AUTO-APPRENTISSAGE - CYCLE MENSTRUEL Flashcards
physiologie - régulation : durée
approximativement 28 jours, mais varie entre 21-35 jours
la durée d’un cycle réfère à sa fréquence, la période
physiologie - régulation : quand est-ce que débute un cycle
débute avec le début des menstruations
physiologie - régulation : quels sont les phases lorsqu’on se réfère au statut de l’ovaire (2)
- folliculaire
- lutéale
physiologie - régulation : phases si on prend l’endomètre comme référence (2)
- proliférative
- sécrétoire
physiologie - régulation : résumé
voir l’image
physiologie - durée : par quoi est-elle influencée
durée et qualité du développement et de la croissance du follicule
physiologie - durée : comparer la variabilité des phases folliculaire et lutéale
la phase folliculaire varie le plus, alors que la phase lutéale devient très constante quelques années après la ménarche
physiologie - durée : quand est-ce que les cycles sont les plus variables (2)
- 5-7 premières années suivant la ménarche
- 8-10 années précédant la ménopause
physiologie - durée : chez qui est-ce que les cycles sont plus longs
femmes avec un IMC très bas ou très haut
physiologie - durée : en moyenne, les menstruations durent _____ jours et on estime une perte sanguine normale entre ______ et _____ mL
- entre 2-7 jours
- 5 à 80 mL
physiologie - axe hypothalamo-hypophyso-ovarien : a quoi réfère-t-il
- interaction complexes entre l’hypothalamus, l’hypophyse et les ovaires qui régulent le cycle hormonal
physiologie - axe hypothalamo-hypophyso-ovarien : hormones en jeu (5)
- GnRH
- FSH
- LH
- œstrogène
- progestérone
physiologie - axe hypothalamo-hypophyso-ovarien : sur quoi repose la sécrétion des hormones en jeu
mécanismes précis de stimulation et d’inhibition de l’axe
physiologie - axe hypothalamo-hypophyso-ovarien : but (2)
- stimuler le développement d’un follicule mature pour l’ovulation
- préparer un environnement fertile propice à l’implantation de l’embryon
physiologie - axe hypothalamo-hypophyso-ovarien : que se produit-il si l’implantation n’a pas lieu
les menstruations se déclenchent
physiologie - axe hypothalamo-hypophyso-ovarien : résumer l’axe
voir l’image
physiologie - hypothalamus : rôle
responsable de la sécrétion pulsatile et coordonnée de la GnRH
physiologie - hypothalamus : quelles hormones sont sécrétées en fonction de la pulsatilité des neurones de la GnRH (2)
- augmentation de la pulsatilité = + FSH
- diminution de la pulsatilité = + LH
physiologie - hypothalamus : comment est-ce que la GnRH rejoint l’hypophyse
par le système vasculaire porte hypothalamo-hypophysaire
physiologie - hypothalamus : rôle de la GnRH
modulation et stimulation de la sécrétion de gonadotropines
physiologie - hypothalamus : peut-on mesurer directement la GnRH? expliquer (2)
NON, à cause de :
- son emplacement éloigné
- sa courte demi vie (2-4 minutes)
physiologie - hypothalamus : comment mesure-t-on indirectement la GnRH
on mesure la LH pour indiquer la sécrétion pulsatile de GnRH
physiologie - hypothalamus : que requiert la fonction ovarienne
la sécrétion pulsatile de GnRH
physiologie - hypophyse + ovaires : par quoi sont sécrétées la FSH et la LH
portion antérieure de l’hypophyse
physiologie - hypophyse + ovaires : décrire la pulsatilité de la FSH et de la LH
sont aussi sécrétées de manière pulsatile, en réponses à la sécrétion de GnRH
physiologie - hypophyse + ovaires : qu’est-ce qui détermine la quantité d’hormones relâchées
directement déterminée par les taux d’œstrogènes, de progestérone et de certains autres facteurs ovariens (follistatine, inhibine, activine)
physiologie - hypophyse + ovaires : quelle hormone est sécrétée au début de la phase folliculaire
au début de la phase folliculaire, la femme étant en déficit œstrogénique relatif, la FSH est sécrétée
physiologie - hypophyse + ovaires : comment est-ce que l’ovaire répond à l’augmentation de la FSH en début de phase folliculaire
