linguistique : l'enonce complexe Flashcards
Table de Matieres
Nominalisations en FOR … TO , structures équi- sujets :
Nominalisations en THAT : Extrapositions
Clivées , pseudo-clivées
Nominalisations en ING
V-ING
Cas de complémentation verbale d’un adjectif
Causatifs , résultatifs
Inversion
L’ordre des mots
la phrase exclamative
L’extraposition
La complémentation verbale
Les connecteurs
Les propositions complétives
Les propositions relatives
LES STRUCTURES COMPARATIVES
x
LES STRUCTURES COMPARATIVES
Sur le plan psychique , la comparaison nâit du désir de mettre en relation deux entités et de les évaluer l’une par rapport à l’autre
Paramétres qualitatifs et / ou quantitatifs
Verdict sur
Leur similitude / équivalence
Leur diffférence
Le choix de ER ou de MORE est fonction de la longueur du mot considéré
More est de rigeur lorsque l’on compare deux attributs se rapportant au même sujet :
She’s more kind than intelligent
Les structures syntaxiques de base employées pour comparer expriment deux types de rapports fondamentaux
Un rapport d’équivalence ( souvent appellé comparatif d’égalité)
té)
marqueur AS
Ce rapport d’équivalence peut être nié au moyen de NOT , qui prend pour cible AS
En efffet cet opérateur est porteur de l’idéée primitive de conformité totale , de similitude parfaite ( puisqu’il est historiquement issu de ALL)
, plus S(o), signifiant wholly so
THE SAME exprime par son sémantisme l’idée d’identité parfaite
LIKE Contrairement à AS indique que la frontiére entre similitude et identité stricto sensu n’est pas franchie :
They stood for a moment in silencce and surprise , LIKE two strange cats meeting each other for the first time : Comparaison qui rapproche tout en conservant l’individualité de chaque terme
B) un rapport de non -équivalence
Le superlatif minorant se forme avec LEAST
VALEURS :
Le superlatif nous place au sommet d’une échelle de valeurs . Verdict d’excellence ( ce que codifie -TH - de THE dans the “ most fashionable districts )
C’est la différence de perspective qui est responsable d’éventuels décalages de sens ou de degré entre le comparatif et le superlatif : le comparatif procéde sur le mode binaire X et Y
Excellence absolue pour le superlatif et supériorité / infériorité relative pour le le comparatif
L’implication de l’énonciateur est forte
La comparaison hiérarchise les termes en présence . Il y a un terme premier qui sert de référence
Par rapport auquel un terme second est évalué . Paradoxalement le terme qui est psychiquement et logiiquement premier est trés souvent expxprimé en second :
She’s as rude as her brother
Le second AS fait basculler la relation prédicative : her brother / be rude , dans l’acquis , un acquis dont le sujet parlant se sert pour mesurerr le degré de she / be rude .
AS est un actualisateur de premier plan dans la mesure où il confirme la réalité de ce qui vient sur sa droite
Lorsque le rapport est de type non-équivalence , c’est THAN qui introduit le segment qui sert de repére , du moins pour le comparatiif . Le TH- de than est marqueur d’anaphore
Dans le cas du superlatif , la référence est sous-entendue
En régle générale , il faut toujours dégager ou reconstituer le terme qui sert de référence
Autre distinction : scalaire / non scalaire
Huddleston:
With scalar comparison we are concerned with degree or quantity ( as represented on a scale ) . With a non-scalar comparison , we are concerned with quality or identity
Nature scalaire avec more ( than ) , less , greater ( mode inégalitaire
Nature non scalaire: As much , as little ( mode égalitaire )
Recours à la structure ( the more …. The more pour signifier un accroissement proportionnel
x
Nominalisations en FOR … TO , structures équi- sujets :
1) Even to scythe the weeds would be such a help Problème de la nominalisation Structure en TO V To a pour fonction d'associer dans une relation prédicative un sujet S et un prédicat P , sans pour autant que cette relation soit posée comme validée . TO est un opérateur de visée, valeur fondamentale dérivée de son emploi spatial de préposition : i'm going to Paris La relation prédicative en jeu est posée comme validable
En fait ces structures en TO V doivent se lire : FOR X TO V V ce qui signifie en termes énonciativistes: le relation prédicative est posée comme validable pour tout sujet susceptible d’instancier la place de départ de de cette relation
Ici , le sujet effaçé renvoie à un indéfini someone , anyone
B) étude de la spécificité de notre structure par rapport à d’autres structures nominalisantes
A) scything the weeds would be such a help
B) the scything of the weeds would be such a help
C) * the fact that someone scythed the weeds would be such a help
A) : la forme en -ING se situe du côté du validé , ce qui est contradictoire avec la valeur de de visée désactualisée apportée par would
B) est plus acceptable car si on retrouve toujours le conflit validation/ visée , la structure privilégie les rapports entre le verbe et le complément, et a pour propriété de dissocier ( scythe -weeds ) de la classe des sujets potentiels
Quant à c) , le co conflit entre forme validée ( scythed ) et visée (would ) est irréductible
2) Georges thought he understood . He said " you want Jackie then ". You want your husband to come along too , work in the garden maybe? Is that it ?
Want est ici un verbe de type manipulatif: manipulation du sujet de l’imbriquée par le sujet de l’imbricante , qui peut aller de la prière à la coercion
Cas objet
You want him to come along
Alors que l’argument de want est ( your husband to come along)
: degré supérieur de coercion par rapport à except
. Le sujet de l’imbriquée est construit comme moins autonome , moins agentif
Remarquons que FOR est présent en structure profonde
On peut le faire apparâitre en insérant un adverbe après want :
You want very much for your husband to come
C’est FOR , même s’il n’est pas explicite qui assigne à NP , your husband le cas objet
Dans: you want to come along L'énoncé relève d'un schéma d'effacement équi-sujets Want représente une classe de verbes appellés aspecto -modalisants Want , intend , plan Manage , fail , forget , avoid Start , begin , keep on ... Etc You want O to come along too You contôle le verbe de l'imbriquée
Rappeller les analyses classiques de TO : outil de mise en relation d’un sujet et d’un prédicat
Valeur en harmonie maximale avec le sémantisme de want qui a pour trait sémantique de construire un point de vue “avant “ sur l’évènement ,qui est visé
3) To confide in one person would be confiding in at least one too many
Structure équative
Mise en rapport par un BE à valeur d’identification
La première séquence est en position de sujet, la seconde , d’attribut
Le sujet en question n’est pas exprimé .
