path chir 5(uro) Flashcards
dg tm vessie transplant rein
INTROD: dg tm vessie: épidemio+anapath
- Les tumeurs urothéliale : 95% des tumeurs de la vessie.
- Le cancer de la vessie : 2ème cancer urologique après celui de la prostate.
- Endoscopie : examen clé du diagnostic +++.
- Deux entités anatomo-cliniques :
• Tumeurs n’infiltrant pas le muscle vésical (TVNIM) ou superficielles : 75% à 80%.
• Tumeurs infiltrant le muscle vésical (TVIM). - Evolution et traitement totalement différents.
dg tm vessie: A- INTERROGATOIRE : sur+++
Facteurs de risque
dg tm vessie: A- INTERROGATOIRE :
1- Facteurs de risque :
- Le tabagisme = Facteur de risque majeur.
- Exposition professionnelle à certains agents carcinogènes : amine aromatiques, hydrocarbures polycycliques …
- Infection urinaire chronique, bilharziose urinaire, sondage vésical : carcinome épidermoïde.
- Irradiation pelvienne, certains médicaments : cyclophosphamides …
dg tm vessie: A- INTERROGATOIRE : 2- Signes fonctionnels : types
- Signes locaux
- Signes d’extension locorégionale ou à distance
dg tm vessie: A- INTERROGATOIRE : 2- Signes fonctionnels : Signes locaux : sont
- Hématurie
- Signes irritatifs
dg tm vessie: A- INTERROGATOIRE : 2- Signes fonctionnels : Signes d’extension locorégionale ou à distance :
- Colique néphrétique lorsque la tumeur envahie l’orifice urétéral.
- Dysurie.
- Œdème des membres inférieurs par compression veineuse ou lymphatique.
- Altération de l’état général et douleurs osseuses: métastases osseuses.
dg tm vessie: B- CLINIQUE : est…
Habituellement pauvre.
dg tm vessie: B- CLINIQUE : constituants++
- Examen abdominal
- Examen urologique
- TR
- TV
- Examen des aires ganglionnaires
- Examen général
dg tm vessie: B- CLINIQUE : Examen abdominal :
- Rarement une masse sus pubienne : tumeur volumineuse du dôme vésical.
- Recherche une hépatomégalie, un globe vésical.
dg tm vessie: B- CLINIQUE : Examen urologique :
A la recherche de gros reins.
dg tm vessie: B- CLINIQUE : TR
Important pour le bilan d’extension.
- Recherche une masse perçue au bout du doigt et apprécie sa mobilité par rapport au reste du pelvis.
dg tm vessie: B- CLINIQUE : TV
Recherche un envahissement du vagin et de la paroi pelvienne et la mobilité de la masse.
dg tm vessie: B- CLINIQUE : Examen des aires ganglionnaires :
ganglion de Troisier.
dg tm vessie: B- CLINIQUE : Examen général :
Recherche une pâleur, une polypnée …
dg tm vessie: A- INTERROGATOIRE : 2- Signes fonctionnels : Signes locaux : Hématurie :
- classiquement macroscopique, intermittente, capricieuse, terminale, caillotée, elle peut être totalelorsqu’elle est abondante.
dg tm vessie: A- INTERROGATOIRE : 2- Signes fonctionnels : Signes locaux : Signes irritatifs :
- Pollakiurie, impériosité mictionnelle, brûlures mictionnelles, dysurie.
dg tm vessie: C- PARACLINIQ: 1- Biologie :
- NFS : Rechercher une anémie.
- Fonction rénale : Retentissement sur le haut appareil.
- BU, ECBU : Rechercher une infection urinaire qui doit être traitée avant tout geste.
- Cytologie urinaire : 3 prélèvements d’urine 3 jours de suite à la recherche de cellules tumorales. La Sensibilité est élevée (90%) pour la détection des cellules tumorales de haut grade, faible pour celles de bas grade.
dg tm vessie: C- PARACLINIQ: 2- Imagerie : sont
- Echographie vésicale sus-pubienne
- TDM abdomino-pelvienne
dg tm vessie: C- PARACLINIQ: 2- Imagerie :
- Echographie vésicale sus-pubienne :
Montre un épaississement vésical, apprécie la morphologie des lésions, leur base d’implantation ainsi que leur localisation. Si négative : n’élimine pas le diagnostic.
dg tm vessie: C- PARACLINIQ: 2- Imagerie :
- TDM abdomino-pelvienne :
Pour bilan d’extension.
dg tm vessie: C- PARACLINIQ: 2- Imagerie :
- Urographie-intraveineuse :
n’est plus indiquée.
dg tm vessie: C- PARACLINIQ: 3- Endoscopie : est
Examen de référence +++.
dg tm vessie: C- PARACLINIQ: Cystoscopie :
- Si l’échographie évoque fortement une tumeur de la vessie, la cystoscopie devient optionnelle.