augmentation de la production d’œstrogènes
physiologie - hypophyse + ovaires : quelle hormone est sécrétée en fin de la phase folliculaire
les taux d’œstrogènes sont très élevés : il y a donc feedback négatif au niveau de l’hypophyse, inhibant la sécrétion de FSH et stimulation la sécrétion de LH
physiologie - hypophyse + ovaires : conséquence du peak de LH en fin de phase folliculaire
déclenchement de l’ovulation
physiologie - hypophyse + ovaires : que se produit-il au niveau du follicule ovarien suite au peak de LH (ovulation)
devient le corps jaune et commence à produire de la progestérone
physiologie - hypophyse + ovaires : que se produit-il si la fécondation n’a pas lieu
la fin de la phase lutéale est marquée par des niveaux d’hormones stéroïdiennes faibles, ce qui déclenche les menstruations
physiologie - hypophyse + ovaires : les taux élevées de _____ suppriment la FSH de façon _________ et entrainent une rétroaction positive sur _______
- œstrogènes
- profonde et soutenue
- LH
physiologie - hypophyse + ovaires : des taux faibles d’œstrogènes ______ la LH
suppriment
physiologie - facteurs de croissance : définir
polypeptides qui modulent la prolifération et la différentiation cellulaire en se liant à des récepteurs membranaires spécifiques
physiologie - facteurs de croissance : où agissent-ils
localement (autocrine/paracrine)
physiologie - facteurs de croissance (AMH) : définir
peptide faisant partie d’une autre sous-famille de facteurs de croissance
physiologie - facteurs de croissance (AMH) : produite par quoi
granulosa
physiologie - facteurs de croissance (AMH) : rôle
rôle dans la maturation et le développement folliculaire
physiologie - facteurs de croissance (AMH) : sa fonction paracrine est de…
supprimer la croissance de tous les follicules sauf le dominant, à chaque cycle
physiologie - facteurs de croissance (AMH) : avec quoi corrèle le niveau circulation d’AMH
avec le nombre de follicules
physiologie - facteurs de croissance (AMH) : rôle du dosage
peut être dosé à n’importe quel jour du cycle pour estimer le potentiel de fertilité et ce, même chez les femmes sous contraceptifs oraux
physiologie - facteurs de croissance (AMH) : pourquoi peut-on estimer la fertilité des femmes sous contraceptifs oraux avec l’AMH
parce que sa sécrétion n’est pas suffisamment influencée par les gonadotropines ou les hormones sexuelles pour produire des changements cliniquement significatifs
physiologie - cycle ovarien (phase folliculaire) : par quoi se termine-t-elle
par la sélection d’un seul follicule mature
physiologie - cycle ovarien (phase folliculaire) : qu’implique le processus de sélection d’un sel follicule mature? décrire
action d’hormones et de peptides autocrines-paracrines pour faire murir le follicule du stade pré-antral vers le stade antral et finalement, pré-ovulatoire
physiologie - cycle ovarien (phase folliculaire) : définir follicules primordiaux
ovules arrêtés en pro-phase de la méïose et recouverts d’une mince couche de cellules de la granulosa
physiologie - cycle ovarien (follicules primordiaux) : décrire leur croissance
amorcent leur croissance et s’atrésient tout au long de la vie
physiologie - cycle ovarien (follicules primordiaux) : quand est-ce que le processus d’atrésion commence
débute dès la vie in utero (16-20 sem)
physiologie - cycle ovarien (follicules primordiaux) : combien il y en a-t-il au départ
6 à 7 millions de follicules primordiaux dans les deux ovaires au total chez le fœtus féminin
physiologie - cycle ovarien (follicules primordiaux) : combien il y en a-t-il à la naissance
nombre déjà réduit à 2 millions
physiologie - cycle ovarien (follicules primordiaux) : combien il y en a-t-il à la puberté
nombre à encore chuté à 300 000
physiologie - cycle ovarien (follicules primordiaux) : combien de ces follicules vont ovuler durant la période reproductive chez la femme
