Thème 1 - Dernière étude Flashcards

Sélection personnelle randomisée. Pas de nouvelles cards!

1
Q

Dernière étude!
Let’s goooooooo!

Pas d’audio qui te casse les oreilles cette fois-ci (#antipsychotique)

A
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2
Q

À quel axe cette impression diagnostique fait-elle référence?

Diagnostic psychiatrique

Axe 1 à 5

A

Axe 1

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3
Q

À quel axe cette impression diagnostique fait-elle référence?

Traits ou trouble de la personnalité

Axe 1 à 5

A

Axe 2

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Q

À quel axe cette impression diagnostique fait-elle référence?

Condition physique associée

Axe 1 à 5

A

Axe 3

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5
Q

À quel axe cette impression diagnostique fait-elle référence?

Stress socio-environnemental

Axe 1 à 5

A

Axe 4

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6
Q

À quel axe cette impression diagnostique fait-elle référence?

Estimation du niveau de fonctionnement (EGF) :
- Dysfonctionnement léger
- Dysfonctionnement modéré
- Dysfonctionnement sévère

Axe 1 à 5

A

Axe 5

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7
Q

À quel axe cette impression diagnostique fait-elle référence?

Élément biologique contributoire

Axe 1 à 5

A

Axe 3

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8
Q

À quel axe cette impression diagnostique fait-elle référence?

Quotient intellectuel (Q.I.)

Axe 1 à 5

A

Axe 2

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9
Q

À quel axe cette impression diagnostique fait-elle référence?

Réponse à la raison de consultation

Axe 1 à 5

A

Axe 1

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10
Q

Expliquer le développement du psyché dans les premiers mois de vie selon Mélanie Klein.

Le bon et le mauvais sein

A
  • Clivage entre le bon sein (lorsque nourrit à temps) et le mauvais sein (offre le sein alors que ce n’est pas le désir à combler)
  • Bon sein = Éros. Mauvais sein = Thanatos
  • Position schizo-paranoïde
  • Moi se développe = Les 2 seins sont la même mère
  • Désir de réparation, arrêt du clivage et passage à la position dépressive
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11
Q

Décrire la théorie de l’attachement de Bowlby.

A
  • Basé sur le Darwinisme
  • Circuit neurobiologique qui organise les comportements en vue de la reproduction et de la survie en fonction de l’environnement
  • Processus d’attachement correspond en une série de comportements initiés par l’enfant avec une réponse réciproque de l’adulte
  • Bonding : lien entre le parent envers l’enfant
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12
Q

Quels sont les 4 différents sous-types d’attachement selon Ainsworth?

A
  • Sécure
  • Insécure déviant (ne s’attache à personne)
  • Insécure ambivalent (s’attache à n’importe qui/quoi)
  • Insécure désorganisé (crises peu importe la figure)

En italique = Notes perso

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13
Q

Quelles sont les 4 grandes catégories des mécanismes de défense?

A
  • Mature
  • Névrotique
  • Immature
  • Psychotique
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14
Q

Qu’est-ce que le conditionnement classique?

A

Un stimulus s’associe à un événement (interne ou externe)

  • Possible généralisation
  • Possible extinction
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15
Q

Qu’est-ce qu’un conditionnement opérant?

A

Un comportement s’associe à un événement ou conséquence

  • Renforcement positif
  • Renforcement négatif
  • Contreconditionnement (pairer un événement avec une réponse incompatible)
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16
Q

Une des définitions de la normalité est : Ce qui est dénombré en plus grande quantité, ce qui ne surprend, ne dérange, et n’attire pas la curiosité.
1. Il s’agit de la conformité à quoi?
2. Il s’agit d’une notion ____.

2. Qualitative ou Quantitative

A
  1. Conformité au type le plus fréquent
  2. Quantitative & Statistique
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17
Q

Une des définitions de la normalité est : Ce qui est en adéquation avec un référent d’ordre supérieur.
1. Il s’agit de la conformité à quoi?
2. Il s’agit d’une notion _____.

2. Qualitative ou Quantitative

A
  1. Conformité à une norme
  2. Qualitative qui renvoie à une culture particulière
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18
Q

Quelle est la définition de la santé mentale selon Freud?

A

Aimer, travailler & jouer

  • Aimer dans le sens de s’aimer soi-même et les autres
  • Travailler dans le sens de créer, produire et d’en être fier
  • Jouer dans le sens d’apprécier l’activité symbolique, mentale, imaginaire, jouer avec les idées
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19
Q

Vrai ou Faux

La normalité est avant tout la capacité d’adaptation à son milieu.

