Semaine 1 Flashcards
Dyspepsie - Dyspepsie fonctionnelle: ATCD, Rx, Habitus ET PQRST
- ATCD, Rx, Habitus
- Habitudes alimentaires
- Histoire de douleur constante ou passagère de 12 semaines par année, sans évidence de SCI
- PQRST
- Symptômes dyspeptiques : ballonnements, éructations, brûlement ou douleur épigastrique, nausées
- Aucun signal d’alarme
- Aucune évidence de SCI
Dyspepsie - Intolérance: ATCD, Rx, Habitus ET PQRST
- ATCD, Rx, Habitus
- Concordance des symptômes avec la consommation de certains aliments ou médicament
- PQRST
- Symptômes dyspeptiques associés à la consommation de certains aliments ou médicaments
Dyspepsie - Spasme oesophagien: ATCD, Rx, Habitus ET PQRST
- ATCD, Rx, Habitus
- PQRST
- DRS ou dlr ou épigastrique d’apparition aigüe
- Peut irradier cou, dos, épaule
- Associé à sympt. dyspeptiques
- Peut être provoquée par stress émotionnel, déglutition de liquide ou d’aliment froids
- Parfois soulagée par TNT
Dyspepsie - Gastrite: ATCD, Rx, Habitus ET PQRST
- ATCD, Rx, Habitus
- ATCD familiaux
- AINS, autres RX
- Alcool, tabagisme
- Radiothérapie
- PQRST
- Dlr épigastrique associée à sympt. dyspeptiques
- No/Vo
Dyspepsie - Néoplasie gastrique: ATCD, Rx, Habitus ET PQRST
- ATCD, Rx, Habitus
- OEsophage : Âge, sexe masculin, alcool, tabac
- Estomac : Âge, noir américain, H. pylori, mets fumés
- Vésicule biliaire : Âge, sexe féminin, cholécyt. chron.
- Pancréas : Âge, tabac, alimentation grasse, exposition professionnelle
- PQRST
- Manifestation dépendent du type de cancer
Dyspepsie - Cholélithiase: ATCD, Rx, Habitus ET PQRST
- ATCD, Rx, Habitus
- Les cinq F (5F) :
- Family
- Fat
- Female
- Fertile
- Forty (40 ans)
- Les cinq F (5F) :
- PQRST
- Dlr en colique / constante
- Hypochondre droit
- Irradie épaule droite / région interscapulaire
- Dlr augmentée par respiration
- Surtout post-prandial, durée de moins de 4h
- No/Vo
Dyspepsie - Pancréatite chronique : ATCD, Rx, Habitus ET PQRST
- ATCD, Rx, Habitus
- ATCD de pancréatite aigüe (alcool, cholélithiases)
- PQRST
- Dlr constante, intense
- Augmentée par décubitus dorsal; diminuée par position en chien de fusil ou penché vers l’avant
- Dlr épigastrique pouvant irradier aux hypochondres, au dos
- Ictère, dépression, cholestase, stéatorrhée, syndrome de malabsorption
Dyspepsie - Angine de poitrine: ATCD, Rx, Habitus ET PQRST
- ATCD, Rx, Habitus
- • Âge
- ATCD familiaux de maladie coro.
- ATCD de claudication / ins. art.
- Pacemaker / ATCD angio – pont.
- Diabète, tabagisme, hypercholest., dyslipidémie, sédentarité, HTA
- Bêta-bloquants, bloquants Ca++, …
- PQRST
- Provoquée par effort physique (surtout au froid), stress, …
- Soulagée par repos et TNT
- Serrement, pression, brûlement, …
- DRS, précord., MS, cou, mâchoire
- Dyspnée, faiblesse, No/Vo, sueurs
- Quelques minutes à < 20 min
Dyspepsie - Médicaments: ATCD, Rx, Habitus ET PQRST
- ATCD, Rx, Habitus
- Prise d’ASA, AINS, biphosphonates
- PQRST
- Symptômes dyspeptiques en relation avec la prise de médicaments
Décrire les caractéristiques cliniques de la dyspepsie fonctionnelle.
- Dyspepsie constante ou récurrente de plus de 12 semaines (consécutives ou non) sans évidence de maladie d’origine organique, qui n’est pas associée à un syndrome du côlon irritable.
- Diagnostic d’exclusion souvent posé par un gastro-entérologue après investigations approfondies.
Rechercher les symptômes et signes d’alarme de la dyspepsie.
- Âge > 50 ans
- Dysphagie / Odynophagie
- Symptômes B (fatigue, fièvre d’origine indéterminée, perte de poids, sudations nocturnes, anorexie)
- Anémie ferriprive (hypochrome, microcytaire) / Hémorragie digestive (méléna, rectorragies, hématémèse)
- Masse abdominale palpable / Nodule de Sr. Marie-Joseph / Tumeurs de Kruckenberg
- Foie irrégulier
- Ictère
- Adénopathies / Ganglion de Troisier (sus-claviculaire gauche)
- Vomissements persistants
- Douleur constante, persistante
Prescrire et interpréter l’investigation pertinente de la dyspepsie.