- Elle précise le nombre, la taille, la topographie et l’aspect de la tumeur et de la muqueuse vésicale.
dg tm vessie: C- PARACLINIQ: Cystoscopie : permet de faire…
- Résection trans-urétrale de la vessie (RTUV): Valeur diagnostique et thérapeutique +++.
- Sous AG au bloc opératoire.
- Cystoscopie complète avec cartographie des lésions avant résection.
- Résection complète des lésions vésicales emportant la muqueuse et le muscle plus profond.
- Biopsies de toute autre lésion suspecte.
dg tm vessie: C- PARACLINIQ: Cystoscopie :Complications :
- perforation vésicale, hématurie.
dg tm vessie: C- PARACLINIQ: 4- ANATOMOPATH :
role+fréq
- Confirme le diagnostic, précise le stade et le grade tumoral
- Carcinome utothélial dans 95% des cas, rarement carcinome épidermoïde.
CONCLUSION :dg tm vessie: +++
- Tumeurs urothéliales : les plus fréquentes.
- Certains facteurs de risque sont clairement identifiés : Tabac +++.
- l’hématurie macroscopique doit toujours faire suspecter une tumeur de la vessie.
- Pronostic meilleur pour les tumeurs superficielles.
PLAN: dg tm vessie:
- INTROD: epidemio
- Dg: interrog (FDR)+clin+paraclin
- conc
INTRODUC: transplant rein: généralités
- est…
- consideree de nos jours….4
- elle assure au greffe …
- …est sup à celle des….
- La transplantation rénale est le précurseur des transplantations d’organes.
- Considérée de nos jours le traitement de suppléance de premier choix pour les malades en IRCT .
- Elle assure aux greffés un traitement de longue durée, moins contraignant, avec beaucoup moins de dépenses au long cours, et surtout une meilleure qualité de vie.
- l’espérance de vie des sujets transplantés est sup à celle des malades ayant recours à la dialyse.
transplant rein: RECEVEUR : Critères de sélection :
- Age limité à 65ans
- Cancer : délai de 2 à 5 ans avant la transplantation, fonction du type, stade et localisation du cancer, à l’exception des cancers in situ et des cancers cutanés (sauf mélanome).
- Tabagisme : sevrage nécessaire avant et après transplantation.
- Dyslipidémie et diabète contribuent au développement de l’athérosclérose et avec l’hypertension jouent un rôle dans la pathogénèse artérielle du greffon.
- Evaluation du risque infectieux systématique.
- Evaluer l’appareil urinaire par l’examen clinique, échographie vésicale et cystographie rétrograde : rechercher des anomalies de miction et du fonctionnement vésical pouvant à long terme détruire le greffon.
transplant rein: RECEVEUR : Critères de sélection : CI
- L’Insuffisance cardiaque
- Vascularites et maladies de système
transplant rein: RECEVEUR : Critères de sélection :
- VIH+ et insuffisant rénal : greffe des reins proposé si :
• Lymphocytes T CD4+ > 200 / mm3,
+ réplication du virus < 50 copies depuis au moins 3 mois,
+traitement antirétroviral stable depuis plus de 3 mois, +absence d’infection opportuniste autre qu’une œsophagite à Candida sensible au traitement.
transplant rein: RECEVEUR : Préparation immunologique:
- Comparaison des paramètres immunologiques donneur / receveur.
• Compatibilité du système érythrocytaire ABO.
• Compatibilité HLA.
• Recherche d’anticorps anti-HLA lymphocytotoxiques.
