Quiz semaine 3 Flashcards

1
Q

Inhibiteur de l’anhydrase carbonique: site d’action + exemple

A
  • Tubule proximal
  • Acétazolamide
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Q

Diurétique thiazidique ou apparenté: site d’action + exemple

A
  • Portion initiale du tubule distal
  • Exemples
    • Hydrochlorothiazide (HCTZ)
    • Indapamide (ex : Lozide®)
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3
Q

Diurétique de l’anse: site d’action + exemple

A
  • Anse de Henle
  • Furosémide
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4
Q

Diurétique épargneur de potassium: site d’action + exemple

A
  • Inhibiteur des canaux sodiques
    • Site d’action: Tubule distal et tubule collecteur
    • Amiloride (ex: Midamor®)
    • Triamtérène (seulement disponible en combinaison avec HCTZ au Canada)
  • Antagoniste de l’aldostérone
    • Site d’action: Tubule distal et tubule collecteur
    • Spironolactone (ex : Aldactone®)
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5
Q

Acétazolamide: Particularité

A
  • L’acétazolamide (ex : Diamox®) est un diurétique bien particulier.
  • Il est un inhibiteur spécifique de l’anhydrase carbonique à différents niveaux :
    • tubule rénal,
    • corps ciliaire,
    • plexus choroïde,
    • système nerveux central
    • et muqueuse digestive.
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6
Q

Acétazolamide: Particularité - Oeil

A
  • Au niveau de l’oeil, l’acétazolamide, en cas d’hypertension oculaire préalable, provoque une chute rapide de la pression par action sur le corps ciliaire et élimination accélérée des bicarbonates et des autres électrolytes qui se trouvent normalement en concentration élevée dans les liquides intra-oculaires.
  • Cette élimination accélérée diminue la pression osmotique des milieux liquidiens de l’oeil et, de ce fait, fait baisser la pression intra-oculaire.
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7
Q

Acétazolamide: Particularité - Tubule rénal

A
  • Au niveau du tubule rénal, l’acétazolamide est un diurétique entraînant par substitution ionique : une augmentation de la diurèse aqueuse, une forte élimination des bicarbonates, une excrétion moindre du sodium et du potassium, une alcalinisation des urines (élimination urinaire des bicarbonates).
  • Bien que la diurèse générée par l’acétazolamide diminue la pression artérielle, ce médicament n’est pas indiqué pour le traitement de l’hypertension.
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8
Q

Acétazolamide: Particularité - pH sanguin

A
  • Effet sur le pH sanguin : L’acétazolamide cause une accumulation d’acide carbonique en empêchant sa dégradation par l’anhydrase carbonique.
    • Il en résulte une diminution du pH sanguin (pH plus acide).
  • Cet effet sur le pH découle du fait que les bicarbonates sont excrétés au niveau urinaire plutôt qu’absorbés au niveau sérique
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9
Q

Acétazolamide: Particularité - SNC

A
  • Effet sur le système nerveux central : L’acétazolamide possède une indication officielle pour le traitement de l’épilepsie.
  • En pratique cet agent est très rarement utiliser pour cette condition.
  • Le mécanisme d’action de l’acétazolamide pour l’épilepsie est mal défini.
  • Certains experts croient que l’inhibition de l’anhydrase carbonique au niveau cérébral atténue le déclenchement du potentiel d’action.
  • Ainsi, l’amortissement des potentiels d’action aberrants permettrait d’éviter les convulsions
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10
Q

Acétazolamide: Indications reconnues

A
  • Traitement des hypertonies oculaires (certains cas de glaucome).
  • Traitement de certaines alcaloses métaboliques, en particulier au cours des décompensations des insuffisances respiratoires chroniques, nécessitant le recours à la ventilation mécanique.
  • Mal aigu des montagnes (œdème cérébral en haute altitude), épilepsie, hypertension intracrânienne
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11
Q

L’hydrochlorothiazide: E2

A

L’hydrochlorothiazide est un diurétique thiazidique qui peut potentiellement causer plusieurs désordres métaboliques:

  • Hyponatrémie (fréquent)
  • Hypokaliémie (fréquent)
  • Alcalose métabolique (par perte de chlore au niveau urinaire et réabsorption de bicarbonates)
  • Hypercalcémie (diminution de l’excrétion urinaire augmentation de la réabsorption au niveau sérique)
  • Hyperglycémie
  • Augmentation de l’acide urique
  • Anomalies du bilan lipidique: augmentation du cholestérol LDL et des triglycérides (changement léger du bilan lipidique et surtout à doses élevées). Cet effet est généralement à court terme. On s’attend généralement à un retour à la normale du bilan lipidique moins de 1 an après le début du traitement d’HCTZ.
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12
Q