environ 400
physiologie - cycle ovarien (follicules pré-antral) : décrire la croissance du follicule à ce stade (2)
- s’accélère
- est indépendance de l’influence hormonale
physiologie - cycle ovarien (follicules pré-antral) : par quoi est-il contenu
zone pellucide
physiologie - cycle ovarien (follicules pré-antral) : décrire les cellules de la granulosa (2)
- se développe en plusieurs couches de cellules
- création de “gap junctions”
physiologie - cycle ovarien (follicules pré-antral) : que se produit-il lorsqu’il y a 15 couches de cellules de la granulosa (2)
- la membrane basale se forme
- les cellules de la granulosa acquièrent la capacité de produire trois classes de stéroïdes (œstrogènes, progestérone et androgènes)
physiologie - cycle ovarien (follicules pré-antral) : comparer la quantité d’hormones produite par la granulosa
beaucoup plus d’œstrogènes sont produits
physiologie - cycle ovarien (follicules pré-antral) : décrire la conversion d’androgène et d’œstrogènes
un système d’enzyme de l’aromatase, stimulé par la FSH, convertit les androgènes en œstrogènes, augmentant ainsi la production ovarienne d’œstrogènes
physiologie - cycle ovarien (follicules pré-antral) : comment est-ce que la FSH contribue à la production d’œstrogènes (2)
- stimulation de la croissance des cellules de la granulosa
- activation des enzymes de l’aromatase
physiologie - cycle ovarien (follicules pré-antral) : effet de l’augmentation des cellules de la granulosa sur les récepteurs de FSH
plus il y a de cellules, plus il y a de récepteurs de FSH dans le follicule
physiologie - cycle ovarien (follicules antral) : qu’est-ce qui mène au stade antral de l’ovocyte
l’influence de la FSH = augmentation de la quantité d’un liquide à prédominance œstrogénique qui s’accumule dans les espaces intercellulaires de la granulosa et qui mène au stade antral de l’ovocyte
physiologie - cycle ovarien (follicules antral) : qu’explique la théorie “two cell, two gonadotrophin” (2) ? que stipule-t-elle
- le développement folliculaire et ;a synthèse des hormones stéroïdiennes
- stipule que l’activité de synthèse des hormones stéroïdiennes au sein du follicule est compartimentée entre les cellules de la thèque et de la granulosa : les récepteurs de LH se trouvent sur les cellules de la thèque alors que les récepteurs de FSH sur celles de la granulosa
voir l’image
physiologie - cycle ovarien (follicules antral) : où trouve-t-on des récepteurs LH à ce stade
seulement dans les cellules de la thèque
physiologie - cycle ovarien (follicules antral) : où sont les récepteurs à FSH à ce stade
juste sur les cellules de la granulosa
physiologie - cycle ovarien (follicules antral) : que se produit-il en réponse à une stimulation des récepteurs LH (2)
- une production d’androgènes s’ensuit
- ces derniers sont convertis en œstrogènes
physiologie - cycle ovarien (follicules antral) : l’interaction entre les compartiments des cellules de la granulosa et de la thèque résulte en…
une production accrue d’œstrogènes
physiologie - cycle ovarien (follicules pré-ovulatoire) : décrire la transformation au niveau de la granulosa
les cellules de la granulosa du follicule pré-ovulatoire s’élargissement et acquièrent des inclusions lipidiques
physiologie - cycle ovarien (follicules pré-ovulatoire) : décrire la transformation au niveau de la thèque
devient fortement vascularisée
physiologie - cycle ovarien (follicules pré-ovulatoire) : transformation au niveau de l’ovocyte
complète sa méïose et sa division
physiologie - cycle ovarien (follicules pré-ovulatoire) : quand mesure-t-on les taux les plus élevés d’œstrogènes
24-36 heures avant l’ovulation
physiologie - cycle ovarien (follicules pré-ovulatoire) : conséquence du peak d’œstrogènes
enclenche un peak de LH 12h avant l’ovulation
physiologie - cycle ovarien (follicules pré-ovulatoire) : comment agit la LH? que cause-t-elle (2) ?