• Cross-match : vérifier l’absence d’allo-anticorps dans le sérum du receveur, susceptibles d’entraîner un rejet
hyper-aigu.
transplant rein: Donneur :
A. Vivant
B- Cadavérique
transplant rein: Donneur :A. Vivant :Critères de sélection :
•absence de:
maladie rénale / d’infection active / de pathologie maligne transmissible / être opérable / et
apparenté au receveur par des liens de sang ou d’alliance.
transplant rein: Donneur :A. Vivant :Critères de sélection : CI:
Pas de contre-indications absolues. On parle plutôt de contre-indications temporaires ou relatives.
• Age du donneur limité à 65ans.
• Diabète.
• HTA.
• Incompatibilité ABO entre donneur et receveur : contre-indication au don.
• Pathologie néoplasique.
• Infection sévère.
• Notion familiale de polykystose, de pathologie rénale ou de prise prolongée de médicaments néphrotoxiques.
• Protéinurie > 0,30 g/j.
transplant rein: Donneur : B- Cadavérique +++ :
- En état de mort cérébrale.
transplant rein: TECHNIQUE: - Chirurgicale :
- Sous anesthésie générale. • Examen du greffon sur table. • Abord iliaque droit du receveur. • 3 types d’anastomoses : - Artérielle : Artère iliaque externe. - Veineuse : Veine iliaque externe. - Urinaire : vessie (anastomose urétéro-vésicale), uretère natif (anastomose urétéro-urétérale).
transplant rein: Traitement immunosuppresseur :
- Prévenir le rejet aigu à la phase initiale (traitement d’induction).
- Prévenir les rejets après la phase initiale (traitement d’entretien).
- Traiter les rejets aigus (traitement curatif).
transplant rein: COMPLICATIONS :
- Chirurgicales
- Médicales
transplant rein: COMPLICATIONS :Chirurgicales :
- Précoces : Fistules urinaires, thrombose artérielle, abcès de la paroi de transplantation …
- Tardives : Sténoses urétérales, reflux vésico-urétéral, sténose artérielle …
transplant rein: COMPLICATIONS :Médicales :
- Précoces : Nécrose tubulaire aigue, rejet, infections…
- Tardives : HTA, insuffisance cardiaque droite, angiocholite, pancréatite …
transplant rein: PRONOSTIC :
- Le taux de survie des greffons : à 1 an est > 85% (donneur cadavérique), > 90% (donneur vivant apparenté), à 5 ans est de 80%, à 10 ans est de 55%.
transplant rein: CONCLUSION :
- La transplantation rénale : traitement de choix de l’IRCT.
- Permet une meilleure qualité de vie et une meilleure espérance de vie qu’en dialyse.
- Suivi double : médical et chirurgical.
PLAN: transplant rein:
- introd: gener
- receveur: criteres+CI
- donneur: criteres+CI
- technique
- ttt immunosuppress
- complic
- pronostic
- conc
INTROD: lithiase U(1):
- …se caractérise….
- ….pendant…
- …..ttt
- touche….
- ….selon…
- Pathologie qui se caractérise par la formation de calculs dans le rein ou les voies urinaires.
- Pathologie fréquente et récidivante, pouvant évoluer pendant de longues années à bas bruit.
- Peut engager le pronostic vital et nécessiter alors un traitement en urgence.
- Touche le plus souvent le haut appareil urinaire, mais peut également se développer dans la vessie.
- Symptomatologie variable selon le siège du calcul
INTROD: lithiase U(1):
- Dg:
- la recherche….
- Diagnostic positif : imagerie.
- La recherche du retentissement du calcul sur la voie excrétrice et le parenchyme rénal est primordiale et
conditionne le pronostic.
lithiase U(1): Dg positif: A-Interrogatoire :
Antécédents :
- Médicaux : Lithiase urinaire, notion d’expulsion de calculs,…
- Prise médicamenteuse : Vitamine D, Acide oxalique, Allopurinol,…
- Chirurgicaux : Chirurgie vésicale, rénale
- Familiaux : Lithiase urique ou calcique
Circonstances déclenchantes :
Signes fonctionnels :
Signes associés :
Signes de complication :
lithiase U(1): Dg positif: A-Interrogatoire : -Circonstances déclenchantes :
Forte chaleur, activité sportive, immobilisation prolongée, modification de
l’alimentation, restriction hydrique
lithiase U(1): Dg positif: A-Interrogatoire : -Signes fonctionnels :
- Colique néphrétique : Douleur lombaire, brutale, unilatérale, irradiation descendante vers la fosse iliaque homolatérale, les OGE, la face antérieure ou interne de la cuisse, évolution par crises paroxystiques, sans position antalgique.
