LM - Sexualité partie 2 Flashcards

1
Q

Décrit la prévalence des dysfonctions sexuelles.

A
  • Nouveaux patients 50%
  • Hommes 40%
  • Femme 63%
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Q

Décrit la prévalence des dysfonctions sexuelles chez l’homme.

A
  • La prévalence des dysfonctions sexuelles chez l’homme augmente en vieillissant
  • Une étude montre que 67% des hommes de plus de 69 ans ont une incapacité persistante à réussir une relation avec pénétration
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Q

Nomme les principaux problèmes sexuels chez l’homme.

A
  • Troubles du désir (25%)
  • Troubles de l ’excitation-érection (78%)
  • Troubles de l ’orgasme (30%)
  • Troubles sexuels douloureux (5%)
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4
Q

Nomme les principales causes de consultations sexuelles chez la femme.

A
  • Troubles du désir (50%)
  • Troubles de l ’excitation (30%)
  • Troubles de l ’orgasme (30%)
  • Troubles sexuels douloureux (70%)
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5
Q

Vrai ou faux? La majorité des patients vont aborder par eux-même leurs problèmes sexuels.

A

FAUX

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6
Q

Vrai ou faux? Les patient s’attendent d’être questionné sur leur santé sexuelle.

A

Vrai

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7
Q

Vrai ou faux? Le MD de famille n’est pas la personne avec qui les patients préfèrent parler de leur santé sexuelle.

A

FAUX

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8
Q

Est-ce que c’est facile de faire un questionnaire sexuel?

A

Non!

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9
Q

Est-ce que l’attitude du MD a un rôle pour rendre le patient à l’aise pendant le questionnaire sexologique?

A

Et oui!

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10
Q

Truc pour le questionnaire sexologique?

A

Il faut profiter du contexte ou d’une rationalité et écouter le langage verbal et non verbal du patient

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11
Q

Décrit la méthode de l’énoncé suivi d’une question.

A
  • Commencer par une affectation connexe, par l’âge, la médication ou en général
  • Ex: diabète et dysfonction érectile
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12
Q

Exemple de la méthode de l’énoncé suivi d’une question?

A

Beaucoup de personnes se posent des questions d’ordre sexuel et je me demandais si vous en aviez
autres approches posibles

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13
Q

Exemple de questionnaire sur la sexualité?

A

SHIM-5

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14
Q

Comment engager la discussion de la sexualité avec nos patients?

A
  • Prendre l’initiative
  • Profiter du contexte
  • Consacrer assez de temps à l’évaluation du problème sexuel
  • Inclure l’évaluation de la fonction sexuelle dans chaque évaluation médicale
  • Utiliser un bon niveau de langage
  • Écouter +++
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15
Q

Nomme les caractéristiques des zones de confort des MD pour engager une discussion sur le DE.

A
  • Relation déjà établie avec le patient
  • Conditions médicales stables
  • Assez de temps
  • Contexte approprié: rdv de suivi, examen périodique
  • Évaluation simple
  • Tx disponible et efficace
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16
Q

Nomme les 3 contexte appropriés pour engager une discussion sur la DE.

A
  • Le patient aborde lui-même le sujet en début d’entrevue
  • Il souffre d’une maladie ou prend une médication qui risque de provoquer des trouble sexuels
  • Lors de l’examen périodique (en questionnant le système urogénital ou psy)
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17
Q

Nomme des contextes ou problèmes médicaux susceptibles de générer de l’inconfort sur le patient aborde le sujet.

A
  • Clinique sans rdv avec peu de temps
  • Multiples plaintes présentée par le patient
  • Conditions médicales non stabilisées
  • Trouble psy important
  • Révélation surprise à la fin de l’entrevue
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18
Q

Nomme des contextes inappropriés pour poser la question au sujet de la fonction sexuelle.

A
  • Lors d’un examen génito-urinaire alors que le patient est vulnérable
  • Motif de consultation simple chez un patient ne présentant pas de fdr
  • Lors d’une première entrevue avec un patient
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19
Q

Qu’est-ce qui est super important quand on est en présence d’un ado?

