path chir4(neurochir) Flashcards

seq et complic TC physop et ttt HTIC

1
Q

INTROD : seq et complic des TC: def=

A

-On considère comme un TC, tout blessé qui, à la suite d’une agression mécanique directe ou indirecte,
présente une fracture du crâne, des troubles de conscience ou des signes traduisant la souffrance
encéphalique

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Q

INTROD : seq et complic des TC: épidemio %

A

Parmi l’ensemble des TC:

  • 90% d’entre eux n’en garderont aucune conséquence, -5-8% en garderont des séquelles majeures,
  • et 1% des séquelles sévères (état pauci-relationnel ou végétatif persistant).
  • Une épilepsie post-traumatique est une séquelle pour 3% de l’ensemble des traumatisés, atteignant en majorité les TC graves.
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3
Q

INTROD : seq et complic des TC=

A

Problème de santé publique majeur (fréquence, gravité+++)

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4
Q

seq et complic des TC: COMPLICATIONS : types

A

A-Immédiates

B-Secondaires

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5
Q

seq et complic des TC: COMPLICATIONS :

A-Immédiates : sont:

A
  • Hématome extra-dural
  • Hématome sous-dural aigu
  • Hémorragie méningée
  • Lésions parenchymateuse
  • Lésions osseuses
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6
Q

seq et complic des TC: COMPLICATIONS :

A-Immédiates : - Hématome extra-dural :

A

Après un intervalle libre net (préciser sa durée) apparaît une aggravation
. Complication majeure. Urgence absolue.
. Mécanisme : fracture de la voûte coupant une artère méningée.
. Celle-ci va saigner en décollant progressivement la dure-mère, puis entraîner les complications classiques
d’un processus expansif intracrânien (engagements).

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7
Q

seq et complic des TC: COMPLICATIONS :

A-Immédiates : - Hématome sous-dural aigu :

A

. Il correspond le plus souvent à la rupture au cortex d’une zone d’attrition cérébrale.
. Tableau clinique et pronostic très graves.
. Favorisés par les AVK

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8
Q

seq et complic des TC: COMPLICATIONS :

A-Immédiates : - Hémorragie méningée :

A

syndrome méningé bruta

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9
Q

seq et complic des TC: COMPLICATIONS :

A-Immédiates : - Lésions parenchymateuse :

A

d’emblée, troubles de conscience

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10
Q

seq et complic des TC: COMPLICATIONS :

A-Immédiates : - Lésions osseuses :

A

Fracture du crâne, Embarrure, Plaie cranio-faciale

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11
Q

seq et complic des TC: COMPLICATIONS :

B-Secondaires :

A
  • Épilepsie post-traumatique
  • Hydrocéphalie
  • Hématome sous-dural chronique
  • Fistule carotido-cavemeuse
  • Complications infectieuses
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12
Q

seq et complic des TC: COMPLICATIONS :

B-Secondaires : - Hydrocéphalie :

A

. Passive consécutive à une atrophie cérébrale post-traumatique en regard d’une contusion ou d’une plaie
cranio-cérébrale.
. OU active, secondaire à des troubles de la circulation et de la résorption du LCR

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13
Q

seq et complic des TC: COMPLICATIONS :
B-Secondaires : - Hématome sous-dural chronique :
def+terrain+révelation+tdm

A

. Complication tardive (quelques semaines à quelques mois) d’un TC souvent modeste et passé inaperçu.
. Terrain : sujets âgés, tarés (AVK, alcoolisme).
. Se révèle par :
-HTIC pure
-déficit neurologique focal
-tableau de démence
. Scanner : collection à concavité interne et convexité externe, hypodense si très ancienne, hyperdense si
semi-récente, parfois isodense et difficile à objectiver.

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14
Q

seq et complic des TC: COMPLICATIONS :

B-Secondaires : - Fistule carotido-cavemeuse :

A

exophtalmie pulsatile et soufflante, TDM ou angio-IRM confirme le diagnostic

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15
Q

seq et complic des TC: COMPLICATIONS :

B-Secondaires : - Complications infectieuses :

A

.Méningite post-traumatique : La brèche ostéo-durale responsable est en général située au niveau de
l’étage antérieur de la base du crâne (ethmoïde ou sphénoïde).
.Abcès cérébral : Le scanner permet un diagnostic facile
.Empyème sous dural secondaire à une infection sinusale ou mastoïdienne post-traumatique.
.Thrombophlébite septique

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16
Q

seq et complic des TC: SÉQUELLES :

-TC légers :

A

Céphalée, vertige, troubles de mémoire.

