Cours 5 - La psychométrie Flashcards

1
Q

Quelles sont les types d’échelles de mesure ?

A
  • Nominal
  • Ordinal
  • Intervalle
  • Ratio
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2
Q

Que faut-il faire pour créer un test ?

A

Chaque test est destiné à un groupe particulier ou une série de groupe (comme le WISC qui est destiné à enfants de 6 à 16 ans).
Il faut cibler le groupe à l’avance avant de créer un test. -> échantillonnage

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3
Q

Exemples de caractéristiques d’une population

A

âge, sexe, zone d’habitat (urbain vs rural)

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4
Q

Que fait on pour développer un test ?

A

Dvlper 1e version du test -> prétest : tester 1e version à partir d’un échantillon, ce qui va être important est que l’échantillon soit large et rpz de la population.

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5
Q

Pourquoi l’échantillon doit-il être large ?

A

On considère que la taille doit être au moins de 100 personnes pour un minimum de stabilité des différences inter et intra individuelles

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6
Q

Que veut dire “représentatif de la population” ?

A

échantillon doit avoir les mêmes caractéristiques que la population parente (p.ex si la population a un âge moyen de 10 ans, l’échantillon doit avoir le même âge moyen)

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7
Q

Que fait-on aaprs la 1ère version du test ?

A

Après cette 1e version, on aura une version finale q’on fera passer à un échantillon tjrs représentatif et encore plus large car on vise la généralisation des données de l’échantillon sur la population parente.
Cette généralisation peut être faite que si l’échantillon est suffisamment large et représentative de la population.

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8
Q

A quoi servent les normes ?

A

Les normes reviennent à créer de nouveaux barèmes pour situer les individus les uns par rapport aux autres -> tests normés ou création de seuils

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9
Q

Qu’est-ce que la sensibilité d’un test ?

A

la capacité à différencier les individu

Un test n’a d’utilité que si il permet de différencier les individus les uns des autres.

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10
Q

Différence effet plancher et effet plafond

A

-> faut pas faire de questions trop faciles sinon tout le monde aurait le même résultat ni trop difficile sinon tout le monde échouerait -> effet plancher (tout le monde échoue) et effet plafond (tout le monde va réussir)

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11
Q

Comment doit être le graphique de distribution d’un test ?

A

Les test et diff interindividuelles suivent une loi normale.
On regarde la forme de la distribution et l’ET. Il faut impérativement que l’ET soit sup à 0 et traduise une dispersion et une variabilité interindividuelle. Car si tous le monde a le même score y’a pas d’întérêt.

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12
Q

Qu’est-ce que ça fait si on a une distribution asymétrique négativement ou positivement ?

A
  • > négatif veut dire que bccp on obtenu le score maximum (plafond
  • > positif : bcp qui ont faible (effet plancher)
  • > test ne discrimine pas assez
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13
Q

Quel est le problème d’une distribution bimodale ?

A

sous-tend la présence de 2 sous-groupes

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14
Q

Quel est le problème d’une courbe en J ?

A

effet plafond

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15
Q

Que représente chaque item d’un test ?

A

On fait l’hyp que chaque item évalue un attribut psychologique -> on a une série d’item qui peuvent évaluer différents attributs

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16
Q

Quelle est la cotation de chaque item ?

A

0-1-2

17
Q

Comment obtient-on un score composite ?

A

Tous les items et les points obtenus vont être sommés pour avoir un score composite.
L’interprétation psycho consiste à interpréter ce score composite.
-> on va pouvoir dire si la performance est inf sup ou = à la moyenne

18
Q

Quelles sont les caractéristiques de l’interprétation du score composite ?

A
  • Unidimensionnalité

- Analyse factorielle

19
Q

Pourquoi l’interprétation du score composite doit-être unidimensionnelle ?

A

le score composite, n’a de sens que si tous les items évalue bien majoritairement le même attribut psycho. Donc il faut vérifier qu’effectivement tous les items font appel au même attribut psychologique -> unidimensionnel. Pour pouvoir évaluer l’unidimensionnalité on regarde les corrélation et on utilise l’analyse factorielle

Pour pouvoir interpréter un score total d’un test qui représente soit la somme soit la moyenne de différent item, il est indispensable que les items évalue le même attribut.

20
Q

Quel problème a-t-on dans les performances ?

A

Problème de la répétabilité et la stabilité des performances.
Quelque soit le test, on constate que les performances sont jms strictement identique. Avec ces variations, on peut qd meme considérer les performances comme équivalentes ?

21
Q

Qu’est-ce que le score vrai ?

A

On va considérer qu’un test s’est majoritairement associé à un de ces attribut. P.ex. si la plus grande variance est le verbal, on considère que c’est un test qui évalue la capacité verbale
Le score vrai va être défini comme le score associé au verbal.

22
Q

Quelles peuvent-être les erreurs de mesure ?

A
  • erreur aléatoire : les gens produisent une réponse sans que ça soit associé à une caractéristique psycho
  • erreur systématique : rentre en partie dans le spécifique (Le spécifique dit que dans chaque test il y a des spécificité qui interviennent pas dans les autres test)
23
Q

Quelle est la formule pour rendre compte de la fidélité d’un test ?

A

X1 = T + E

le score observer à un test (X1) correspond à une addition d’un score vrai (T) et d’une source d’erreur E

24
Q

Que faut-il par rapport à l’erreur pour interpréter un test de manière adéquate ?

A

il faut que l’erreur soit la plus petite possible come ça le score observer est très proche des vrais compétences psychologiques. Si l’erreur est grande, c’est que y’a une grande diff entre X1 et T.

25
Q

Quelle procédure peut-on utiliser pour évaluer la fidélité ?

