cour 12.1: Mémoire sémantique Concepts et catégories Définitions/Fonctions Approche classique Approche hiérarchique Niveau de base Flashcards
Selon Goldstone & Kersten, les humains ont une tendance forte à voir toute “chose” comme “quelque chose”.
Mettre des objets ensemble dans des groupes organisés est un processus nommé ________
Créer une représentation mentale pour une catégorie
spécifique est un processus nommé “apprentissage
de concepts”
“catégorisation”
“apprentissage
de concepts”
Qu’est-ce qu’un concept selon smith?
Smith (1989): “Un concept est une représentation mentale d’une classe ou d’un exemplaire et est
concerné par ce qui est représenté et comment
cette information est typiquement utilisée durant la
catégorisation.”
Selon Goldstone & Kersten, quels sont les 4 fonctions des concepts?
Filtrage: Fournit des façons informatives/diagnostiques de
structurer le monde naturel
on a accès au monde filtré par nos concept = traitement descendant
Économie cognitive: Économie dramatique pour l’espace de stockage requis
Temps de réaction plus rapides en identification
d’objets
cognitive-mizing (paresse cognitive): les humains sont paresseux cognitivement et recherche tjr la plus grande économie (raccourcis)
Prédiction: Nous permet de généraliser nos expériences avec certains objets à d’autres objets de la même catégorie
Communication: Lorsque les gens partagent des concepts, commun. plus facile à propos du monde naturel
Explique les 3 principes principaux de l’approche classique des concepts de Bruner, Goodnow, & Austin,
Représentation d’un concept
est une description sommaire d’une classe entière (s’applique à tous les
exemplaires spécifiques
également)
Caractéristiques qui
représentent un concept
sont individuellement
nécessaires et conjointement
suffisantes (ET) (Concepts ne sont jamais disjonctifs (OU))
Inclusion des caractéristiques
dans les relations de sous-ensemble: Si concept X est un sous-ensemble de concept Y, alors les caractéristiques définitoires de Y sont incluses dans X
Explique l’approche par réseau sémantique hiérarchique de Collins & Quillian en mentionnant les ressemblance avec l’approche classique vs les différences
Approche classique sans des postulats restrictifs. Sur un grand schéma hierarchique:
Noeuds: Catégories
Liens: Relations
Propriétés inspirées de l’approche classique:
Inclusion: Si concept X est sous-ens. de concept Y, alors
caractéristiques définitoires de Y sont dans X
Caractéristique nécessaires et suffisantes et concepts
conjonctifs (Différence: on peut « annuler » des caractéristiques)
Ajouts par rapport à approche classique:
Représentation hiérarchique des sous-ensembles. Avantage: Économie cognitive: Caractéristiques stockées une seule fois et héritées
Propagation de l’activation: Si un nœud est activé, activation se propage vers les nœuds associés: Explique amorçage sémantique
Explique l’expérience de Collins & Quillian (1969):
“Retrieval time from semantic memor” sur l’approche par réseau sémantique hiérarchique.
Tâche: Technique de vérification de phrases
“X est un Y”?
”X montre propriété P”? (Oui/Non)
Variable: Temps de réaction
Postulat de base: Opérations dans le réseau sémantique prennent du temps
Récupérer une propriété pour un noeud
Monter/descendre d’un niveau dans la hiérarchie
pour déterminer l’appartenance
Essais: 2 types de phrases
1.Phrases Super-ensemble (S): Déterminer que X est un Y
S0: « Un requin est un requin »
S1: « Un requin est un poisson »
S2: « Un requin est un animal »
Phrases; Propriété (P): Déterminer si X montre propriété P
P0: «Un requin peut mordre »
P1: « Un requin peut nager »
P2: « Un requin mange »
Dans l’expérience de Collins & Quillian (1969): “Retrieval time from semantic memor” sur l’approche par réseau sémantique hiérarchique, quelle est la prédiction des chercheurs sur les TR?
Temps de réaction sont additifs entre les niveaux.