lithiase U(1): Dg positif: A-Interrogatoire : -Signes associés :
- Signes urinaires : Hématurie microscopique ou macroscopique, unique ou récidivante, infection urinaire, dysurie, pollakiurie
- Signes digestifs : météorisme réflexe, nausées/vomissements, constipation
- Signes généraux : agitation, anxiété
lithiase U(1): Dg positif: A-Interrogatoire : -Signes de complication :
Fièvre, anurie, rétention aigue d’urines, douleur rebelle au traitement antalgique
lithiase U(1): Dg positif: B-Examen clinique :
Examen général : AEG, fièvre, oligo-anurie, agitation
Examen abdominal, recherche :
- Gros rein, d’une douleur
- Défense localisée ou diffuse, météorisme…
Examen gynécologique : éliminer une torsion des annexes, GEU, salpingite.
Touchers pelviens : Systématique, rechercher une cause compressive pelvienne.
lithiase U(1): Dg positif: C-Examens complémentaires : 1-Biologiques :
- BU (hématurie, leucocyturie). Si positive ou si fièvre=> ECBU
- NFS (Hyperleucocytose à PNN)
- CRP (syndrome inflammatoire)
- Urée, créatinine (IRA)
- Ionogramme, acide urique
- Bilan phosphocalcique
- Hémocultures si fièvre
- Analyse du calcul : examen à la loupe binoculaire, spectrophotométrie infrarouge, ou analyse infrarouge de la poudre globale du calcul.
lithiase U(1): Dg positif: C-Examens complémentaires : 2-Radiologiques =
confirmer le diagnostic et décider de la meilleure approche thérapeutique selon la localisation, la taille et le nombre du/des calculs. a-AUSP : b-Echographie rénale et vésicale c-Urographie intraveineuse (UIV) : d-TDM abdomino-pelvienne C- : e-IRM
lithiase U(1): Dg positif: C-Examens complémentaires : 2-Radiologiques: a-AUSP :
Face, patient en décubitus.
- Renseignements : taille, nombre, topographie du/des calculs, et approcher leur composition chimique.
lithiase U(1): Dg positif: C-Examens complémentaires : 2-Radiologiques: b-Echographie rénale et vésicale
- Examen essentiel pour :
- Diagnostic
- Surveillance
- Eliminer les diagnostics différentiels devant des douleurs lombaires atypiques.
- Résultats : mise en évidence du calcul (hyper échogénecité focale avec cône d’ombre postérieur), la dilatation des cavités pyélocalicielles et l’état du parenchyme rénal.
lithiase U(1): Dg positif: C-Examens complémentaires : 2-Radiologiques: c-Urographie intraveineuse (UIV) :
Remplacé par uroscanner.
Résultats : Retard de sécrétion unilatéral, urétérohydronephrose, lésion du bas appareil obstructive, recherche et analyse un calcul radio-opaque.
lithiase U(1): Dg positif: C-Examens complémentaires : 2-Radiologiques: d-TDM abdomino-pelvienne C- =
Gold standard :
- Repérage des calculs radio-opaques, même millimétriques (seuil de détection : 2mm), ainsi que la dilatation des cavités urinaires en amont de l’obstacle.
- Renseigne sur la localisation par rapport à la voie urinaire, la forme, la taille du calcul, la densité, l’existence d’anomalies anatomiques associées.
- Elimine les diagnostics différentiels.
- C+ : étudie l’anatomie des voies urinaires (uroscanner).
lithiase U(1): COMPLICATIONS : sont
A-Complications infectieuses :
B-Complications mécaniques :
C-Destruction rénale +/-insuffisance rénale.
D-Récidive
lithiase U(1): COMPLICATIONS : A-Complications infectieuses :
- Pyélonéphrite aigue: gros rein douloureux +fièvre.
- Pyonéphrose : destruction du parenchyme rénal et des voies excrétrices
- Phlegmon périnéphritique
lithiase U(1): COMPLICATIONS : B-Complications mécaniques :
- Dilatation d’amont.
- Anurie obstructive
- Rupture de la voie excrétrice.
CONCLUSION : lithiase U(1):
- Maladie largement répandue.
- Manifestations cliniques variables : douleur.
