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MN > CQ SPECT > Flashcards

CQ SPECT Flashcards

1
Q

Quel est le but du contrôle de non-uniformité intrinsèque en mode planaire ?

A

Évaluer la capacité des détecteurs à produire une image homogène pour un éclairage homogène.

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Q

Quelle est la périodicité recommandée pour le contrôle de non-uniformité intrinsèque selon l’ANSM ?

A

Initial + mensuel (si le CQ extrinsèque n’est pas réalisé).

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3
Q

Quelle source est utilisée pour le contrôle de non-uniformité intrinsèque ?

A

Source quasi-ponctuelle de 99mTc (30-37 MBq).

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4
Q

Quelles sont les tolérances pour la non-uniformité intrinsèque ?

A

Indice d’uniformité intégrale < 2 % (ANSM), < 4 % (SFPM).

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5
Q

Quelle est la procédure à suivre en cas de non-conformité de la non-uniformité intrinsèque ?

A

Calibration des PMs et vérification post-calibration.

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6
Q

Quel est le but du contrôle de résolution spatiale intrinsèque ?

A

Évaluer la capacité à distinguer deux sources proches sans influence des collimateurs.

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7
Q

Quelle est la périodicité du contrôle de résolution spatiale intrinsèque ?

A

Initial + après chaque intervention.

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8
Q

Quel matériel est requis pour le contrôle de résolution spatiale intrinsèque ?

A

Mire de résolution de type quadrant avec source quasi-ponctuelle de 99mTc.

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9
Q

Comment est analysée la résolution spatiale intrinsèque ?

A

Mesure de la largeur à mi-hauteur (LMH) des profils orthogonaux aux barres du fantôme.

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10
Q

Quelle est la tolérance pour la résolution spatiale intrinsèque ?

A

Référée aux tolérances constructeur ou centre-dépendantes.

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11
Q

Quel est le but du contrôle de non-linéarité intrinsèque ?

A

Vérifier la correction des déformations géométriques dans l’image produite.

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12
Q

Quelle est la périodicité pour le contrôle de non-linéarité intrinsèque ?

A

Initial + annuel si le contrôle extrinsèque n’est pas réalisé.

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13
Q

Comment est réalisé le contrôle de non-linéarité intrinsèque ?

A

Avec un fantôme quadrillé et analyse des déviations visuelles et quantitatives.

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14
Q

Quelle est la tolérance pour la non-linéarité intrinsèque selon la NEMA ?

A

< 0.5 mm pour la non-linéarité absolue, < 0.1 mm pour la différentielle.

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15
Q

Quel est le but de la vérification du centre de rotation ?

A

Garantir l’alignement entre le centre mécanique et électronique.

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16
Q

Quelle est la périodicité de la vérification du centre de rotation selon l’ANSM ?

A

Mensuel pendant les trois premiers mois, puis semestriel si conforme.

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17
Q

Comment est réalisé le test de résolution spatiale extrinsèque ?

A

Avec des gaines remplies de 99mTc placées dans un milieu diffusant.

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18
Q

Quels paramètres sont mesurés pour la résolution spatiale extrinsèque ?

A

Largeur à mi-hauteur (LMH) et largeur à dixième de hauteur (LDH).

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19
Q

Quelle est la tolérance pour la résolution spatiale extrinsèque selon la SFPM ?

A

LMH à 10 cm ne doit pas s’écarter de plus de 5 % des tolérances constructeur.

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20
Q

Quel est le rôle du test de sensibilité du système ?

A

Déterminer un facteur de conversion entre taux de comptage et activité (Bq).

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21
Q

Quelle est la périodicité du contrôle de sensibilité du système ?

A

Initial pour tout radionucléide/collimateur + annuel pour un couple donné.

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22
Q

Comment est calculé le facteur de sensibilité ?

A

Formule : ks = (Cf - Cbg) / A.

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23
Q

Quelle est la tolérance pour la sensibilité du système ?

A

< 5 % des tolérances constructeur, < 2 % entre détecteurs.

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24
Q

Quel est le but du contrôle de non-uniformité extrinsèque en mode balayage ?

A

Vérifier l’uniformité d’encodage spatial sur toute la longueur du balayage.

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25
Q

Quelle est la périodicité de la non-uniformité extrinsèque en mode balayage ?

A

Initial + annuel + après intervention sur le système de balayage.

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26
Q

Quelles sont les tolérances pour la non-uniformité en mode balayage ?