A

Faux

  • Si la normalité est considérée comme l’adaptation au milieu, alors le conformisme social risque de devenir la norme.
  • Dans ce cas, toute déviation devient pathologique, ce qui peut entraîner une psychiatrisation excessive de tout comportement perçu comme mésadapté ou déviant (ex : l’homosexualité DSM 2).
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20
Q

La normalité ne peut être définie comme le “mieux-être”. Pourquoi?

A

Si la normalité est définie comme le bien-être et l’harmonie intérieure (et donc le mieux-être), le bonheur devient la norme et toute forme de détresse et d’angoisse humaine devient pathologique.

La psychiatrie ne peut pas se donner comme objectif l’atteinte du bonheur.

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21
Q

Selon Freud :

Quelles sont les 2 sources d’énergie selon l’aspect économique de l’appareil psychique?

A
  • Instinct de vie (Éros)
  • Instinct de mort/destructivité (Thanatos)

  • Éros : Dieu de l’amour grec
  • Thanatos : “Faucheur” grec
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22
Q

Selon Freud, à quelle source d’énergie cet énoncé correspond-il?

Énergie sexuelle (libido)

Instinct de vie (Éros) ou Instinct de mort (Thanatos)

A

Instinct de vie

Éros

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23
Q

Selon Freud, à quelle source d’énergie cet énoncé correspond-il?

Motivations et désirs qui poussent l’individu à employer différents moyens pour atteindre ses buts

Instinct de vie (Éros) ou Instinct de mort (Thanatos)

A

Instinct de vie

Éros

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24
Q

Selon Freud, à quelle source d’énergie cet énoncé correspond-il?

Désir de retourner à l’état primordial du chaos originel

Instinct de vie (Éros) ou Instinct de mort (Thanatos)

A

Instinct de mort

Thanatos

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25
Q

Vrai ou Faux

Selon Freud, le processus primaire fait appel à l’adaptation de ses actions selon l’environnement et la réalité.

A

Faux

Processus secondaire

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26
Q

Selon Freud :

Le rêve est un bon exemple d’un processus ____.

Primaire ou Secondaire

A

Primaire

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27
Q

Selon Freud :

Le processus primaire est caractéristique du processus de l’/du ____.

Inconscient, Préconscient, Conscient

A

Inconscient

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28
Q

Selon Freud :

Selon le principe du plaisir, l’énergie psychique s’écoule librement et passe d’une représentation à l’autre par 2 mécanismes. Nommez ces mécanismes.

A
  • Mécanisme de condensation
  • Mécanisme de déplacement
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29
Q

Selon Freud :

Décrire le mécanisme de condensation selon le principe du plaisir.

A

Regroupement de plusieurs représentations en une seule où des éléments, a priori séparés, sont psychiquement associés

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30
Q

Selon Freud :

Décrire le mécanisme de déplacement selon le principe du plaisir.

A

Énergie psychique liée à une représentation est transférée sur des représentations moins anxiogènes

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31
Q

Selon Freud :

Les hallucinations et les délires sont de bons exemples du processus ____.

Primaire ou Secondaire

A

Primaire

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32
Q

Selon Freud :

Le principe de réalité fait appel à l’impact de quels 2 phénomènes?

A
  • Croissance de l’enfant
  • Contact & interactions avec le monde extérieur
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33
Q

Vrai ou Faux

Selon Freud, le principe de réalité est relié au processus primaire.

A

Faux

Processus secondaire

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34
Q

Selon Freud :

Grâce à la formation de l’instance qu’est le ____, l’enfant apprend qu’il lui est possible de retarder la satisfaction de certains désirs et d’attendre de trouver une solution ou une façon plus adéquate de les satisfaire.

A

Moi

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35
Q

Selon Freud :

Le processus secondaire implique le(s) système(s) :
A. Inconscient
B. Préconscient
C. Conscient

Plusieurs réponses possibles

A

B. Préconscient
C. Conscient

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36
Q

Selon Freud :

Quels sont les 3 aspects/topiques de la théorie freudienne?

A
  • Topographie de l’appareil psychique
  • Structure de l’appareil psychique
  • Stades de développement de l’appareil psychique
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37
Q

Selon Freud :

Selon la topographie de l’appareil psychique:
1. Combien de niveaux de conscience existe-t-il?
2. Nommez-les.

A
  1. Inconscient
  2. Préconscient
  3. Conscient

3 niveaux

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38
Q

Selon Freud :

Quelles sont les 3 instances de la structure de l’appareil psychique?

A
  • Ça (Id)
  • Moi (Ego)
  • Surmoi (Superego)
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39
Q

Selon Freud :

Grâce à quel type de mécanismes le Moi peut-il exercer sa fonction médiatrice entre le Ça et le Surmoi?