- Les patients chez qui est suspecté un _syndrome coronarien aig_u, en particulier ceux présentant des facteurs de risque, doivent être adressés en service d’urgence pour un bilan sans délai, comprenant un ECG et le dosage des enzymes cardiaques sériques.
- En cas de symptômes chroniques non spécifiques, les tests pratiqués sont une NFS - hémogramme - (pour éliminer une anémie par perte sanguine digestive) et des examens chimiques sanguins habituels.
- Si les résultats sont anormaux, des explorations supplémentaires (p. ex., imagerie, endoscopie) doivent être envisagées.
- En raison du risque de cancer, les patients de > 55 ans et ceux présentant des signes d’alarme récents doivent avoir une endoscopie digestive haute.
- Chez le patient de < 55 ans ne signalant aucun signe d’alarme, certains experts recommandent un traitement empirique pendant 2 à 4 semaines par un antisécrétoire, suivi d’une endoscopie en cas d’échec thérapeutique.
- D’autres recommandent le dépistage de l’infection par H. pylori par un test respiratoire à l’urée marquée au C14 ou un test fécal ( Infection par Helicobacter pylori : Tests non invasifs).
- Cependant, la prudence est requise avant d’affirmer qu’H. pylori ou toute autre anomalie non spécifique explique la symptomatologie.
- Une manométrie œsophagienne et une pH-métrie sont indiquées si les symptômes de reflux persistent après une endoscopie digestive haute et un traitement d’épreuve de 2 à 4 semaines par un inhibiteur de la pompe à protons.
Indications de l’endoscopie pour un problème de dyspepsie
- Âge > 55 ans
- Signaux d’alarme
- Hémorragie digestive (hématémèse OU méléna = gastroscopie; rectorragies = colonoscopie)
- Complications de la dyspepsie
Principes de traitement (non pharmacologique et pharmacologique) de la dyspepsie.
- Les pathologies spécifiques sont traitées.
- Les patients qui n’ont pas d’anomalie objective font l’objet d’un suivi clinique et sont rassurés.
- Les symptômes sont traités par les inhibiteurs de la pompe à protons, les anti-H2 ou par un agent cytoprotecteur.
- Les médicaments prokinétiques (p. ex., métoclopramide, érythromycine) administrés sous la forme d’une suspension peuvent également être essayés en cas de dyspepsie motrice.
- Cependant, il n’existe pas de preuve démontrant que le fait de cibler la classe thérapeutique proposée au patient en fonction du profil symptomatique (p. ex., reflux versus dyspepsie motrice) apporte un bénéfice.
- Le misoprostol et les anticholinergiques ne sont pas efficaces dans la dyspepsie fonctionnelle.
- Les médicaments qui modifient la perception sensorielle (p. ex., antidépresseurs tricycliques) peuvent être utiles.
Nommer les facteurs de risque du cancer gastrique.
- H. pylori (risque x6)
- Âge > 40 ans
- Tabagisme
- Nitrites / Nitrates
- Mets fumés / Mets en conserves
- Polypes gastriques adénomateux
- Gastrite chronique
- Gastrectomie partielle
- Groupe sanguin A
- Anémie pernicieuse
- Facteurs héréditaires
- Noirs / Asiatiques / Latinos
Cancer gastrique: anamnèse - sx
- Douleur épigastrique constante, augmentant graduellement en intensité avec le temps, aggravée par la nourriture (au contraire de la maladie peptique ulcéreuse)
- Symptômes B (perte de poids, fatigue, fièvre d’origine indéterminée, anorexie, sudations nocturnes)
- No/Vo persistants
- Satiété précoce
- Dysphagie
- Modification du transit intestinal
- Hémorragie digestive (hématémèse, méléna)
Cancer gastrique: signes et examen physique
- Anémie ferriprive (hypochrome, microcytaire)
- Cachexie
- Masse palpable (rare)
- Métastases hépatiques (foie palpable, induré, bordure irrégulière)
- Ganglion de Troisier
- Nodule de Sr. Marie-Joseph (carcinomatose péritonéale ! mauvais pronostic)
- Toucher rectal : ‘’placard rectal’’ de carcinomatose péritonale, méléna
ALGORITHME - Dyspepsie - Signes et sx d’alarme de néo digestive, algorithme d’investigation de la dyspepsie
- Signes et sx d’alarme de néoplasie digestive
- Âge de plus de 55 ans
- Satiété précoce
- Dysphagie / odynophagie
- Vomissements répétés
- Douleur constante et sévère
- Perte de poids inexpliquée
- Signes et sx de saignement digestif
- Ictère
- Masse / métastases
- Adénopathies
- Endoscopie avec biopsies
- Puis TDM et écho-endoscopie
- Le diagnostic différentiel principal comprend généralement l’ulcère gastroduodénal et ses complications.
Néoplasie gastrique: Ddx
- Le diagnostic différentiel principal comprend généralement l’ulcère gastroduodénal et ses complications.