A

Indice de non-uniformité intégrale ne doit pas s’écarter de plus de 2 unités du CQ initial.

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27
Q

Comment est évaluée la constance de la vitesse de balayage ?

A

Avec des profils longitudinaux et analyse des variations de comptage.

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28
Q

Quelles sont les tolérances pour la vitesse de balayage ?

A

Toutes les valeurs doivent être dans un intervalle de ± 3 écart-types.

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29
Q

Quel est le but du test de qualité d’image tomographique ?

A

Évaluer la stabilité des performances d’acquisition et de reconstruction dans le temps.

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30
Q

Quelle est la périodicité du test de qualité d’image tomographique ?

A

Initial + annuel + après intervention.

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31
Q

Quels outils sont utilisés pour le test de qualité d’image tomographique ?

A

Fantôme Jaszczak contenant sphères et zones homogènes.

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32
Q

Quelles sont les tolérances pour le test de qualité d’image tomographique ?

A

Le contraste sur la grande sphère ne doit pas s’écarter de plus de 5 % du CQ initial.

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33
Q

Comment est analysée la correction d’atténuation en mode tomographique ?

A

Comparaison des profils horizontaux et verticaux avec et sans correction d’atténuation.

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34
Q

Quelle est la tolérance pour la correction d’atténuation ?

A

Les profils corrigés doivent être plats, tandis que les non-corrigés montrent un effet cuvette.

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35
Q

Quelles sont les périodicités pour la vérification TEMP-TDM ?

A

Initial + semestriel selon l’ANSM.

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36
Q

Quels outils sont utilisés pour la vérification TEMP-TDM ?

A

Sources de 99mTc positionnées dans des supports évaluant le recalage dans les trois axes.

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37
Q

Comment est calculée l’erreur de recalage TEMP-TDM ?

A

Erreur : d = √(x² + y² + z²).

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38
Q

Quelle est la tolérance pour le recalage TEMP-TDM ?

A

Définie par les constructeurs (généralement < 2 mm).

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39
Q

Quel est le but du contrôle d’uniformité pour un cristal CZT ?

A

Vérifier que l’uniformité du champ est maintenue sans artéfacts liés aux détecteurs CZT.

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40
Q

Comment est analysée la constance énergétique en SPECT ?

A

Par une source standard et comparaison des paramètres énergétiques avec les tolérances constructeur.

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41
Q

Quelle est la tolérance pour le contrôle de constance énergétique ?

A

Déviation maximale < 2 % pour le technétium-99m.

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42
Q

Quels paramètres sont mesurés pour l’analyse de la résolution spectrométrique ?

A

Largeur à mi-hauteur (FWHM) pour une énergie donnée.

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43
Q

Comment est réalisé le test de sensibilité isotopique en mode dynamique ?

A

Avec des sources isotopiques distinctes et un collimateur compatible multi-isotopes.

44
Q

Quels sont les objectifs du CQ de sensibilité isotopique ?

A

Évaluer l’homogénéité spectrale pour des isotopes comme 99mTc et 123I.

45
Q

Quels outils sont nécessaires pour vérifier la précision du temps d’acquisition en dynamique SPECT ?

A

Chronomètre indépendant synchronisé avec le système.

46
Q

Comment est mesurée la précision temporelle en acquisition dynamique ?

A

Comparaison entre les intervalles programmés et réels (en secondes).

47
Q

Quelles sont les tolérances pour la précision temporelle ?

A

Erreur acceptable : ± 0,1 % de l’intervalle de temps programmé.

48
Q

Quels sont les défis liés à l’évaluation de la linéarité en énergie ?

A

Sensibilité à la calibration PMs et dépendance à la température du cristal.

49
Q

Quel fantôme est utilisé pour la correction de résolution volumique ?

A

Fantôme sphérique calibré avec différentes tailles et densités homogènes.

50
Q

Comment est vérifiée l’intégrité des canaux du collimateur ?

A

Test avec une source linéaire et analyse visuelle des artefacts ou obstructions.

51
Q

Quelles sont les sources isotopiques standards pour le contrôle d’uniformité ?

A

Technétium-99m (99mTc) et Cobalt-57 (Co-57).

52
Q

Quelle est la périodicité des CQ liés aux PMs ?

A

Mensuelle pour la linéarité et annuelle pour les recalibrations complètes.

53
Q

Quel est le rôle du test de récupération volumique ?

