Le développement du langage Flashcards

H. Mengue-Topio

1
Q

Découpage du flux continue du discours

A

Permet de distinguer différentes sortes d’unités
Apparait à 8 mois

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2
Q

Phonème

A

Il y a un nombre précis de phonèmes dans chaque langue
Unité minimal, unité de son, qui ne comporte aucune signification
Correspond aux lettres de l’alphabet, elles sont assemblées pour former un mot

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3
Q

Morphème

A

Plus petite unité du langage parlé et écrit qui comprend un sens, unité de sens
Comporte une forme et un sens, qui se sont scindés pour constituer des messages

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4
Q

Syntagme

A

Groupe de mots qui se comporte comme une unité dans un groupe de mots et qui a un sens cohérent

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5
Q

Sfran et al. 1996

A

8 mois : Sensibilité des bébés aux aspects statistiques du langage
Les nourrisson arrivaient à prêter attention au mots et qu’ils se sont davantage intéressés aux nouveaux mots
Capables de comprendre le langage et de s’intéresser aux nouveaux mots

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6
Q

McDonald, 1997

A

9 mois : Préférence pour le discours interrompu à la fin des phrases
Capable de nous comprendre si on marque des pauses dans notre langage
Capables de prendre en compte des indice statistique et non statique

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7
Q

Le babillage

A

Lors de la première année, cela marque une grande avancée dans le langage

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8
Q

Production d’un discours télégraphique

A

Lors de la deuxième année, c’est une conversation avec les mots essentiels uniquement

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9
Q

Production de phrases grammaticalement correctes

A

Vers 4 ans, la majorité des phrases sont produites avec un production de phrases grammaticalement correctes

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10
Q

Acquisition du langage selon des rythmes différents

A

Le développement du langage passe par les mêmes étapes, commence à babiller puis il passe au première production verbal
Ordre d’acquisition des comportement
Chaque enfant va à son rythme

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11
Q

Les origines de ces différences
Influences environnementales

A

Exagération de l’intonation
Débit du discours très lent
Ton assez haut

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12
Q

Existe-t-il une sensibilité maximal du cerveau a un certain moment de son développement à l’acquisition du langage ?

A

Importance de l’exposition au langage
Latéralisation du langage dans l’hémisphère cérébral gauche
Ne naît pas avec mais c’est un processus qui se développe entre 2 et 5 ans, il est très important qu’un enfant soit exposé au langage humain pour apprendre à parler une langue

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13
Q

Niveau bilingue

A

apprendre à parler une seconde langue de niveau bilingue il faut être exposé aux phonèmes de cette langue entre 0 et 3 ans
Entre 3 et 12 ans l’acquisition d’une nouvelle langue est plus difficile à un niveau bilingue et au-delà c’est impossible

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14
Q

Conception universaliste
Jacobson et Lenneberg

A

Richesse phonétique des productions vocales du nourrisson entre 0 et 12 mois
Caractère aléatoire des productions vocales
Conséquence : Absence d’ordre des acquisitions

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15
Q

Oller et al. 1970

A

Les productions vocales recueillies dès 6 mois ne sont pas aléatoires
Confirmation thèse de la continuité d’organisation productions vocales -productions verbales
Productions vocales entre 0 et 1 an apparaissent dans un certain ordre et ont des caractéristiques propres

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16
Q

Les étapes du développement de la production vocale

A

Les productions vocales sont des étapes non nécessaires pour acquérir la langue maternelle
Elles ont un rôle facilitateur sur la prononciation
Les productions vocales ne sont pas les bruits à caractère végétatif ou les sons caractéristiques de l’inconfort ou de la détresse

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17
Q

Les étapes du développement de la production vocale
Premier type de production vocale

A

Observer entre 1 et 5 mois sont les gazouillis
Ce sont des sons très variés dépourvus de valeur phonologique
Ce sont des sons de confort, de réponses aux sourires et aux paroles des personnes de l’entourage du bébé
C’est une émission de sons à caractère vocalique avec la bouche fermée ou presque

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18
Q

Les étapes du développement de la production vocale
Deuxième types de productions vocales

A

Observer entre 4 et 5 mois sont les jeux vocaux
C’est une exploration de certaines caractéristiques intonatives : hauteur de la voix, mélodies et amplitude
Ces jeux vocaux marquent l’émergence d’une communication élémentaire
Ils découvrent toutes sortes de sons

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19
Q

Les étapes du développement de la production vocale
Troisième types de productions vocales