=Le syndrome subjectif des traumatisés du crâne

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17
Q

seq et complic des TC: SÉQUELLES :

-TC légers : Le syndrome subjectif des traumatisés du crâne= def+signes

A

-Le syndrome subjectif des traumatisés du crâne (syndrome post-commotionnel) :
. Apparaît avec un décalage de quelques jours à quelques semaines. Il ne touche que les victimes de TC bénins. Les plaintes fonctionnelles sont multiples :
*Céphalées
*Troubles de l’équilibre
*Troubles sensoriels (acouphobie, éblouissements)
*Troubles intellectuels (difficultés de concentration)
*Troubles caractériels

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18
Q

seq et complic des TC: SÉQUELLES : -TC légers :

Le syndrome subjectif des traumatisés du crâne: evolution+ne pas…+…. parfois necessaire

A

. Evolution : régression spontanée en quelques mois.
. Ne pas surmédicaliser ces symptômes par des examens complémentaires.
. Formes rebelles : psychothérapie parfois nécessaire.

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19
Q

seq et complic des TC: SÉQUELLES : -TC graves :

A

déficits neurologiques moteurs ou sensitifs induits par des lésions focales, troubles neuropsychologiques, psycho-affectifs.

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20
Q

seq et complic des TC: généralités:

A
  • Le TC est la cause la plus fréquente de handicap neurologique chez les sujets jeunes.
  • Ces séquelles sont souvent chroniques et peuvent influencer fortement la qualité de vie des patients. Par exemple:
    . des modifications de l’humeur,
    . de la personnalité
    . ou des fonctions cognitives peuvent bouleverser la
    vie quotidienne de ces sujets et de leur entourage.
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21
Q

CONCLUSION : seq et complic des TC:

A
  • Les complications, fréquentes, peuvent survenir dans l’immédiat ou tardivement
  • Les séquelles sont nombreuses posant des problèmes de réinsertion socio-professionnelle
  • Urgence médico-chirurgicale
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22
Q

PLAN: seq et complic des TC:

A

INTROD: def+generalité
complic: immed/second
séquelles: TC léger/grave
conc

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23
Q

INTROD : HTIC: pression…+ secondaire à….+ peut …

A
  • Pression du LCR >15 mmHg pendant plus de 5 minutes = HTIC
  • Sd d’HTIC est secondaire à de nombreuses pathologies cérébrales.
  • peut engager pronostic vital.
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24
Q

INTROD : HTIC: sd.d’HTIC=….+ ttt ….

A
  • Sd d’HTIC : céphalées, vomissements, troubles de conscience et troubles visuels.
  • Traitement symptomatique et étiologique
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25
Q

PHYSIOPATH: HTIC: Origine de I’HTIC=

A

L’HTIC peut être la conséquence de deux phénomènes :

  • Augmentation de l’un des volumes physiologiques.
  • Apparition d’un volume supplémentaire (tumeur, hématome).
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26
Q

PHYSIOPATH: HTIC: Origine de I’HTIC: Augmentation de l’un des volumes physiologiques: LCR: causes:

A

L’augmentation du volume du LCR peut être la conséquence :
-d’une hypersécrétion (papillomes des
plexus choroïdes),
-d’une obstruction sur les voies de circulation du LCR (sténose de l’aqueduc de Sylvius)
-ou défaut de résorption (hydrocéphalie chronique de l’adulte).

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27
Q

PHYSIOPATH: HTIC: Origine de I’HTIC: Augmentation de l’un des volumes physiologiques: V. cerebral: causes

A

L’augmentation du volume cérébral se rencontre lors d’œdème cérébral (vasogénique/ cytotoxique)

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28
Q

PHYSIOPATH: HTIC: Origine de I’HTIC: Augmentation de l’un des volumes physiologiques: V. sang: causes

A

L’augmentation du volume sanguin cérébral est la conséquence
-d’une thrombose veineuse cérébrale (plus fréquemment un sinus veineux de la convexité).