Les générativistes postulent dans cette position un élément phonologiquement nul nommé PRO , caractérisé comme à la fois pronominal et anaphorique
PRO posséde toujours un référent (dont on dit qu’il le contrôle” au sens où il lui est co-référentiel)
Ce référent peut être spécifique comme :
The Emperor wanted PRO to torture the prisoners
Ou générique :
PRO To err is human
Dans ce dernier cas on dira , en termes énonciativistes que les structures en TO V , doivent se lire en FOR X TO V , cf ex 1
Ici , nous sommes au plan spécifique , l’élément PRO ne peut être que co-référentiel au sujet -origine du discours rapporté , en l’occurence , le personnage de mr Durant
Les formes en v-ing sont anaphoriques , valeur de commentaire
x
Nominalisations en THAT : Extrapositions
4) For it was demanded of us by our immediate environment that we grow to be of use to it in a practical way
Extaposition d’un énoncé passivé
L’extraposition consiste à faire passer un segment en fin d’énoncé
La place vide laissée par l’extraposition est instanciée par IT , qui joue le rôle de sujet de surface
Focalisation sur l’information la plus nouvelle
Le statut de that
Au plan sémantique , il explicite le contenu du verbe introducteur en le développant
Au plan syntaxique , ce THAT a un rôle clairement nominalisant
Statut de grow
Forme non-finie , donc non-assertée
Relation à valider
Subordonnée
Modalité intersubjective selon Cuilioli
On peut reconstituer derrière notre énoncé un énoncé modalisé comme :
You must) grow to be of use to me in a practical way
Certains linguistes générativistes proposent de faire appaâitre dans la structure profonde un modal O
5)
When so much has been written about Charles Strikland , it may seem unnecessry that I should write more
THAT , opérateur anaphorique d’un préconstruit
Invariant : opération de monstration , de pointage
La nominalisation en THAT prend la forme de C° de l’imbricante ou sujet
That I should write more may seem unnecessary
Extraposition
Le pronom IT est appellé explétive , il est cataphorique
6) the next day it was decided that he should spend a few days in Dublin:
Extraposition obligatoire
Problème central : celui du passif
IT instancie la place du sujet : substitut anaphorique de la situation au sens large
Statut de should
Déontique : valeur de non-congruence entre le sujet HE et le prédicat qui déclenche la relation intersubjective ( action du sujet énonciateur sur le sujet de l’énoncé
7) I found it difficult walking , for I was always trying to outdistance my compnion, and there was no advantage in doing this if the place led nowhere
I found (walking) difficult : I found ( ) difficult walking
La place laissée vide est instanciée par IT
IT est à la fois image de la relation prédicative < I walk >, et renvoie à la situation entendue au sens large
Ing - : valeur anaphorique
3) montée du sujet :
8) the ice man didn’t seem to notice ; he was following , working out his change
Le sujet grammatical the ice man est mis en relation avec le prédicat négatif not notice , le tout servant d’argument au deuxième prédicat seem
Seem ne prend qu’un argument : sujet
La position syntaxique de sujet est vide ou occupé par un IT ou THERE non référentiels
On applique l’opération dite de “montée du sujet”le NP de l’enchassée monte dans la position de NP de l’enchâssante
Le prédicat seem porte sur toute la relation qui lui sert syntaxiquement de de complément
D’un point de vue modal , on peut voir une forme de jugement de l’énonciateur sur les chances de validation du de la relation prédicative : modalité épistémique
L’autre substitution est celui de l’extraposition
It seemed to me that the ice man didn’t notice
C’est la validation qui est mise en avant ici , modulée ensuite par seem
Nathan Brightan has got kind of steps cut along the side of the hill , going zig-zag . what you would call a gradual ascent , and making it easy to climb
Cas de complémentation verbale d’un adjectif
Dérivation à partir de :
A) It is easy to climb it
Lui- même dérivé de :
B) To climb it is easy
Relation passive où l’agent est effacé
Dans la paraphrase a ) , on a deux IT , un IT anaphorique et un IT explétif
L’étape suivante est celle de montée du sujet
IT , syntaxiquement objet du verbe climb monte en position sujet
Contraintes sur les figures de ce type :
Pour ce qui est du verbe , il doit être essentiellement transitif
Rôle de TO :
L’adjectif easy porte sur cette relation entre sujet et prédicat
To pose la relation comme validable
On a ici un générique , trace d’une opération de parcours ( any )
x
Nominalisations en ING
10) then , three nights later , she had woken to the sound of him latching the door on his return
Enchassement d’une subordonée avec nominalisation
Fonction de la subordonnée :complément prépositionnel à l’intérieur d’une proposition matrice
Nominalisation au moyen de -ing
La forme accusative du pronom montre que l’on est ici du côté du verbal, que HIM reste sujet de latching
Donc on a un gérondif: **
Possibilité d’insérer un adverbe
: him carefully latching the door
Possibilité de négativer
11) the rush to open the gate , the backing up and to-and-froing
Problème de nominalisation
Le premier est un déverbal
Dans le deuxième cas , la nominalisation s’opère par flexion
Rush : verbe télique : terme atteint
Par rapport à une forme O backing up the truck , la structure the V- ING of N laisse au sujet grammatical de la phrase la possibilité de s’exclure de la classe des agents potentiels
Thématisaton du sujet dans :
The truck huffing over the hill
12). His father wouldn’t like him beeing in his chair , unlesss he were sitting on his knee
Imbrication de deux relations prédicatives
La proposition nominalisée est en fonction de complément à l’intérieur de la deuxième
HIM , sujet de BE est pourtant au cas accusatif
Le pronom n’est pas argument du verbe like
On a ici un exemple de marquage casuel exceptionnel : bien que HIM , n’est pas argument de llike , c’est bien ce dernier qui assigne le cas objet
Phénomène semblable dans les verbes d’opinion :
We believe him to be a liar
La construction avec sujet génitif est plus nominale :
His father wouldn’t like his beeing in his chair
Linguistiquement , les formes les plus nominales posent la validation du procés comme envisagée alors que les formes verbales restant plus proches de la notion
Ici conflit entre la validation envisagée et la visée hypothétique portée par would
13)i’m terrified by there being another person in the room with me ; I am terrified by the very notion of another person
Gérondif
Le terme de départ est another person
THERE joue le rôle de sujet de surface , le sujet profond est extraposé
THERE , terme de départ passe à gauche pour pouvoir servir de terme de départ
Valeur anaphorique et thématique de la forme en -ing
Verbes aspectualisants :
14) she gave me a thin smile and I started to move on when the young man came around from behind the trailer carrying a big carton of toys
A) I started
B) I moved on
B) est en position objet par rapport à A)
Co-référence des deux sujets
Complémentation verbale V to V qui fait système avec VOV , VV- ing
Le point de vue indiqué par TO dans to move on se situe dans l’avant du procés
Ing- présente une occurrence , point de vue interne
Traduction : j’allais partir quand “
15) the voice had not stopped singing . It went on , rich , virile
Structure équi-sujet
Stop est implicatif , au sens où il suppose la validation d’au moins une certaine quantité de procès
Franchissement de la borne de gauche
Verbes de perception :
16) but he heard his son calling him
Le sujet est ici experiencer ( siège du procès ) : sujet datif
Le second verbe est un verbe de processus
C’est toute la suite : his son calling him qui est sujet de hear
NP1 est à l’accusatif :
He heard them calling him
Nous sommes dans une subordonée et le sujet de la subordonnée tend toujours à perdre son autonomie
Dans le cas du verbe de perception, cette perte d’autonomie peut signifier que l’évènement S n’existe pas en dehors de sa perception par le sujet HE
La situation est différente dans le cas de la subordonée
NP2 ne saurait recevoir de cas sujet , car l’inflexion est ici -ing , de type non-fini . Le seul candidat à l’assignation du cas rest le V1 , hear
O renvoie à l’immédiateteté de la perception , à l’absence de décalage entre perception et objet perçu
Le point crucial semble , avec VO , Nous sommes au niveau de la notion . On travaille sur le coupe de valeurs P/P1: he heard his son call , not cry , not snore
Avec V-ING on est au niveau de l’occurence
17) as the man in the grey overcoat I was last seen entering the manager’s office
Question du passif : deux relations prédicatives
L’argument sujet de la deuxième étant co-référentiel à l’argument objet de la première , on obtient un énoncé de forme
( ) saw me entering the office
C’est l’argument animé humain qui se trouvera thématisé pour occuper cette place vide
Forme en -ing
Tout verbe de perception associé à une complémentation en OV , c’est à dire à une complémentation notionnelle , construit l’évènement comme comme global et inséparable de l’acte de perception
En revanche ne construction en V-ing : évènement plus autonome par rapport à la perception , et analysable
L’effet du passif avec les verbe de perception , procédant d’une thématisation du sujet de l’imbriquée , est de redonner à ce dernier une certaine autonomie par rapport à l’évènement , qui n’est plus vu dès lors tout à fait comme une globalité inalysable . Ce raisonnement vaut pour OV : she was heard to sing , thématise le sujet she et le sépare de l’évènement global, inalysable que nous avons dans : They heard her sing .
x
19) and what about the Ted Johnsons “ , I ask , “the men in uniform who made our stations great”?