INVESTIGATION - Prescrire l’investigation pertinente du cancer gastrique
- Le patient chez qui on suspecte un cancer de l’estomac doit subir une endoscopie avec des biopsies multiples et une cytologie à la brosse.
- Parfois, une biopsie limitée à la muqueuse peut ne pas mettre en évidence de tissu tumoral s’il est sous-muqueux.
- La rx standard, en particulier l’examen baryté en double contraste, peut mettre en évidence l’existence de lésions, mais permet rarement de surseoir à une endoscopie ultérieure.
- Le patient chez qui le cancer est identifié requiert une TDM du thorax et de l’abdomen pour déterminer l’extension de la tumeur à distance.
- Si la TDM est négative, une écho-endoscopie doit être réalisée afin d’évaluer la profondeur de la tumeur et le niveau d’atteinte des ganglions lymphatiques régionaux.
- Ce sont les résultats de ce bilan qui déterminent le pronostic et orientent la stratégie thérapeutique.
- Il faut réaliser un bilan biologique standard comprenant une NFS, un ionogramme et un bilan hépatique afin de rechercher une anémie, une déshydratation, d’éventuelles métastases hépatiques et évaluer l’état général du patient.
- L’Ag carcinoembryonnaire (ACE) doit être dosé avant et après la chirurgie.
Néoplasie gastrique: dépistage et prévention de récidives
- Le dépistage par endoscopie est utilisé dans les populations à haut risque (p. ex., les Japonais) mais non recommandé aux USA.
- La surveillance après traitement pour diagnostiquer une éventuelle récidive comprend une endoscopie et une TDM du thorax, et abdominopelvienne.
- Si le taux de l’ACE baisse en post-opératoire, le suivi doit comprendre le dosage de l’ACE; une augmentation doit faire évoquer une récidive
Principales complications du cancer gastrique
- Hémorragie massive
- Perforation de l’estomac
- Obstruction (pylore, cardia)
- Envahissement local
- Métastases
Maladie peptique ulcéreuse: Causes
- Anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS)
- Helicobacter pylori (95% ulcère duodénal et 80% ulcère gastrique)
- Acide
Maladie peptique ulcéreuse: FDR
- Tabagisme
- Alcool
- Stress physiologique important
- Hypersécrétion acide et diminution facteurs cytoprotection
- HLA-B25 / Groupe sanguin O / Race blanche (U. duodénal)
- Âge entre 55-65 ans (U. gastrique)
- Aliments irritants
Maladie peptique ulcéreuse: Anamnèse - signes et sx, PQRST
*Faire la distinction entre ulcère gastrique vs duodénal
- Brûlement épigastrique; irradie parfois au dos si atteinte de la paroi gastrique ou duodénale postérieure
- Douleur lorsque l’estomac est vide; réveille la nuit; 1h-3h après les repas (U. gastrique = plus précocément)
- Douleur soulagée par les antiacides
- Douleur soulagée par la nourriture (U. duodénal) OU empirée par la nourriture (U. gastrique)
- Dyspepsie (No/Vo isolés, éructations, ballonnements, anorexie)
Maladie peptique ulcéreuse: Examen physique
- Normal (le plus souvent)
- Pâleur si anémie (perforation)
- Sensibilité épigastrique à la palpation
- Méléna ou rectorragies possibles (perforation)
Maladie peptique ulcéreuse: Pertinence de la gastroscopie
- Le diagnostic d’ulcère gastroduodénal est suggéré par l’anamnèse et est confirmé par l’endoscopie.
- Permet de distinguer les ulcérations simples du cancer ulcéré de l’estomac grâce à des biopsies des rebords de l’ulcère pour détecter les cellules malignes.
Prescrire l’investigation pertinente à la maladie peptique ulcéreuse
- Toujours questionner la prise de médicaments ulcérogènes (ASA, AINS).
- Recherche de H. Pylori (tests invasifs et non invasifs)
- Gastroscopie + biopsies
Tests non invasifs et invasifs de recherche de l’Helicobacter pylori
-
NON-INVASIFS
-
1. Test sérologique ELISA (sérique, salivaire) :
- Gold standard pour diagnostic initial
- Détecte Ig si exposition à H. pylori
- Inutile pour déterminer efficacité du traitement
-
2. Test respiratoire à l’urée marquée au C14 (Urée [C14] ! CO2 [C14] + NH3 ) :
- Gold standard pour déterminer efficacité du traitement
- Si H. pylori est éliminé, il n’y aura PAS de CO2 au C14 expiré par le patient voir l’algorithme de la dyspepsie dans l’objectif du cancer gastrique
- Selles : Recherche d’antigènes dans les selles
-
1. Test sérologique ELISA (sérique, salivaire) :
-
INVASIFS
- (faits lors d’une endoscopie)
- 1. Test à l’uréase (CLO-test)
- 2. Histologie (coloration)
- 3. Culture HP (sur biopsie, difficile à réaliser)
Maladie peptique ulcéreuse: Expliquer brièvement les différentes mesures thérapeutiques (pharmacologiques et non pharmacologiques) disponibles pour le traitement de la maladie peptique ulcéreuse.