A

Faire une bonne impression

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20
Q

Pourquoi c’est important de faire bonne impression auprès de la clientèle adolescente?

A

Les adolescents portent souvent un jugement rapide et ce jugement est tenace

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21
Q

Comment avoir une clinique accueillante pour les ados?

A
  • Personnel amical, ne portant pas de jugement
  • Affiches présentant des messages sur la santé destinés aux adolescents
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22
Q

Quoi réaliser dans les premières 30 secondes de l’entrevue avec un patient ado?

A
  • Nous assurer de rencontrer le bon patient
  • Établir un contact visuel
  • Nous adresser au patient par son nom
  • Valider la décision du patient de se renseigner sur la santé sexuelle (p. ex. « Je suis content que tu sois venu me voir et ça me fait plaisir de répondre à tes questions sur la sexualité… »)
  • Ne jamais porter de jugement sur l’orientation sexuelle du patient
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23
Q

Pour quelles raisons les ados évitent de se rendre dans une clinique pour des enjeux sexuels?

A
  1. Crainte du jugement ou des moqueries de leurs ami(e)s
  2. Crainte que les services ne soient pas confidentiels
  3. Service mal adapté aux jeunes
  4. Réactions des parents/pourvoyeurs de soins
  5. Jeunes femmes : « Crainte d’être jugées par le personnel »
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24
Q

Vrai ou faux? Des préoccupations liées à la santé sexuelle font souvent partie des « intentions cachées » des patients adolescents

A

Vrai!

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25
Q

Est-ce qu’il est approprié de demander si d’autres sujets doivent-être abordés quand un patient consulte pour la première fois et qu’il nous fait part de ses préoccupations?

A

Oui!

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26
Q

Est-ce important de dire aux ados que tout restera confidentiel?

A

OUI! Ils ont souvent peur qu’on disent tout à leurs parents

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27
Q

Comment surmonter les obtacles aux soins avec les ados?

A
  • Ne forcez pas l’adolescent à dévoiler le motif de sa visite au moment de la prise du rendez-vous
  • Le personnel peut plutôt suggérer des motifs ou simplement demander au patient à combien de temps il estime la durée de sa visite
  • Ne laissez pas de messages sur la boîte vocale familiale
  • Si le patient possède un téléphone cellulaire, laissez un message dans cette boîte vocale
  • Inventez un « nom de code » qui représente la clinique
  • Remettez au patient votre carte professionnelle avec le numéro de la clinique
  • Offrez aux patientes qui le désirent de se faire accompagner de leurs amies dans la salle d’examen
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28
Q

Nomme les 10 principes de traitement en sexualité de l’ado.

A

1) Confidentialité
2) Normalisation
3) Respect
4) Éviter les suppositions
5) Questions spécifiques
6) Écouter les réponses
7) Éviter le jargon médical
8) Aider à faire des liens
9) Penser à la prévention
10) Connaitre les ressources communautaires

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29
Q

Nomme les 3 lignes de conduite à partager à nos patients ado masculins.

A
  • Toujours utiliser un condom*
  • S’assurer que la partenaire a pris sa pilule contraceptive et refuser d’avoir une relation sexuelle en cas de comprimé oublié
  • Ne jamais contraindre une personne à avoir une relation sexuelle et ne jamais avoir de relation sexuelle avec une personne ivre ou droguée*
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30
Q

En quoi les patients ado sont différents?

A
  • Ils ont souvent du mal à respecter les rendez-vous
  • Il faut les aider à dédramatiser la visite médicale
  • Adoptez une approche d’équipe. Le patient adolescent et le médecin sont du même côté!
31
Q

Quoi évaluer auprès d’une ado sexuellement active?

A
  • Prévention grossesse
  • Prévention et dépistage ITSS
  • Évaluation de la violence dans les relations amoureuses
  • Dépistage dyspareunie (douleur à la pénétration)
  • Prévention drogues du viol- agression sexuelle
32
Q

__% des québécoises âgées de 14 ou 15 ans ont eu des relations sexuelles.

A

22

33
Q

Parmi les jeunes de 16 ans sexuellement actifs, l’âge moyen à la première relation est de __.