- Colique néphrétique compliquée : urgence.
- AUSP/échographie, ou scanner abdomino-pelvien sans injection, sont les examens de choix dans le diagnostic de la CNA.
PLAN: lithiase U(1):
introd: gener
Dg positif
conplic
conc
INTROD: lithiase U(2)=…se caractérise….
- ….pouvant….
- TTT….son but….
- Pathologie qui se caractérise par la formation de calculs dans le rein ou les voies urinaires.
- Fréquente et récidivante, pouvant engager le pronostic vital et nécessiter alors un traitement en urgence.
- Le traitement de la lithiase urinaire est médico-chirurgical. Son but est d’éliminer le calcul par tous les moyens possibles, tout en évitant les récidives.
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : moyens sont
A-Traitement préventif
B-Traitement médical
C-Traitement urologique
D-Surveillance :
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : A-Traitement préventif: selon
- Quelle que soit la nature de la lithiase :
- Selon la nature de la lithiase urinaire :
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : A-Traitement préventif: - Quelle que soit la nature de la lithiase :
apport hydrique abondant.
Objectif de diurèse : 1600 à 2000 ml/24h, répartie dans le nycthémère.
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : A-Traitement préventif: - Selon la nature de la lithiase urinaire : types
- Lithiase calcique :
- Lithiase urique :
- Lithiase phospho-ammoniaco-magnésien :
- Lithiase cystinique :
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : A-Traitement préventif:
- Selon la nature de la lithiase urinaire :
- Lithiase calcique :
Régime peu salé, régime pauvre en calcium, supprimer les aliments riches en oxalate (choux, tomate, thé,…)
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : A-Traitement préventif:
- Selon la nature de la lithiase urinaire :
- Lithiase urique :
Alcalinisation des urines, régime riche en fruits et légumes, régime pauvre en purines et protéines animales, et prescription de l’Allopurinol.
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : A-Traitement préventif:
- Selon la nature de la lithiase urinaire :
- Lithiase phospho-ammoniaco-magnésien :
Acidification des urines (acide ascorbique) et stérilisation avec antibiothérapie adaptée.
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : A-Traitement préventif:
- Selon la nature de la lithiase urinaire :
- Lithiase cystinique :
Augmenter la diurèse et alcaliniser les urines (pH >7,5) avec les bicarbonates ou le citrate de sodium
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : B-Traitement médical=
- Traitement de la douleur :
- AINS : éliminer les contre-indications
- Antalgiques (Paracétamol) : en association aux AINS si douleur modérée.
- Antispasmodiques
- Morphiniques : si contre-indication ou résistances aux AINS ou +AINS si douleur violente
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : C-Traitement urologique: sont
1-Drainage des urines en urgence : 2-Lithotritie extracorporelle «LEC» : 3-Néphrolithotomie percutanée (NLPC) : 4-Urétéroscopie : 5-Chirurgie à ciel ouvert : 6-Coelioscopie :
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : C-Traitement urologique: 1-Drainage des urines en urgence : - Systématique devant :
.CN fébrile ou pyélonéphrite aigue sur lithiase.
.CN hyperalgique résistante au traitement médical.
.Anurie lithiasique.
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : C-Traitement urologique: 1-Drainage des urines en urgence =
- Drainage des urines : sonde urétérale double J (sonde JJ) montée par voie endoscopique et sous contrôle d’un amplificateur de brillance, ou par néphrostomie percutanée.
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : C-Traitement urologique: 2-Lithotritie extracorporelle «LEC» =
- En ambulatoire, sous simple sédation.
- ECBU quelques jours avant +ASP la veille (calcul toujours en place).
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : C-Traitement urologique:
2-Lithotritie extracorporelle «LEC»:
-Principe :
-Indications :
· Principe : Fragmentation du calcul par des ondes de choc.
· Indications : CALCULS DU REIN <20mm en 1ère intention.
Calculs radio-opaques, de densité< 1 000 UH. Traitement de référence chez l’enfant.
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : C-Traitement urologique: 2-Lithotritie extracorporelle «LEC»: CI
· Contre-indications : IU non traitée, troubles d’hémostase, grossesse, gibbosités et obésité.
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : C-Traitement urologique: 3-Néphrolithotomie percutanée (NLPC) : Principe :
ponctionner les cavités rénales et créer un tunnel à travers lequel on introduit un endoscope pour fragmenter et extraire les calculs.