L’hydrochlorothiazide: E2 - Bilan lipidique

A
  • Anomalies du bilan lipidique: augmentation du cholestérol LDL et des triglycérides (changement léger du bilan lipidique et surtout à doses élevées).
  • Cet effet est généralement à court terme.
  • On s’attend généralement à un retour à la normale du bilan lipidique moins de 1 an après le début du traitement d’HCTZ.
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13
Q

Créatinine: Pertinence clinique

A
  • Bien que la créatininémie soit fréquemment utilisée pour faire le suivi de la fonction rénale en clinique, les stades d’insuffisance rénale chronique sont déterminés à l’aide du débit de filtration glomérulaire (DFG).
  • On estime donc le DFG (DFGe) avec la clairance à la créatinine (ClCr) mesurée à l’aide d’une collecte de créatinine urinaire de 24 heures ou estimée à l’aide de la créatinine sérique.
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14
Q

DFG: Pertinence clinique

A
  • Bien que la créatininémie soit fréquemment utilisée pour faire le suivi de la fonction rénale en clinique, les stades d’insuffisance rénale chronique sont déterminés à l’aide du débit de filtration glomérulaire (DFG).
  • On estime donc le DFG (DFGe) avec la clairance à la créatinine (ClCr) mesurée à l’aide d’une collecte de créatinine urinaire de 24 heures ou estimée à l’aide de la créatinine sérique.
  • L’estimation systématique par les laboratoires de la filtration glomérulaire lors du dosage de la créatininémie a permis au corps médical de se rendre compte de la fréquence de l’insuffisance rénale chronique dans la population.
  • L’équation du CKD-EPI (Chronic Kidney Disease - Epidemiology Collaboration) est plus précise que celle du MDRD (Modification of Diet in Renal Disease) et devrait remplacer cette dernière en usage clinique de routine.
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15
Q

DFG: Formule

A
  • L’équation du CKD-EPI (Chronic Kidney Disease - Epidemiology Collaboration) est plus précise que celle du MDRD (Modification of Diet in Renal Disease) et devrait remplacer cette dernière en usage clinique de routine.
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16
Q

Stades d’insuffisance rénale chronique

A
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17
Q

DFG: Quelle formule?

A
  • L’équation du CKD-EPI (Chronic Kidney Disease - Epidemiology Collaboration) est plus précise que celle du MDRD (Modification of Diet in Renal Disease) et devrait remplacer cette dernière en usage clinique de routine.
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18
Q

DFG: Formule de Cockcroft-Gault (CG) - Limites

A
  • Malgré le fait qu’elle soit fréquemment utilisée en pratique, la formule de Cockcroft-Gault (CG) présente des limites importantes.
  • En effet, cette formule développée à Montréal en 1976 s’est basée sur l’étude de la fonction rénale de sujets masculins seulement.
  • L’ajustement proposés par les concepteurs pour les femmes est arbitraire.
  • Aussi, la formule utilise le poids réel et aucun ajustement n’a été proposé pour les patients obèses.
  • Malgré ces limites, la formule de CG est celle qu’utilisent les fabricants de médicaments pour indiquer l’ajustement posologique requis en insuffisance rénale.
  • Dans le futur, il est probable que les compagnies pharmaceutiques délaissent de plus en plus la formule CG au profit de la formule CKD-EP.
  • Dans tous les cas, rien d’indique qu’il est erroné de procéder à l’ajustement posologique d’un médicament en se basant sur une équation différente (ex. CKD-EPI)
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19
Q

DFG: Formule de Cockcroft-Gault (CG) - Utilité

A
  • Malgré ces limites, la formule de CG est celle qu’utilisent les fabricants de médicaments pour indiquer l’ajustement posologique requis en insuffisance rénale.
  • Dans le futur, il est probable que les compagnies pharmaceutiques délaissent de plus en plus la formule CG au profit de la formule CKD-EP.
  • Dans tous les cas, rien d’indique qu’il est erroné de procéder à l’ajustement posologique d’un médicament en se basant sur une équation différente (ex. CKD-EPI)
20
Q

Diurétiques épargneurs de K+: Mode d’action

A
  • Les diurétiques épargneurs de potassium antagonisent les récepteurs spécifiques de l’aldostérone au niveau du tubule contourné distal ce qui amène une diminution de la réabsorption du sodium et de l’eau, et une augmentation de la rétention du potassium.
  • L’hyperkaliémie est un effet indésirable FRÉQUENT de cette médication. Les diurétiques épargneurs de potassium, tel que l’aldactone, sont donc contre-indiqués (CI relative) dans les cas d’insuffisance rénale sévères (ClCr hyperkaliémie).
21
Q