A

Mécanismes de défense

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40
Q

Vrai ou Faux

Selon Freud, le Moi agit dans tous les champs de la conscience.

AKA il agit dans l’inconscience, la préconscience et la conscience

A

Vrai

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41
Q

Selon Freud :

Quelles sont les 2 principales conséquences pour un enfant qui échoue dans l’harmonisation de ses désirs aux contraintes de la réalité?

En rapport au développement de l’appareil psychique

A
  • Fixation
  • Régression vers des stades antérieurs de développement

Peut entraîner l’apparition de troubles de la personnalité et autres psychopathologies

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42
Q

Selon Freud :

La fixation d’un niveau de développement peut être due à quels 2 phénomènes?

A
  • Carence
  • Surgratification

des pulsions et besoins spécifiques au cours du stade

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43
Q

Selon Freud :

Nommez les différents stades de développement de l’appareil psychique selon Freud.

5 stades

A
  1. Stade oral
  2. Stade anal
  3. Stade phallique/œdipien
  4. Stade de latence
  5. Stade génital
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44
Q

Selon Freud :

Au stade oral, si les besoins oraux de l’enfant ont été gratifiés de façon exagérée ou encore s’ils ont été trop frustrés, il risque de développer quoi?

2 réponses

A
  • Troubles psychotiques
    ou
  • Troubles narcissiques
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45
Q

Vrai ou Faux

Selon Freud, le complexe de castration et le complexe d’Œdipe se résout en même temps chez le garçon.

A

Vrai

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46
Q

Selon Freud :

  • Quelles sont les 3 voies de résolution du complexe d’Œdipe et de castration chez la fille?
  • Quelle(s) en sont les conséquences?
A
  • Effrayée par son désavantage anatomique, elle n’a aucune envie du pénis et se détourne de toute sexualité → Forme la base des névroses
  • Développe une forte envie d’être dotée du pénis de l’homme et dénie la castration → Développe une hypermasculinité déviante.
  • Conserve l’envie du pénis, mais effectue un déplacement d’objet en substituant l’envie du pénis par le désir d’avoir un enfant → Réponse normale I guess?
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47
Q

Selon Freud :

Quel(s) trait(s) de caractère sont associé(s) au stade anal?

A
  • Obstination
  • Avarice
  • Tendance à collectionner les objets et une difficulté à les abandonner
  • Obséquiosité
  • Souci de la justice
  • Respect de toute autorité

Obséquiosité : Excès de politesse, de respect, par servilité ou flatterie

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48
Q

Selon Freud :

Quel(s) trait(s) de caractère sont associé(s) au stade phallique/œdipien?

A
  • Comportements de séduction
  • Besoin de plaire
  • Besoin d’attirer l’attention
  • Caractère influençable & instable
  • Tendance à la mythomanie

Mythomanie : Tendance systématique, plus ou moins volontaire, à la fabulation et au mensonge.

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49
Q

Selon Freud :

Nommez des manifestations pathologiques reliées au stade phallique/œdipien.

reliées aux besoins affectifs

A
  • Crises de pleurs
  • Crises de rage avec visées manipulatoires
  • “Crises hystériques”
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50
Q

Freud : Quelle instance de la structure psychique correspond cet énoncé?

Principale réserve de l’énergie psychique

Ça, Moi, Surmoi

A

Ça

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51
Q

Freud : Quelle instance de la structure psychique correspond cet énoncé?

Fonctionne selon le processus primaire sans tenir compte de la réalité

Ça, Moi, Surmoi

A

Ça

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52
Q

Freud : Quelle instance de la structure psychique correspond cet énoncé?

Instance médiatrice entre les 2 autres instances

Ça, Moi, Surmoi

A

Moi

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53
Q

Freud : Quelle instance de la structure psychique correspond cet énoncé?

Représentant de la conscience morale, des valeurs et des idéaux

Ça, Moi, Surmoi

A

Surmoi

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54
Q

Freud : Quelle instance de la structure psychique correspond cet énoncé?

Instance qui énonce les objectifs à atteindre

Ça, Moi, Surmoi

A

Surmoi

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55
Q

Freud : Quelle instance de la structure psychique correspond cet énoncé?

Héritier du complexe d’Œdipe

Ça, Moi, Surmoi

A

Surmoi

56
Q

Selon Freud, à quel niveau de conscience cet énoncé correspond-il?

Constitué de représentations mentales (images, idées, souvenirs, désirs, etc.) inacceptables profondément refoulées

Inconscient, Préconscient ou Conscient

A

Inconscient

57
Q

Selon Freud, à quel niveau de conscience cet énoncé correspond-il?