A

Observées entre 6 et 9 mois sont les babillages
C’est une production de syllabes conformes à celles des langues naturelles
Il y a une distinction de deux périodes : Babillage canonique rédupliqué et babillage varié

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20
Q

Babillage canonique rédupliqué

A

Production de syllabes simples et séquences consonne-voyelle

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21
Q

Babillage varié (observation d’un recouvrement entre les deux périodes)

A

Augmentation sensible des séquences syllabiques complexes et production plus variée des voyelles

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22
Q

Le babillage varié, entre 10 et 11 mois

A

Marque des productions vocales qui se composent de séquences de syllabes variant par le son consonantique ou vocalique
Il y a aussi la présence de proto-mots, ce sont des formes phonétiques utilisées de façon stable par le bébé mais qui ne correspondent à aucune forme lexicale adulte

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23
Q

Postulat/hypothèses de travail des travaux sur l’acquisition du langage chez les jeunes enfants

A

On va observer que le nouveau-né est doté de capacités spécifiques au langage
L’environnement est nécessaire pour mettre en place le développement langagier

24
Q

Conduit vocal du nourrisson et conséquences

A
  • Pharynx proportionnellement plus court que celui de l’adulte avec une cavité orale plus grande
  • Masse de la langue, très importante, située plus en avant, elle remplit la bouche et en limite la possibilité de mouvement
  • Voile du palais et épiglotte sont relativement proches l’un de l’autre
    Conséquence :
  • Le conduit vocal du nourrisson ne lui permet pas de produire des sons articulés
  • Ne contrôle pas encore sa respiration pour alimenter la production des sons
25
Q

Rôle de la maturation et de l’environnement dans le développement du langage

A

Les mécanismes relatifs à l’acquisition de la parole ne dépendent pas uniquement de la maturation de programme pré-établie

26
Q

Kent et al. en 1987

A

Comparaison des productions vocales de bébé entendant et de bébé sourd (jumeaux monozygotes)
- Le bébé sourd (appareillé dès 3 mois) présente une plus grande variation de la fréquence fondamentale, plus les cordes vocales vibrent vite, plus la hauteur est élevée, il y a une variations d’intonation de la voix
- Le bébé sourd a une faible production vocale et consonantique comparativement à son frère, l’observation qui s’accentue entre 12 et 15 mois
- Le bébé sourd produit très peu de suites consonnes-voyelles ce que l’on observe chez son frère dès le début de l’étude

27
Q

Oller et Eilers en 1988

A

Début plus tardif du babillage chez les bébés sourd versus les bébés entendants
Les bébés entendants babillent tout à 10 mois et aucun bébés sourds ne babillent avant 14 mois
Conclusion :
L’apparition du babillage est lié à la perception des sons d’une langue
Les capacités perceptives du bébé permettent le traitement des données de l’environnement

28
Q

Travaux de de Boysson-Bardies et al.

A

Objectif : Montrer l’influence des contraintes formelles des langues maternelles sur les formes du babillage et les premiers mots
Tâches : Discrimination perceptives des échantillons de babillages présentés par paires (français, algérien et chinois)

29
Q

Travaux de de Boysson-Bardies et al.
Précautions méthodologiques

A

Choix de langues très différentes sur le plan de la prosodie
Finalité : Mettre en évidence l’effet de la langue de l’entourage sur la modulation du babillage
Choix de groupes d’âges différents : 6, 8 et 10 mois
6-8 mois : Grande variabilité pour ce qui est des intonations quant aux productions vocales observées
10 mois : Fixation sur l’articulation segmentale par rapport aux aspects prosodiques

Enregistrement des productions vocales dans les pays dans lesquelles ces langues sont des langues maternelles
Finalité : Réduire les interactions avec d’autres langues que celles de l’entourage

30
Q

Travaux de de Boysson-Bardies et al.
Hypothèse

A

Si traitement précoce des données de l’environnement, alors observation de certaines caractéristiques de la langue de l’entourage dans le babillage (dans les limites des capacités phonatoires et articulatoires des bébés de 6, 8 et 10 mois)

Explication : Des adultes peuvent reconnaître le babillage des bébés issus de leur communauté linguistique. Ce qui revient à dire que le babillage présenterait certaines caractéristiques de la langue parlée par l’entourage aussi précocement

31
Q

Expérience 1 - De Boysson-Bardies, Sagart & Durand, 1984 ; Hallé, de Boysson-Bardies et Durand, 1992
Participants et Tâche