Il s’agit d’une structure causative
Complémentation complexe : un V suivi d’un NP et d’un adjectif
Il faut orienter l’analyse sur les concepts de causatif et de résultatif , et poser au passage le problème de la transitivité et de l’agentivité
Paraphrase possible :
The men who caused our stations to be great
On a là le sens concret du concept de transitivité
Cette sructrure est proche de :
He painted the door red / they pried the door open
La propriété à laquelle renvoie l’adjectif est transitoire, comme ne renvoyant pas à de l’inhérent
La propriété < be great > est liée à la situation d’énonciation D’où l’interprétation dynamique et non pas statique
Dans
I had him do it ,/ I made him do it
The rain made the flowers grow / * the rain had the flowers grow
HIM recevra l’interprétation agentive
HAVE présuppose toujours un objet doté d’agentivité potentielle
Il faudrait encore poser le problème des structures dont la complémentation est en NP et non en ADJ
Il conviendra de citer des structures très productives de type :
They elected him chairman
He was appointed general
20) she had got the gate to open Deux relations prédicatives Structure causative C'est toute la relation gate / open qui est objet complexe de get Mécanisme général de la causation
On retrouve la valeur souvent avancée pour GET de franchissement d’une frontière , de contraste implicite entre un état de départ et un état d’arrivée ( get married )
Get ou cause, de sémantisme plus étroit que MAKE ou HAVE induisent un décalage entre le sujet et son prédicat, dont TO est la trace
21) I got that mail assorted and put aside in a hurry
Structure causative
Get est un verbe que nous nommerons opérateur causatif
HAVE +V -EN construit la source agentive du procès comme nécessairement différente de S1 . Rien de tel avec GET
Au plan sémantique ; les valeurs clasiques de “ résistance de S2 “ et de relation posée comme bonne pour S1 , souvent associées à GET restent pertinentes et opératoires pour notre exemple
Problème de la passivation : la promotion de l’objet au rang de terme de départ , ainsi que l’effacement de l’agent , sont à interprétrer en termes de thématisation
The mail est objet en structure profonde puis passe en position de sujet par passivation: the mail was assorted , l’effacement de BE dans l’énoncé de surface est trace du basculement du passif-action au passif-état, du verbal à l’adjectival
22) then they put a thousand on the convertible and doubled up and tripled the payments until a year they had it paid
Tournure passive *
Fausse symétrie avec des exemples tels que
I had my car washed
Qui sont de même structure syntaxique , mais qui renvoient à une opération de manipulation et de plus supposent que s2 est nécessairement construit comme différent de S1
Dans notre exemple S1 =S2
Glissement bien connu en diachronie de la périphrase à valeur stative -résultative vers le véritable parfait
I have a written letter
I have a letter written
Puis I have written a letter
Ici they est construit comme bénéficiaire du nouvel état dans lequel se trouve l’objet
Cette valeur de HAVE s’accommode d’un véritable adjectif
Microsoft is better off having an enfeebled Apple alive than having Apple dead
23) miss Glacé yanked the curtain open and there it was
Structure résultative
Phrase complexe
a)Miss Glacé / yank the curtain
b) The curtain / open
Construction dite “transitives complexes”
Ex : they elected him president
The curtain joue le rôle de pivot syntaxique de la structure puisque ce groupe nominal est CO de b) et C1de a)
Relation sémantique privilégiée entre a) et b) : relation de cause à conséquence, ou de moyen à résultat
Pour avoir un schéma résultatif , le V doit obligatoirement renvoyer à un processus
Ce qui est à droite du verbe doit nécessairement renvoyer à un état résultant
Il est impossible d’avoir un schéma :
N1 V N2 N3
He drank himself blind
* he drank himself a blind man
Car tout nom renvoie à par définition à du stable , par conséquent à un état non borné
La problématique centrale est celle de la transitivité
Walk est monovalent ou intransitif , il ne prend qu’un seul argument : sujet
La causativité permet d’augmenter la valence en rajoutant un argument à un verbe
John walked / John walked the dog
The tree felled / John felled the tree
Ici , le nouvel argument I est construit comme déclencheur , instigateur de la relation she / walk
Les versions en Make impliquent un certain effort ou une certaine résistance :
John walked the dog in the park / John made the dog walk in the park
Mais là on a un NP2 animé non-humain . Ce n’est pas le cas dans notre exemple
Glose :
I walked with her ( and showed her the way )
L’augmentation de la valence ici serait l’effacement de la préposition qui a pour conséquence de promouvoir le NP2 d’un rôle périphérique de circonstant à un rôle plus central d’argument
Problème des deux circonstants
TO dont le sémantisme fondamental est le déplacement ne dit pas lui-même si le terme visé est atteint ou non
Pour le premier circonstant le problème est plus complexe
Tout se passse comme si le substantif se transformait en adverbe de lieu
Ce qui semble favoriser l’adverbialisation c’est que home, à la différence de house relève d’un rapport étroit et privilégié avec le sujet
C’est dans le cas où cette relation particuliière est soulignée que , est focalisée en discours que l’adverbialisation se fait
x
LES RELATIVES
25) according to other versions , the meal would be placed on the dead person’s body , which must have made for some sloppy eating , one would have thought
Les reatifs sont d’une petrt référentiels et anaphoriques en ce qu’ils renvoient à un élément de contexte avant
Et d’autre part ,relateurs , traces d’une mise en relation entre ceux dont ils sont substitus et la séquence qui est à leur droite
Wich a le même fonctionnement que who et ne s’oppose à lui que par le trait - animé , humain
Le which dans notre exemple est relatif de phrase: son antécédent est l’ensemble de la relation prédicative précédene
Il fait partie du paradigme des formes en -wh , qui s’oppose à celui des formes en -th
Le morphème -wh renvoie à un déficit sémantique et à une attente de matière
On peut ajouter what dans les relatives dites nominales :
He didn’t like what he saw
O est plus proche de that que de which
Le problème est à poser en termes de relation serrée / relation lâche
That est par nature anaphorique et renvoie à une antériorité opérationnelle
Which établit une coupure , une frontière et sert de relanceur , annonce de l’information nouvelle
Which annonce toujours du rhématique
Relatives appositives :
In today’s paper , which I read on the bus this morning
Cette analyse explique pourquoi which est employé à l’exclusion de that avec unne préposition , qui introduit une rupture sémantique entre antécédent et relative
26) her kitchen was famous for a while - a center for
C’est le statut de sujet du verbe de la relative qui rend obligatoire la présence d’un pronom relatif autre que O
On distingue deux types de relatives : d’abord les déterminatives ou restrictives
The boys who wear red shirts are my pupils
Où la fonction de la relative est de restreindre la portée de boys
L’autre type : descriptive ou appositive
The boys , who wore red shirts , were highly visible in the distance
Mais il semble bien qu’il y ait un continuum
Ici , si nous avons eu une détermination forte :
The intellectual addicts who knew what they were doing , on aurait puu argumenter en faveur d’une interprétation restrictive forte , avec contrastivité mais la détermination ici est O
La différence est liée au changement de plan : générique / spécifique
Ici , il semberait que les deuxx valeurs soient liées , avec prédominance du générique
Il ne s’agit pas de décrire un type en l’opposant à d’autres , mais de décrire en bloc
27) two women called and giggled to someone they had put on the train
Relative à relateur zéro
Someone s’opposerait à anyone
Le premier ressortit à l’actualisation , le second à la virtualisation , c-à-d que nous sommes au niveau du parcours d’occurences , mais sans extraction de l’une d’entre elles pour l’ancrer dans une situatiuon particulière
Someone est ici un référent spécifique
Relative déterminative , mais on ne peut parler de restriction ou de contraste
La relation antécédent / relative est de type serré tout comme avec that ; en revanche , la diffférene se fait au niveau de la prise en charge énonciatiuve , qui se fait explicitement avec le relateur , mais qui reste implicite avec l’opératur O . Ici , la relation est présentée comme dépasée’ la forme d’accompli had +en est encore un indice fort à cet égard )
28) whole days and whole nights that now seemed to be explained by what she had worn
Rôle nominal
Jeu entre le morphème -at , qui ici nous indique que l’on s’appuie sur du préconstruit, ,et le morphème -wh , catactéristique de l’interrogation , donc du déficit , qui se trouve comblé par l’énonciateur à droite
valeur cataphorique de what , valeur qui l’oppose à which qui aura une valeur anaphorique
29) this cot was guarded by a romantic population , with one or two of whose units Michael could willingly have dispensed
Relative appositive
Groupe prépositionnel en with
Structure quantificative de même type que some of their units
Whose sert aussi de génitif de which
Alternance avec less NP -wh du type the +N +of which
30) he wondered how much of it Rebecca was aware of
Interrogative indirecte en position d’objet C1 du verbe wonder
Question partielle ou ouverte ( par opposition à la question totale ou fermée :
Was Rebecca aware of it ?