Accessible avec un effort de rappel ou si l’on y porte attention

Inconscient, Préconscient ou Conscient

A

Préconscient

58
Q

Selon Freud, à quel niveau de conscience cet énoncé correspond-il?

Souvenirs

Inconscient, Préconscient ou Conscient

A

Préconscient

59
Q

Selon Freud, à quel niveau de conscience cet énoncé correspond-il?

Ce qui est immédiatement présent au champ de la conscience

Inconscient, Préconscient ou Conscient

A

Conscient

60
Q

Selon Freud, à quel stade développemental cet énoncé correspond-il?

Son mode relationnel est surtout régi par ses besoins alimentaires.

Oral, Anal, Phallique/œdipien, Latence, Génital

A

Oral

61
Q

Selon Freud, à quel stade développemental cet énoncé correspond-il?

Sa vie est dominée par les besoins du Ça (qui exigent une satisfaction immédiate selon le principe de plaisir)

Oral, Anal, Phallique/œdipien, Latence, Génital

A

Oral

62
Q

Selon Freud, à quel stade développemental cet énoncé correspond-il?

Étape fondamentale dans l’acquisition de l’autonomie

Oral, Anal, Phallique/œdipien, Latence, Génital

A

Anal

(notamment via le contrôle de ses sphincters)

63
Q

Selon Freud, à quel stade développemental cet énoncé correspond-il?

Les enjeux conflictuels de ce stade se situent principalement entre le désir de se plier aux demandes de ses parents ou de se rebeller.

Oral, Anal, Phallique/œdipien, Latence, Génital

A

Anal

64
Q

Selon Freud, à quel stade développemental cet énoncé correspond-il?

L’ambivalence est une caractéristique de ce stade où se joue un conflit entre le lâcher-prise et la rétention, l’amour et la haine.

Oral, Anal, Phallique/œdipien, Latence, Génital

A

Anal

65
Q

Selon Freud, à quel stade développemental cet énoncé correspond-il?

C’est au cours de ce stade que le Surmoi s’organise par l’introjection des interdits et des exigences des parents.

Oral, Anal, Phallique/œdipien, Latence, Génital

A

Phallique/œdipien

66
Q

Selon Freud, à quel stade développemental cet énoncé correspond-il?

Cette période coïncide avec l’émergence grandissante de préoccupations au sujet de l’origine des bébés et de la différence des sexes.

Oral, Anal, Phallique/œdipien, Latence, Génital

A

Phallique/œdipien

67
Q

Selon Freud, à quel stade développemental cet énoncé correspond-il?

Une fille est un garçon castré.
(Complexe de castration)

Oral, Anal, Phallique/œdipien, Latence, Génital

A

Phallique/œdipien

68
Q

Selon Freud, à quel stade développemental cet énoncé correspond-il?

Se caractérise par un affaiblissement des pulsions sexuelles qui étaient jusque-là de nature infantile.

Oral, Anal, Phallique/œdipien, Latence, Génital

A

Latence

69
Q

Selon Freud, à quel stade développemental cet énoncé correspond-il?

  • Temps de ralentissement dans le développement de la libido
  • Ce stade a moins d’influence dans la formation de la personnalité

Oral, Anal, Phallique/œdipien, Latence, Génital

A

Latence

70
Q

Selon Freud, à quel stade développemental cet énoncé correspond-il?

On voit apparaître plus clairement les différents traits de la personnalité de l’enfant au cours de ce stade.

Oral, Anal, Phallique/œdipien, Latence, Génital

A

Latence

71
Q

Selon Freud, à quel stade développemental cet énoncé correspond-il?

L’identité sexuelle se forge et l’attirance pour un partenaire de sexe opposé ou de même sexe apparaît.

Oral, Anal, Phallique/œdipien, Latence, Génital

A

Génital

Le Moi doit à nouveau s’adapter à ces changements physiques et psychologiques.

72
Q

Vrai ou Faux

Selon la psychologie du Moi d’Hartmann & Erikson, le Moi émerge du Ça.

A

Faux

  • Moi est, dès la naissance, une instance autonome distincte du Ça
  • Cet énoncé est vrai selon la théorie de Freud.
73
Q

Vrai ou Faux

Selon Hartmann & Erikson, même si le Ça et le Moi sont distincts dès le départ, ils naissent du même substrat biologique.

A

Vrai

74
Q

Selon Erikson :

Selon Erikson, chaque stade de développement psychique se caractérise par quoi?

A

Problèmes particuliers à résoudre dans une visée développementale

75
Q

Vrai ou Faux

Pour Erikson, le développement de la personnalité s’arrête une fois la maturité physique atteinte.