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29
Q

PHYSIOPATH: HTIC: COURBE PRESSION-VOLUME :

A

[COURBE DE LANGFITT]
- Relation exponentielle entre volume intracrânien et la PIC.
1èrepartie : parallèle à l’axe des volumes (↗du volume modifie peu la PIC)
2èmepartie : parallèle à l’axe des pressions (une faible ↗des volumes entraîne une ↗importante de la PIC)

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30
Q

PHYSIOPATH: HTIC: Pression de perfusion cérébrale- Ischémie cérébrale : PPC=….
donc:….

A

PPC= PAM-PIC
Pression de perfusion cérébrale (PPC)
Pression artérielle moyenne (PAM)
Pression intracrânienne (PIC)

++++Diminution PAM ou Diminution PPC
=Augmentation PIC = Ischémie cérébrale

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31
Q

PHYSIOPATH: HTIC: Moyens physiologiques de lutte contre I’HTIC :

A

-Chasse de LCR vers les espaces péri médullaires (=Vases d’expansion)
-Résorption du LCR:
. mais reste peu efficace chez le TC.
. résorption trans-épendymaire pour les processus chroniques (hydrocéphalie chronique).
- Déshydratation du parenchyme cérébral:
. Vidange d’eau présente dans les espaces extracellulaires.
. Ce phénomène peut être utilisé et accéléré en neurochirurgie par l’administration de Mannitol+++. Il
explique pourquoi de volumineuses tumeurs intracrâniennes peuvent rester longtemps asymptomatiques.

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32
Q

HTIC: TRAITEMENT : le TTT est avant tout….

A

étiologique

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33
Q

HTIC: TRAITEMENT : HTIC compensée :

A
  • Traitement symptomatique par des antalgiques et des anti-nauséeux.
  • Corticothérapie dans les cas où un œdème cérébral concours à l’augmentation de la PIC.
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34
Q

HTIC: TRAITEMENT : HTIC décompensée ou compliquée : ++++

A
  • C’est une extrême urgence car le pronostic vital du patient est mis en jeu à court terme.
  • Lutter contre les facteurs d’agression cérébrale secondaire d’origine systémique (ACSOS)
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35
Q

HTIC: TRAITEMENT : HTIC décompensée ou compliquée :

A
  • Intubation trachéale.
  • Equipement (cathéter veineux et artériel, sonde urinaire et gastrique+capteur de PIC en fonction de l’étiologie).
  • Surélevation à 30 degré pour améliorer le retour veineux cérébral.
  • Maintenir une tension artérielle normale ou légèrement élevée.
  • Corriger une éventuelle bradycardie par atropine (0.5 à 1 mg).
  • lutter contre l’hyperthermie “(légère hypothermie)”
  • Neurosédation
  • Lutter contre l’hyercapnie (hyperventilation) .
  • Mannitol à la dose de 0.25 à 1 g/kg.
  • Administration de sérum salé hypertonique.
  • dérivation ventriculaire externe si hydrocéphalie.
  • Si HTIC réfractaire: craniectomie décompressive en fonction de l’étiologie.
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36
Q

CONCLUSION :HTIC

A
  • Syndrome d’HTIC : secondaire à de nombreuses pathologies neurologiques et neurochirurgicales.
  • Une fois évoqué, il est nécessaire de réaliser une imagerie cérébrale (rechercher une cause).
  • Le traitement dépend de l’étiologie essentiellement mais aussi de l’état clinique du patient.
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37
Q

PLAN: HTIC

A
  • introd: def+gener
  • PHYSIOP: origine+courbe PV+PPC-ischemie cerebrale+moyen physiol de lutte
  • ttt
  • conc
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38
Q

INTROD: lomb sciat disc =

-….est due…

A
  • La sciatique désigne la souffrance des fibres sciatiques

- Dans la grande majorité des cas, la sciatique est due à un conflit disco-radiculaire (sciatique commune)

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39
Q

INTROD: lomb sciat disc:

  • dg
  • TTT
  • évol
A
  • Diagnostic est clinique
  • Traitement d’abord médical
  • Évolution généralement favorable sous traitement
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40
Q

lomb sciat disc: Dg : de

A

A-Syndrome rachidien

B-Syndrome radiculaire

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41
Q

lomb sciat disc: Dg : A-Syndrome rachidien :

1) Signes fonctionnels :