agit sur ses propres récepteurs et :
- encourage la lutéinisation de la granulosa, ce qui résulte en une production de progestérone
- cette augmentation de progestérone favorise le feedback positif des œstrogènes sur la production maximale de LH et FSH à mi-cycle
physiologie - cycle ovarien (follicules pré-ovulatoire) : décrire la production androgénique
augmentée à mi-cycle par la thèque des follicules atrétiques qui sécrètent des androgènes
physiologie - cycle ovarien (follicules pré-ovulatoire) : conséquences de l’augmentation des androgènes à mi-cycle
augmentation de la libido = augmentation de relations sexuelles à la période la plus fertile du cycle
physiologie - cycle ovarien (du follicule primordial au follicule dominant) : de quoi dépend le nombre de follicules recrutés à chaque cycle
- réserve ovarienne (entre autre)
ex : une femme ayant subit une ovariectomie unilatérale voit son pool diminuer de moitié et ainsi redistribué dans le temps
physiologie - cycle ovarien (du follicule primordial au follicule dominant) : durée de la croissance du follicule
s’étend en moyenne sur 85 jours avant d’atteindre le stade pré-ovulatoire
physiologie - cycle ovarien (du follicule primordial au follicule dominant) : volume en attente d’être recruté
2-5 mm
physiologie - cycle ovarien (du follicule primordial au follicule dominant) : lien maturation/hormones (2)
- majeure portion est indépendante de la régulation hormonale
- il atteint un point ou sans le recrutement par la FSH, il régresse vers l’atrésie : les follicules qui sont sauvés de l’apoptose par l’élévation soutenue de la FSH durant la phase folliculaire vont compétitionner pour devenir LE follicule dominant
physiologie - cycle ovarien (du follicule primordial au follicule dominant) : définir follicule dominant
ovocyte qui va croitre et murir pour ensuite ovuler
physiologie - cycle ovarien (du follicule primordial au follicule dominant) : lien dominance/FSH (2)
- le follicule dominant à plus de récepteurs FSH en raison d’une plus grande prolifération de sa granulosa que les autres follicules de sa cohorte
- en plus, l’action de la FSH est nettement supérieure, car la concentration intra-folliculaire est plus élevée
physiologie - cycle ovarien (du follicule primordial au follicule dominant) : effet de la FSH sur le follicule dominant
comme il est plus sensible à la FSH, il va continuer à se développer
physiologie - cycle ovarien (du follicule primordial au follicule dominant) : quand se fait la sélection
jours 5-7 du cycle
physiologie - cycle ovarien (du follicule primordial au follicule dominant) : quand est-ce que le taux d’œstrogènes augmente
surtout vers le 7e jour
physiologie - cycle ovarien (du follicule primordial au follicule dominant) : effets du follicule dominant sur les hormones (3)
- produit plus d’œstrogènes
- contrôle sa destinée en altérant la production de gonadotropines par biofeedback négatif
- diminue la production de FSH
physiologie - cycle ovarien (du follicule primordial au follicule dominant) : effets du follicule dominant sur les hormones quand il atteint 15 mm
il prod alors assez d’œstrogènes pour faire un feedback position sur la prod de LH = peak de LH mi-cycle
à noter que les œstrogènes améliorent aussi la bioactivité de FSH et LH mi-cycle
physiologie - cycle ovarien (du follicule primordial au follicule dominant) : en résumé, deux conditions sont essentielles à la formation d’un follicule dominant, nommer les
- augmentation de la FSH
- capacité du follicule primordial à répondre à cette augmentation
physiologie - cycle ovarien (ovulation) : intervalle entre le peak de LH et celui d’œstrogènes
il y a des variations au cours des cycles quant au moment précis de l’ovulation, mais l’intervalle entre est environ de 10-12 heures après le pic de LH et 24-36 heures après le pic d’oestrogènes
physiologie - cycle ovarien (ovulation) : quand débute la montée de LH
34-36 heures avant l’ovulation
physiologie - cycle ovarien (ovulation) : meilleur prédicateur de l’ovulation
début du peak de LH
physiologie - cycle ovarien (ovulation) : décrire les étapes qui se succèdent pour permettre à l’ovule d’être libéré du follicule (3)
- le pic de LH déclenche la reprise de méïose au sein de l’ovule, la synthèse de prostaglandines essentielles à la rupture du follicule ainsi que la production de progestérone
- la prostaglandine rend la paroi élastique et mince et permet un accroissement rapide du volume du follicule
- puis le collagène de la paroi dégénère, ce qui produit des enzymes protéolytiques, de l’histamine et de la plasmine, qui digèrent la paroi
physiologie - cycle ovarien (phase lutéale) : décrire les transformations juste avant la rupture du follicule (2)
- la granulosa accumule un pigment jaune, la lutéine, et forme le corps jaune
- ce corps jaune devient très vascularisé, et environ 8-9 jours après l’ovulation, on atteint un pic de vascularisation, de progestérone et d’œstrogènes sériques