A

Faux

Se poursuit tout au long de la vie, jusqu’à la mort

Cet énoncé est vrai selon Freud.

76
Q

Selon Erikson :

Quels sont les 8 stades du cycle de vie selon Erikson?

Nommez-les.

A
  1. Confiance ou méfiance fondamentale
  2. Autonomie ou honte & doute
  3. Initiative ou culpabilité
  4. Travail ou infériorité
  5. Identité ou confusion ou diffusion des rôles
  6. Intimité ou isolement
  7. Générativité ou stagnation
  8. Intégrité ou désespoir
77
Q

Selon Erikson :

Dans le stade de générativité ou stagnation, qu’arrive-t-il à l’adulte qui a traversé les stades antérieurs avec succès?

A
  • Il ne se tourmente pas trop.
  • Il a suffisamment confiance en lui pour ne pas se sentir menacé par la nouvelle génération et reconnaît la valeur de son expérience.

Il peut jouer un rôle important auprès de la génération montante en transmettant son savoir, son expérience et en la préparant à assumer la relève.

78
Q

Selon Erikson :

Dans le dernier stade d’intégrité ou désespoir, l’adulte qui accepte ses accomplissements, ses réussites et ses déceptions l’amène à quels types de sentiments?

A

Sentiment de plénitude, d’intégrité et de sérénité

Il vit en harmonie avec l’instant présent. Il n’y a plus rien à accomplir, plus rien à prouver, la fin est proche et la perspective de la mort ne l’effraie pas.

79
Q

Selon Vaillant :

Nommez des exemples de mécanismes de défense matures.

4 réponses

A
  • Altruisme
  • Anticipation
  • Humour
  • Sublimation
80
Q

Freud, Erikson ou Les 2?

Entre 6 et 12 ans, la personnalité continue de se développer activement.

A

Erikson

Période de latence pour Freud

81
Q

Quel est l’équivalent de stade chez Erikson?

Freud : Oral

A

Erikson : Confiance ou méfiance fondamentale

82
Q

Quel est l’équivalent de stade chez Erikson?

Freud : Anal

A

Erikson : Autonomie ou honte & doute

83
Q

Quel est l’équivalent de stade chez Erikson?

Freud : Latence

A

Erikson : Travail ou infériorité

84
Q

Quel est l’équivalent de stade chez Erikson?

Freud : Phallique/oedipien

A

Erikson : Initiative ou culpabilité

85
Q

Quel est l’équivalent de stade chez Erikson?

Freud : Génital

A

Erikson : Identité ou confusion ou diffusion des rôles

86
Q

Quel est l’équivalent de stade chez Freud?

Erikson : Confiance ou méfiance fondamentale

A

Freud : Oral

87
Q

Quel est l’équivalent de stade chez Freud?

Erikson : Autonomie ou honte & doute

A

Freud : Anal

88
Q

Quel est l’équivalent de stade chez Freud?

Erikson : Travail ou infériorité

A

Freud : Latence

89
Q

Quel est l’équivalent de stade chez Freud?

Erikson : Initiative ou culpabilité

A

Freud : Phallique/oedipien

90
Q

Quel est l’équivalent de stade chez Freud?

Erikson : Identité ou confusion ou diffusion des rôles

A

Freud : Génital

91
Q

Nommez le stade correspond chez Freud et Erikson.

Naissance à 18 mois

A
  • Freud : Oral
  • Erikson : Confiance ou méfiance fondamentale
92
Q

Nommez le stade correspond chez Freud et Erikson.

18 mois à 3 ans

A
  • Freud : Anal
  • Erikson : Autonomie ou honte & doute
93
Q

Nommez le stade correspond chez Freud et Erikson.

3 à 6 ans

A
  • Freud : Phallique/oedipien
  • Erikson : Initiative ou culpabilité
94
Q

Nommez le stade correspond chez Freud et Erikson.

6 à 12 ans

A
  • Freud : Latence
  • Erikson : Travail ou infériorité
95
Q

Nommez le stade correspond chez Freud et Erikson.

12 à 20 ans

A
  • Freud : Génital
  • Erikson : Identité ou confusion ou diffusion des rôles
96
Q

Nommez le stade correspond chez Freud et Erikson.

20 à 35 ans

A
  • Freud : N/A
  • Erikson : Intimité ou isolement
97
Q

Nommez le stade correspond chez Freud et Erikson.

35 à 65 ans

A
  • Freud : N/A
  • Erikson : Générativité ou stagnation
98
Q

Nommez le stade correspond chez Freud et Erikson.

