9. Les théories du développement cognitif: Les approches modernes Flashcards

1
Q

Quel est la conception de Piaget sur les enfants ?

A
  • Les enfants sont des apprenants actifs qui construisent leur intelligence (Piaget insiste bcp sur le rôle actif de l’enfant)
  • Ils apprennent beaucoup de leçons importantes par eux-mêmes. L’individu construit sa connaissance par lui même
  • Ils sont intrinsèquement motivés à comprendre et à apprendre
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2
Q

Quels sont les processus constructifs les plus importants chez les enfants?

A

– Générer des hypothèses sur le monde environnant
– Réaliser des expériences pour comprendre
– Tirer des conclusions

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3
Q

Que peut-on dire de l’héritage de Piaget?

A

Bien que la théorie Piagétienne soit encore influente, elle a aussi plusieurs faiblesses
Le modèle en stades décrit le développement de la pensée de l’enfant comme étant plus cohérent qu’il ne l’est réellement. Les stades ne présentent pas l’unité qu’ils devraient présenter

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4
Q

Quels sont ses héritages?

A
  • Décalages horizontaux (ex conservation du poids vs. quantité de matière). On voit ce décalage chez tous les enfants
  • Conservation du nombre dès 6 ans (et pas 7). La conservation du nombre il l’a voyait apparaitre à 7ans, mais en réalité c’est 6.
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5
Q

Quelles sont les faiblesses des théories de Piaget?

A

– Les nourrissons et jeunes enfants ont plus de compétences cognitives que ne le pensait Piaget.
– La théorie de Piaget sous-estime la contribution du social dans le développement cognitif.
– La théorie de Piaget reste vague quant aux processus cognitifs qui sous-tendent l’apparition de la pensée chez l’enfant et aux mécanismes qui produisent le développement cognitif.

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6
Q

Que peut-on dire du fait que les nourrissons et jeunes enfants ont plus de compétences cognitives que ne le pensait Piaget?

A
  • La capacité des bébés à percevoir et comprendre leur environnement
  • La capacités de raisonnement des jeunes enfants d’âge préscolaire. ils comprennent les phénomènes et capable de raisonner, Piaget avait sous-estimé les capacités des bb et donc sous-estimé les facteurs innés de l’enfant, l’enfant nait avec plus de choses innées et pas que les réflexes.
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7
Q

Qu’est-ce que Piaget sous-estime dans la contribution du social dans le développement cognitif?

A
  • L’enfant se développe comme s’il n’allait pas à l’école, comme s’il n’avait pas un environnement
  • Le rôle du langage, Piaget lui donne un faible rôle, pour lui, le langage n’a pas de rôle moteur dans le développement
  • L ‘importance de la transmission culturelle dans la famille, avec les pairs
  • Le rôle de l’école
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8
Q

Pourquoi est-ce que la théorie de Piaget restent vague sur les processussous-tendent l’apparition de la pensée chez l’enfant et aux mécanismes qui produisent le développement cognitif?

A

Les explications sont tjrs embrouillées entre un stade et un autre. Les idées elles-mêmes de Piaget ne sont pas tout a fait claires elles nous plus. Qd c’est dur à expliquer ça veut peut être dire que c’est pas aussi clair que ça.

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9
Q

Quel est l’apport de Piaget sur l’éducation?

A
  • Les enfants ont des modes de pensées, alors dans l’enseignement, il faut tenir compte à ce mode de pensée. On lui présente d’une autre manière les connaissances. L’enfant doit agir, il doit être en action.
  • Les différentes manières de penser des enfants à différents âges doivent être prises en compte pour décider quelle est la meilleure façon d’enseigner.
  • Les enfants apprennent mentalement et physiquement en interagissant avec l’environnement.
  • Les activités physiques pertinentes, accompagnées par des questions qui attirent l’attention sur les enseignements qui peuvent être tirés de ces activités sont importantes dans la pratique éducative.