A
  • ATCD de lombalgies chroniques

- Episodes de lumbago

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42
Q

lomb sciat disc: Dg : A-Syndrome rachidien :

2) Signes à l’examen : types

A

a-Attitude antalgique

b-Raideur rachidienne

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43
Q

lomb sciat disc: Dg : A-Syndrome rachidien :

2) Signes à l’examen : a-Attitude antalgique :

A
  • Perte de lordose physiologique
  • Inflexion latérale
  • Contracture douloureuse des muscles para-vertébraux
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44
Q

lomb sciat disc: Dg : A-Syndrome rachidien :

2) Signes à l’examen : b-Raideur rachidienne :

A
  • Blocage rachidien

- Diminution de la flexion antérieure : mee par l’indice de Schöber et la distance doigt-sol

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45
Q

lomb sciat disc: Dg : B-Syndrome radiculaire :

1) Signes fonctionnels : sont

A

a-Douleur

b-Paresthésies

46
Q

lomb sciat disc: Dg : B-Syndrome radiculaire :

1) Signes fonctionnels : a-Douleur :

A
  • Type radiculaire, de trajet précis, unilatérale
  • Sciatalgies L5 :
  • Sciatalgies S1 :
  • Décharges électriques, brulures
  • Impulsive à la toux et défécation
  • ↗par la station debout, assise, effort
  • Calmée par le repos et l’alitement
  • Rythme mécanique, globalement régressive
47
Q

lomb sciat disc: Dg : B-Syndrome radiculaire :

1) Signes fonctionnels : a-Douleur : *Sciatalgies L5 :

A

fesse, face postéro-externe de la cuisse, loge antéro-externe de la jambe, dos du pied en avant de la malléole externe, gros orteil.

48
Q

lomb sciat disc: Dg : B-Syndrome radiculaire :

1) Signes fonctionnels : a-Douleur : *Sciatalgies S1 :

A

fesse, face postérieure de la cuisse et de la jambe, tendon d’Achille, talon, plante du pied et 5ème orteil.

49
Q

lomb sciat disc: Dg : B-Syndrome radiculaire :

1) Signes fonctionnels : b-Paresthésies :

A

Topographie radiculaire

50
Q

lomb sciat disc: Dg : B-Syndrome radiculaire :

2) Les signes de l’examen :

A
a-Signe de Lasègue
b-Recherche de points douloureux (signe de la sonnette)
c-Motricité :
  *L5 : 
  *S1 :
d-Examen des ROT :
e-Recherche d’une amyotrophie
f-Dépistage d’un déficit sensitif
g-Dépistage des troubles génito-urinaires et rectaux
51
Q

lomb sciat disc: Dg : B-Syndrome radiculaire :

2) Les signes de l’examen : c-Motricité :*L5 :

A

marche sur les talons

52
Q

lomb sciat disc: Dg : B-Syndrome radiculaire :

2) Les signes de l’examen : c-Motricité :*S1 :

A

marche sur la pointe des pieds

53
Q

lomb sciat disc: Dg : B-Syndrome radiculaire :

2) Les signes de l’examen :d-Examen des ROT :

A

L’abolition du réflexe achilléen=atteinte de S1

54
Q

lomb sciat disc: Dg : LE DIAGNOSTIC REPOSE SUR

A
LE DIAGNOSTIC REPOSE SUR LA CLINIQUE :
-Sciatique unilatérale, mono-radiculaire
-Accompagnée (ou précédée) de lombalgie
-Débutant brutalement (effort, faux mouvement)
-Evoluant selon un rythme mécanique
-Globalement progressive
-ATCD de lombalgie
-Impulsive aux efforts
-Signe de Lasègue
-Raideur élective du rachis, attitude antalgique
-Signe de la sonnette
 7 de ces 10 critères représentent 92% de spécifité
55
Q

lomb sciat disc: Dg : EXPLORATIONS RADIOLOGIQUES : sont

A
A-Radiographies simples
B-Scanner
C-IRM
D-Saccoradiculographie : (pas indiquée)
E-EMG
56
Q

lomb sciat disc: Dg : EXPLORATIONS RADIOLOGIQUES :

A-Radiographies simples :

A
  • Anomalies morphologiques
  • Pincement discal
  • Ostéophytes arthrosiques
  • Incidences :
57
Q

lomb sciat disc: Dg : EXPLORATIONS RADIOLOGIQUES :