65 ans et plus

A
  • Freud : N/A
  • Erikson : Intégrité ou désespoir
99
Q

Définir le concept de “transfert”.

A
  • Émotions, attributs, qualités d’une figure significative du passé (souvent un parent) que le patient projette sur le thérapeute
  • “Répétition de prototypes infantiles vécue avec un sentiment d’actualité marqué”

Le patient fait ainsi jouer inconsciemment au thérapeute le rôle de figures parentales telles qu’il les a perçues subjectivement dans son passé.

100
Q

Vrai ou Faux

Le transfert peut être positif ou négatif.

A

Vrai

101
Q

Définir le concept de “contre-transfert”.

A

L’ensemble des réactions affectives, cognitives et comportementales du thérapeute envers son patient.

Résulte en général d’un amalgame entre les enjeux transférentiels propres au thérapeute et les manifestations induites plus spécifiquement par les caractéristiques psychodynamiques du patient.

102
Q

Définir le concept de “contre-transfert indirect”.

A

Lorsque l’objet qui mobilise le contre-transfert du thérapeute ne provient pas du patient lui même mais d’autre chose.

103
Q

Définir le concept de “contre-transfert direct”.

A

Contre-transfert induit principalement par le patient et, tout particulièrement, par la nature du transfert de ce dernier.

104
Q

Définir le concept de “contre-transfert concordant”.

A

Le thérapeute s’identifie au principal état émotionnel du patient.

On peut dire alors que le thérapeute identifie son Moi avec le Moi du patient.

105
Q

Définir le concept de “contre-transfert complémentaire”.

A

Le thérapeute s’identifie aux objets internes du patient, avec lesquels le Moi du patient est en relation.

106
Q

Vrai ou Faux

Le contre-transfert concordant facilite l’empathie du thérapeute.

A

Vrai

On peut dire alors que le thérapeute identifie son Moi avec le Moi du patient.

107
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Agression passive

A

La personne sabote autrui de façon indirecte et non combative, en adoptant des attitudes passives qui se manifestent par diverses formes de résistance, d’impuissance apparente ou d’évitement dans les activités et les relations interpersonnelles.

Ce comportement, caractérisé par une résistance passive ou une obéissance réticente, reflète un ensemble d’attitudes passives exprimant indirectement une hostilité cachée qui n’est ni assumée ni vécue. Ainsi, une façade d’adhésion apparente dissimule la résistance, le ressentiment ou l’hostilité, et l’agression passive surgit souvent en réponse à une exigence de la part d’autrui pour réaliser des actions de performance.

108
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Altruisme

A

La personne satisfait ses propres besoins en répondant aux besoins des autres, ce qui peut engendrer un conflit lié à une détresse issue de situations stressantes vécues dans le passé, où elle n’a pas reçu toute l’aide nécessaire.

109
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Anticipation

A

La personne anticipe les conséquences émotionnelles de problèmes à venir et ressent une détresse en se représentant des idées et des affects stressants.

Ce scénario anticipatoire et cette répétition mentale lui permettent néanmoins d’élaborer une réponse plus adaptée au conflit potentiel et à l’angoisse qu’elle pourrait affronter.

110
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Annulation rétro-active

A

La personne utilise des mots ou des comportements visant à corriger symboliquement des pensées, des sentiments ou des actes jugés inacceptables, en annulant après coup un acte ou une pensée à l’origine d’un conflit psychique.

Ce mécanisme d’annulation sert à diminuer les sentiments de culpabilité et à protéger la personne de la souffrance liée au conflit. Pour l’observateur, l’association d’une déclaration et de son contraire rend difficile l’identification de l’intention première de la personne.

111
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Clivage

A
  • La personne compartimente des états affectifs opposés et ne parvient pas à intégrer ses propres qualités et défauts ainsi que ceux des autres dans des images cohérentes. Incapable d’éprouver simultanément des affects ambivalents, elle exclut des perceptions et des attentes plus nuancées de soi ou des autres de son champ émotionnel conscient.
  • Elle parle d’autrui en termes de « tout bon ou tout mauvais » et contredit souvent ses propres affirmations antérieures concernant les qualités et défauts de quelqu’un, sans montrer de gêne face à ces incohérences.

  • Ainsi, le Soi et les objets alternent entre des positions opposées : tantôt exclusivement aimants, puissants, dignes, protecteurs et bienveillants, tantôt exclusivement mauvais, détestables, en colère, destructeurs, rejetants ou sans valeur. La personne ne réalise pas que ces deux aspects peuvent coexister chez un même individu.
  • Ce clivage répond à l’angoisse de ternir la bonne image qu’elle a des gens, redoutant que leurs mauvais côtés n’éclipsent les bons.
112
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Déni névrotique

(Dénégation)

A
  • La personne répond aux conflits émotionnels en se refusant à reconnaître la réalité de certaines expériences subjectives douloureuses, pourtant évidentes pour autrui.
  • Le déni consiste à rejeter la réalité d’une perception perçue comme dangereuse ou pénible pour le Moi.