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : C-Traitement urologique: 3-Néphrolithotomie percutanée (NLPC) : Indications :
- Calculs >2cm de diamètre.
- LEC impossible.
- Anomalies de la voie excrétrice compliquant le passage des fragments de lithiases (jonction pyélo-
urétérale, diverticule caliciel…). - Lithiase cystinique et lithiases ne répondant pas à une PEC en lithotritie.
- Lithiases calicielles inférieures
- Calculs du pôle inférieur (lithiases >1,5cm)
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : C-Traitement urologique: 3-Néphrolithotomie percutanée (NLPC) : CI:
· Contre-indications : infection, troubles de l’hémostase, malformation vasculaire intra-rénale.
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : C-Traitement urologique:
4-Urétéroscopie :
- Principe :
- Instruments :
· Principe : Extraction du calcul à la pince± fragmentation au laser.
· Instruments :
- Urétéroscope semi-rigide
- Urétéroscope souple
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : C-Traitement urologique:
4-Urétéroscopie :
-Indications :
· Indications : petits calculs de l’uretère pelvien, obstruction urétéro-pyélique, calculs résistants à la LEC ou contre-indication à la LEC.
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : C-Traitement urologique: 5-Chirurgie à ciel ouvert : -Indications :
Peu d’indication
- Indications : calculs coralliformes complets, calculs associés à une obstruction morphologique des voies urinaires, des échecs du traitement miniinvasif, des lithiases associées à un parenchyme rénal détruit.
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : C-Traitement urologique: 6-Coelioscopie :
non validée.
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : D-Surveillance :- Clinique:
- Douleur, température, diurèse…
* pH urinaire (objectif =7,5~8 si alcalinisation des urines).
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : D-Surveillance :- Radiologique:
- Echo et/ou ASP : suivant l’opacité ou non et la grossesse éventuelle
- Fréquence : suivant le siège et le retentissement.
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : D-Surveillance :- Biologique:
- Adaptée aux troubles métaboliques éventuellement trouvés
* ECBU en cas de pyélonéphrite obstructive.
lithiase U(2): MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS : D-Surveillance :- Rythme :
adapté cas/cas
CONCLUSION : lithiase U(2):
- Les RHD, et principalement une diurèse >2l/j, sont essentielles pour éviter la récidive lithiasique
- En cas d’échec, un traitement chirurgical peut être envisagé.
- Pathologie nécessitant une surveillance régulière.
PLAN: lithiase U(2):
introd: def+gener
MOYENS THERAPEUTIQUES ET LEURS INDICATIONS :
conc
INTROD: tuberculose UG: - -....pays... -...svt... -....après TTT...
- TUG : la plus fréquente des localisations extra-pulmonaires.
- Fréquente dans notre pays malgré le programme national de lutte anti-tuberculeuse.
- Affection grave, diagnostic difficile souvent à un stade tardif.
- Sévérité des lésions engendrées par le bacille de Koch (BK) même après traitement antibacillaire.
tuberculose UG: PHYSIOPATHOLOGIE :
Agent pathogène :
- BK ou Mycobacterium tuberculosis : 99% des cas.
- Mycobactérium bovis ou africanum (exceptionnels).
- Mycobactéries acido-alcoolo-résistantes (BAAR).
- Germe aérobie strict, division lente évolution lente.
- Culture en 4 semaines sur milieu spécial (Lowenstein-Jensen).
tuberculose UG: Physiopathologie : (1)
- ….par voie…
- la localisation….
- Le BK pénètre l’organisme par voie pulmonaire.
- La localisation rénale est toujours secondaire à un foyer tuberculeux :
• Souvent un chancre ganglio-pulmonaire de primo-infection.
• Parfois, un ancien foyer osseux ou une pleurésie.
tuberculose UG: Physiopathologie : (2)
- …délai…
- du fait de….
- Le délai entre l’atteinte primaire et l’atteinte urinaire est très variable, depuis la primo-infection massive d’emblée métastatique jusqu’aux atteintes tardives après un délai d’environ 20 ans.
- Du fait de cette diffusion hématogène, la TUG est en règle générale, bilatérale d’emblée, bien que asymétrique, expliquant la gravité inégale d’un rein à l’autre.