L’indétermination porte sur la quantification de l’objet
L’élément en -wh est image du parcours de valeurs susceptibles d’instancier la place vide
Problématique de l’ordre des mots
La question fait passer en position de thème l’interrogatif et représente également le recours au co-énonciateur . Dans la question indirecte , ce recours au co-énonciateur n’est plus pertinent , dans la mesure où la question n’est plus prise en charge par l’énonciateur , mais par le sujet grammatical de l’énoncé. Il n’ya donc plus d’inversion
x
Clivées , pseudo-clivées
31) hazel-it is Hazel and the rotten landscape that dominate everything
Pronom it à valeur cataphorique
Cette structure est dérivée d’un énoncé plus simple , qui serait
Hazel and the rotten landscape dominate everything
Les phrases de ce type procèdent de la cassure d’une phrase matrice , d’où l’appellation de clivée
La caractéristique des clivéees est de faire apparâitre de façon transparente l’opposition thème / rhème , le thème étant toujours à la droite de that, le rhème introduit par BE
L’essentiel est le phénomène de topicalisation de l’élément à droite de la copule
On s’appui sur un présupposé
Sémantiquement , l’opération sous-jacente est une opération d’identification de l’élément focalisé
It a un rôle cataphorique
Analyse de THAT
Dans un gradient allant du relatif au complémenteur , il est plus proche du relatif lorsque c’est un argument du verbe qui est focalisé( comme dans notre cas où il s’agit du sujet ) ; en revanche , lorsqu’il d’un circonstant , il est franchement du côté du complémenteur ( it is permanently that Hazel and the landscape dominate everyttthing
Ici il est indice de relation serrée entre antécédent et relative
Le morphème -th est toujours de l’ordre de l’anaphore: relation sujet- prédicatt non-problématique
32) what sustained Mason was his conviction that others would soon become aware of the sea
Proposition à fonction nominale
What : valeur de relatif
Phrase pseudo-clivée
Certain grammairiens disent que what amalgame son propre antécédent constrructions identifiantes , dans la mesuere où elles comportent obligatoirement BE dans sa fonction de copule et dans sa valeur d’identification
Préc onstruit qui sert de repére à la relation prédicative et est ensuite identifié à X
La structure thématique de notre énoncé est donc :
There was something that sustained Mason ( thème )
And this something was his conviction that others would soon also become aware of the sea ( rhème )
La structure de pseudo-clivée permet de thématiser le segment qu’on désire
33) it is with the muleta that a reputation is made
Valeur de où X est un groupe prépositionnel
Cassure d’une phrase matrice
Valeur contrastive
Syntaxiquement , le constituant focalisé se trouve déplacé de sa position dans l’énoncé de départ:
A reputation is made with the mulettta
Pour occuper la place de complément atribuif de BE en position frontale dans l’énoncé modifié
Fonction d’identification de BE
Ces structures s’appuient sur un préconstruit qui leur sert de repère
Le thème ( informatioon la plus ancienne , la plus acquise ) est à droite de THAT
Le rhème ( l’information la plus nouvelle , celle qui fait progreser l’énoncé ) est introduite par BE
Cependant dex tiers du corpus font apparître des clivées non-marquées , où c’est la relative qui est porteuse de l’information nouvelle
La structure clivée est justifiée par la requalification du constituant focalisé par association à une proposition elle -même requalifiée
IT : sujet apparent de BE
Il rentre en rapport avec le reste de l’énoncé par l’intermédiaire de THAT
Parenté très étroite des clivées avec les relatives restrictives
THAT est une forme de déictique qui a pour fonction principale une opération de pointage
x
Inversion
34) even had he been forced to work hard and unremitingly , he would
Protase d’une hypothétique
Diathèse passive
He , sujet syntaxique
Cet énoncé peut se réecrire
Even if he had been forced to work
L’ordre des mots de cette hypothétique est typique de l’ordre des mots d’une interrogation
Choisir une valeur dans le couple P/ P’
Ensuit e , prendre en charge cette valiadtion
Dans notre exemple la trace de la prise en charge est le temps fini du morphème verbal , à savoir -ED
L’inversion a partie liée avec la non-assertivité
Dans le domaine de l’hyôthétique les formes susceptibles de déclencher l’inversion du sujet sont : should , , were et had
La valeur du morphème -ED n’est pas celle d’une rupture temporelle , mais d’un repérage de type fictif ( prétérit modal )
La relation prédicative n’est pas assertée au sens de choix d’une valeur et prise en charge: S0 ne s’engage pas sur la validation de S/P . Cette validation est posée fictivement avec WERE
Notre exemple est de l’ordre du contrefactuel :” S/P n’est pas validée , mais mettons nous d’accord provisoirement qu’elle soit validée”
Il apparâit donc que le passage à gauche de l’auxiliaire correspond à une thémaisation de celui-ci , et au-delà de celui-ci des opérations de prise charge énonciatives caractéristiques de l’assertion . L’efet global est celui d’un abaissement du degré d’assertivité de l’énoncé, par remise en cause de la relation prédicative S/P
Au cas où c’est un autre élément qui est antéposé :
Never will he make that mistake again
Adverbe négatif ( ou restrictif ) :
Une relation prédicative préalablemment assertée est reprise sous forme de préconstruit , puis ce préconstruit est remis en cause pour en restreindre la portée . L’abaissement du degré d’assertivité est lié à la présence du préconstruit
35) mild as her nature was , she was nearly ready to ask him if he expected to stay in the rooming-house all that time
Problématique du rapport concessif par focalisation de l’adjectif
As her nature was mild
Conflit sémantique entre une cause et une conséquence
La simple antéposition de l’adjectif suffit donc à à donner la valeur concessive qui s’impose
AS : valeur abstraite de similitude
Au départ , il ya la valeur préconstruite< her nature be mild >
Cette relation est présentée comme déjà assertée ( mise à l”arrière plan ) . En revanche cette relation est mise en coincidence avec deuxième énoncé ( she was ready ) . As fonctionne donc comme un opérateur de concomittance, mais l’interprétation paradoxale “ est uniquement générée par les implications diveergentes du deuxième énoncé
La structure de départ est donc
Her nature was mild BUT she was ready ( paradoxe ) . Il y a topicalisation de l’élément paradoxal et tout se passe comme si le passage de cet élément à une place non canonique suffisait pour à la fois poser et résoudre ce paradoxe; cet élément peut être comme ici , un adjectif , mais également un adverbe , un verbe ou même un prédicat complet
Much as he loved her
Try as he would change your mind as you will
Substitutions possibles :
Although her nature was mild
La subordonnée concesssive est prise en charge au même niveau que la relation prédicative de la principale
Mild though her nature was présente la même structure , mais l’effet est plus paradoxal
Even if her nature was mild
Valeur hypothétique
x
FOR
36) for when they began to live happily ever after they were warned
Connecteur qui relie deux proposiitions
Problématique de la causalité
Rapport de dépendance entre les deux phrases
Permutation avec BECAUSE , SINCE
Prenons les énoncés p et q< she / not go to the party >
L’opération marquée par par WHY revient à une remise en cause par le co-énonciateur de l’asssertion de Q par l’énonciateur . L’opération marquée par BECAUSE revient donc à une nouvelle prise en charge de Q à travers la prise en charge de P . L’ensemble connecteur P est donc de l’ordre du rhématique
Par rapport à Because , SINCE ne procède pas d’une remise en cause , mais au contraire d’une thématisation de p , qui est présenté comme préconstruit au co-énonciateur . La glose serait : “tu sais , tou le monde sait “
Il n’est guère surprenant que cette opération soit incompatible avec le clivage qui focalise un élément rhématique
It is because / *for / * since he was ill that she didn’t go to the party
FOR occupe une position intermédiaire : il se rapproche de SINCE dans la mesure où P est présenté comme évident au co-énonciateur , mais dans le même temps , P est pris en charge par l’énonciateur et par lui seul , ce qui était un trait distinctif de BECAUSE
La glose serait ; “ entendons nous bien “
C’est ce marquage entre deux temps qui empêche l’antéposition de FOR
Because / *For / *Since he was ill , she didn’t go to the party
x
Enonce complexe
BV – TO +BV – BV+ ING
BV
V: stricte contenu notionnel => strictement qualitative – ni marque de temps, ni pers et svt
pas de marque aspectuelle non plus donc pour son ancrage situationnel elle dépend d’une autre forme :
1/ opérateurs de prédication 2/ autre prédicat
1/
a/ DO et modaux
DO => formes interrogative, nég, emphatique
Dans les trois cas on reste à un niveau notionnel :
interro : relation pas validée encore donc on n’est pas dans l’actuel
nég : lien sujet / prédicat pas effectué
emphatique : on repart à zéro et on les met explicitement en relation
b/ MODAUX
VE : pas assertion au sens strict
VR : même chose : ordre ou permission, on n’est pas sûrs que la relation sera actualisée
Bv renvoie à une notion qui se définit par rapport à ce qui est autre => may : équiposs => Bv renvoie toujours V+ et V – de manière sous-jacente
2/
a/ structures causatives
relations intersubjectives : make (contrainte), let (abs de contrainte), have (localisation)
Make et Have : faire en français mais différents en anglais : Make : X maître du jeu – Have : Y décide et X catalyseur (have imposs avec seem car sjt pas autonome – ne peut décider d’avoir l’air)
Dans ces structures : la BV vient qualifier la relation principale, expliciter, spécifier la contrainte. BV = contenu sémantique de la relation principale
He made her promise => Promise vient qualifier he => made
On les appelle structures transitives complexes
b/ verbes de perception :
He saw him arrive => structures transitives complexes aussi
Même chose : Bv vient qualifier relation établie par le verbe de perception => opposer ce que la personne à vu à ce qu’elle aurait pu ne pas voir
# ing => surprise
I’ve never known her lose her nerve before => même chose
c/ help
he will help me find out … => même chose
d/ I’d rather et you’d better => plus proche des opérateurs de prédication car V modale mais en tt cas Bv montre qu’on reste à un niveau notionnel
e/ autres
nothing else but apply => seule notion qui peut valider S/P
What she ought to do is this : apply, then … => opposition des notions entre elles pour expliciter contenu de do
f/ indépendante ou avec why ?