C’est une réaction spontanée face à une mauvaise nouvelle, comme l’annonce d’un décès, où la personne pourrait s’exclamer : « Non, ce n’est pas vrai ! »

113
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Déni psychotique

A

La personne refuse de reconnaître un objet physique ou un événement réel dans son vécu actuel.

Ce qui peut nécessiter la demande d’une ordonnance de traitement.

Dans ces cas, le déni psychotique empêche le patient de prendre conscience qu’il met lui-même ou les autres en danger à cause de sa psychose, qu’il refuse de reconnaître.

114
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Déplacement

A

La personne déplace un sentiment ou une réponse d’un objet vers un autre, ce qui facilite l’expression de l’affect et la gratification de la pulsion.

En effet, l’objet sur lequel s’effectue le déplacement est généralement moins menaçant que l’objet initial ayant inspiré ce sentiment.

115
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Dissociation

A

La personne vit une altération des fonctions d’intégration de la conscience, de la mémoire, de la perception de soi ou de l’environnement, ce qui entraîne l’expression de l’affect ou de la pulsion en dehors du conscient.

  • La dissociation permet de « dissoudre » le matériel psychique trop menaçant ou anxiogène, tel que les abus sexuels, physiques ou des scènes d’horreur.
  • Les états de transe, d’amnésie ou de dépersonnalisation font partie de cette catégorie défensive.
116
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Formation réactionnelle

A

La personne substitue à un comportement, à des pensées ou à des sentiments inacceptables d’autres qui leur sont diamétralement opposés.

Ce mécanisme permet d’éviter un sentiment de culpabilité et peut également alimenter le désir de se sentir moralement supérieur.

117
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Humour

A

La personne met de l’avant des aspects amusants ou ironiques de la situation qu’elle vit, et l’humour sert à relâcher la tension provoquée par le conflit, permettant ainsi à tout le monde de se sentir plus à l’aise.

Cela contraste fortement avec les commentaires moqueurs ou cinglants, qui peuvent créer un malaise.

118
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Hypocondrie / Somatisation

A

Une personne éplorée formule des plaintes ou des demandes d’aide répétées, que ce soit sous forme de symptômes physiques, psychologiques ou de problèmes de vie, dissimulant en réalité des sentiments d’hostilité ou des reproches envers autrui.

  • Cette incompréhension frustrée s’exprime lorsqu’elle rejette les suggestions, conseils ou offres d’aide de son médecin.
  • La plainte, associant demande d’aide et rejet de celle-ci, constitue une défense contre la colère ressentie par la personne lorsqu’elle éprouve un besoin. Cette colère, issue d’expériences antérieures d’un besoin insatisfait, se manifeste par le refus d’une aide jugée insuffisante, tout en continuant à en réclamer toujours plus.
119
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Identification projective

A
  • La personne attribue à tort à autrui ses propres sentiments, pulsions ou pensées inacceptables, ce qui s’apparente à la projection.
  • Toutefois, à la différence de la projection simple, elle ne désavoue pas complètement ce qui est projeté.

Elle reste consciente de ses propres affects ou pulsions, mais les attribue erronément à autrui, considérant cela comme une réaction légitime. Il n’est pas rare que cette dynamique induise chez l’autre les sentiments ou motivations projetés, celui-ci s’identifiant alors au contenu de cette projection.

120
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Intellectualisation

A

La personne s’adonne à un usage excessif de pensées abstraites ou de généralisations pour contrôler ou minimiser des sentiments gênants.

  • Elle s’exprime en termes généraux, livresques ou à la troisième personne, afin de mettre ses émotions à distance.
  • En privilégiant la pensée abstraite, elle bloque l’émergence et la reconnaissance de ses affects et fantasmes.
121
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Isolation de l’affect

A

La personne sépare les idées des sentiments qui leur étaient initialement associés, perdant ainsi le contact avec les émotions liées à une situation donnée tout en restant consciente des éléments cognitifs.

Ce mécanisme d’isolation, qui accompagne souvent l’intellectualisation, sert à éloigner des affects menaçants tels que la honte, le dégoût, la culpabilité ou l’angoisse.

122
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Passage à l’acte (acting out)

A

La personne se tourne vers l’action, adoptant un comportement incontrôlé pour éviter d’entrer en contact avec des sentiments ou des représentations mentales désagréables d’elle-même.