- Diminuer aliments qui provoquent la douleur; diminuer tabac; diminuer alcool; revoir utilité des AINS; gestion du stress; éviter de se coucher immédiatement après avoir mangé
- Si H. pylori est détecté par ELISA : quadrithérapie pour éradication x 14 jours, retester après le traitement pour confirmer l’éradication
- Suivi par test respiratoire à l’urée au C14
- Antiacides pour diminuer les symptômes; Anti-H2 ; IPP (approche progressive) Cytoprotecteurs au besoin (Sucralfate, Cytotec)
- Chirurgie si complications majeures ou impossibilité d’exclure un cancer gastrique
Principales complications de la maladie peptique ulcéreuse.
- Récidives d’ulcère si incapacité à éradiquer H. pylori, utilisation d’AINS + tabac
- Hémorragie : hématémèse, méléna, rectorragie (si hémorragie de grand volume), faiblesse, hypotension orthostatique, anémie ferriprive, syncope, soif et transpiration provoquées par la perte de sang
-
Perforation : douleur subite princ. HCD, péritonite généralisée d’emblée, choc possible (aug. FC et baisse TA + diurèse)
- Si perforation, possibilité de pénétrer à travers un autre organe
- Obstruction : peut être due à des lésions cicatricielles (cicatrice de l’antre/pylore par fibrose), au spasme ou à l’œdème inflammatoire associé à un ulcère évolutif = vomissements abondants, perte d’appétit, ballonnement persistant, satiété précoce
- Cancer gastrique : le patient qui présente des ulcères associés à H. pylori a un risque de 3 à 6 fois plus élevé d’avoir un cancer gastrique par la suite. Il n’y a pas d’augmentation du risque de tumeur maligne dans le cas des ulcères d’autres étiologies.
Facteurs prédisposants du RGO.
- 1. Augmentation de la pression sur l’estomac : Obésité, grossesse, ascite, ceinture ou vêtements trop serrés
-
2. Diminution de pression du SOI (sphincter oesophagien inférieur) :
- a. États ou maladies : Grossesse, sclérodermie, hormones sexuelles femelles, tabagisme
- b. Rx relâchant le muscle lisse : Aminophylline, nitrates, bloquants Ca2+, barbituriques, diazépam, mépéridine
- c. Aliments : Café, thé, chocolat, graisse, alcool, menthe
- 3. Suralimentation
-
4. Destruction du SOI (sphincter oesophagien inférieur) :
- a. Résection chirurgicale, post-myotomie de Heller, post-dilatation pneumatique (ex. : achalasie, sténose)
- 5. Hypersécrétion acide (Zollinger-Ellison = gastrinome pancréatique = MEN type 1)
-
6. Gastroparésie :
- a. Primaire
- b. Secondaire : diabète, post-vagotomie, sténose pylorique
Présentation clinique du RGO: Anamnèse - Sx
-
Manifestations oesophagiennes :
- Pyrosis (sensation de brûlement qui remonte derrière le sternum, DRS)
- Régurgitations (liquide amer dans la bouche, sans effort de vomissement)
- Douleur thoracique non-cardiaque
- Hypersalivation
- Dyspepsie
-
Manifestations extra-oesophagiennes :
- Toux chronique
- Voix enrouée au réveil
- Pneumonies d’aspiration récidiventes
- Asthme nocturne non-allergique
- Perte de l’émail des dents
- Pharyngite chronique
- Hoquet chronique
Présentation clinique du RGO: Examen physique et symptômes
- Normal la plupart du temps
- Signes vitaux normaux
- Patient se positionne assis
- Perte émail des dents
- Halitose
- Toux, racler la gorge
- Symptômes reproduits par le décubitus dorsal
Traitements disponibles pour le RGO (mesures non pharmacologiques et pharmacologiques).
- Élever la tête du lit de 10-15 cm; perdre du poids; éviter aliments irritants et qui diminuent le tonus du SOI, éviter les repas surchargés, diminuer tabac, diminuer Rx qui diminuent le tonus du SOI
- Antiacides pour soulager les symptômes (ne guérissent PAS l’oesophagite peptique)
- Anti-H2 (à utiliser pour le RGO léger sans signaux d’alarme)
- IPP (traitement de choix, efficaces pour soulager le reflux, guérir l’oesophagite; utilisation à long terme sans danger; traitement de choix pour l’oesophage de Barrett)
- Agents prokinétiques prn (pour augmenter le tonus du SOI; pas vraiment efficaces)
- Chirurgie par fundoplication de Nissen ou Toupet par laparoscopie (si échec aux Rx ou comme alternative au traitement médicamenteux à long terme)
Dyspepsie: Définition
- La dyspepsie désigne un ensemble de symptômes d’origine gastro-duodénale, caractérisé par des douleurs épigastriques ou inconfort pouvant être déclenché par l’alimentation et pouvant s’accompagner d’une sensation de distension abdominale ou “ballonnements” et perte d’appétit.