A-Radiographies simples : - Incidences :

A

. Cliché dorso-lombo-pelvi-fémoral
. Cliché lombo-sacré de face (L5-S1)
. Rachis lombaire profil

58
Q

lomb sciat disc: Dg : EXPLORATIONS RADIOLOGIQUES :

B-Scanner:

A

B-Scanner+++ :

  • Diagnostic de l’HD
  • Dimensions du canal rachidien
  • Dimensions du trou de conjugaison
59
Q

lomb sciat disc: TTT

A
  • Si scanner pas concluant

* Si récidive après chirurgie

60
Q

lomb sciat disc: TTT: A- Traitement médical : constituants

A
  • Repos+++ : ↘les contraintes sur le disque et la réaction inflammatoire.
  • Médicaments
  • Infiltration des corticoïdes
  • Contention lombaire
  • Massage et kinésithérapie
  • Hygiène de vie
  • Tractions et manipulations vertébrales : à éviter
  • Rééducation fonctionnelle
61
Q

lomb sciat disc: TTT: A- Traitement médical :

- Médicaments : sont

A
AINS
Antalgiques
Décontracturants
Vitaminothérapie à forte dose
Corticothérapie
62
Q

lomb sciat disc: TTT: A- Traitement médical :

- Infiltration des corticoïdes :

A

Epidurale

Intrathécale

63
Q

lomb sciat disc: TTT: A- Traitement médical :

- Contention lombaire :

A

Immobilisation
Renforcement du caisson abdominal
L’effet thermique : bonne résolution musculaire
Rappel de posture

64
Q

lomb sciat disc: TTT: A- Traitement médical :

- Hygiène de vie :

A

musculation, amaigrissement, absence de port de charge lourde

65
Q

lomb sciat disc: TTT: A- Traitement médical :

  • durée=
  • résultat:
A
  • Durée du traitement conservateur est de 4 à 8semaines
    “- Résultats :
    Amélioration 90%
    Reprise du travail 92%”
66
Q

lomb sciat disc: TTT: B- Traitement chirurgical =

  • bénéfice :
A
= Chirurgie micro-endoscopique :
- Sous AG et contrôle endoscopique
- Bénéfices pour le patient :
Très petite incision
↘douleurs post-opératoires
↘durée d’hospitalisation et de convalescence
67
Q

lomb sciat disc: TTT: B- Traitement chirurgical: Indications chirurgicales :

A
a-Formelle et en urgence :
Syndrome de la queue de cheval
Sciatique paralysante
Sciatique hyperalgique
b-Après bilan :
- Sciatique rebelle au traitement médical
- Sciatique récidivante
68
Q

lomb sciat disc: TTT: B- Traitement chirurgical:

-Suites opératoires :

A

+Repos à domicile 2mois
+Rééducation
+Reprise du travail 2 à 4mois
+Reprise du sport : 6mois à 1an

69
Q

CONCLUSION :lomb sciat disc:

A
  • Diagnostic clinique+++
  • En dehors des syndromes de la queue de cheval et des déficits moteurs qui s’aggravent, la chirurgie peut être retardée sans compromettre le pronostic.
  • Prévention+++
70
Q

PLAN: lomb sciat disc:

A

INTROD: def+gener
Dg
TTT
conc

71
Q

INTROD: canal lomb étroit: def=

-…

A
  • On entend par canal lombaire étroit, la cause anatomique d’un conflit entre le contenant -étui rachidien ostéo-disco-ligamentaire- et le contenu- sac dural et racines de la queue de cheval à l’étage lombaire
  • Le plus souvent maladie dégénérative (sujet âgé)
72
Q

INTROD: canal lomb étroit:

  • Dg
  • TTT
  • evol
A
  • Diagnostic confirmé par l’imagerie
  • Traitement doit être tout d’abord médical
  • Évolution variable
73
Q

canal lomb étroit: SYMPTOMATOLOGIE : sont

A
  1. Claudication radiculaire intermittente
  2. La radiculalgie
  3. Syndrome de la queue de cheval
  4. Le syndrome douleur et amyotrophie
74
Q

canal lomb étroit: SYMPTOMATOLOGIE :