• L’enfant doit comprendre qu’on va plus vite qd on est à l’ext. qu’à l’int.. C’est dans l’action qu’il comprendra. C’est par l’action que les enfants vont réellement comprendre ce qu’on leur enseigne. Ceci vient de Piaget.

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10
Q

Comment est la conception de l’enfant dans les théories socioculturelles?

A

– Des êtres sociaux qui apprennent dans un milieu social

– Des êtres enclins à enseigner aux autres ce qu’ils savent et à apprendre des autres

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11
Q

Que peut-on dire des théories socioculturelles?

A

Nous sommes des être sociaux, les enfants naissent au sein de groupe sociaux et les adultes les élèvent. Ces théories mettent l’accent que l’enfant est avant tout un être social et qu’il apprend dans les groupes sociaux.

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12
Q

Dans la théorie socioculturelle et Michael Tomasello, pourquoi l’enfant est vu comme un enseignant et un élève?

A

– Pour lui, on doit comprendre que l’enfant est un élève mais aussi un enseignement car il partage ce qu’il apprend.
– Il a étendu la théorie de Vygotsky
– Il propose que l’espèce humaine a des caractéristiques uniques qui sont primordiales pour créer des cultures complexes qui évoluent rapidement, d’autres animaux ont aussi des structures sociales complexes mais les animaux n’évoluent pas dans leurs comportements et structures. Dans l’être humain, il y a ce besoin de construire une culture complexe et évolutive.
– La tendance à enseigner aux autres et à apprendre d’eux en fait partie. Une des caractéristiques qui fait qu’une des connaissances du groupe ne fait que de s’accroitre.

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13
Q

Quelles sont les caractéristiques des théories socioculturelles?

A
  • L’apprentissage se fait toujours dans un contexte interpersonnel
  • On s’engage dans la participation guidée
  • Les connaissances sont construites dans de l’intersubjectivité
  • L’étayage social (social scaffolding)
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14
Q

Pourquoi l’apprentissage se fait tjrs dans un contexte interpersonnel ?

A

Car quand on interagit avec le bb, on aménage leur environnement, on leur trouve des stimulations adéquates et le bb va exercer ses capacités.

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15
Q

Pourquoi on s’engage dans la participation guidée?

A

Car on est soucieux d’organiser une interaction ds laquelle l’enfant a des chances d’apprendre qch et que ce qu’on lui propose soit pour son âge.

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16
Q

En quoi les connaissances sont construites dans de l’intersubjectivité ?

A

On partage nos connaissances. Les règles existent entre nous et pas que dans une personne, les connaissances dont on dispose sont des connaissances partagées

17
Q

Que peut-on dire des connaissances sont construites dans de l’intersubjectivité ?

A

– Compréhension mutuelle que les individus partagent dans la communication est la base du développement cognitif humain. Ça se développe en interagissant avec les autres. Les effets de l’intersubjectivité se font très tôt. On le voit à l’attention conjointe
– Permet l’apparition de l’attention conjointe, on va attirer l’intention du bb en lui montrant qu’on s’y intéresse, pour qu’il s’intéresse aussi. L’attention conjointe permet de comprendre que nous comprenons les mêmes choses car nous portons attention aux mêmes choses. On traite la même information. On traite donc une connaissance commune qui nous permet de communiquer et elle est essentielle au développement.
– L’attention conjointe continue de se développer bien après l’enfance

18
Q

Que peut-on dire de l’étayage social?