physiologie - cycle ovarien (phase lutéale) : quand est-ce que le pic d’œstrogènes est atteint
augmente rapidement après l’ovulation et atteint son pic 8-9 jours après
physiologie - cycle ovarien (phase lutéale) : durée dans un cycle normal
14 jours, mais peut s’étendre de 11 à 17 jrs et être encore considéré dans les limites de la normale
physiologie - cycle ovarien (phase lutéale) : incidence d’une phase lutéale courte
5-6%
physiologie - cycle ovarien (phase lutéale) : décore l’involution du corps lutéal (2)
- involue à partir du 9e au 11e jour après l’ovulation par un mécanise encore inconnu
- devient le corpora albicans
physiologie - cycle ovarien (phase lutéale) : qu’est-ce qui enclenche la lutéolyse (2)
- on pense que c’est l’augmentation de la production d’œstrogènes par le corps lutéal
- l’oxyde nitrique, l’endothéline et les prostaglandines locales contribuent aussi à ce phénomène
physiologie - cycle ovarien (phase lutéale) : rôle du hCG (3)
- rôle de sauvetage important à jouer pour contrecarrer la dégradation du corps lutéal
- prévient l’augmentation d’enzymes protéolytiques en stimulant la production de follistatine
- maintient la fonction lutéale jusqu’à que la stéroïdogenèse placentaire soit bien établie
la régression lutéale est donc inévitable sans le support du hCG
physiologie - cycle ovarien (menstruation) : décrire les taux d’hormones (3)
- la bioactivité de la FSH augmente au milieu de la phase lutéale, et la FSH augmente 2 jours avant le début des menstruations
- = diminution des œstrogènes et progestérone et de l’inhibine
- cela modifie la sécrétion pulsatile de la GnRH, qui augmente en fréquence
physiologie - cycle ovarien (menstruation) : conséquence du nadir dans le taux circulant d’œstrogènes et de progestérone
provoque la chute du corps jaune
physiologie - cycle ovarien (menstruation) : conséquence de l’augmentation de la FSH (2)
permet de sauver des follicules âgés de 70 jours de l’atrésie et permet la sélection du prochain follicule dominant
physiologie - cycle ovarien (transition lutéale-folliculaire) : rôle des changements hormonaux qui initient le début du prochain cycle
importance primordiale pour le recrutement de nouveaux follicules
physiologie - cycle ovarien (transition lutéale-folliculaire) : quelles hormones sont impliquées
- GnRH
- FSH
- LH
- œstrogènes
- progestérone
- inhibine
physiologie - cycle ovarien (transition lutéale-folliculaire) : conséquence de l’augmentation de la FSH
si elle n’augmente pas environ 2 jrs avant le début des menstruations, il y a une influence directement la sélection des nouxveau follicules
physiologie - cycle ovarien (transition lutéale-folliculaire) : a quoi est due l’augmentation de la FSH (2)
aux changements hormonaux suivants :
- déclin de l’inhibine et des hormones stéroïdiennes vers la fin de la phase lutéale
- augmentation de la pulsatilité de la GnRH
physiologie - cycle ovarien (transition lutéale-folliculaire) : effet de la diminution rapide de la concentration d’inhibine vers la fin du cycle
supprime son effet inhibiteur sur la sécrétion de FSH
physiologie - cycle ovarien (transition lutéale-folliculaire) : rôle de l’augmentation de FSH (2)
- vient secourir de l’atrésie un groupe de follicule âgés d’environ 70 jrs
- permet à nouveau le développement d’un follicule dominant
physiologie - cycle ovarien (transition lutéale-folliculaire) : résumer les changements hormonaux
voir l’image
physiologie - cycle utérin : à quoi sont liés les changements au sein de l’endomètre
directement liés à la production hormonale cyclique par les ovaires
physiologie - cycle utérin : définir déciduale fonctionnelle (2)
- zone qui couvre les 2/3 supérieurs de l’endomètre
- = région de l’endomètre qui prolifère et dégénère à chaque cycle en absence de grossesse
physiologie - cycle utérin : définir déciduale basale
source de régénération de l’endomètre après chaque menstruation
physiologie - cycle utérin : par quoi est caractérisée la phase proliférative
par la croissance mitotique de la déciduale fonctionnelle en réponse aux niveaux élevés d’œstrogènes circulants et en préparation pour l’implantation de l’embryon
physiologie - cycle utérin : décrire les changements dans les glandes endométriales lors de la phase proliférative
s’allongent et deviennent tortueuses
physiologie - cycle utérin : quand débute la phase sécrétoire
lors de la production de progestérone, soit 48-72 heures après l’ovulation
physiologie - cycle utérin : décrire la phase sécrétoire
il y a cessation des mitoses et organisation des glandes
physiologie - cycle utérin : que se produit-il à la fin de la phase sécrétoire
à la fin de cette phase, il y a une baisse de l’œstrogènes et de la progestérone, ce qui entraine une diminution d’apport vasculaire à l’endomètre et la menstruation débute