiops Truncatus peuvent produire 3 types de sons :
  • Des sifflements dont la fréquence d’onde est modulée.
  • Des Clics qui servent à l’écholocation.
  • Des pulsations sonores pouvant ressembler à des « bray ».
    Communication chez les abeilles ( faire recherche ) elles se donnent des infos sur les fleurs à butiner.
64
Q

Faculté du langage chez les les chiens de prairies :

A

« ils des mots pr # prédateurs, + des mots pr descriptifs pr décrire l’aspect du prédateurs. » par exemple la couleur du prédateur. Ou le prédateur qui vient : du ciel / du sol. Il s’adresse aussi avec des noms propres.

65
Q

La gestuelle chez les chimpanzés :

A

Inné chez les chimpanzés, pas appris par l’homme.
4 possibilités : on a 8/14, on comprends + de la moitié de leur signes

66
Q

Exemple, le choucas :

A

Qui a appris le langage des signes, avec vocalisations avec forme de récursivité.

Sédentaire durant l’hiver, mais migrateur l’été, les colonies s’attendent à un point fixe avant de partir.

Si y’a peu d’intensité dans les vocalisations est importante, la colonie peut effectuer une décision de groupe sur le moment précis du départ. Inverse : si y ‘a peu d’intensité, ils se mettent pas d’accord et partent de manière différé, pas tous ensemble.

Sensible à la direction du regard, aide avec les yeux clair. Utilité sociable.

67
Q

Article de Stanislas sur les chimpanzés, évidence comportementale :

A

Peuvent assemblés des éléments simples ds la syntaxe ( on relie ça à la récursivité de Chomsky ).

68
Q

Tableau sur l’étude du langage dans le monde animal :

A

Signes arbitraires : Dauphins apprennent un sys de communication.
Langage articulé : Chien de prairie peuvent décrire les prédateurs, assemblent des signes élaborés.
Diapo apprentissage ASL

69
Q

Rapport entre langage et pensée : vision philosophique

A

Logos = langage = raison

Homme, seul entre tt les animaux à posséder la raison. Notion de bien / mal. Juste / injuste .

« Le langage sert-il qu’à communiquer les pensées qui préexistent aux mots ou bien est-ce que le langage introduit t-il également un élément de support sans lequel aucune forme de pensée élaborée n’est réellement possible ? »

70
Q

2 hypothèses - Tableau sur l’étude du langage dans le monde animal :

A

Hypothèse de la pensée dépendante du langage :
- La pensée ne peut être construite qu’à l’intérieur d’un langage qui permet l’expression objective du langage.

Hypothèse de la pensée indépendante du langage :
- La pensée construite préexiste à son expression éventuelle au travers du langage.

71
Q

Thèse Sapir Whorf- dépendance radicale :

A

« les êtres humains ne vivent pas seulement dans le monde objectif, ni dans le monde des activités sociales telles qu’on les entend d’ordinaire, mais ils sont à la merci de la langue particulière qui est devenue le moyen d’expression dans leur société ».
« le sys linguistique n’est pas seulement un sys de vocalisation, il découle également d’idée. »

La formulation d’idées n’est pas un processus indépendant, strictement rationnel au sens ancien du terme, mais fait partie d’une grammaire particulière à une autre dans des proportions + ou – grandes.

Découpe la nature selon les tracés que notre langue a dessiné sur elle. Nous ne découvrons pas les catégories et les types que nous isolons à partir du monde des phénomènes parce qu’elles se trouveraient sous le nez de tout observateur ; au contraire, le monde se présente à nous sous la forme d’un flux kaléidoscopique d’impressions qui doit être organisé par nos esprits – c-à-d en grande partie par nos sys° linguistique mentaux (…).

Nous sommes ainsi confronté à un nouveau principe de relativité, selon lequel les mêmes preuves physiques ne conduisent pas tous les observateurs à la même image de l’univers, à moins que leurs ressources linguistiques ne soient similaires ou puissent être ajustées de quelques manières.

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Q

Charles Darwin- Avis sur la pensée et la parole

A

« La pensée à sa propre structure, et sa transformation en paroles est malaisée [mais] la pensée subit de nombreux changements à mesure qu’elle se transforme en paroles.
Elle ne s’exprime pas seulement en paroles, mais elle y trouve sa réalité et sa forme » diapo 2019.