Neuro/chirurgie Flashcards

1
Q

Anévrisme

A

Perte de parallélisme de la paroi arterielle

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2
Q

compression médullaire triade clinique

A

-syndrome rachidien,
-syndrome lésionnel,
-syndrome sous-lésionnel.

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3
Q

signe de Lhermitte

A

-décharges électriques des quatre membres lors des mouve­ments d’hyperflexion / hyperextension du cou par mise en tension des cordons postérieurs
-caractéristique des compressions cervicales.

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4
Q

atteinte cordonale postérieure se traduit par:

A

-ataxie proprioceptive (marche instable, pseudo-ébrieuse)
-troubles de la pallesthésie (défaut de perception de la sensibilité vibratoire)
-troubles de la sensibilité arthrokinétique

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5
Q

Clinique AIT Carotidien :

A

-Cécité monoculaire ;
-Aphasie ;
-Troubles moteurs et/ou sensitifs unilatéraux touchant la face et/ou les membres

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6
Q

Clinique AIT Vertébro-basilaire :

A

-Troubles moteurs et/ou sensitifs bilatéraux ou à bascule
-Hémianopsie latérale homonyme ou cécité corticale

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7
Q

Territoire vertébrobasilaire

A
  • Syndrome alterne (Wallenberg)
  • Syndrome cérébelleux
  • Infarctus médullaire cervical
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8
Q

Artère cérébrale antérieure

A
  • Déficit moteur à prédominance crurale
  • Syndrome frontal
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9
Q

Artère cérébrale moyenne superficielle

A
  • Déficit moteur à prédominance brachiofaciale
  • Aphasie ou héminégligence
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10
Q

Artère cérébrale moyenne profonde

A
  • Hémiplégie proportionnelle
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11
Q

Artère cérébrale postérieure

A
  • Hémianopsie latérale homonyme
  • Hémianesthésie (syndrome thalamique)
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12
Q

syndrome de Wallenberg (syndrome alterne sensitif)

A

– du côté de la lésion : syndrome de Claude Bernard-Horner; hémisyndrome cérébelleux; VIII : syndrome vestibulaire avec nystagmus rotatoire ; IX et X : troubles de phonation/déglutition/paralysie de l’hémivoile et de l’hémipharynx (signe du rideau); V: anesthésie de l’hémiface,

– du côté opposé : atteinte du faisceau spinothalamique : anesthésie thermoalgique de l’hémicorps épargnant la face.

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13
Q

mortalIté AVC

A

20% à un mois 40% à un an

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14
Q

consequences AVC

A

-Un tiers dépendants.
-Un tiers gardent des séquelles tout en étant indépendants.
-Un tiers retrouvent leur état antérieur.

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15
Q

triade thrombose veineuse cérébrale

A

-céphalées (HTIC)
-crises d’épilepsie (CTCG ou partielle, bascule rare)
-déficit neurologique focal (bascule)

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16
Q

TNC trouble neurocognitif

A

réduction acquise, significative et évolutive des capacités dans un ou plusieurs domaines cognitifs.

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17
Q

La démence ou TNC majeur est un syndrome défini par :

A

– altération durable et acquise d’une ou plusieurs fonctions cognitives et/ou comportementales
– suffisamment sévères pour entraîner une altération de l’autonomie dans la vie quotidienne.

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18
Q

la dégénérescence wallérienne :

A

désintégration progressive myélino-axonale puis bouquets de régénérescence axonale (clusters) ;

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19
Q

compression canalaire :

A

atteinte tronculaire chronique, sensitivo-motrice avec douleur et/ou amyotrophie (exemple du canal carpien) ;

20
Q

signe de Tinel

A

dysesthésies dans les doigts lors de la percussion du canal carpien

21
Q

Signe de Lasègue

A

en décubitus dorsal, l’élévation du membre inférieur va reproduire la douleur radiculaire L4, L5 ou S1 à partir d’un certain angle par rapport au plan du lit.

22
Q

la démyélinisation segmentaire :

A

mise à nu progressive des axones par destruction de la myéline au niveau des noeuds de Ranvier qui s’élargissent anormalement.

23
Q
  • Signe de Léri
A

en décubitus ventral, l’hyperextension de la cuisse sur le bassin, membre inférieur en extension, peut reproduire une douleur L3 ou L4.

24
Q

signe de Phalen

A

reproduction de l’engourdissement et des paresthésies lors de la flexion forcée du poignet.