A

Participants : 40 adultes naïfs non informés de l’origine linguistique des paires de babillage non français
Collecte d’échantillons de babillage assez longs (pour renfermer des intonations) auprès des bébés Français-arabe et français-cantonais de 8 et 10 mois

Tâche de discrimination perceptive de paires de babillage français, algérien, chinois

32
Q

Expérience 1 - De Boysson-Bardies, Sagart & Durand, 1984 ; Hallé, de Boysson-Bardies et Durand, 1992
Résultats et explications

A

69% de choix corrects pour les bébés de 8 mois
74% de discrimination correcte de babillage de bébés français par rapport aux bébés algériens âgés de 10 mois
68,1% d’identification incorrecte pour les échantillons de babillage français-cantonais
Les échantillons de babillage de bébés français ne sont pas bien discriminés de ceux de bébés chinois du même âge (10 mois)

8 mois : Productions vocales encore bien intonnés
10 mois : Production vocales comportant surtout des suites de syllabes et pauvres en intonation
Pour reconnaître le babillage d’un bébé issu de leur communauté linguistique, les adultes naïfs se serviraient surtout d’indices suprasegmentales, d’enveloppe que l’on retrouve surtout dans des longues vocalisations

33
Q

Expérience 2 - de Boysson-Bardies, Sagart & Durand, 1984; Hallé, de Boysson6Bardies et Durand, 1992
Participants et tâche

A

Participants : 3 groupes de participants
Participants adultes naïfs : Non informés de l’origine linguistique des échantillons de babillage non français
Participants adultes naïfs : Informés de l’origine linguistique des échantillons de babillage non français
Phonéticiens : Informés

Tâche : Discrimination de paire de babillage français-arabe produit par des bébés âgés de 6, 8 et 10 mois
6 et 8 mois : Productions vocales encore bien intonnés
10 mois : pPoductions vocales comportant surtout des suites de syllabes isolées ou répétées et pauvres en intonation

34
Q

Expérience 2 - de Boysson-Bardies, Sagart & Durand, 1984; Hallé, de Boysson6Bardies et Durand, 1992
Résultast et conclusion

A

6 mois : Reconnaissance correcte uniquement de la part des spécialistes (phonéticiens)
8 mois : Identification correcte dans les 3 groupes
10 mois : Productions non reconnues quel que soit le groupe

Conclusion : Le babillage est mieux identifié s’il comporte une prosodie dominante
Les dimensions suprasegmentales sont donc perceptivement plus saillantes que les dimensions segmentales
Les aspects prosodiques d’une langue sont déjà présentes dans le babillage de bébés âgés de 8 mois
Lien entre le pré langage et le langage
L’évolution du babillage ne porte pas uniquement vers des formes universelles
L’évolution du babillage est aussi influencée par les caractéristiques de la langue maternelle
Les différences individuelles sont importantes
Absence de stratégie unique d’acquisition du langage

35
Q

Début du babillage

A

6 mois environ

36
Q

Continuité entre babillage et premiers mots

A

Similarité entre sons du babillage et premiers mots

37
Q

Étude de Locke, 1983

A

Etude portant sur 15 langues
Production récurrente des sons b, p, m, n, d dans le babillage
Mots comportant ces sons servent à désigner les parents et premiers mots appris

38
Q

Début du langage chez le jeune enfant

A

Au alentour de 12 mois
production de sons identifiables comme mots de la langue de l’environnement
Elaboration du stock de mots = entrée dans le système linguistique

39
Q

Acquisition du lexique

A

Processus fondamental marquant l’entrée dans le langage

40
Q

Âge crucial de la constitution du lexique

A

2-3 an : Développement lexical précoce
Précoce : Premières étapes du processus d’acquisition du lexique

41
Q

Âge variable pour l’apparition des premiers mots

A

Entre 11 mois et 18 mois : Début de la production des premiers mots et suite du babillage

42
Q

Début des premiers mots

A

Au alentour de 11-13 mois

43
Q

Rythme de développement du premier vocabulaire

A

Rythme lent au départ : Stock de plus de 50 mots = 4 à 5 mois de pratique
Rythme accéléré vers 24 mois

44
Q

Premiers mots

A

Formes simples, parfois très précises, grande variabilité

45
Q

Ferguson en 1986

A

Mot entier est l’unité de production
Référence à une représentation qui n’est pas complètement spécifiée : Forme globale avec articulation et accent des mots
L’enfant est pris par la désignation des objets (noms) ou des situations (verbes) et est moins sensible aux détails phonétiques