Why go now => énoncé polémique, remise en cause de la validation et retour à la notion (par opposition aux autres : on peut ajouter rather than…)
g/ impératif
on reste à un niveau notionnel parce que pas sûr que l’autre va obéir
Let’s go (# let us go) => structure causative atténuée qui prend une valeur d’impératif
h/ au sein d’une proposition en « that »
It was his doctor who advised that he change his job
Objet d’une évaluation appréciative ou déontique => pas sûr que suivi de faits
(si on ajoute should cela devient plutôt un conseil donc impossible si V déontique trop forte)
TO + BV To = opérateur et donc opération sur BV
BV = contenu de sens principal et noyau verbal de l’énoncé
ToV = noyau d’une subordonnée infinitive et ne représente qu’un constituant de l’énoncé – sub =>fct syntx dans la phrase – svt fonction nominale :
sujet : to be neutral in this conflict is out of the question
sujet extraposé : It is out of the question to be neutral in this conflict => contact directe chose jugée et jugement
attribut du sujet : the best excuse is to say that… (ici identification – deux autres att existant : caractérisation et localisation)
COD dans une transitive complexe avec extraposition de l’objet
They consider it their duty to speak to his parents
apposition, complément du nom, de l’adj etc..
fonctions cironstancielles
=> but (glose : so as to) : People would come here to look at the garden
=> temps : she turned round, to see her car had been stolen
Toujours retrouver le sujet de toV (to ici particule ou marqueur de visée). To = mise en relation de la Bv et d’un SN – to transforme la Bv en prédicat (donc chercher le sujet) qui voit son domaine d’application limité au seul sujet – svt recours à la préposition one pour le retrouver quand effacé :
par généralité : (for one) to learn a language is…
par identité avec celui de la matrice : our friends wanted to watch the film
parfois extraposé : It was difficult for me to decide…
he did not like me to be alone : pas introduit par for car COD de la principale
To = opérateur de visée => visée porte sur notion exprimée par BV ;
walk renvoie à walk mais aussi à not walk et visée = choix d’une des deux valeurs que je pose comme obj à atteindre (mais je peux manquer mon objectif)
I hope to see you soon => le vb rend ceci clair mais pas sûr que cela va se réaliser – virtuel
donc : Bv => occ notionnel et ToV => occurrence virtuel (un pas de plus – devient un prédicat validable)
Vb à fonctionnement modal => la visée devient épistémique => je distingue une valeur qui a de fortes chances de se réaliser
They seemed to like me (It seemed that they liked me ou that they liked me seemed true)
They appeared to enjoy themselves
Ving
1/ Nature et fonction
la forme la plus nominale. Adam => opérateur de nominalisation. (à nuancer)
a/ noms verbaux
verbes qui suite à l’ajonction de ing deviennent de véritables noms => fonctions nominales + caractéristiques nominales (post-mod adj + det etc…=> manip)
b/ adjectifs
caractéristiques adjectivales (coordonner avec un autre adj ou intensifier avec adv de degré ou
utiliser structure comparative ou superlative)
et fonction adjectivales (epithète, attribut…)
c/ Participe présent => noyau d’une proposition participiale
conservent leurs caractéristiques verbales (manips précédentes impossible + impossible de les placer en fonction attribut (si PPst alors on a l’impression d’avoir un be + ing) + on peut les modifier par un adv de manière + peut avoir un sjt ou COD)
noyau d’une proposition à fonction adjectivale ou circonstancielle :
fonctions adjectivales :
danger épithète :
the dark moving girl (prop = seulement noyau) => danger confusion adjectif
a Gambling house => danger confusion noms verbaux (peut se transformer en house for gambling ou possible changer le Ving pour un autre nom : racing season = football season) pre ou post mod : the leaves scudding past her (glose avec une relative => si impossible fonction circonstancielle + si peut passer en début d’énoncé alors plutôt circonstant) Apposition ??? comment les distingue-t-on des gérondifs ???
fonctions circonstancielles :
they went to work wearing sweaters. => manière
He looked at the crowd, hunting for her => temporelle de simultanéité ou causale
Pas de marqueur de subordination pour nous aider à déterminer la V du circonstant => contx (et parfois plusieurs valeurs enchevêtrées)
Parfois valeur de conditionnel : considering what might have happenend it could …
cause, cons, manière…
d/ gérondif
caractéristiques verbales mais noyau d’une proposition à fonction nominale => gérondive sjt, COD, attribut d’identification (on peut inverser sjt et att # attribut de caractérisation => adj), apposé à un nom ou adj, complément de la prép for : I’m responsible for drawing up the budget souvent sujet effacé par identification avec sjt de la matrice mais quand sujet propre: quand gérondif : le plus souvent forme génitive (surtout si pronom et # si référent pas animé humain):
his driving the car would be a disaster
J’s marrying her would be great
(accusatif bizarre avec ref humain et gérondif)
Avec une visée => génitif impossible :
*J’s going to the dentist would be a mistake => impossible car avec would S/P pas actualisée J’s going to the dentist was a mistake => actualisé donc génitif (génitif = relation plus liée)
I saw him lying on the beach / * I saw his lying on the beach => impossibilité du génitif nous montre que c’est un participe présent
2/ V de ing
V actualisante, imperfective, nominalisation à caractère présupposant, fort ancrage situationnel
BV = notion => ToV = nv virtuel => Ving = actualisation et ancrage situationnel Dans le gérondif apparaît clairement=> stop shouting ! ( a déjà commencer)
comparaison entre les trois formes et alternance
Ving et BV
Ving => alternances possibles seulement avec Ppst et gérondif
dans les transitives complexes => peut commuter avec BV (vbs de perception) He saw her come up the road
he saw her coming up the road
Ving et ToV
Gérondif et COD => peut commuter avec ToV
I hate drinking alone
I hate to drink alone (mais pas avec tous les verbes)
Chercher les différences sémantiques
1: pas vraie alternance mais concurrence
He made the warden unlock the door
he forced the warden to unlock the door
pas alternance mais concurrence =>
1. une seule relation prédicative de contrainte et Bv = recharge sémantique
2. deux relations relativement autonomes et imbriquées par the warden => CO de la
première et sujet de la deuxième preuve : * he made the warden seul ne fonctionne pas – besoin recharge sémantique
force => sens propre qui va bien avec la visée
make => n’importe quelle recharge qui s’applique à une relation intersubjective alors que force ne va qu’avec S/P applicable de force
structures causatives avec get => ToV:
he was trying to get her to give up…
là encore deux relations imbriquées et distance entre cause et effet. 1 ière relation doit être validée pour que la deuxième le soit.
(chercher à – amener qqun à …)
structures causatives avec cause => causation indirecte (sinon make)
the fanbelt on his car broke done, causing the engine to overheat (cause indirecte => pers n’a coupé la courroie)
on peut appliquer cette analyse aux vrais cas d’alternance parfois :
Persil will help you to wash the linen more easily
She helped me write the letter
1: Validation de la première S/P a pour objet la validation de la deuxième + aide indirecte
2: une seule relation et BV vient spécifier la nature de l’aide + aide directe
avec to j’aide en expliquant avec Bv j’aide physiquement etc… => moins de distance
Apparition de TO dans les passivation de structures avec make :
adam => passivation = opération seconde donc nécessite un dépassement par rapport à la notion verbale (BV) de l’actif. Suppose apparition de « to » qui transforme la notion en prédicat. Donc to révèle une relation sujet prédicat.
Ce passif peut avoir une cible explicite : She was made to open her bag
was made a pour cible la mise en relation sjt/prédicat symbolisée par « to »
B et C : suite à la disparition du sujet on a mise à distance de la relation et la relation redevient un simple prédicat
Gilbert : L’origine de la contrainte a disparu, l’objet de la contrainte est le sujet passif. On garde l’idée d’une visée qui pèse sur lui. Obliger de la réintroduire pour garder l’idée de la contrainte + idée qu’elle a une origine.