A

14 ans et demi

34
Q

Décrit les enjeux de l’hypersexualisation.

A
  • En 2005, 26% des ados sexuellement actifs n’ont pas utilisé de condom lors de leur dernière relation.
  • Entre 2005 et 2006, il y a eu une augmentation de 20% de la violence par le partenaire chez jeunes filles de 12 à 17 ans.
  • Stéréotypes sexuels et sexistes (rôle des médias)
  • Pour plaire= prête à tout
  • Sensibiliser aux risques associés à la consommation d’alcool, aux mélanges, et autres drogues volontaire ou forcée…
35
Q

Jérome vous a répondu qu ’il éprouvait des difficultés d ’érection et qu ’il désirait en parler. Comment allez-vous formuler vos questions pour évaluer sa DE à partir des éléments suivants ?
nomme les différents éléments à questionner

A
  • Durée
  • Primaire ou secondaire
  • Circonstances concomitantes
  • Mode d’apparition
  • Description: global vs situationnel
  • Échelle de rigidité de 0 à 10 ou 0 à 5
  • Érections matinales et/ou nocturnes
  • Masturbation
  • Stimulation érotique
  • Hétérostimulation
  • Fellation
  • Avec partenaire vs seul
  • Désir
  • Orgasme
  • Douleur
  • Plaisir/satisfaction
  • Réaction du patient
  • Réaction du partenaire
  • Motivation
36
Q

Jérome vous a répondu qu ’il éprouvait des difficultés d ’érection et qu ’il désirait en parler. Comment allez-vous formuler vos questions par rapport à la durée?

A

Depuis combien de temps éprouvez vous des difficultés ?

37
Q

Jérome vous a répondu qu ’il éprouvait des difficultés d ’érection et qu ’il désirait en parler. Comment allez-vous formuler vos questions par rapport à la primaire ou secondaire?

A

Avez-vous toujours eu des difficultés?

38
Q

Jérome vous a répondu qu ’il éprouvait des difficultés d ’érection et qu ’il désirait en parler. Comment allez-vous formuler vos questions par rapport à la circonstance d’apparition?

A

Au moment où vos troubles sont apparus, y avait-il des circonstances nouvelles ou particulières dans votre vie ? ( nouveau Rx, chirurgie, stress difficulté relationnelle ) ?

39
Q

Jérome vous a répondu qu ’il éprouvait des difficultés d ’érection et qu ’il désirait en parler. Comment allez-vous formuler vos questions par rapport au mode d’apparition?

A

Est-ce que les difficultés sont apparues soudainement ou de façon insidieuse ?

40
Q

Jérome vous a répondu qu ’il éprouvait des difficultés d ’érection et qu ’il désirait en parler. Comment allez-vous formuler vos questions par rapport à la description?

A

Est-ce que vous parvenez à obtenir une meilleur rigidité ou maintien dans certaines situations ?

41
Q

Jérome vous a répondu qu ’il éprouvait des difficultés d ’érection et qu ’il désirait en parler. Comment allez-vous formuler vos questions par rapport l’ échelle de rigidité?

A

Nous allons utiliser une échelle de 0 à
5 pour faciliter l ’évaluation du degré de DE?

42
Q

Jérome vous a répondu qu ’il éprouvait des difficultés d ’érection et qu ’il désirait en parler. Comment allez-vous formuler vos questions par rapport aux érections matinales ou nocturne?

A

Remarquez-vous encore les érections du matin ou de la nuit que les hommes associent souvent à l ’envie d’uriner?

43
Q

Jérome vous a répondu qu ’il éprouvait des difficultés d ’érection et qu ’il désirait en parler. Comment allez-vous formuler vos questions par rapport à la masturbation?

A

Quand vous vous masturbez ou quand vous vous stimulez, notez-vous une différence ?