A

Évaluer l’effet du volume partiel sur les mesures quantitatives.

54
Q

Comment est mesuré le contraste en mode tomographique ?

A

Rapport entre les intensités des sphères et du fond dans un fantôme homogène.

55
Q

Quelles tolérances sont acceptées pour le contraste ?

A

5 à 10 % de variation tolérée selon le protocole initial.

56
Q

Quel est le rôle de la correction de diffusion ?

A

Éliminer les photons diffusés et améliorer la précision des reconstructions.

57
Q

Quels algorithmes corrigent la diffusion en SPECT ?

A

Dual Energy Window (DEW) et Triple Energy Window (TEW).

58
Q

Quels facteurs influencent la linéarité spatiale en TEMP ?

A

Déformation des PMs, usure du cristal, et calibration incorrecte.

59
Q

Quelle est la méthode pour vérifier la réponse temporelle des détecteurs ?

A

Injection pulsée contrôlée avec analyse du temps de réponse.

60
Q

Quels critères sont évalués dans les reconstructions tomographiques 3D ?

A

Contraste, bruit, et uniformité volumique.

61
Q

Quelle est la résolution spatiale idéale pour une caméra TEMP moderne ?

A

Entre 6 et 8 mm (LMH) pour des collimateurs standards.

62
Q

Comment est contrôlée la stabilité du spectre en mode multi-isotope ?

A

Analyse séquentielle des fenêtres spectrométriques par isotope.

63
Q

Quelles sont les limites du test d’uniformité en mode extrinsèque ?

A

Influence des collimateurs et variabilité des sources calibrées.

64
Q

Comment est évaluée la réponse angulaire des détecteurs ?

A

Rotation d’une source ponctuelle autour de l’axe des détecteurs.

65
Q

Quelle est la tolérance pour la réponse angulaire en TEMP ?

A

Erreur maximale d’alignement : 1 pixel ou 2 mm selon le constructeur.

66
Q

Quels tests doivent être réalisés après une intervention sur les PMs ?

A

Linéarité spatiale, uniformité intrinsèque, et stabilité spectrométrique.

67
Q

Quels sont les outils pour vérifier les performances d’un collimateur ?

A

Mire de barres et fantôme de sensibilité pour la détection angulaire.

68
Q

Quels sont les principaux défis de la calibration en multi-détecteurs ?

A

Équilibrage de la sensibilité inter-détecteurs et stabilité des réponses spectrales.

69
Q

Quel est le but du test de non-uniformité en mode intrinsèque ?

A

Évaluer la capacité des détecteurs à produire une image homogène sans collimateurs.

70
Q

Quelle source est utilisée pour le test de non-uniformité intrinsèque ?

A

Source quasi-ponctuelle de 99mTc avec activité de 30 à 37 MBq.

71
Q

Quelles sont les tolérances pour l’uniformité intrinsèque selon l’ANSM ?

A

Indices Ui et Ud < 2 % pour l’analyse intégrale et différentielle.

72
Q

Quelle est la périodicité du test d’uniformité intrinsèque selon la SFPM ?

A

Initiale + mensuelle si l’uniformité extrinsèque n’est pas réalisée.

73
Q

Comment est analysé l’uniformité intrinsèque après acquisition ?

A

Indices Ui (globaux) et Ud (différentiels) calculés sur l’image UFOV et CFOV.

74
Q

Quelles sont les tolérances pour le contrôle de non-linéarité intrinsèque ?

A

Écart absolu < 0.5 mm ; écart différentiel < 0.1 mm (NEMA).

75
Q

Quel est le protocole d’acquisition pour la non-linéarité intrinsèque ?

A

Utilisation d’un fantôme quadrillé, source de 99mTc, et analyse des écarts visuels.

76
Q

Quel est le rôle du test de résolution énergétique intrinsèque ?

A

Vérifier la capacité des détecteurs à discriminer les photons diffusés et primaires.

77
Q

Quelles sont les tolérances pour la résolution énergétique selon la SFPM ?

A

Indice de résolution énergétique < 12 % pour le technétium-99m.

78
Q

Quelle est la procédure pour tester la résolution spatiale intrinsèque ?

A

Utiliser une mire de barres et mesurer LMH et LDH sur des profils tracés.

79
Q

Quelles sont les tolérances pour la résolution spatiale en mode tomographique ?

A

LMH < 10 % d’écart par rapport à la valeur en mode planaire.