Dyspepsie fonctionnelle: Sx et Dx
- Le comité Rome III sur les troubles fonctionnels gastro-intestinaux définit la dyspepsie comme un ou plusieurs des symptômes suivants :
- Plénitude postprandiale (syndrome de détresse postprandiale)
- Douleur ou brûlure épigastrique (syndrome de douleur épigastrique)
- Satiété précoce
- D’autres symptômes tels que des éructations et des nausées peuvent survenir.
- Il existe un chevauchement fréquent entre la dyspepsie et les brûlures d’estomac, qui caractérisent le reflux gastro-oesophagien (RGO).
- Le syndrome du côlon irritable chevauche également avec dyspepsie fonctionnelle, où le complexe de symptômes prédominant comprend des ballonnements et un soulagement après défécation.
- La douleur des voies biliaires doit également être prise en compte, la description classique des symptômes étant une douleur postprandiale (aggravée par des repas gras) profonde dans le quadrant supérieur droit qui s’accumule sur plusieurs heures. puis se dissipe.
Dyspepsie : Chevauchement avec autres pathos
- Il existe un chevauchement fréquent entre la dyspepsie et les brûlures d’estomac, qui caractérisent le reflux gastro-oesophagien (RGO).
- Le syndrome du côlon irritable chevauche également avec dyspepsie fonctionnelle, où le complexe de symptômes prédominant comprend des ballonnements et un soulagement après défécation.
- La douleur des voies biliaires doit également être prise en compte, la description classique des symptômes étant une douleur postprandiale (aggravée par des repas gras) profonde dans le quadrant supérieur droit qui s’accumule sur plusieurs heures puis se dissipe.
Sx dyspeptiques: fréquence dans la population
- Les symptômes dyspeptiques dans la population générale sont courants : des estimations pouvant atteindre 30 % des individus éprouvent des symptômes dyspeptiques, tandis que peu d’entre eux consultent un médecin.
Dyspepsie: Pathos sous-jacentes en cause et principale cause
- Bien que les causes de la dyspepsie comprennent
- l’œsophagite,
- l’ulcère peptique,
- l’infection à Helicobacter pylori,
- la maladie coeliaque
- et rarement néoplasie,
- la plupart des patients atteints de dyspepsie n’ont pas de maladie organique, avec une batterie normale de explorations incluant l’endoscopie.
Dyspepsie fonctionnelle: Physiopathologie
- Le mécanisme de ce complexe de symptômes est incomplètement compris, mais implique probablement une hypersensibilité viscérale, des altérations de l’accommodation gastrique et vidange et altération du traitement central de la douleur.
Checklist les éléments de l’investigation pour la dyspepsie (pour guider le médecin)
- Absence de signes d’alarme (perte de poids, anémie, carence en fer, dysphagie, vomissements, âge > 50 ans avec nouveaux symptômes)
- Test respiratoire à l’urée négatif (doit être effectué sans IPP, antagonistes des récepteurs H2, antiacides pendant au moins 3 jours et sans antibiotiques pendant au moins 4 semaines)
- Des modifications du mode de vie ont été discutées et le patient les a incorporées dans sa plan de traitement (repas plus petits, évitement des déclencheurs alimentaires identifiés, perte de poids appropriée, surélévation de la tête de lit, arrêt du tabac)
- Patient adhérant à l’essai d’IPP (peut commencer une fois par jour puis passer à deux fois par jour, 30 minutes avant petit-déjeuner et souper pour un minimum de 8 semaines)
Algorithme d’investigation et de traitement lorsqu’un patient se présente avec de la dyspepsie
- Établir le dx de dyspepsie
- Signaux d’alarme ⇢ Référence en gastro
- Revoir la médication ⇢ passer au point suivant si pas d’amélioration
-
Investigation de base: CBC, ferritine, sérologie cœliaque, ALT, ALP, GGT, bilirubine, lipase, u/s abdominal (ultra son?)
- si normal ⇢ passer au suivant
- si anormal ⇢ autre diagnostic
-
Test et traitement du H. Pylori: si négatif ⇢ suivant
- Si échec après 3 essais ⇢ référer en gastro
- Modification des habitudes de vie: si pas d’amélioration ⇢ suivant
-
Essai IPP
- DIE, x 4 semaines
- si échec: BID, x 4 semaines
-
Essai domperidone
- Débuter à 5 mg TID
- Augmenter à 10 mg QID max
- Si échec: référer en gastro
Algorithme dyspepsie : Étape 1 - Établir le dx dyspepsie
- Établir le diagnostic de dyspepsie tel que défini ci-dessus par l’anamnèse et l’examen physique, à l’exclusion des caractéristiques inquiétantes ou des drapeaux rouges.
- En présence de drapeaux rouges, référer en gastro-entérologie; un examen endoscopique urgent est recommandée, même si la valeur prédictive de ces caractéristiques est quelque peu limitée.
Algorithme dyspepsie : Étape 2 - Investiguer la médication du patient (Rx à risque)
- Un examen du profil médicamenteux du patient doit être entrepris pour tenter d’identifier les coupables évidents tels que les ASA/AINS/inhibiteurs de la COX-2, les stéroïdes, les bisphosphonates, les inhibiteurs calciques, antibiotiques, suppléments de fer ou de magnésium.