Même chose phrases passives avec verbes de perception
A young woman was seen to throw …
To = cible de la perception – insistance sur existence de la relation prédicative 2: vraies alternances :
a/ Ving et ToV
please, remember to ring him up => visée
I remember hearing => occ situationnelle antérieure
Même chose avec regret, forget…
Try => cas différent :
1: I’ll try to do my best => effort en vue de faire qqch
2: Try knocking at the window => tenter une expérience – Ving => validation du procès = moyen pour atteindre autre objectif (1 : obj = fin en soi)
Verbes affectifs => même genre d’explication
I hate to say it => je vais le dire mais j’aurais préféré que ce soit l’autre valeur
# I hate being made to wait
On a un jeu sur les deux valeurs
Would like => would = visée et donc va dans le même sens que to- ici Ving impossible he did not like parking the car there => suppose qu’il l’a fait
begin
he began to whisper in her hear => insistence sur le passage de non validation à validation He began whispering => V aspectuelle. On insiste sur la validation du procès en tant que tel Need et want
cert grammairiens : + Ving => sens passif this room needs cleaning
mais pb de la visée avec want
En fait occurrence situationnelle du procès – constat d’un fait (d’où équivalence avec passif mais pas de pression exercée)
Force de l’énoncé vient de l’absence d’agent => V objective et évidence
ToV => désir, volonté, besoin
b/ BV et Ving
Vbs de perception :
BV quand procès lui même qui nous intéresse => I never once saw the tube move
V+ing quand agent nous intéresse => he saw a large man digging… (large man (who was digging) qui nous intéresse)
x
Les subordonnées
Aucune autonomie. Constituant d’une proposition matrice. Determinée par la forme du subordonnant.
a/ intro par that seulement That n’a pas de fonction syntaxique ni de valeur semantique, simple marqueur de subordination
Fonctions possibles : sujet
attribut du sujet
Fonctions possibles :
sujet : That the invading troop have been withdrawn has not affected…
Attribut du sujet : My assumption is that…
apposée à un syntagme nominal : Your criticism, that no account has been taken of… complément d’un adjectif : We are glad that…
b/introduite par 0 ou par that
on peut mettre les deux
COD :I know it’s late
svt 0 quand sujet extraposé => It is possible that they can’t afford to rent that appartment c/That conjonction de subordination garde sa parenté avec le déïctique => v anaphorique On l’utilise donc souvent pour introduire une sub contenant une information déjà donnée
0 Peut intro info ancienne mais plus svt nvelle.
D/ Extraposition avec that quand on a une structure transitive complexe
Their daughter’s success makes it very likely that she will return to California (???)
(COD de make???) Extraposition avec that quand matrice => exclamative ou interro
How strange it is that the children are so quiet !
2/conjonctives relationnelles ou subordonnées circonstancielles ou adverbiales
intro par conjonction de subordination qui a une valeur sémantique. Cette V permet de dire leur fonction. Fonctions circonstancielles ou adverbiales
a/ temporelles : as soon as (subordonnant complexe), when, once, while, as, until, since
Etablissent différents rapport entre la subordonné et la matrice
b/ lieu : where ou wherever
c/ hypo ou conditionnelles en if :
condition réelle ou potentielle quand le vb est au présent (pas de visée mais simple relation cause à effet)
condition hypothétique quand vb au passé :
If he changed his opinion he’d be a more likeable person => irréel du futur
they would be with us if they had the time => irréel du présent (contrefactuel)
If you had listened to me you wouldn’t have made that mistake => irréel du passé (contrefactuel) (3 derniers = visée fictive)
ed = irréel et have + en = passé
« posons que cette situation est vraie » => construction situation fictive à partir de laquelle on fait des visées fictives.
hypo posée par inversion vb/sjt :
Had I known, I would have written before (past pefect)
Were she in charge, it would be different (style plus soutenu et subjonctif)
Should you change your mind, no one would blame you
parenté yes/no questions :
inversion sjt aux
if => présent dans yes/no questions au style indirect
questions : Deux valeurs on et on ne sait pas ce que le co-én va choisir
hypo : j’avance une valeur comme hypo mais je garde l’autre en arrière plan
d/ les concessives => although, though, while, whereas, when, even though
prop sub dont la validation censée s’opposer à la validation de la matrice. When => quand cette opposition est présente la V concessive prend le pas sur la V temporelles
She paid when she could have entered free
While I don’t want to make a fuss, I feel I must protest
Quirk : à l’intérieur des sub concessive =>
sub de contraste : while X teaches English, Y teaches maths
sub d’exception : I would pay you now except I don’t have any money on me (ressemble aux hypo mais polarité inversée)
e/ sub de cause => because, as, since, for , (parfois when)
I was relieved when I learned she would not come.
Rmqe : for considéré comme conjonction de coordination par cert grammairiens
for = car en français
vrai que v causale proche de because et since mais fonctionnement différent => imposs le mettre en début de phrase
propositions en for svt indépendantes de la matrice => séparé par un point
Portée de la relation causale :
Let R opposent because à for : because justifie la validation du procès, les faits alors que for justifie l’énoncé et seulement ça. « I say that because… »
The flowers are growing so well because I watered them
Vanessa is your favourite aunt, for your parents told me so (mais là because possible aussi!Contient les deux)
L et R => for = coordination mais en fait même fonctionnement que because dont raisonnement limite.
f/ sub de but
so that – in order that – so as to – so
sub en so that => contiennent svt un modal qui maintient la prop à un niveau potentiel (visée)
si sub négative on ne peut utiliser so seul
I ignored the remark so as not to prolong the dispute
g/ sub de conséquence
so that, so mais absence de modal !!!
We paid him immediately, so (that) he left contented
Dans les subordonnées de but on a souvent so that
Dans les sub de cons on a svt une pause symb par une virgule
Quirk : so pas conjonction de subordination mais adverbe conjonctif => as a result of this – consequently
So peut-être proforme qui se substitue à la première proposition donc V anaphorique
Quirk => impossible de la mettre en début + possible coordonner les deux propositions qui sont au même niveau donc pas conjonction de sub (mais peut-être parce qu’exprime la conséquence) so that => travail sur les faits
so => travail sur l’énonciation
h/ commentaire
comm de l’én sur la prise en charge de la matrice => justifier, appuyer prise en charge :
She is extremely popular among students, as is common knowledge.
I live a long way from work, as you know.
Quirk : as = pronom relatif mais pas justifié : plutôt ellipse du sujet ou de l’objet (en fait = matrice= parce que ce qui int le co-én c’est la prise en charge
3/ les interrogatives indirectes fermées => if ou wether
aucune fonction syntaxique à l’intérieur de la proposition => indique seulement son caractère subordonnée.
Proposition à fonction nominale => svt COD
II/ les interrogatives indirectes ouvertes
intro par un pronom adverbial interrogatif : pronom en WH- qui indique le caractère interrogatif de l sub mais pas son caractère sub.
Fonction syntaxique à l’intérieur de la sub qu’ils introduisent.
How the book will sell depends on … => cc manière
I can’t imagine what they want => COD
The problem is who will… => sjt
They did not consult us on whose names should be put forward => det
etc…
ces propositions => fonction nominale
sjt, COD, att du sujet, apposé à un SN, complément d’adj, complément d’une prép (ci dessus) (apposée => our original question, why did not report it to the police earlier, has not yet been answered)
attention !!
I asked them on what they based their predictions => what = complément de la préposition They did not consult us on whose names should be put forward => tte la proposition => complément de la préposition
I asked them what they based their prediction on => parler de dégagement de la préposition plutôt que de rejet (dégagée de son complément mais place normale derrière le verbe)
pronoms interro ressemblent à des pronoms relatifs => ambiguité entre les deux types de propositions
interro chaque fois que l’expression qui intro l’interro suppose un mécanisme de question / réponse.
Vrai aussi pour : It is irrelevant who will look after… ou I told you who would look after… exclamatives indirectes = même propriétés formelles
It’s incredible how fast she can run
I remember what a good time I had at your party
adj ou predet exclamatif marquent caractère exclamatif de la prép mais pas sub + fonction dans la proposition.
Sub exclamative => fonction nominale
You can’t imagine what difficulties I have with my children => interro ou exclamative => 2 interprétations possibles
x
III/ les relatives
1/ adjectivales => post modifient un nom ou un SN
Introduite par un pronom relatif qui a une fonction dans la sub et indique son caractère sub
a/ restrictives ou determinatives => restreint le réf de son antécédent
intro par pronom WH- ou that/0
pas séparés de l’antécédent par virgule
impossible les supprimer
pronom relatif :
who/ that antécédent animé sjt de la prop
which / that antécédent inanimé sujet de la prop
who(m) / that / 0 si antécédent animé COD
which / that antécédent inanimé COD
whom / which si complément d’une préposition => he is the policeman at whom the burglars fired the gun
whom - which / that / 0 si préposition dégagée => the policeman the burglars fired the gun at cas particuliers :
whose : déterminant relatif (??)
