Provocation policière Flashcards
Décrire
les principaux éléments de cette doctrine sont que l’infraction a été initiée ou a été créée par les policiers et que ce sont eux qui ont poussé l’accusé à commettre l’infraction. Selon lui, lorsque, n’eût été du comportement policier, il n’y aurait pas eu de crime, alors le droit criminel ne peut cautionner de tels agissements
La question de la provocation policière est distincte de celle de la culpabilité ou de l’innocence de l’accusé et se soulève à l’occasion d’une procédure distincte elle aussi, une fois l’accusé reconnu coupable. La présomption d’innocence ne s’y applique donc pas
Quel est le fardeau
prépondérance de preuve
Affaire DeLaurian
Les policiers savait que Mr DeLaurian avait besoin d’argent, lui proposent un deal de drogue pour qu’il se fasse une grande somme d’argent (aux États Unis)
Qu’ a ton décidé dans l’Affaire Amato
infraction initié ou créé par les policiers
ils ont poussé. l’accusé à commettre l’infraction
Qu’a-t-on décidé dans l’affaire Mack?
conditions d’application, elle s’applique qu’une fois qu’il est clair que la poursuite s’est déchargé de son fardeau de preuve hors de tout doute raisonnable
Les autorités fournissent l’occasions sans soupçonner..
Qu’elles agissent au cours d’une réelle enquête, incitent à perpétrer l’Action
Quels sont les 10 éléments non exhaustifs?
- Quel était le genre de crime enquêté et y avait-il d’autres méthodes d’enquête à la disposition des policiers?
- Une personne ordinaire, avec ses forces et ses faiblesses, aurait-elle été entraînée à la perpétration de ce crime352?
- Quelle fut la persistance des policiers et combien y a-t-il eu de tentatives par ces derniers pour convaincre l’accusé avant qu’il ne commette le crime?
- Quels genres d’incitatifs ont été utilisés par les policiers? S’agit-il de fausses représentations, de promesses, etc.?
- Les policiers ont-ils initié une activité criminelle ou se sont-ils immiscés dans une activité déjà en cours?
- Les policiers ont-ils exploité certaines caractéristiques humaines de l’accusé comme la sympathie, la compassion, l’amitié?
- Les policiers ont-ils exploité une faiblesse particulière de l’accusé, tels un handicap mental, une dépendance à une drogue ou autre?
- Quelle est la proportion entre l’implication des policiers et celle de l’accusé dans la perpétration de l’infraction, y compris la perpétration d’infractions par les policiers eux-mêmes?
- Y a-t-il eu des menaces, implicites ou expresses, faites par les policiers ou leurs agents?
- La conduite des policiers a-t-elle miné d’autres valeurs constitutionnellement protégées?