Diurétiques épargneurs de K+: E2 + CI

A
  • L’hyperkaliémie est un effet indésirable FRÉQUENT de cette médication.
  • Les diurétiques épargneurs de potassium, tel que l’aldactone, sont donc contre-indiqués (CI relative) dans les cas d’insuffisance rénale sévères (ClCr hyperkaliémie).
22
Q

Hypokaliémie: Diurétiques en cause

A
  • Par ailleurs, l’hypokaliémie est un effet indésirable FRÉQUENT des
    • diurétiques thiazidiques
    • et des diurétiques de l’anse.
23
Q

Lors d’une colique néphrétique, où se trouve le plus souvent l’obstruction par l’urolithiase?

A
  • Uretère distal
    • croisement de l’uretère au-dessus des vaisseaux iliaques
    • croisement de l’uretère derrière le canal déférent (homme) ou le ligament rond (femme)
    • jonction urétérovésicale
24
Q

Urolithiase: SiteS leS plus fréquentS d’obstruction

A
  • Les sites les plus fréquents d’obstruction par une urolithiase sont des zones de rétrécissements naturels:
    • calices
    • jonction urétéropyélique
    • uretère distal:
      • croisement de l’uretère au-dessus des vaisseaux iliaques
      • croisement de l’uretère derrière le canal déférent (homme) ou le ligament rond (femme)
      • jonction urétérovésicale
25
Q

Urolithiase: Pertinence de l’imagerie

A
  • L’utilisation d’une technique d’imagerie est essentielle afin de
    • 1) confirmer le diagnostic par visualisation de la lithiase
    • et 2) orienter la prise en charge. Les gros calculs sont plus susceptibles de s’enclaver.
  • Généralement, un calcul doit avoir un diamètre > 5 mm pour risquer de se bloquer.
  • Les calculs ≤ 5 mm sont plus susceptibles de s’évacuer spontanément.
26
Q

Urolithiaise: Jusqu’à quelle grosseur les calculs s’évacuent-ils spontanément? (en général)

A
  • Généralement, un calcul doit avoir un diamètre > 5 mm pour risquer de se bloquer.
  • Les calculs ≤ 5 mm sont plus susceptibles de s’évacuer spontanément.
27
Q

Urolithiaise: Examen de choix pour investigation clinique + exception

A
  • L’examen de choix initial pour l’investigation de la colique néphrétique est la tomodensitométrie abdominale SANS produit de contraste.
  • Sur les images, la lithiase est la plupart du temps radioopaque étant donné son contenu en calcium.
    • 85% des calculs sont des calculs de calcium, essentiellement d’oxalate de calcium;
    • 10% sont des calculs d’acide urique;
    • 2% sont composés de cystine;
    • et la majeure partie du reste est du phosphate d’ammonium (struvite).
  • Attention! Chez la femme en âge de procréer, il faut toutefois utiliser d’autres modalités d’imagerie (ex. échographie abdomino-pelvienne) afin d’éliminer des diagnostics différentiels et protéger les ovaires / ovules de la radiation. Cependant, l’échographie est moins sensible pour les petits calculs ou les calculs urétéraux chez les patients sans hydronéphrose.
28
Q

Urolithiase: Fréquence des types de calculs

A
  • 85% des calculs sont des calculs de calcium, essentiellement d’oxalate de calcium
  • 10% sont des calculs d’acide urique
  • 2% sont composés de cystine
  • et la majeure partie du reste est du phosphate d’ammonium (struvite).
29
Q

Urolithiaise: Examen de choix pour investigation clinique - Exception

A
  • En général: TDM SANS produit de contraste
  • Attention! Chez la femme en âge de procréer, il faut toutefois utiliser d’autres modalités d’imagerie (ex. échographie abdomino-pelvienne) afin d’éliminer des diagnostics différentiels et protéger les ovaires / ovules de la radiation.
  • Cependant, l’échographie est moins sensible pour les petits calculs ou les calculs urétéraux chez les patients sans hydronéphrose.
30
Q

Diverticulite: Évolution de la douleur

A
  • Tout comme l’appendicite aigüe, la diverticulite peut se présenter initialement sous forme d’une douleur de type viscéral.
  • Elle évoluera vers une douleur pariétale (tel que c’est le cas dans cette vignette) lorsque l’inflammation/infection progressera jusqu’au péritoine pariétal.
  • Au besoin, revoir les notions d’anatomie correspondantes.
31
Q