1. Claudication radiculaire intermittente :

A
  • Apparaissant qu’à la marche. Au repos, assis ou couché, le patient ne se plaint de rien.
  • Après un certain périmètre de marche : fatigabilité de plus en plus intense des MI avec sensation de faiblesse et de lourdeur.
  • Paresthésies à type de picotement ou d’engourdissement plus ou moins bien systématisées.
  • Les signes, d’année en année, s’aggravent, le périmètre de marche diminue jusqu’à confiner le patient chez lui.
75
Q

canal lomb étroit: SYMPTOMATOLOGIE :

2. La radiculalgie :

A
  • Sciatique monoradiculaire ou pluradiculaire unilatérale soit bilatérale d’évolution simultanée ou à bascule.
76
Q

canal lomb étroit: SYMPTOMATOLOGIE :

3. Syndrome de la queue de cheval :

A

nécessite une intervention rapide.

77
Q

canal lomb étroit: L’EXAMEN CLINIQUE :

A

au repos et après l’exercice, souvent pauvre

  • Le rachis lombaire n’est pas spécialement enraidi ou limité même si l’extension est péniblement ressentie et que la flexion au contraire soulage.
  • La souffrance est polyradiculaire
  • Troubles de la sensibilité couvrent souvent plusieurs territoires.
  • Abolition ou diminution franche des réflexes achilléens et/ou rotuliens est habituelle.
  • Troubles moteurs sont rares et généralement discrets.
  • Rechercher des troubles sphinctériens
78
Q

canal lomb étroit: EXAMENS COMPLÉMENTAIRES :
…pour ….
-sont:

A

nécessaires pour évaluer l’étroitesse rachidienne dans le plan horizontal et en hauteur.

  1. Radiographies standards du rachis et tomographies
  2. Saccoradiculographie
  3. Tomodensitométrie
  4. IRM
79
Q

canal lomb étroit: EXAMENS COMPLÉMENTAIRES :

1. Radiographies standards du rachis et tomographies :

A
  • Peu d’intérêt
  • Apprécier l’état général du squelette et des disques, les lésions arthrosiques, l’importance d’un éventuel listhésis, une scoliose…
80
Q

canal lomb étroit: EXAMENS COMPLÉMENTAIRES :

2. Saccoradiculographie :

A

juger de l’importance de la sténose et son étendue en hauteur

81
Q

canal lomb étroit: EXAMENS COMPLÉMENTAIRES :

3. Tomodensitométrie :

A

le meilleur moyen d’analyser les composants osseux et discaux

  • Diamètre antéro-postérieur du canal lombaire< 14mm.
  • Souvent au niveau L4, L5.
82
Q

canal lomb étroit: EXAMENS COMPLÉMENTAIRES :

4. IRM :

A

si doute

83
Q

canal lomb étroit: TRAITEMENT : sont

A

A- Mesures générales
B- Traitement médical
C- Traitement chirurgical

84
Q

canal lomb étroit: TRAITEMENT :A- Mesures générales :

A
  • Repos, marche avec périodes de repos
  • Orthèse de contention
  • Renforcer la musculature des membres inférieurs
  • Rééducation, Massage et kinésithérapie
85
Q

canal lomb étroit: TRAITEMENT : B- Traitement médical :

A

Antalgiques et AINS voire infiltration intrathécale de Corticoïdes (si poussée douloureuse rebelle)

86
Q

canal lomb étroit: TRAITEMENT :C- Traitement chirurgical : S’adresse aux patients…..

A

S’adresse aux patients chez qui le traitement médical est un échec et à ceux qui ont un syndrome déficitaire non régressif.

  • Si la sténose est globale : la laminectomie avec arthrectomie partielle ou avec facetectomie et cure d’une discopathie associée est la règle.
  • Si la sténose est latérale, Le geste se limite à traiter le côté pathologique.
87
Q

canal lomb étroit: TRAITEMENT :C- Traitement chirurgical :
=>L’indication tient compte de….
=>En urgence….

A

=>L’indication tient compte de l’âge du patient, de son handicap et de son état général. Cette chirurgie est difficile.
Les veines sont gênantes, sources d’hémorragie. Les brèches durales sont fréquentes car la dure-mère est fine.
Une arthrectomie trop poussée peut aboutir à une dangereuse instabilité source de glissement secondaire qu’il faut prévenir par une ostéosynthèse.
=>En urgence : syndrome de queue de cheval, sciatique paralysante ou hyperalgique
Après bilan : Sciatique rebelle à un traitement médical.

