SDA-COURS 12-Les risques à la santé Flashcards

1
Q

Quel microorganisme est utilisé en échantillonnage de routine pour surveiller la qualité microbiologique de l’eau ?

A

C) E. coli

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2
Q

Quelle définition décrit le mieux une endémie ?

A

B) Une maladie constante dans une population donnée

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3
Q

Une épidémie se définit comme une __________ ___ et inhabituelle du nombre de cas d’une maladie dans une population donnée.

A

augmentation

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4
Q

Une pandémie est une épidémie à l’échelle mondiale ou continentale.

A

Vrai

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5
Q

Lequel des éléments suivants a contribué à réduire le risque épidémique de maladies hydriques au 20e siècle dans les pays industrialisés ?

A

B) La généralisation de la filtration de l’eau, utilisation de chlore pour la désinfection et meilleur traitement des eaux usées

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6
Q

L’objectif actuel des systèmes de traitement de l’eau potable est uniquement d’éviter les pandémies.

A

Faux — l’objectif est de réduire le risque endémique.

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7
Q

Une épidémie hydrique peut être suspectée lorsqu’on observe plus de ___ % de cas dans la population.

A

1

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8
Q

Quel est le niveau de risque acceptable au Canada pour les infections dues à Giardia, virus entériques ou Cryptosporidium ?

A

C) 1 infection par 10 000 personnes/an

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9
Q

La notion de risque acceptable est une approche réglementaire, vrai ou faux.

A

Vrai

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10
Q

Le risque acceptable équivaut à moins d’un parasite par __________ litres d’eau.

A

125 000

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11
Q

Vérifier constamment la présence de parasites dans l’eau potable est trop coûteux, c’est pourquoi on utilise une approche indirecte de classification des eaux.

A

Vrai

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12
Q

Que permet le classement des eaux avant traitement ?

A

C) Adapter les exigences de traitement selon la contamination

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13
Q

L’approche alternative de la notion de risque acceptable est le classement des eaux avant traitement, les exigences de traitement selon ce classement et la vérification en continu du bon fonctionnement des procédés de traitement.

A

Vrai

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14
Q

La désinfection de l’eau est contrôlée toutes les ______ heures ou en ____.

A

4, continu

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15
Q

La température, le chlore résiduel (minimum 0,3 mg/L), le pH, la turbidité et le temps de contact avant la distribution sont tous des variables suivies dans les systèmes de traitement des eaux.

A

Vrai

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16
Q

Toutes les variables mesurées dans le système de traitement sont intégrées dans un logiciel de __________ du pourcentage d’élimination des agents pathogènes (virus, Giardia, Cryptosporidium).

A

prédiction

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17
Q

L’eau potable est stérile.

A

Faux — elle n’est pas stérile.

18
Q

Le risque microbiologique de l’eau potable est généralement faible, mais ______.

19
Q

Que mesure-t-on pour évaluer le risque microbiologique, au lieu de mesurer directement les agents pathogènes dans l’eau traitée ?

A

B) Le niveau de contamination de l’eau brute, le bon fonctionnement des procédés, la présence d’indicateurs simples à l’eau traitée, la qualification des exploitants

20
Q

La qualification des exploitants est un élément clé de la gestion du risque microbiologique.

21
Q

Trois grandes classes de contaminants chimiques dans l’eau sont : les sous-produits de ____________, les __________ et les perturbateurs endocriniens/produits pharmaceutiques.

A

désinfection, métaux

22
Q

Le risque chimique est généralement chronique.

23
Q

Concernant les sous-produits de désinfection, le chlore réagit avec les composantes organiques de l’eau pour former des sous-produits comme les ____________ et les _____________.

A

trihalométhanes, acides haloacétiques

24
Q

Quel sous-produit est associé à l’usage de l’ozone dans le traitement de l’eau ?

A

B) Bromate

25
Des études épidémiologiques ont associé certains sous-produits de désinfection à un risque accru de cancer.
Vrai
26
Les cancers associés aux sous-produits de désinfection touchent principalement la vessie, le _______ et le _______.
côlon, rectum
27
Tous les risques associés aux sous-produits sont absolus et non relatifs.
Faux — il s’agit de risques relatifs.
28
Le plomb (neurotoxique) dans l’eau potable est particulièrement préoccupant pour :
B) Les femmes enceintes et les enfants
29
La teneur maximale recommandée en plomb dans l’eau potable par Santé Canada (2019) est de ______ μg/L.
5
30
Quelle ville a interdit l’utilisation du plomb comme matériau d’entrée d’eau en 1967 ?
C) Montréal
31
Les PPSP incluent les médicaments et les produits d’hygiène personnelle.
Vrai
32
Le principal risque associé aux PPSP concerne :
C) Les écosystèmes aquatiques
33
Il existe des normes maximales autorisées pour les PPSP dans l’eau potable.
Faux — aucune norme maximale n’est fixée.
34
Les composés perfluorés sont utilisés dans des produits comme les revêtements antiadhésifs, les vêtements ________ et les emballages alimentaires.
imperméables
35
Que signifie le fait que les PFAS sont des “contaminants persistants” ?
C) Ils se dégradent très lentement, voire pas du tout
36
Santé Canada a proposé une teneur maximale provisoire de 30 ng/L pour les PFAS.
Vrai
37
Quel est le principal type de risque associé aux PFAS selon les données actuelles ?
C) Chronique, encore mal connu
38
Le risque chimique est plus élevé que le risque microbiologique.
Faux — le risque microbiologique est globalement plus élevé.
39
Les deux principaux risques chimiques dans l’eau potable sont : le _______ et les _________.
plomb, sous-produits de désinfection
40
Le public a généralement plus peur du risque chimique que du risque microbiologique.
Vrai
41
Pourquoi est-il important de relativiser les risques liés à l’eau potable comparés à d’autres sources d’exposition aux substances chimiques dans notre environnement ?
Parce que l’eau potable, bien qu’elle puisse contenir de faibles concentrations de contaminants chimiques, est soumise à une réglementation stricte, à une surveillance continue et à des traitements rigoureux. En comparaison, de nombreuses autres sources d’exposition aux substances chimiques — comme l’air, les aliments, les produits ménagers ou cosmétiques — sont beaucoup moins contrôlées et peuvent représenter un risque plus important au quotidien. Relativiser les risques permet donc d’évaluer objectivement les priorités en santé publique, d’éviter la panique inutile et de concentrer les efforts sur les expositions les plus préoccupantes. Cela aide aussi à maintenir la confiance du public dans les systèmes de traitement de l’eau.