Cours 20 Flashcards

1
Q

paradoxe du mot travail

***

A

Travail désigne à la fois l’obligation imposée aux uns et la source
de prestige et de forte rémunération que désirent ardemment les
autres

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2
Q

pyramide de maslow

***

A
besoin de realisation 
besion d'estime
besoin d'appartenance
besoin de securite 
Besoin physiologique 
nv : wi fi 
nv : batterie
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3
Q

***modele de karasek

A

equilibre entre deux dimensions : demande : contrainte du poste de travail
controle : autonomie et utilisation de dev des competence
controle faible + demande forte = risque pour la sante

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4
Q

modele de siegrist

***

A

s’il y a un desequilibre entre effort accompli et recompense : difficulte

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5
Q

situation cliniques
malade au travail
***

A
stress 
epuisement 
harcelemnt 
symptome somatique 
addictions 
depression 
suicide
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6
Q

historique brun out

***

A

Le terme « burnout » qualifie à l’origine une construction sociale et scientifique apparue dans les années 1970, pour décrire l’épuisement au travail de professionnels de l’aide et du soin.
fait l’objet de nombreux travaux
notamment ceux de la psychologue sociale Christina Maslach, qui ont donné lieu à plusieurs définitions, toutes convergentes sur au moins un point : le burnout se traduirait par un état d’épuisement professionnel

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7
Q

Les 3 caractéris,ques du syndrome d’épuisement

professionnel des soignants

A
  1. L’épuisement émo,onnel (« Je n’en peux plus »)
  2. La déshumanisa,on de la rela,on à l’autre (cynisme)
  3. La perte du sens d’accomplissement de soi au travail
    (dépression centrée sur le travail)
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8
Q

Syndrome de burn-out: Où et Qui?

1

A
  1. Professions « à risque »:
    - fortes sollicitations mentales, émotionnelles et affectives
    - forte responsabilité
    - cherche à atteindre des objectifs difficiles, voire impossibles
    - fort déséquilibre entre les tâches à accomplir et les moyens mis en œuvre.
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9
Q

Syndrome de burn-out: Où et Qui?

2

A
  1. Personnalités « à risque »:
    La chute des idéaux
    personnes ayant des idéaux de performance et de réussite dans la relation
    d’aide, personnes liant l’estime de soi à leurs performances professionnelles
    personnes s’investissant beaucoup dans leur travail et y recherchant un fort
    accomplissement personnel.
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10
Q

pervers narcis
relation emprise
part 1

A

Les individus pervers narcissiques sont ceux qui essaient de créer un lien avec un deuxième individu, en s’attaquant tout particulièrement à l’intégrité narcissique de l’autre, Ils s’attaquent aussi à l’amour de soi, à la confiance en soi, à l’auto-estime et à
la croyance en soi de l’autre
-> faire croire que le lien de dépendance de l’autre envers eux est irremplaçable et que c’est l’autre qui le sollicite. »
Lorsqu’un pervers a désigné une proie, il ne la lâche plus.

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11
Q

pervers narcis
relation emprise
part 2

A

Si, à une violence subtile (chantage, menaces voilées, intimidations), viennent s’ajouter des violences réelles jusqu’au meurtre, c’est par un dérapage du jeu pervers, car le pervers préfère tuer indirectement ou, plus exactement, amener l’autre à se tuer lui-même.

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12
Q

pervers narics

2phases

A

en deux phases, l’une de

séduction perverse, l’autre de violence manifeste

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13
Q

pervers narcis

start perverse

A

-ne pas détruire l’autre en premier
- le soumettre petit à petit et le garder à disposition.
- conserver le pouvoir et le contrôler
L’autre n’est qu’un objet qui doit rester à sa place d’objet, un objet utilisable et non un sujet interactif.

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14
Q

pervers narcis 3 dimensions a l’emprise

A
  • une action d’appropriation par dépossession de l’autre ;
  • une action de domination, où l’autre est
    maintenu dans un état de soumission et de dépendance ;
  • une dimension d’empreinte, où l’on veut laisser une marque sur l’autre
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15
Q

profil pervers

A

Les pervers narcissiques sont des individus mégalomanes qui se posent comme référents = étalon du bien et du mal, de la vérité.
Ils mettent en avant leurs valeurs morales irréprochables
Ils dénoncent la malveillance humaine.
Ils présentent une absence totale d’intérêt et d’empathie pour les autres
Les pervers entrent en relation avec les autres pour les séduire
La force des pervers est leur insensibilité

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16
Q

pervers

societe

A

C’est la société tout entière qui est concernée dès qu’il est question de pouvoir

Dans un système qui fonctionne sur la loi du plus fort,
du plus malin, les pervers sont rois. Quand la réussite est la principale valeur, l’honnêteté paraît faiblesse et la perversité prend un air de débrouillardise.

17
Q

victime

A

La victime idéale est une personne consciencieuse ayant une propension naturelle à se culpabiliser.
Peuvent survenir alors des idées de suicide. Le risque est le plus grand au moment où elles prennent conscience qu’elles ont été flouées et que rien ne leur permettra d’être reconnues dans leur bon droit. Quand il y a suicide ou tentative de suicide, cela conforte les pervers dans leur certitude que l’autre était faible, dérangé, fou, et que les agressions qu’on leur faisait subir étaient justifiées.

18
Q

recours a la loi victime

A

Face à un pervers, on ne gagne jamais. Utiliser les

mêmes armes que l’adversaire est fortement déconseillé ; en réalité, la loi est le seul recours.

19
Q

paul ricoeur

guerison

A

le travail de guérison commence dans la région de la
mémoire et se poursuit dans celle de l’oubli. Selon lui, il est possible de souffrir de trop de mémoire et d’être hanté par le souvenir des humiliations
subies ou, au contraire, de souffrir d’un défaut de mémoire et de fuir ainsi
son propre passé.

20
Q

etre malade de son travail

A

Il y a un problème d’emploi, mais aussi un
problème de travail.
On peut être malade de son travail.
Les condition physiques, chimiques, biologiques du
travail retentissent d’abord sur la santé physique.
L’organisation du travail retentit sur la santé
psychique.
On n’est pas responsable seul de sa santé
mentale.