Phrases Super-ensemble (S): Prévoit une droite linéaire entre les niveaux à monter pour aller chercher l’information et les TR
Phrases propriétés: prévoit aussi la même droite linéaire, mais prendrait plus de temps, donc cette droite serait au dessus de celle précédente
Bref, 2 droites parallèles
Explique les résultats de l’expérience de Collins & Quillian (1969): “Retrieval time from semantic memor” sur l’approche par réseau sémantique hiérarchique,
plus on augmente dans le réseaux et donc les niveaux, plus c’est long sur les TR
P (propriété) > S (appartenance catégorielle)
lignes presque parallèles entre les deux = processus additif = soutien pour l’approche hierarchique de Collins et Quillian
Explique l’expérience de Meyer & Schvaneveldt (1971):
Facilitation in recognizing pairs of words sur la propagation de l’activation
But: Tester pour une dépendance pour l’accès à la
mémoire entre deux décisions sémantiques.
Tâche: Décision lexicale
Est-ce que paire d’items contient deux mots?
Mesure: Temps de réaction
4 types de stimulis:
1. 2 mots
2. 2 non mots
3. 2 mots non associé
4. 2 mots associé
Comparaison
critique entre mots associés v non-associés pour voir s’il y a une propagation d’activation qui accélère traitement
Si les mots font partie d’une
organisation sémantique qui associe mots ensemble selon le sens et active les mots associés lorsqu’un mot est récupéré (Propagation de l’activation), que devrions-nous voir dans les résultats de l’expérience de Meyer & Schvaneveldt (1971):
Facilitation in recognizing pairs of words sur la propagation de l’activation?
plus rapide de juger si deux items sont des mots lorsqu’ils sont sémantiquement associés
Explique les résultats de l’expérience de Meyer & Schvaneveldt (1971):
Facilitation in recognizing pairs of words sur la propagation de l’activation?
TR: mots associés < non-associés
plus rapide de juger si deux items sont des mots lorsqu’ils sont sémantiquement associés
Prédiction confirmée
Soutien pour principe de
propagation de l’activation
Explique les problèmes théoriques pour l’approche classique.
Représentations sommaires sont trop restrictives
(Smith & Medin, 1981)
Exceptions pour la plupart des catégories
Certains sous-ensembles d’objets peuvent montrer
des caractéristiques distinctives, ex: rouge-gorge vs. Autruche
Définitions avec caractéristiques suffisantes et nécessaires difficile à trouver
Concepts disjonctifs existent (Rosch et al., 1976)
Exemple: Cuillères
Exemple: Prise (baseball)
Explique l’expérience de Rosch (1973): “On the internal structure of
perceptual and semantic categories” sur les problèmes empiriques de l’approche classique.
But: Montrer que le postulat “tous les exemplaires
sont égaux” est erroné (approche classique) et montrer le caractère plus flou des catégories
Tâche: Jugements de “typicité”. Liste de mots d’une catégorie spécifique et indiquer à quel point chaque item est typique de la catégorie sur une échelle de 1 à 7 (1 = très typique, 7 = peu typique)
Rationnel: Selon l’approche classique, tous les exemplaires
d’une catégorie devraient être également typiques…le sont-ils?
Explique les résultats de l’expérience de Rosch (1973): “On the internal structure of
perceptual and semantic categories” sur les problèmes empiriques de l’approche classique.
Tous exemplaires (fruits, par exemple) ne sont pas représentés pas
également en termes de typicité.
Effet de typicité: les scores ne sont pas pareils, donc structure catégorielle:
floue au lieu de “tout ou rien”
Appartenance catégorielle
serait basée sur
ressemblance globale ou
typicité au concept, et
non définitions strictes
Ne peut être expliqué par
approche classique
Explique l’expérience de Rips, Shoben & Smith (1973): “Semantic distance and the verification of semantic relations” sur les effets de typicité et l’approche par réseau sémantique hiérarchique
But: Voir si les effets de typicité invalident la structure du
modèle hiérarchique par réseau sémantique
Déterminer si la structure mnésique est analogue à la
structure logique
Tâche: Technique de vérification de phrases
“X est un Y”
Catégories
Mesure de TR