80
Q

Comment est testé le centre de rotation en mode tomographique ?

A

Avec une source quasi-ponctuelle excentrée et analyse des sinogrammes.

81
Q

Quelle est la tolérance pour le décalage du centre de rotation ?

A

Écart maximal de 4 mm (SFPM) ou selon les tolérances constructeur.

82
Q

Quel est le but du test d’uniformité en mode balayage ?

A

Vérifier l’homogénéité de l’encodage spatial des coups pendant le balayage.

83
Q

Quelles sont les tolérances pour l’uniformité en mode balayage ?

A

Indice de non-uniformité intégrale ne doit pas s’écarter de +2 unités (SFPM).

84
Q

Comment est testée la vitesse de balayage en mode corps entier ?

A

Comparaison des profils acquis à des vitesses de 14 et 30 cm/min.

85
Q

Quelle est la tolérance pour la constance de la vitesse de balayage ?

A

Variations de comptage < 3 écarts-types par rapport à la valeur initiale.

86
Q

Quel est le but du test de qualité d’image avec fantôme Jaszczak ?

A

Évaluer contraste, uniformité et résolution dans une reconstruction tomographique.

87
Q

Quels paramètres sont analysés sur le fantôme Jaszczak ?

A

RSB, contraste des sphères, et uniformité dans la zone homogène.

88
Q

Quelle est la périodicité du test de qualité d’image selon l’ANSM ?

A

Initial + annuel + après toute intervention sur la caméra.

89
Q

Comment est évaluée la correction d’atténuation en TEMP/TDM ?

A

Tracer des profils sur des zones homogènes avec et sans correction.

90
Q

Quelles sont les tolérances pour la correction d’atténuation ?

A

Les profils corrigés doivent être plats ; effet cuvette sans correction.

91
Q

Quelles sont les tolérances pour le recalage TEMP/TDM ?

A

Déviation maximale < 2 mm selon les constructeurs.

92
Q

Quel est le but du test de résolution spatiale extrinsèque ?

A

Évaluer la performance en présence des collimateurs dans des conditions cliniques.

93
Q

Comment est mesurée la sensibilité d’un système SPECT ?

A

Avec une source plane de Co-57 et mesure des coups par unité d’activité.

94
Q

Quelle est la tolérance pour la sensibilité d’un système SPECT ?

A

Écart inter-détecteurs < 2 % ; variation avec le CQ initial < 5 %.

95
Q

Comment est vérifiée la linéarité spatiale en mode planaire ?

A

Avec un fantôme quadrillé et évaluation des écarts visuels et quantitatifs.

96
Q

Quels sont les objectifs des CQ sur les paramètres spectrométriques ?

A

Stabilité de la position du photopic et de la résolution énergétique.

97
Q

Quelle est la tolérance pour la variation spectrométrique angulaire ?

A

Écart maximal de 3 keV entre angles pour un même détecteur.

98
Q

Comment est vérifiée la stabilité des dimensions des pixels ?

A

Avec un fantôme en croix et mesure des centroïdes des sources.

99
Q

Quelle est la tolérance pour la taille des pixels ?

A

Écart relatif entre dimensions X et Y < 5 % (SFPM).

100
Q

Quels sont les paramètres analysés pour une acquisition dynamique ?

A

Temps d’acquisition, résolution temporelle, et taux de comptage.

101
Q

Comment est mesurée l’efficacité des corrections PSF en reconstruction ?

A

En comparant le contraste et la résolution avec et sans correction.

102
Q

Quels sont les défis liés à la correction des photons diffusés en SPECT ?

A

Élimination des artéfacts tout en conservant le signal pertinent.

103
Q

Quelles sont les méthodes de correction de diffusion en SPECT ?

A

Fenêtres multiples (DEW, TEW) et modélisation Monte Carlo.

104
Q

Comment est évaluée la fidélité des images reconstruites ?

A

Par comparaison avec des fantômes calibrés et quantification des écarts.

105
Q

Quelle est la tolérance pour la précision quantitative en TEMP ?

A

Variation < 5 % par rapport à une activité de référence.

106
Q

Quels fantômes sont utilisés pour calibrer la quantification absolue ?

A

Fantôme NEMA IEC ou Jaszczak selon les besoins cliniques.

107
Q

Quelles sont les tolérances pour la qualité d’image en TEMP ?

A

RSB > 5 ; contraste relatif des sphères > 30 % ; absence d’artéfacts.

MN (37 decks)

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