- Tout médicament nouveau ou récemment prescrit, au cours de la un produit en vente libre ou à base de plantes/naturel peut être impliqué car pratiquement tous les médicaments peuvent causer des troubles gastro-intestinaux chez certains malades.
Algorithme dyspepsie : Étape 3 - Investigation de base (Objectif, éléments)
- Enquêtes de base visant à identifier les caractéristiques préoccupantes ou les étiologies claires :
- CBC et ferritine
- La transglutaminase anti-tissulaire a une sensibilité > 95 % pour exclure la maladie coeliaque
- ALT, ALP, GGT et lipase, visant à identifier une source hépatobiliaire ou pancréatique de douleur
- Si la douleur est compatible avec des coliques biliaires ou si les enzymes hépatiques ou la lipase sont anormales ou s’il y a une masse abdominale palpable, obtenir une échographie trans-abdominale.
- Les séries GI supérieures peuvent être envisagées, mais leur rendement est faible pour les résultats pertinents, comme c’est le cas endoscopie
Algorithme dyspepsie : Étape 4 - Investiguer et traiter H. Pylori
- Testez et traitez Helicobacter pylori par test respiratoire à l’urée (UBT). Cette stratégie est basée sur des preuves que certains patients dyspeptiques sont colonisés par H. pylori et auront un ulcère peptique sous-jacent ou gastrite.
- Si le UBT est positif, les lignes directrices consensuelles canadiennes de 2016 recommandent maintenant le quadruple schémas thérapeutiques (voir tableau ci-dessous).
- La trithérapie (IPP + clarithromycine + amoxicilline ou métronidazole) n’est plus recommandé, car des études sur les isolats de Hp au Canada suggèrent que 25 à 30 % sont résistants à métronidazole et 15 à 20 % sont résistants à la clarithromycine.
- À l’exception du régime à base de rifabutine, tous les traitements contre l’Hp doivent être de 14 durée de jours.
- Discutez TOUJOURS avec votre patient des éventuels effets indésirables mineurs ou graves d’antibiotiques. Voir Enhanced Primary Care Pathway H. Pylori pour plus de détails, qui comprend des documents d’information utiles pour les patients.
- En cas d’échec du traitement de troisième intention, envisager de référer en gastro-entérologie ou d’en discuter via
- Communiquer avec le spécialiste avant de procéder à un traitement à base de Rifabutine.
Algorithme dyspepsie : Étape 5 - Modification des habitudes de vie (Alimentation)
- Il existe peu d’études à l’appui de recommandations diététiques spécifiques, mais un l’essai de diverses exclusions alimentaires sous la direction d’un nutritionniste ou d’un diététiste peut être utile, notamment en évitant le lactose et les aliments riches en fructose (FODMAP).
Algorithme dyspepsie : Étape 6 - Essai IPP
- Essai empirique de médicaments anti-sécrétoires.
- En l’absence d’infection à H. pylori ou de symptômes persistants malgré le succès de l’éradication de H. pylori, un essai d’IPP à dose standard pendant 4 à 8 semaines peut être bénéfique pour certains les patients.
- Les IPP sont préférés aux antagonistes des récepteurs H2.
- Le traitement initial doit être une fois par jour, 30 min avant le petit déjeuner.
- S’il n’y a pas d’amélioration symptomatique significative après 4 semaines, passer à BID ou passer à un autre IPP.
- Si les symptômes sont alors contrôlés, il est conseillé diminuer jusqu’au dose efficace la plus faible.
Algorithme dyspepsie : Étape 7 - Essai d’agents de motilité
- Essai d’agents de motricité.
- Bien qu’une vidange gastrique retardée puisse être démontrée chez 30 à 80 % des patients souffrant de dyspepsie, les études de vidange gastrique ne font pas partie de l’investigation de routine de la dyspepsie.
- Les agents procinétiques améliorent la vidange gastrique, et certains patients peuvent trouver un bénéfice clinique.
- La dompéridone peut être utilisée à des doses croissantes, il est suggéré de commencer à 5 mg TID-AC, jusqu’à 10 mg PO QID comme essai de 2 à 4 semaines.
- Les données sont insuffisantes pour recommander l’utilisation systématique de bismuth, d’antiacides, de siméthicone, misoprostol, anticholinergiques, antispasmodiques, ATC, ISRS, phytothérapies, probiotiques ou thérapies psychologiques dans la dyspepsie fonctionnelle.
- Cependant, ces thérapies peuvent être bénéfiques dans certains cas, et donc un essai avec évaluation de la réponse peut être raisonnable et peu susceptible de provoquer préjudice.