88
Q

canal lomb étroit: CONCLUSION :

A
  • Le handicap consécutif au canal lombaire étroit est invalidant et progressif.
  • Pour éviter la restriction pathologique du périmètre de marche du patient et le soulager de ses douleurs, il convient de proposer un traitement médical notamment infiltratif (péridurales) et, si nécessaire, le recours à la chirurgie.
  • Habituellement, très bons résultats de la chirurgie, quel que soit l’âge du patient.
89
Q

PLAN: canal lomb étroit:

A

-INTROD: def+gener
-Dg: symptomatologie+
l’examen clinique+
examens complementaires
-TTT
-conc

90
Q

INTROD: tm fosse post enf:

  • …sont…
  • ….délimité par….
A
  • Les tumeurs de la fosse postérieure sont particulièrement fréquentes chez l’enfant.
  • Siègent dans un espace clos inextensible délimité par le trou occipital en bas et l’orifice de la tente du cervelet en haut, d’où :
91
Q

INTROD: tm fosse post enf: …d’où :

A

d’où :
. La fréquence de l’hydrocéphalie par obstruction des voies d’écoulement du LCR, en particulier par
compression du 4èmeventricule, responsable d’une HTIC souvent précoce

. Le risque vital d’engagement des amygdales cérébelleuses à travers le trou occipital avec arrêt cardio-respiratoire par compression bulbaire. Ce risque impose la dérivation externe en urgence de l’hydrocéphalie en cas d’engagement débutant.

92
Q

tm fosse post enf: SEMEIOLOGIE CLINIQUE : constituants

A
A-Signes liés à l’hypertension intracrânienne (HIC)
 1. Chez le nourrisson :
 2. Chez l’enfant plus grand :
 3. Les autres signes d’HIC :
B. Signes neurologiques :
93
Q

tm fosse post enf: SEMEIOLOGIE CLINIQUE :
A-Signes liés à l’hypertension intracrânienne (HIC) :
sont…+++

A

fréquents+++, se manifestent de manière différente en

fonction de l’âge.

94
Q
tm fosse post enf: SEMEIOLOGIE CLINIQUE : 
A-Signes liés à l’hypertension intracrânienne (HIC) :
1. Chez le nourrisson :
-
-
-
-
-
A
  • Tableau clinique d’hydrocéphalie d’évolution aiguë.
  • Macrocrânie rapidement constituée, tension importante de la fontanelle et un signe des yeux en “coucher de soleil”.
  • Souvent : hypotonie axiale, troubles du comportement alimentaire avec refus de l’alimentation =>amaigrissement, baisse de l’état général.
  • Mouvements désordonnés des yeux peuvent traduire une amblyopie par atrophie optique.
  • Dans les HIC très évoluées, l’hypotonie peut être remplacée par une hypertonie axiale témoin d’un engagement qui peut brutalement se décompenser.
95
Q

tm fosse post enf: SEMEIOLOGIE CLINIQUE :
A-Signes liés à l’hypertension intracrânienne (HIC) :
2. Chez l’enfant plus grand :

A
  • Céphalées et vomissements, souvent trompeurs au début, car fréquemment associés à des douleurs abdominales
96
Q

tm fosse post enf: SEMEIOLOGIE CLINIQUE :
A-Signes liés à l’hypertension intracrânienne (HIC) :
3. Les autres signes d’HIC :
-
-
-

A

**Troubles de l’humeur et du comportement (apathie, indifférence ou au contraire agressivité, une baisse du
rendement scolaire, des troubles du sommeil avec fréquemment une inversion du cycle nycthéméral).

**Paralysie de la VIème paire crânienne (diplopie) témoignant d’une HIC sévère.

**Fond d’œil : oedème papillaire avec des hémorragies et dans les formes très évoluées une atrophie optique
pouvant aboutir à une cécité.

97
Q

tm fosse post enf: SEMEIOLOGIE CLINIQUE :
A-Signes liés à l’hypertension intracrânienne (HIC) :
3. Les autres signes d’HIC : si…est méconnue=>…

A

**Si l’HIC est méconnue =>signes d’engagement amygdaliens ou du culmen cérébelleux caractérisés dans un premier temps par des épisodes de torticolis ou latérocolis.