Il s’agit d’une défense inadaptée, car sa motivation profonde reste inconsciente. Ce mécanisme n’atténue pas le conflit intérieur et peut parfois avoir des conséquences fâcheuses pour elle-même ou pour autrui.

123
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Projection délirante

A
  • La personne attribue à tort à autrui ses propres sentiments, pulsions ou pensées inacceptables, comme dans la projection simple.
  • Cependant, la projection délirante est d’une telle intensité qu’elle engendre un discours ou une construction délirante. Dans ce cas, le contact avec la réalité est perdu, et la personne ressent clairement de l’anxiété.
124
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Projection névrotique

Projection simple

A

La personne attribue à tort à autrui ses propres sentiments, pulsions ou pensées inacceptables.

Elle expulse hors d’elle des émotions ou motivations désagréables qui la rendent trop vulnérable, comme la honte ou l’humiliation.

125
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Rationalisation

A

La personne cherche à donner une explication cohérente, logique, acceptable et morale à une attitude ou un sentiment dont elle ne perçoit pas les véritables motifs.

  • Elle tente de dissimuler, à elle-même et à autrui, les motivations réelles de ses pensées, actes ou sentiments derrière des explications rassurantes ou complaisantes, mais erronées.
  • La rationalisation masque ainsi une motivation inacceptable, qui est généralement inconsciente ou à peine consciente.
126
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Refoulement

A

La personne expulse de sa conscience des désirs, des pensées ou des expériences pénibles.

Bien que le sentiment puisse rester conscient, il est détaché des idées qui lui sont associées.

127
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Rêverie autistique

A

La personne substitue une rêverie diurne excessive aux relations individuelles, aux actions plus efficaces ou à la résolution de problèmes.

  • Cette rêverie autistique procure une gratification temporaire et peut, dans certains cas, alléger un sentiment d’impuissance.
  • Des plateformes comme Facebook remplissent également ce rôle en offrant l’illusion de contacts humains dans une réalité virtuelle.
128
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Sublimation

A

La personne canalise des sentiments ou des pulsions potentiellement inadaptées vers des comportements socialement acceptables, souvent de type altruiste ou spirituel.

Cela représente la capacité de satisfaire la pulsion sans atteindre le but originel, sous forme de comportements valorisés et approuvés par le groupe social.

129
Q

Définir ce mécanisme de défense :

Suppression / Répression

A

La personne évite délibérément et consciemment de penser à des problèmes, des désirs ou des expériences pénibles, mais de manière temporaire ; il s’agit d’un report.

La répression maintient à la fois l’idée et l’affect associés à un stresseur hors de la conscience (sans qu’il y ait refoulement dans l’inconscient) pendant qu’elle s’occupe d’autres préoccupations plus pressantes.

130
Q

Vrai ou Faux

Vaillant est connue pour sa proposition des mécanismes de défense.

A

Vrai

131
Q

Qui a été le chef de file du mouvement de l’Ego psychology?
A. Sigmund Freud
B. Anna Freud
C. Hartmann
D. Vaillant
E. Erikson

A

Hartmann

Anna Freud a créé ce mouvement.

132
Q

Au besoin, revoir les sections sur :
- Trouble d’adaptation (PSY-005)
- Phases du mourir (PSY-006)
- Deuil (PSY-007)
- Introduction à la psychopharmacologie (PSY-008)

A
133
Q

Thème 2

Définir la “personnalité”.

A

Ensemble de caractéristiques personnelles et stables influençant les pensées, les comportements et les émotions

Ces caractéristiques diffèrent d’un individu à l’autre.

Cette définition tient compte des caractéristiques psychophysiques inhérentes à l’individu, mais aussi des réactions des autres envers l’individu en tant que stimulus social, y compris les effets sociaux susceptibles de contribuer à sa réputation.

134
Q

Thème 2

Définir le “caractère”.

A

Ensemble de dimensions de la personnalité qui est peu héritable, de développement plus tardif et influencées par les processus de maturation et les relations interpersonnelles.

Est acquis lors du vécu de l’individu

135
Q

Thème 2

Définir le “tempérament”.

A

Ensemble de traits ou types de comportements habituels que l’on retrouve chez l’individu. Il est stable dans le temps et dans différentes circonstances.

Est acquis de façon « génétique » / hérité des parents

136
Q

Thème 2

Définir un “trait”.

A

Disposition de base innée donnant lieu à des patterns d’affects, de cognitions et de comportements stables. Chaque trait est une dimension qui s’exprime sur un continuum que l’on qualifie de facteur.

Constituant du tempérament