25
Q
  • compression posturale :
A

atteinte tronculaire aiguë, à prédominance motrice indolore (exemple de la neuropathie par susceptibilité à la pression) ;

26
Q
  • pathologie inflammatoire SNP :
A

atteinte tronculaire aiguë sensitivo-motrice douloureuse ; évoque une vascularite à évaluer et traiter en urgence.

27
Q

formes de SGB

A

SGB sensitivo-moteur démyelinisant (intubation)
neuropathie motrice axonale axonale AMAN secondaire à Campylobacter jejuni

28
Q

phases SGB

A

3 phases
-phase d’extension des paralysies
-phase de plateau
-phase de recupération

29
Q

Sont de mauvais pronostic : SGB

A

– une phase d’aggravation très rapide/courte (AMAN>SGB d) ;
– une atteinte faciale bilatérale initiale ;
– un âge supérieur à 60 ans ;
– une inexcitabilité des nerfs à l’ENMG ;
– une ventilation prolongée.

30
Q

Score myasthénie de

A

Score myasthénique de Garches

31
Q

Syndrome méningé

A

l’association inconstante de la triade céphalées (photophobie phonophobie), vomissements et raideur méningée.

32
Q

Signes caractéristiques raideur méningée

A

-le signe de Brudzinski : flexion involontaire des membres inférieurs (cuisses sur le bassin et jambes sur les cuisses) à la flexion forcée antérieure de la nuque ;
– le signe de Kernig : impossibilité de s’asseoir sans fléchir les genoux et résistance douloureuse à l’extension complète de la jambe lorsque la cuisse est fléchie.
-position en chien de fusil

33
Q

Syndrome encéphalitique

A
  • troubles de la conscience variable;
  • syndrome confusionnel et troubles comportementaux ;
  • signes de focalisation : déficit moteur, paralysie d’un ou plusieurs nerfs crâniens, aphasie, mouvements anormaux ; crises épileptiques focales et généralisées, état de mal ;
  • troubles neurovégétatifs : irrégularité du pouls, de PA et température ->souffrance du tronc cérébral.
34
Q

purpura fulminans

A

-lié à une septicémie à méningocoque
-purpura extensif ulcéro-nécrotique (purpura vasculaire rapidement progressif avec au moins un élément nécrotique ou ecchymotique >3 mm),
-un choc septique
-une coagulation intravasculaire dissémi-
née
-hémorragies viscérales

35
Q

insomnie aiguë (ou transitoire, ou d’ajustement)

A

si elle dure depuis moins de 3 mois.
Le facteur déclenchant (stress, deuil, séparation, douleur…) est identifié.

36
Q

insomnie chronique

A

troubles surviennent au moins 3 fois par semaine depuis au moins 3 mois.

37
Q

Critères Syndrome d’apnées-hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS)

A

symptômes dus à un trouble respiratoire nocturne associés à un index d’apnées-hypopnées > 5 :
* présence de symptômes nocturnes (ronflement, suffocations, polyurie) et diurnes (somnolence excessive) ;
* et :
– IAH > 5 et < 15 : forme légère,
– IAH > 15 et < 30 : forme modérée,
– IAH > 30 : forme sévère.
Le degré de somnolence diurne est également à considérer pour évaluer la sévérité.

38
Q

Syndrome des jambes sans repos

A
  • sensation désagréable dans les membres inférieurs non systématisé (mollets+++) caractérisée par :
  • besoin impérieux de bouger les jambes (« impatiences musculaires ») ;
  • survenant au repos ;
  • maximale le soir, avant l’endormissement : composante horaire ;
  • améliorée par le mouvement (marche, mobilisation).
39
Q

Stades de coma

A
  • Stade 1 : patient dit en coma vigil, réponses possibles (phrases ± compréhensibles) aux stimulations répétées verbales et sensorielles, mouvements de défense adaptés contre la douleur -> état stuporeux.
  • Stade 2 : coma léger, réponse inadaptée aux stimulations nociceptives, pas de troubles neurovégétatifs.
  • Stade 3 (coma carus) : coma profond, mouvements de décérébration aux stimulations nociceptives ou absence de réponse, troubles neurovégétatifs.
  • Stade 4 : coma dépassé, pas de réponse aux stimulations, hypotonie, mydriase, abolition
    des fonctions végétatives.
40
Q

Signe de Charles Bell

A

une fermeture incomplète de l’oeil, découvrant la bascule du globe oculaire vers le haut
PFP

41
Q

Intoxication aiguë alcoolique
Trois troubles métaboliques devront être recherchés (susceptibles d’engager le pronostic vital) :

A

hypoglycémie, acidocétose, hyponatrémie (principalement chez le gros buveur de bière), qu’il conviendra de ne pas corriger trop rapidement (risque de myélinolyse centropontine).