The woman whose daughter you met is Mrs B
remplacé par of which si inanimé mais de plus en plus souvent whose aussi lieu : in which ou where => that’s the place where she was born moment : during which ou when
cause : why
(when, where, why = pronoms relatifs adverbiaux)
confusion relatives en that et conjonctives
Attention à ne pas confondre relatives en that et conjonctives en that quand suivent un nom : The news that appeared in the paper this morning was well received => postmodifie l’antécédent donc relative
the news that the team has won calls for a celebration => complète the news donc fonction nominale
le relatif a une fonction à l’intérieur de la proposition et on ne peut le supprimer car antécédent conjonction de sub peut être supprimée + pas de fonction
conjonction suit un nom à référent abstrait (fact, belief news, message) dont le contenu est exprimé par la conjonctive
Pour quirk : apposition et non pas complément du nom car co-référentialité et construction relation attributive possible : the news is that…
b/ non restrictives ou descriptives => précision supplémentaires
intro seulement WH- (who, whom, which) => sjt, COD, att, complément prép dégagée ou non (this is a new type of word processor, about which there has been much publicity)
séparées antécédent par virgule
peuvent être supprimées
In 1960, he came back to London, where he has lived ever since.
Where => pas relatif adverbiale car CC lieu dans la prop sub
proposition => pas CC car c’est London le complément (post-modifie? Mise en apposition ?)
2/ nominales
relatives à antécédent amalgamé => contient son antécédent et donc la proposition a la fonction qu’aurait l’antécédent
what = which + that => that which / the thing which
where : the place where
how : the way that
who : the person who fonctions de la proposition :
sjt : what happened upset him
COD : I took what they offered me
att : Macy is where I buy my clothes
etc.. .
le pronom relatif a aussi une fonction
c manière : That’s how she works
complément prép : I’m who you are looking for…
etc…
3/ relatives phrastiques ou de commentaire :
Ces relatives sont apparentées aux adjectivales non restrictives car il y a une virgule qui permet au sjt/én de faire un comm sur le prédicat repris par ces relatives.
le pronom relatif ne reprend pas un simple SN mais tout un prédicat :
they say he plays truant, which is not true (play truant)
he walks an hour every morning, which is good for his health (tt le prédicat)
le relatif which peut aussi fonctionner comme déterminant mais le contenu de la proposition qui fait l’objet du comm est repris par un nom anaphorique :
The plane may be several hours late, in which case it is no point waiting here.
Since when peut aussi intro ce genre de relatives :
She joined the editorial staff of a local newspaper, since when she has contributed to various monthlies.
4/ attention confusion structures clivées :
It was John who/ that wore a white suit at the dance last night
thématiser un élément de la relation préd. Je pars de John wore a white suit, j’extrait John et je le met en valeur avec it is.
La place laissée vide est occupée par un pronom qui ressemble au pronom relatif mais n’en a pas toutes les caractéristiques :
sjt animé humain => who mais aussi that (relatif : who seulement) et autres cas tjs that et 0 (jamais which et whose)
pronom relatif ne peut reprendre qu’un SN, pas toute une proposition comme ci-dessous :
It was because he was ill that we left
relatives nominales dans les pseudo-clivées :
It’s a good rest that you need most = what you need most is a good rest
antécédent amalgamé
IV/ propositions non finies
considérées comme des sub mais aucun terme intro
non finies : ni marque de pers, ni marque de temps donc doivent dépendre d’une matrice. Caractère subordonné marqué par infinitif, gérondif, Ppst
V/ subordonnées comparatives
intro par subordonnant discontinu ou corrélatif
1/ équivalence / non équivalence
comparaison d’une antité à une autre à propos d’une notion commune à ces deux éléments égalité : Jane is as healthy as her sister
jane possède cette notion à un degré égal à l’élément de comparaison (her sister)
Sub svt elliptique.
structure corrélative => 1ier terme appelle le 2ième
more … than (adv + conjonction)
as … as (conj + conj?)
the time passed more quickly than last year
sub vient compléter more et l’ensemble porte sur quickly => l’ensemble fonctionne comme un adv de degré. Traiter cette structure comme un adverbe (degré relatif qui se définit par rapport « last year »)
Phrase négative : choix entre as + as ou so + as => so = haut degré non véhiculé par as donc alternance pas libre :
*Her baby is not so old as I thought
2/ suffisance ou excès
syntagme véhiculant une idée de suffisance + infinitive
You’re old enough to look after yourself => so that you can
a atteint un degré d’âge suffisant pour valider proposition
syntagme véhiculant une idée d’excès + infinitive
I’m much too tired to go out
L’infinitive vient compléter l’adverbe too ou enough et l’ensemble nous donne un degré de la propriété envisagée. Degré qui se définit par rapport au but ou résultat exprimé par l’infinitive en
« to »
degré d’âge suffisant pour valider la prop, degré de fatigue qui se définit par fait de ne pouvoir valider prop
too : degré trop élevé et orientation négative
enough : degré suffisant et orientation positive
suffisance compatibles avec some
excès compatibles avec any
implications + ou - peuvent être mises en V par gloses en that.
3/ les deux peuvent aussi se présenter sous forme de corrélatifs en so that / such that
so / such = haut degré et that = résultat
so peut modifier un adj ou adverbe
such peut modifier un SN
même fonctionnement que les autres : ensemble so/such + that porte sur SN ou adj ou adv
V d’excès quand prop en that est négative => glose : too + infinitive
She is too old to do any work => so old that she can’t do any work
V de suffisance quand prop en that est positive=> glose : enough + infinitive
She is old enough to do some work => so that she can do some work
glose avec enough pas tjs équivalente car so = haut degré :
The lion was so tame that the lionkeeper could enter its cage pas tout à fait équivalent The lion was tame enough for the lionkeeper to enter its cage.
x
ORDRE DES MOTS
disposition de base des constituants : sjt – aux – vb lex – circonstants ou compléments => pt de réf
PASSIF
Explication classique => inversion sujet / COD + apparition be + Ven et complément d’agent interprétation inchangée et modif distribution interne = changement dans la mise en relief des rôles
mais en fait mélangent forme et sens :
bcp de vbs ne renvoient pas à des actions et certains sujets voix actives reçoivent et sont sémantiquement passifs.
En fait én passif définit par sa structure et morphologie plus que par son sens.
Pas simple transformation => certains én donnent l’impression d’être nés au passif.
Chasse à l’agent contraire à la nature du passif => non mention de la source (inconnue, en attente de révélation, non pertinente, évidente)
Si agent mentionné => mis en valeur
complément agent : introduit par by ou with (quand instrument) => pb : pleased with… agent ou C adj ? => I’m happy with your work => Your work pleases me.
Aux be => én fige le sjt gr pour en faire la cible d’un comm – caractérisation
prédicat => v descriptive proche de celle d’un attribut
passif avec get (medio passif?) => mention du complément d’agent malvenue – abs renforce centrage sur sjt gr
get : sémantisme mutatif – passage d’un état à un autre par la passivation – vbs décrivant des états psychiques - parfois proche de grow (mais get = idée d’accompli, d’état résultant atteint)
verbes de perception : she felt intruded upon
on peut reconstruire l’actif
on peut rétablir une complétive: she felt that she was intruded upon => structure elliptique (mieux de réintégrer be + en à la S/P de départ)
EXTRAPOSITION
sjt ou objet quand proposition entière
it (proforme) vient occuper la position canonique du sujet qui est rejété sur la droite. Cataphorique = appel de texte – sjt réel annoncé, inconnu du co-én mais mentalement mis en place.
Sujets possibles : infinitive – participiales – conj en that – - interro indirecte – prop intro par what, wether ou how – cert prop intro par if
raisons :
longueur
modalité : 1 : ce qui est appréciatif puis 2 : ce qui est factuel => permet que jugement précède la chose jugée
se méfier des tournures du genre : I believe it wrong to kill => I believe it is wrong to kill (extraposition du sujet)
CLIVEES
mettre en relief un des constituants de la phrase => contexte polémique (accentuation!) détacher ce constituant et le placer en tête de phrase avec la pro-forme « it » + « be »(copule) + pronom relatif
2 tronçons : 1 : it + be + élément + relatif 2 : le reste
It is the man who told me to go away.
Att !!! une seule relation prédicative sous-jacente (on peut reconstruire la phrase simple) éléments mis en relief : sjt, COD, circ de temps, circ de lieu, complément d’attribution (it was John he gave the book to)
fonctionnement :
be = asserter existence de l’élément détaché
It = forme vide – sjt de be et point d’appui mais poss outil anaphorique => emphase néc mise en place première de ce qui est accentué + travail préliminaire de l’én
That = fait basculer dans l’acquis le reste de la prédication (th = déjà connu)
It is his family that drove him insane => he is insane = acquis
Who (remplace parfois that dans la relative) = Wh = déficit donc introduit qqch qui n’est pas encore connu du lecteur.