44
Q

Jérome vous a répondu qu ’il éprouvait des difficultés d ’érection et qu ’il désirait en parler. Comment allez-vous formuler vos questions par rapport à la stimulation érotique?

A

Avec les stimulations érotiques telles que les films, notez-vous une meilleur rigidité ?

45
Q

Jérome vous a répondu qu ’il éprouvait des difficultés d ’érection et qu ’il désirait en parler. Comment allez-vous formuler vos questions par rapport à l’ hétérostimulation?

A

Si votre partenaire vous stimule manuellement, quel degré de rigidité pouvez-vous atteindre?

46
Q

Jérome vous a répondu qu ’il éprouvait des difficultés d ’érection et qu ’il désirait en parler. Comment allez-vous formuler vos questions par rapport à la fellation?

A

Notez-vous une différence avec la stimulation orale, c.-à-d. la fellation ?

47
Q

Jérome vous a répondu qu ’il éprouvait des difficultés d ’érection et qu ’il désirait en parler. Comment allez-vous formuler vos questions par rapport à avec le partenaire vs seul?

A

Dans l ’ensemble, notez-vous une différence marquée entre la rigidité obtenue seul et celle obtenue en présence d ’un partenaire ?

48
Q

Jérome vous a répondu qu ’il éprouvait des difficultés d ’érection et qu ’il désirait en parler. Comment allez-vous formuler vos questions par rapport au désir?

A

Est-ce que vous éprouvez du désir, de l’intérêt sexuel ? Votre appétit sexuel est-il toujours le même?

49
Q

Jérome vous a répondu qu ’il éprouvait des difficultés d ’érection et qu ’il désirait en parler. Comment allez-vous formuler vos questions par rapport à l’ orgasme?

A

Avez-vous des difficultés à atteindre l’orgasme ou, au contraire, avez-vous plus de difficulté à retarder ou à contrôler l ’orgasme ?

50
Q

Jérome vous a répondu qu ’il éprouvait des difficultés d ’érection et qu ’il désirait en parler. Comment allez-vous formuler vos questions par rapport à la douleur?

A

Ressentez-vous des douleurs ou des malaises lors d’une relation sexuelle?

51
Q

Jérome vous a répondu qu ’il éprouvait des difficultés d ’érection et qu ’il désirait en parler. Comment allez-vous formuler vos questions par rapport au plaisir/satisfaction?

A

Ressentez-vous du plaisir et de la satisfaction lors de vos activités sexuelles ?

52
Q

Jérome vous a répondu qu ’il éprouvait des difficultés d ’érection et qu ’il désirait en parler. Comment allez-vous formuler vos questions par rapport
à la réaction du patient?

A

Comment réagissez-vous à vos difficultés ?

53
Q

Jérome vous a répondu qu ’il éprouvait des difficultés d ’érection et qu ’il désirait en parler. Comment allez-vous formuler vos questions par rapport
à la réaction du partenaire?

A

Comment votre partenaire réagit-il ?

54
Q

Jérome vous a répondu qu ’il éprouvait des difficultés d ’érection et qu ’il désirait en parler. Comment allez-vous formuler vos questions par rapport
à la motivation?

A

Quel est votre degré de motivation actuel à approfondir l ’évaluation et à tenter un traitement médical et/ou une thérapie au besoin ?

55
Q

Est-ce qu’on peut modifier l’ordre des questions de l’histoire sexuelle?

A

Oui, mais il faut TOUTES les poser

56
Q

Il est possible de concevoir un questionnaire simple et rapide portant sur: …

A
  • les 3 dimensions de la réponse sexuelle
  • la douleur lors des activités sexuelles
  • le plaisir sexuel ( l ’absence de plaisir constitue une dysfonction )
  • les comportements sexuels
57
Q

Quels sont les points à considérer dans la description du problème par le patient?

A
  • Comment nous présente-t-il le problème ( la formulation, la compréhension du patient )
  • L’apparition du symptôme et les circonstances
  • La réaction du partenaire
  • Le patient présente-t-il vraiment les caractéristiques d ’une dysfonction sexuelle ?
58
Q

Comment obtenir une histoire sexuelle?