Lignes directrices 2016 de l’Association canadienne de gastroentérologie pour le traitement de H. pylori
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Premier essai
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CLAMET Quad for 14 days
- PPI standard dose BID
- Clarithromycin 500mg BID
- Amoxicillin 1000mg BID
- Metronidazole 500mg BID
- OU
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BMT Quad for 14 days
- PPI standard dose BID
- Bismuth subsalicylate 524mg QID
- Metronidazole 375mg QID
- Tetracycline 500mg BID
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CLAMET Quad for 14 days
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Deuxième essai
- If CLAMET Quad was used as initial treatment, then use BMT Quad for second round
- If BMT Quad was used as initial treatment, then use CLAMET Quad or consider Levo-Amox
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Troisième essai
- Levo-Amox for 14 days
- PPI standard dose BID
- Amoxicillin 1000mg BID
- Levofloxacin 250 mg BID
- Levo-Amox for 14 days
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Quatrième essai
- Rif-Amox for 10 days
- PPI standard dose BID
- Rifabutin 150mg BID
- Amoxicillin 1000mg BID
- IMPORTANT : Rif-Amox ne doit être considéré qu’après échec ou intolérance à d’autres régimes.
- La rifabutine a rarement été associés à des risques potentiellement graves myélotoxicité.
- Les avantages et les inconvénients de donner le traitement de quatrième ligne doit être décidé sur une base au cas par cas.
- Rif-Amox for 10 days
Quelles sont les doses standards d’IPP?
- Standard doses of PPIs are:
- omeprazole 20mg,
- rabeprazole 20mg,
- lansoprazole 30mg,
- pantoprazole 40mg,
- esomeprazole 40mg,
- and dexlansoprazole 30mg
Hp: Épidémiologie - Prévalence, chez qui?, quand est l’infection?, voie de transmission?, prévalence de Hp résistante aux Ab?
- La prévalence globale de Hp au Canada est d’environ 20 à 30 %, mais elle est considérablement plus élevée au premier communautés des nations et chez les immigrants des pays en développement d’Amérique du Sud, d’Afrique et d’Asie où la prévalence peut être de 70 à 90 %.
- L’infection survient le plus souvent pendant l’enfance, probablement par voie orale.
- La prévalence des souches d’Hp résistantes aux antibiotiques est élevée dans certaines populations immigrantes.
Hp: Sx
- De nombreux humains sont porteurs asymptomatiques de Hp, mais ceux qui développent des gastroduodénite éprouvez de la dyspepsie, c’est-à-dire des douleurs épigastriques post-prandiales ou des ballonnements, des nausées, des éructations, satiété précoce ou perte d’appétit.
Hp et RGO
- La plupart des études suggèrent que Hp ne joue pas de rôle dans le reflux gastro-oesophagien, et les patients sont habituellement déçus lorsque leur RGO ne s’améliore pas après l’éradication de colonisation Hp fortuite.
Hp: Complications
- Environ 5 à 15 % des patients atteints d’Hp développeront des ulcères duodénaux ou gastriques, mais cela est plus élevé chez les patients qui utilisent de manière chronique des anti-inflammatoires non stéroïdiens, y compris de l’aspirine à faible dose (par exemple, pour la prise en charge à long terme de l’arthrite ou d’autres états douloureux).
- Hp augmente le risque d’adénocarcinome gastrique et lymphome du MALT, mais dans l’ensemble, le risque absolu de celui-ci est très faible, inférieur à 1 %.
Hp: Méthode dx principale, sensibilité et spécificité, coûts associés, durée
- Le test respiratoire à l’urée (UBT) est le test non invasif le plus couramment utilisé pour Hp à Calgary.
- Faux les résultats positifs sont rares, mais les faux négatifs peuvent résulter de l’utilisation récente d’antibiotiques ou de médicaments antisécrétoires (antagonistes des IPP ou des récepteurs H2).
- Les patients doivent être sans antibiotiques pendant au moins 4 semaines avant le test.
- CLS suggère d’arrêter les IPP 3 jours avant le test, mais de préférence cela devrait être 2 semaines, ce qui peut être difficile pour certains patients qui deviennent symptomatiques hors IPP.
- L’UBT coûte environ 45 $ et prend environ une heure pour le patient à compléter.
Hp: Qui tester?
- (1) Patients présentant des symptômes GI supérieurs pertinents.
- (2) Patients ayant des antécédents d’ulcère peptique ou saignement gastro-intestinal supérieur, en particulier si vous envisagez d’utiliser de l’aspirine à faible dose et/ou un autre agent antiplaquettaire.
- (3) Patients ayant un parent au premier degré atteint d’un cancer gastrique.
- (4) Le test Hp est une considération chez les patients qui commencent des AINS à long terme, mais chez ces patients, une attention égale doit être accordée à l’utilisation concomitante d’un IPP pour la gastro-protection.
- Il n’y a pas de lignes directrices claires fondées sur des données probantes au Canada pour le dépistage asymptomatique personnes en fonction de leur pays de naissance ou de leur statut d’Autochtone.
Hp: Traitement - Quel est le traitement? Résistance et types de résistance?
- En 2016, l’Association canadienne de gastroentérologie a apporté d’importants changements aux lignes directrices traiter Hp.
- En raison de l’augmentation de la résistance aux antibiotiques, les schémas thérapeutiques standard de trithérapie (par exemple, IPP-clarithromycinamoxicilline ; HpPAC™) ne font plus partie du traitement de première intention et sont remplacés par des quadrithérapies de 14 jours, comme décrit ci-dessous.