A

le test-retest

26
Q

En quoi consiste le test-retest ?

A

Dans le test-retest, on administre le même test à un même échantillon et on fait passer ce test à deux reprises. C’est comme si on partait de l’idée qu’on fait passer le test ajd et on le refait passer plus tard et on évalue la stabilité des performances.
L’évaluation de l’erreur se fait à travers le calcul de corrélations.
On regarde si les diff inter- lors de la 1e passation sont relativement équivalente aux diff de la 2e passations

27
Q

La fidelité est calculée au niveau d’un groupe. Comment appliquer les données de fidelité au niveau d’un individu ?

A

À partir du coefficient de corrélation du groupe, on utilise pour calculer un intervalle de confiance au niveau individuel.
La logique c’est de dire qu’au niv de groupe on montre une erreur, si on applique cette logique au niv intra, la performance d’un individu est aussi influencée par de l’erreur. Pour tenir compte des ces erreurs, on défini un intervalle de confiance. -> 95% ou 90%
La performance doit se trouver dans la borne des 95%.
Si j’ai un QI de 100, en fait son score est autour de 100. donc avec un niveau de confiance de 95%, il doit se trouver entre 95 et 105.

28
Q

A quoi sert le concept de validité ?

A

Concept le plus important : donne des indications sur la manière dont on va pouvoir utiliser les résultats de tests.

29
Q

Comment vont être utilisés les test psychologiques ?

A

Test psycho qui vont être utiliser dans le cadre de bilans pour prendre des décisions, pour des aspects de description ou Faire des prédictions.

30
Q

Comment se fait le passage de la performance au test à l’utilisation en terme de décision ou descriptions?

A

Elle repose sur une étape cachée, l’inférence.
On va interpréter les résultats des tests à travers un attribut psycho.
Il n’y a aucune automaticité dans l’interprétation d’un score. Il faut s’appuyer sur des modèles théoriques.

31
Q

Est-ce qu’un attribut psychologique existe, est est-ce celui mesuré par le test ? (Ruch, 1924)

A
  • Dépend de l’utilisation du test (contexte) : La grande opposition : un test peut être utiliser dans une perspective clinique ou dans l’orientation professionnelle. Mais un test pour lequel on a des arguments dans un contexte clinique p.ex. ne signifie pas nécessairement que l’interprétation est valide dans un autre contexte de sélection professionnelle.
    Il faut s’appuyer sur des données empiriques qui s’inscrive dans un contexte.
  • Dépend de la population : On peut pas utiliser des données obtenues sur un autre échantillon que le notre.
    P.ex. des fois qd les Américains obtiennent des données sur leur groupe, les FR partent du principe que si les Américains ont montré que le test est valide, il est aussi valide pour les FR. mais c’est une faute.
  • Données empiriques + modèle théorique -> souvent il manque le modèle théorique
32
Q

Quelles sont les différentes sources de preuves ?

A
Validité du contenu
Validité interne
Relations avec d'autres variables
Processus de réponse
Validité de conséquences
33
Q

Quelle source de preuve est la plus souvent utilisée et représente le meilleure argument ?

A

relations avec d’autres variables

On prend la performance au test, puis Un autre score qu’on appelle critère (on fait passer au mêmes participants le critère et le test) et on calcule la corrélation entre le critère et le test.
Ici le critère est la réussite scolaire.
La corrélation entre le QI et la réussite scolaire varie entre .50 et .70.
À partir ce cette corrélation, on va justifier de la validité de l’interprétation du QI total, en disant que le QI total impliquent des attributs psycho impliqués au niveau de la réussite sociale.
Si les 2 épreuves corrèlent, c’est psk derrière elles partagent un même attribut
La corrélation n’est pas un indicateur de causalité mais souvent on aura une interprétation causale en terme de variable latente (variable commune, qui est la cause à la fois des performances du QI et des performances scolaires)

autre domaine qio dpmme des èreuves sur la validité de l’interprétation des scores d’intelligence : le travail
Corrélation entre les performances au travail dans l’apprentissage ou dans le travail lui-même.
Globalement, on constate que la performance individuelle GMA corrèle avec les performances

34
Q

Quel est l’objectif d’un bilan ?

A
  • Evaluation normative (les performances situent l’individu par rapport aux autres)
  • Evaluation relative (qu’est ce que ça représente dans le fonctionnement de l’individu pour lui-même -> l’individu est sa propre référence)
35
Q

Que faut-il faire pour réussir à avoir une évaluation relative ?

A

Pour réussir à avoir une évaluation relative on est obligé de convertir les scores des tests à travers des normes et créer des étalonnages qui va permettre de rendre comparable les scores des différentes épreuves
P.ex. score Z

36
Q

Comment doivent être les normes ?

A
  • Spécifiques à des groupes d’âges :On compare pas un enfant de 6 ans avec qqn de 25 ans. On fait des groupes d’âge
  • Condenser l’information : Faire des catéfories de personnes, p.ex. on dit que ceux qui ont entre 0 et 4 points sont dans la même catégories -> permet une réduction de la quantité de scores
  • Rendre comparables les scores des tests
37
Q

Pour le WAIS-IV, qu’est-ce que les notes standards ?

A

Notes standard : nouveau système de barème, qui varie de 1 jusqu’à 19. Moyenne de 10 et ET 3. -> 7 et - : inf à la moyenne. Entre 8 et 12, dans la moyenne. 13 et plus : supérieur à la moyenne

38
Q

Comment rend-on comparable les performances au travers de différentes épreuves ?

A

On convertit les notes brutes en notes standards.

39
Q

Caractéristiques d’un test ?

A
Echelles de mesure
Echantillonnage
Sensibilité
Unidimensionnalité
Fidélité
Validité
Etalonnage (normes)