42
Q

Encéphalopathie de Gayet-Wernicke (ou de Wernicke-Korsakoff)

A
  • Due à une carence en vitamine B1, parfois induite par un apport glucidique,
  • syndrome confusionnel ;
  • signes oculomoteurs : paralysie oculomotrice, paralysie de fonction, nystagmus ;
  • syndrome cérébelleux statique ;
  • hypertonie oppositionnelle.
    -dosage de la vitamine B1 (effondré),
  • diagnostic est fait par l’IRM cérébrale (hypersignaux FLAIR des corps mamillaires).
  • TTT urgent vitamine B1 IV sans attendre les resultats des dosages (preventif++)

->supplémentation systématique en vitamine B1 de tout patient alcoolique chronique dénutri, prescription systématique de vitamine B1 lors d’un apport glucosé chez un patient dénutri ou éthylique.

43
Q

Syndrome de Korsakoff

A
  • plus souvent la conséquence d’une encéphalopathie de Gayet-Wernicke mal ou non traitée ; plus rarement d’emblée
  • atteinte des corps mamillaires, des noyaux dorsomédians du thalamus, du trigone, du gyrus cingulaire (circuit hippocampo-mamillo-thalamique=circuit de Papez)
  • atteinte frontale associée
    -> syndrome amnésique combiné à des signes dysexécutifs.
  • amnésie antérograde +++(« oubli à mesure»), classiquement associée à des fausses reconnaissances et fabulations.
  • L’imagerie cérébrale objective parfois une atrophie des corps mamillaires
    -TTT vitaminique parentéral est nécessaire, +/- efficace.
  • conséquences sociales +++ avec la présence constante d’une tierce personne ou la
    nécessité d’un placement en institution
44
Q

Phénomène d’Uhthoff

A
  • Clinique : flou visuel durant quelques minutes, survenant lors de l’effort physique ou de l’exposition à la chaleur.
  • Mécanisme et causes : traduit une séquelle de neuropathie optique, le plus souvent
    inflammatoire (sclérose en plaques-SEP-).
45
Q

définition + types de paraphasie

A

définit les productions anormales du langage oral. EX « tabouret » [tabure],
– phonémiques quand le phonème attendu est substitué, omis, déplacé ou répété ([tature] [rature]),
– sémantiques quand existe un lien de sens (« chaise » ou « fauteuil »),
– si aucun des 2, paraphasie verbale s’il s’agit d’un mot de la langue [tarte] sinon néologisme [puirte] ;

46
Q

types de mémoire

A

COURT TERME
-mémoire à court terme
-mémoire de travail
LONG TERME
*non déclarative ->mémoire procédurale
*déclarative
-mémoire épisodique
-mémoire sémantiques

47
Q

Paralysie du nerf oculomoteur (III)

A
  • ptosis (pouvant masquer la diplopie),
  • divergence marquée,
  • paralysie de l’élévation et de l’abaissement de l’oeil (les seuls muscles encore fonctionnels sont le droit latéral et l’oblique supérieur), une mydriase aréactive à la lumière (vidéo 12.3). Le tableau peut être incomplet ou uniquement extrinsèque. Une mydriase isolée ne correspond pas à une paralysie du III. Paralysie du nerf trochléaire (IV) (ou du muscle oblique supérieur) B Elle se manifeste par une diplopie binoculaire verticale, accentuée dans le regard vers le bas (gêne à la
    descente d’escaliers ou à la lecture). A La tête est inclinée dans une position compensatrice du côté sain. B L’examen de la paralysie est difficile à mettre en évidence : limitation de l’abaissement lorsque l’oeil est
    en adduction.
    Paralysie du nerf abducens (VI) (ou du muscle droit latéral) A Elle se manifeste par une diplopie binoculaire horizontale dans le regard de loin (vidéo 12.2). L’oeil
    atteint peut être dévié en convergence. L’examen retrouve une limitation d’abduction. La tête peut être tournée de manière compensatrice du côté de la paralysie oculomotrice.
    Ophtalmoplégie internucléaire Elle correspond à une lésion du faisceau longitudinal médian (figure 12.3, vidéo 12.4). Elle se manifeste par une paralysie d’adduction observée dans un regard latéral (version) avec un nystagmus de l’oeil abducteur.
    L’adduction est préservée en convergence, témoignant d’une atteinte internucléaire, avant le noyau du III.