98
Q

tm fosse post enf: SEMEIOLOGIE CLINIQUE :
A-Signes liés à l’hypertension intracrânienne (HIC) :
3. Les autres signes d’HIC : si……+++
=>…. pouvant aboutir…..+++

A

**Si le diagnostic n’est pas fait : “crises toniques postérieures” mettant en jeu le pronostic vital de l’enfant
=>attitude en opisthotonos, troubles neuro-végétatifs majeurs et cardio-respiratoires pouvant aboutir rapidement au décès par compression aiguë du tronc cérébral.

99
Q

tm fosse post enf: SEMEIOLOGIE CLINIQUE :

B. Signes neurologiques : dg devant+++

A

Le diagnostic de tumeur de la FP devra être évoqué devant l’existence :

  • Syndrome de la ligne médiane :
  • Syndrome cérébelleux cinétique
  • Syndrome de l’angle ponto-cérébelleux :
100
Q

tm fosse post enf: SEMEIOLOGIE CLINIQUE : B. Signes neurologiques : -Syndrome de la ligne médiane :

A

syndrome cérébelleux statique+ syndrome vestibulaire (nystagmus horizontal ou multidirectionnel).

101
Q

tm fosse post enf: SEMEIOLOGIE CLINIQUE : B. Signes neurologiques : -Syndrome de l’angle ponto-cérébelleux :

A

très exceptionnel chez l’enfant
=>surdité de perception et acouphènes au début, puis signes d’atteinte progressive des autres nerfs
intracrâniens ayant un trajet près ou dans l’angle ponto-cérébelleux (Vè, VIIè et nerfs mixtes).

102
Q

tm fosse post enf: EXAMENS COMPLEMENTAIRES : sont

A

A. Les examens dits “de routine”

103
Q

tm fosse post enf: EXAMENS COMPLEMENTAIRES :

A. Les examens dits “de routine” sont

A
  • Radiographies du crâne :

- Fond d’œil :

104
Q

tm fosse post enf: EXAMENS COMPLEMENTAIRES :

A. Les examens dits “de routine”: Radiographies du crâne :

A

signes indirects d’HIC

"”face et profil: souvent demandées dans l’exploration d’une macrocéphalie peuvent révéler une disjonction des sutures ou des empreintes digitiformes trop marquées.””

105
Q

tm fosse post enf: EXAMENS COMPLEMENTAIRES :

A. Les examens dits “de routine”: Fond d’œil :

A

signes d’HIC (oedème papillaire avec ou sans hémorragies) et dans les HIC très évoluées, une atrophie optique.

106
Q

tm fosse post enf: EXAMENS COMPLEMENTAIRES :B. Les examens neuroradiologiques : sont

A

diagnostic précis de localisation tumorale

  • Scanner cérébral :
  • IRM :
  • L’angiographie cérébrale :
107
Q

tm fosse post enf: EXAMENS COMPLEMENTAIRES :B. Les examens neuroradiologiques : -Scanner cérébral :

A

localiser la tumeur, apprécier le retentissement sur les cavités ventriculaires (hydrocéphalie), préciser les caractères de la lésion (homogénéité, hétérogénéité, caractère kystique, existence de calcifications, hémorragie intratumorale).

108
Q

tm fosse post enf: EXAMENS COMPLEMENTAIRES :B. Les examens neuroradiologiques :-IRM :

A

précisions importantes sur la topographie, le degré d’infiltration, et les différentes composantes de la tumeur (kyste, partie solide, zones de nécrose…)

109
Q

tm fosse post enf: EXAMENS COMPLEMENTAIRES :B. Les examens neuroradiologiques :
-L’angiographie cérébrale :

A

devant des lésions d’aspect très atypique ou très vascularisé.

110
Q
CONCLUSION :tm fosse post enf: 
-
-
-
-
A
  • L’hydrocéphalie et donc l’HTIC sont fréquentes dans les tumeurs sous-tentorielles.
  • syndrome cérébelleux, statique (vermis) ou cinétique (lésion de l’hémisphère homolatéral aux symptômes)
  • Une tumeur de l’angle donnera une atteinte des NC associée à un syndrome vestibulaire et/ou cérébelleux.
  • Signes d’atteinte du TC : très polymorphes.
111
Q

PLAN: tm fosse post enf:

A

introd: def+gener
semio clin
exam complem
conc