- Bien que la résistance de Hp au métronidazole, à la clarithromycine et à la lévofloxacine soit de plus en plus fréquent, la résistance est faible à l’amoxicilline (0%) et à la tétracycline (<3%).
- Résistance à la clarithromycine et la lévofloxacine est un phénomène “tout ou rien”, ce qui signifie qu’une fois qu’un patient héberge une souche résistante, il y a inutile d’utiliser à nouveau cet antibiotique.
- En revanche, la résistance au métronidazole est partielle, c’est-à-dire qu’elle peut souvent être surmonter en laissant le métronidazole dans le cadre du prochain traitement.
- Malheureusement, dans la plupart des endroits au Canada, le la fréquence exacte de la résistance antibiotique à Hp n’est pas connue.
- Les meilleurs conseils pour le traitement sont donc donnés par la connaissance des taux de réussite des différentes thérapies dans la région où l’on exerce.
Hp: Confirmation de l’éradication, Réinfection, Transmission
- Les patients doivent toujours être retestés pour Hp au moins 4 semaines après le traitement ; retester trop tôt risque un faux test négatif.
- Une fois éradiquée, la réinfection est rare.
- Si Hp réapparaît plus tard, cela est probablement dû à recrudescence de l’infection initiale.
- La transmission à d’autres est peu probable, elle n’est donc pas systématiquement recommandée tester les conjoints ou les enfants des patients atteints d’Hp, à moins qu’ils ne présentent des symptômes pertinents.
Hp: Échec de Tx - Causes, quoi faire?
- Cela est souvent dû à la résistance aux antibiotiques, mais certainement à l’intolérance ou au non-respect des les traitements doivent être explorés avec le patient.
- La récurrence représente probablement une recrudescence de l’original l’infection, ce qui incite à adopter d’autres régimes d’antibiotiques.
- IMPORTANT : après échec du traitement, il n’y a pas point de réessayer le même régime.
Hp: Nouvelles indications pour le tx
- La trithérapie (IPP + clarithromycine + amoxicilline ou métronidazole) n’est plus recommandée, comme les études des isolats de Hp au Canada suggèrent que 25 à 30 % sont résistants au métronidazole et 15 à 20 % sont résistant à la clarithromycine.
Hp: Durée du tx
- À l’exception du régime à base de rifabutine, tous les traitements contre l’Hp doivent durer 14 jours
Hp: Qu’est-il important de dire au patient? Comment faciliter cela?
- Il faut rappeler au patient l’importance de terminer tout le traitement exactement comme prescrit.
- Pour plus de clarté et de commodité, en particulier avec les thérapies Quad, il peut être utile d’avoir la bulle d’ordonnance emballée qui est gratuite ou moyennant des frais nominaux dans la plupart des pharmacies.
Quoi faire si Hp est persistant? (varie selon la situation)
- Revérifier le TIUB (hors antibiotiques ≥4 semaines ; hors IPP ≥3 jours mais de préférence ≥2 semaines)
- Si le TIUB reste positif, utiliser un autre traitement et revérifier le TIUB. Se référer au traitement ci-dessus des lignes directrices. Si vous avez des questions, veuillez appeler GI Specialist Link au 403-910-2551 ou sans frais au 1-855-387-3151.
- Si TUB est négatif mais les symptômes sont persistants, envoyez une nouvelle référence avec tous les détails au GI CAT Objet : endoscopie diagnostique.
- Si UBT négatif mais antécédents familiaux de cancer gastrique chez un parent au premier degré, envoyer une nouvelle référence objet : endoscopie de dépistage
What is CLAMET-PPI?
- Your doctor has prescribed CLAMET-PPI treatment because you have an infection of the stomach (H. pylori). CLAMET-PPI treatment gets its name from the medicine in it (_Cl_arithromycin, _A_moxicillin, _Met_ronidazole, and a _p_roton _p_ump _i_nhibitor).
Comment prendre CLAMET-PPI? - allaitement, durée du traitement, coût, observance
- La plupart des gens prennent le traitement CLAMET-PPI sans aucun problème.
- Si vous êtes enceinte ou allaitez, vous ne pouvez pas prendre le traitement CLAMET-PPI.
- Vous devrez prendre le médicament indiqué ci-dessous pendant 14 jours. Pour vous faciliter la tâche, demandez à votre pharmacien mettre vos ordonnances dans un emballage à bulles. Le traitement CLAMET-PPI coûte environ 160 $ si le générique médicament est utilisé.
- Si vous ne suivez pas le traitement tel que recommandé, il ne fonctionnera pas aussi bien.
CLAMET-PPI:
- Ab
- Dose
- Fréquence de la prise
CLAMET-PPI: Clarithromycin (Biaxin®)
- Utilisation
- E2
- Cet antibiotique est souvent utilisé pour traiter les infections des poumons et des oreilles, mais il fonctionne bien pour traiter H. pylori.
- Les effets secondaires courants incluent un goût différent, des selles molles et nausée.