A
  • Durée de la difficulté
  • Circonstances qui font apparaître les difficultés
  • Description exacte et précise de la difficulté
  • Le développement de la difficulté sexuelle
  • Évaluation des autres phases de la réponse sexuelle pour le patient
  • Évaluation des phases de la réponse sexuelle pour le partenaire
  • Réaction du patient et partenaire à la présence de la difficulté et les attentes…
  • Motivation pour le traitement
59
Q

Quoi obtenir dans le développement de la difficulté sexuelle?

A
  • première apparition
  • début subit vs progressif
  • évolution dans le temps
60
Q

Qu’est-ce que le bilan sexuel?

A
  • Description détaillée de l ’expérience sexuelle habituelle, récente ou typique et de son fonctionnement en terme de désir, excitation et orgasme.
  • C’est la partie la plus précieuse…
61
Q

Décrit le schéma d’évaluation par l’entrevue clinique.

A
  • Histoire sexuelle
  • Bilan sexuel
  • Bilan médical
  • Bilan psychiatrique
  • Histoire familiale et psychosexuelle brève
  • Relation affective avec le partenaire
62
Q

Quoi inclure dans l’histoire familiale et psychosexuelle brève?

A

structure familiale
agression dans l ’enfance
histoire de la masturbation
les messages sexuels reçus

63
Q

Quoi questionner dans la relation affective avec le partenaire?

A
  • rencontre initiale du couple
  • l ’amour mutuel
  • l ’engagement mutuel dans la relation et dans le désir d ’améliorer la vie sexuelle
  • les conflits ( fréquence, intensité et résolution )
64
Q

Décrit le modèle PLISSIT.

A
  • P Permission
  • LI Limited Information
  • SS Specific Suggestions
  • IT Intensive Therapy
65
Q

P du modèle PLISSIT?

A
  • P ; Permission
  • donner la permission au patient pour discuter de sexualité, que c’est un besoin naturel, initier un dialogue dans un climat de confort, malgré l’âge ou la maladie, aborder questions et inquiétudes
66
Q

LI de PLISSIT?

A
  • LI Limited Information
  • donner de l’information pertinente, normaliser, renseigner sur les mythes et croyances, discuter de l’intimité et des préjugés,
67
Q

SS de PLISSIT?

A
  • SS Specific Suggestions
  • après avoir bien compris la problématique du couple, aider le patient à bien comprendre la nature de son problème pour trouver des solutions réalistes comme utiliser un lubrifiant, relation matinale, barrer la porte de chambre…
68
Q

IT de PLISSIT?

A
  • IT Intensive Therapy
  • référence à un spécialiste au besoin, faire un suivi, poursuite du counselling, évaluer problématique connexe comme toxicomanie, trouble de personnalité…
69
Q

Vrai ou faux? Les problèmes sexuels ont un impact sur le ou la partenaire sexuelle.

A

Vrai!

70
Q

Que favorise l’inclusion du partenaire dans les discussion sur la sexualité?

A
  • l ’échange d ’information en vue du diagnostic;
  • l ’établissement des objectifs du couple;
  • la prise de décisions quant au traitement;
  • l ’apport du soutien et encourage le patient
71
Q

Que permet l’inclusion du partenaire à des fins diagnostiques?

A
  • recueil de donnees additionnelles
  • interpretations du probleme parfois divergentes
72
Q

Que permet l’inclusion du partenaire à des fins thérapeutiques?

A
  • motivations et perspectives parfois differentes quant aux divers traitements offerts
  • le choix du traitement doit convenir aux deux partenaires
  • la participation du partenaire augmente le taux du succes et favorise l’observance au traitement
73
Q

Nomme des sujets délicats à éviter lors d’une entrevue de couple.

A
  • Autres partenaires
  • Ancien partenaire
  • Masturbation
  • Fantaisies sexuelles
  • MTS ancienne
  • Pratiques sexuelles atypiques