Douleur viscérale: Source de la douleur

A
  • Provient de la stimulation des terminaisons nerveuses du système nerveux autonome du péritoine viscéral entourant les organes internes (viscères creux ou solides).
  • Cette stimulation peut provenir de :
    • contraction des organes creux avec intensité inhabituelle
    • distension des organes creux par gaz ou liquides
    • étirement de la capsule des organes solides par œdème ou toute lésion occupant de l’espace (ex. hémorragie, abcès, tumeur)
32
Q

Douleur viscérale: Localisation

A
  • généralement difficile à caractériser et à localiser par le patient
  • généralement ressentie près de la ligne médiane à des niveaux variables suivant l’organe impliqué.
  • La région dans laquelle la douleur sera ressentie correspond au segment somatique embryonnaire :
    • tube digestif haut (estomac, duodénum, foie, voies biliaires et pancréas) = douleur abdominale haute
    • tube digestif moyen (grêle, côlon proximal et appendice) = douleur péri-ombilicale
    • tube digestif distal (côlon distal) et système génito-urinaire = douleur abdominale basse
33
Q

Douleur viscérale: Groupes de localisations

A
  • La région dans laquelle la douleur sera ressentie correspond au segment somatique embryonnaire :
    • tube digestif haut (estomac, duodénum, foie, voies biliaires et pancréas) = douleur abdominale haute
    • tube digestif moyen (grêle, côlon proximal et appendice) = douleur péri-ombilicale
    • tube digestif distal (côlon distal) et système génito-urinaire = douleur abdominale basse
34
Q

Douleur pariétale: Synonyme

A

Douleur somatique

35
Q

Douleur pariétale: Source de la douleur

A
  • provient de l’irritation du péritoine pariétal par infection, irritation chimique ou tout autre processus inflammatoire important
  • la stimulation nerveuse est transmise par les nerfs périphériques et est donc mieux localisée que la stimulation des composantes viscérales. La douleur sera donc ressentie dans l’aire de l’organe atteint
36
Q

Douleur pariétale: Description (qualité) + aggravation

A
  • souvent décrite comme constante, lancinante, intense
  • bien localisée près de l’organe atteint
  • typiquement aggravée par le mouvement ou la toux ; les patients préfèrent rester immobiles
  • ATTENTION: La douleur peut être diffuse dans les cas de péritonite où tout le péritoine est irrité par la présence de sang (ex. grossesse ectopique rompue), de pus (ex. abcès perforé) , d’air (ex. pneumopéritoine par ulcère peptique perforé), de selles (ex. perforation intestinale), etc.
37
Q

Douleur pariétale: Localisation

A
  • bien localisée près de l’organe atteint
  • ATTENTION: La douleur peut être diffuse dans les cas de péritonite où tout le péritoine est irrité par la présence de sang (ex. grossesse ectopique rompue), de pus (ex. abcès perforé) , d’air (ex. pneumopéritoine par ulcère peptique perforé), de selles (ex. perforation intestinale), etc.
38
Q

Douleur pariétale: Localisation

A
  • bien localisée près de l’organe atteint
39
Q

Douleur projetée: Synonyme

A

Douleur référée

40
Q

Douleur projetée: Localisation

A
  • douleur ressentie dans un site éloigné de l’organe atteint
41
Q

Douleur projetée: Source de la douleur

A
  • une douleur viscérale ou pariétale peut engendrer une douleur référée
  • survient parce que l’innervation du site éloigné provient environ du même niveau de la moelle épinière que l’innervation de l’organe atteint. Par exemple, une atteinte d’organe thoracique peut se présenter par une douleur abdominale
  • Notons particulièrement :
    • irritation pleurale (ex. pneumonie) qui se présente parfois comme une douleur abdominale
    • infarctus aigu du myocarde peut occasionner une douleur épigastrique, sans douleur rétrosternale
42
Q

Douleur projetée (référée) : Exemples

A
  • Notons particulièrement :
    • irritation pleurale (ex. pneumonie) qui se présente parfois comme une douleur abdominale
    • infarctus aigu du myocarde peut occasionner une douleur épigastrique, sans douleur rétrosternale
43
Q

Alcalose respiratoire aigüe: Contexte clinique

A
  • Hyperventliation (ex. tachypnée)
44
Q
A
  • Dans cette situation, il vaut mieux reprendre le questionnaire.
  • En effet, actuellement, il qui ne permet pas d’élaborer de diagnostics différentiels pour expliquer la toux de ce patient…
  • De nouveaux éléments pourraient par exemple vous orienter vers d’autres diagnostics tels qu’une IVRS (infection des voies aériennes supérieures-habituellement d’origine virale) avec rhinorrhée postérieure.
  • Ce diagnostic serait d’ailleurs plus concordant avec l’examen physique du patient.
45
Q

Toux + fièvre

A

Toux + fièvre ≠ pneumonie