46
Q

Production de mots isolés

A

12-18 mois Caractéristiques des productions verbales
- Utilisation de formes simplifiées et recours à la substitution, l’omission systématique de segments phonétiques (Omission de consonnes initiales, Suppression de la syllabe ou de la consonne finale, Réduction du groupe consonantique et Harmonie consonantique)
- Schéma “harmonique” fréquents : Assimilation des segments en harmonisant les consonnes de la 1ère et de la 2ème syllabe
- Régularisation systématique de la forme des mots entre 12 et 24 mois
- Limitation des significations transmises dans les énoncés par les contraintes cognitives : Contraintes phonologiques et capacité de la mémoire de travail
- Compensation de ces limites par une production de mots isolés, production de mots isolés “holophrases” : valeur de phrase
- Production des premiers mots : isolés initialement
- Durée de cette phase : 2 à 12 mois.
- Fonction des premiers mots : demandes, désignations

47
Q

Décalage entre Production et compréhension des mots

A

Développement du vocabulaire de production en retard par rapport au développement du vocabulaire de compréhension
Signes de compréhension des mots vers l’âge de 8-10 mois
Maintien du décalage entre production et compréhension assez longtemps

Etude de Bates et al. en 1979 et 1995 :
Production des petits américains de 16 mois → 60 mots
Compréhension des petits américain de 16 mois → 200 mots

Compréhension lexicale : reflète ce que sait l’enfant sur le langage

Production lexicale : reflète ce que l’enfant fait du langage
Deux processus distincts : mécanismes cognitifs différents et réseaux neuronaux différents

Compréhension lexicale : activité mentale globale aidée par les indices contextuels et la pragmatique, implique les deux hémisphères cérébraux

Production lexicale : activité plus analytique et linguistique et implique strictement l’hémisphère cérébral gauche

48
Q

Explosion lexicale

A

18-20 mois
Production de 4 à 10 mots nouveaux/jour
Combinaison de mots = phase “productive” du langage

49
Q

Origine de l’explosion lexicale ?
Selon Gopnik et Meltzoff, 1987

A

Existence d’une relation entre explosion lexicale et les progrès dans la capacité de catégorisation : l’enfant découvre que “toute chose appartient à une catégorie”

50
Q

Origine de l’explosion lexicale ?
Selon Goldfield et Reznick, 1990, 1996

A

L’enfant découvre que “toute chose peut-être nommée” : découverte de la relation entre une forme sonore et un référent (propriété du langage appelée généralité)

51
Q

Origine de l’explosion lexicale ?
Selon Markman (1989, 1994)

A

Apprentissage des mots en se focalisant sur les aspects principaux sans prendre en compte toutes les significations possibles d’un mot

Apprentissage des mots guidé par trois contraintes

52
Q

Origine de l’explosion lexicale ?
Apprentissage des mots guidé par trois contraintes

A

Contrainte de l’objet entier
Contrainte de l’exclusivité mutuelle
Contrainte du lien taxonomique

53
Q

Contrainte de l’objet entier

A

L’enfant considère qu’un nouveau mot désigne un objet entier plutôt qu’une partie, une de ses propriétés ou une action en rapport avec celui-ci
Exemple : chien fait référence à l’animal entier et non au fait qu’il aboie, à ses oreilles ou à sa couleur

54
Q

Contrainte de l’exclusivité mutuelle

A

L’enfant considère qu’un objet ne peut être désigné que par un seul mot ; alors un nouveau mot désigne un nouvel objet
Exemple : on montre l’image d’un papillon à une petite fille en lui disant “c’est un papillon”. Elle répond : “non, c’est une bête”
Elle possède déjà un mot pour désigner ce genre d’objet et n’est pas disposée à utiliser un autre mot pour étiqueter le même objet

55
Q

Contrainte du lien taxonomique

A

L’enfant considère qu’un nouveau mot peut être étendu à d’autres objets qui ont avec le référent des liens taxonomiques (membres de la même catégorie)
Exemple : chien permet d’étiqueter ce chien mais aussi d’autres chiens
ATTENTION : conflit entre cette contrainte et la tendance à étendre les nouveaux mots aux entités semblables: erreurs de sur-extension

56
Q

Premières étapes du développement lexical

A

Utilisation régulière des mots dans un registre différent de celui utilisé par l’adulte
Erreurs de sous-extension
Erreurs de sous-extension liées à la contextualisation
Erreurs de sous-extension
Erreurs de sur-extension
Les erreurs de sur-extensions ont plusieurs sources
Les mots du lexique ne subissent pas des extensions
Moment d’apparition différent pour les deux types d’erreurs