PSEUDO-CLIVEES
He never rang back, which surprised me (relative phrastique)
What I like most of all is her timbre
Which rempli par la recharge sémantique à gauche
What rempli par ce qui est à droite. Dès qu’il surgit on attend ce à quoi il correspond. Donne du poids à sa recharge sémantique (V informative importante => what I mean is…)
Quand recharge sémantique = prop en that (+ svt que 0) => that S/P = ce qui attendu et connu en même temps
What = antécédent amalgamé => the thing that, that which…
INVERSION
Ordre sjt / vb inversé :
citations (les deux possibles)
un élément (prép, onomatopée, so+ adj ) monte en tête d’én pour être topicalisé – svt rejet après vb
après un so de reprise
mots cap de déclencher cela : adv à sém restrictif (littel, only), diminutif, (less), semi-nég (rarely) ou nég (never, not until)
x
COORDINATION
relier deux unités de même niveau syntaxique
coordonnants :
conjonctions de coordination : and, or, but
unité » adverbiale susceptibles d’avoir une fonction jonctive : besides, moreover, next, so, then, thus, yet etc…
raisons :
économie de matière lexicale : we are not hiring paul but (we are hiring) Alicia
apport direct et ordonné d’info (énumération) : svt and mais surtout fin d’én et le plus svt simple juxtaposition
création solidarité syntx (+ parfois sém ou logique) entre deux segments (2 adj ou adv etc…)
normalement rapport égalitaire entre les deux prop mais en réalité svt hierarchie minimale : svt ordre pas réversible et prop 1 contient éléments néc compréhension prop deux
for : mi-chemin entre coordination et subordination
so that => fct comme un coordonnant quand résultat et comme un subordonnant quand but Which : relatif de phrase plus proche de la coordination que de la subordination
AND : pose relation élémentaire entre deux termes. 2 s’ajoute à 1 dans un mvt additif contx : rôle important dans sémantisation du lien. And accueille différentes valeurs mais reste neutre :
énumération – adjonction = and also
chrono = and then
résultatif = and as a result
comm = and my belief is that
Ouverture sur la gauche (ouvre un segment que l’on aurait pu croire clos) et fermé à droite (clos le discours en ajoutant son élément supp)
OR
disjoint psychiquement ce qu’il conjoint syntaxiquement
vertues dissociatives et différenciatrices (vient de other)
Altérité de Y proclamée
Or inclusif : X et y clairement distingués mais ne s’opposent pas.=> ans, as well as, along with He saw idle or busy people strolling or stepping out briskly
Or exclusif : concurrence, cassure, rivalité, oppostion entre les éléments. Ajout de either poss. Peut imposer un choix tranché.
You must keep silent or resign
Or de reformulation : Japan or the Empire of the Rising Sun / Saying or rather mumbling inclusif quand 2 éléments ont un sens voisin (1) sinon plus ambigu (2)
Or de condition négative = if not X then Y
Take care of that leg, or (else) I shall send the doctor to you
cf français => ou alors / sinon
X et Y deux solutions distinguées et comm = si vous agissez autrement alors il y aura Y
BUT
Rupture, décalage, discordance, non congruence, contraste entre implications psychologiques du premier terme et la réalité soulignée par le deuxième
« Y ne correspond pas à ce que X suggère, représente ou laisse entrevoir »
But nous renseigne sur les attentes qui naissent dans notre esprit – outil de la désillusion
« ne vous méprenez pas, n’allez pas vous imaginer que… » => faire apparaître la logique prise en défaut
parfois idée de rupture s’estompe :
her murmurs of regret always seemed genuine, but of course she was an actress => y justifie X But d’achoppement : esprit soudain rencontre un achoppement :
X = clarté et Y = nvel énoncé et doute ou étonnement ou questionnement
But restrictif/ exclusif
She saw nothing but muddle and confusion / but for the child she would never have survived but = by + out => permet d’exclure tout un ensemble de qualités ou d’éléments initialement envisagés ou implicitement envisageable
MONOTRANSITIVES
the governor likes all parents to visit the school
COD
1/ infinitive peut être remplacée par un pronom
2/ quand elle est précédée de for => l’infinitive peut être l’objet principal d’une pseudo clivée what the governor likes is for all parents to visit the school
3/L’objet de l’inf peut devenir sjt au passif
the governor likes the school to be visited by all parents
4/ si on réduit on garde le « to »
the governor likes them to
5/ there peut devenir sujet
we like there to be a full attendance
DITRANSITIVE
Tous ces tests sont impossible si on a une di-transitive on peut supprimer le cod
coi peut devenir passif
I persuaded Justin to write an essay
coi cod
TRANSITIVES COMPLEXES
They expected Robert to win the race
cod CdeO
Transitive complexe => même caractéristiques que les monotransitives : mais comme ditransitives :
COD peut devenir sjt passif
+ relation de prédication entre les deux éléments :
she considered her mother a sensible woman => she considered that her mother was a sensible woman
Her mother was considered a sensible woman => montre que les deux éléments sont séparés att !!
trans complexes avec vbs à particules => att de localisation
I left the papers at my office (tr complexe)
I cook the dinner in the kitchen (non car procès dans la cuisine aussi)
I was made to carry the burden of the world on my shoulders => ress transitive complexe au passé mais non car make = vb plein, pas contrainte
VERBES A PARTICULES
1ière question : particules adverbiales ou prépositions
- adv ne régit pas un objet alors que la prép si.
J went up / j went up the road
- rythme (adv associé au vb et prep au SN) et intonation (shéma montant par exemple va inclure l’ad mais pas le prép)
- prép : impossible de déplacer l’objet = forcément après celle-ci = she went the road up
adv : poss : the ran her friends down
- si objet peut se mettre entre les 2 => adverbiale si impossible attention ! Parfois impossible de déplacer objet pour d’autre raison :
ex : * She looked what the word meant up » => longueur de la phrase. Dans ce cas on pronominalise : she looked it up. = adverbe
mais : reste impossible avec attribut * she turned a good friend out = * she turned it out
seule solution : la prosodie
2e question : (une fois que l’on sait que c’est un adverbe) composé adverbiale ou combinaisons fortuites ?
- sens :
vbs composés => svt sens pas devinable en ajoutant deux éléments :
(plus svt vrai avec adv)
combinaison fortuite => vb et particule gardent leur sens donc si pas transparent alors composé ex : she turned out / I can’t make out what he means # he went out to buy some cigarettes combinaison fortuite + adv => adv tjs anaphorique
she carried up her suitcase (contx = up the stairs etc…)
- séparabilité :
vb composé + adv => impossible les séparer par adv (seulement objet)
they brought successfully up their children
antéposition adv impossible :
*Up they brought their children well
- nominalisation d’action :
composés adverbiaux peuvent se nominaliser avec la particule et seulement avec elle :
His giving up is irresponsible
combinaisons fortuites ne peuvent pas => the blowing out of the wind
- coordination
vb composé => imposs coordonner la particule adverbiale => *she ran down her husband, down her entire family
combinaison fortuite => poss => she ran down and down
- intensification de l’adverbe
composé : impossible => * he drank the whole wine right up
combinaison fortuite => the pilot jerked the lever right back
- substitution
composé => changement sémantique du vb si on substitue une autre particule she brought up her children / she brought up her children
combinaisons fortuite => maintient du sens => she ran up / she ran down
2e question une fois que l’on sait que c’est une prép :
cert gr considèrent que composé prép n’existent pas (Bourcier # Quirk et Alii) critères pour définir un composé prép :
- Cohésion sémantique :
choix pas libre => blame for (of impossible) / accuse of (for imposs)
poss remplacer l’ensemble par vb unique : put up with = tolerate
- passif prépositionnel
postulat : transformation passive poss seulement avec un Objet direct
Donc si on peut passiver alors montre que verbe + prep = un seul élément verbal The dean was called on
- Questions WH-
wh- = arguments ou adverbes :
arguments : what, who, which
adv : where, when, how, why
si on peut composé le SN objet par un des arguments alors COD de composé prép sinon : combinaison fortuite
Mais cependant raisons de douter de la poss de composition avec une prép :
séparabilité : possessifs He looked disdainfully at the pictures
antéposition : With what problem can he cope (mais svt maissée à l’arrière)
Poss aussi avec combinaisons fortuites : in what garden can he grow his flowers ?
Les composés idiomatiques :
vbs composés mais comportent aussi un objet direct en cohésion avec le vb (Quirk et Alii)
they have made a mess of the house
Objet se passive et donc on peut considérer qu’on a bien un verbe composé
The lifeboat was suddenly caught sight of
? the house has been made a terrible mess of
x