A
  • Ds une relation sociale qui est souvent asymétrique, les individus en savent plus que lui, ça va plus de l’adulte vers l’enfant que l’enfant vers l’adulte
    – Processus par lequel les individus plus compétents créent une structure de soutien temporaire pour aider un autre moins compétent à accomplir une tâche qu’il ne pourrait faire seul (cf. Zone proximale de développement chez Vigotski = écart qui sépare de ce que l’enfant peut faire seul et ce qu’il peut faire qd il reçoit de l’aide de l’adulte. Ce que l’enfant peut faire avec le soutien de l’adulte c’est ce qu’il pourra faire bientôt tout seule. C’est important que l’adulte donne l’étayage sociale car permettra que l’enfant puisse construire sa connaissance et donc puisse se développer. Le rôle de l’enseignement est d’organiser la transmission de connaissances pour que l’étayage sociale soit optimale et que l’enfant puisse apprendre des choses mais bien sûr en fonction de ce qu’il peut apprendre.).
    – Augmentation de la qualité du soutien avec l’avancée en âge et l’expérience.
19
Q

Qu’est-ce qui est est commun entre les cultures et qu’est-ce qui ne l’est pas?

A
  • Beaucoup de processus qui produisent le développement sont les mêmes dans toutes les sociétés
  • Cependant, le contenu appris varie très fortement d’une culture à une autre

Les outils fournit par la culture permet à l’enfant de comprendre le monde. Il y a des processus mentaux communs à tous les enfants de la planète, mais il y a aussi un rôle de la culture important et cela va donc varier

20
Q

Exemple de développement qui dépend des cultures:

A

Les enfants asiatiques sont très bons en arithmétique. Les asiatiques savent bcp plus compter. Ce sont des cultures qui valorisent la maîtrise des nombres. Les parents en tirent une fierté si l’enfant sait compter. Alors qu’ici, les parents sont super fières qd l’enfant sait lire. À l’école, ils ont aussi plus d’heures de math que les enfants occidentaux. Ils ont une pression culturelles pour qu’ils excellent dans leurs domaines.

21
Q

Qu’est-ce que la culture affecte?

A
  • Les souvenirs qu’ont les enfants de leurs propres expériences reflètent aussi leur culture: enfants chinois: nombreuses références aux autres enfants. Enfants américains: plus de références aux émotions et aux réactions propres de l’enfant
  • Affecte les hauts niveaux de la cognition (calculs, se souvenir), mais aussi les bas niveaux, jusqu’à la perception
22
Q

Que peut-on dire de l’impact de la culture sur la perception?

A

Quand c’est des disques en cartons, le cercle est très précis. Quand c’est des pièces de monnaie, le pourcentage de déviations est vrmt super élevé. Ils voient les pièces de monnaie plus grosse que la réalité et le pourcentage de déviation augmente avec la valeur de la pièce alors que les cartons ont la même taille que les pièces de monnaie. Plus la pièce a une valeur importante, plus l’enfant la voit grosse. Et pour 50c, ça redescend car les enfants ne les voyaient jms. Culturellement, ce sont des objets qui ont une grde valeur, alors on surestime la taille des pièces.

Bruner voit que la surestimation des pièces dépendent du statut social. Les pauvres surestiment le plus les pièces de monnaie.
C’est une tâche de perception, il doit juste régler le curseur. Cela montre que la culture a des influences même dans les choses les plus élémentaires, les tailles des objets. On voit que ça influence tous les niveaux de la perception.

23
Q

D’après les théories socioculturelles, quelle serait une des manières d’améliorer l’éducation?

A

Ce serait de modifier la culture des écoles

24
Q

Quel serait alors le but de l’instruction?

A

Approfondir la compréhension (moins d’apprentissage par cœur)

25
Q

Quel serait l’apprentissage?

A
  • Activité coopérative (travail en groupe) pour construire les connaissances en commun
    – Apprendre un peu doit donner envie aux enfants d’en savoir plus.
26
Q

Pourquoi faut-il décomposer les activités humaines?

A

Car toutes les activités humaines c’est des décompositions de l’activité. Il faut des sous-buts afin d’atteindre le but final. La décomposition de l’activité = intelligence artificielle. Le système s’efforce d’atteindre les sous-buts successifs avant d’atteindre le but final.

27
Q

Comment se passe le traitement de l’information ds la tête d’un enfant, d’après la théorie du traitement de l’information?

A

On a commencé à mesurer les temps de réponses pour savoir le temps que l’enfant prend pour répondre. Il devient informatif car il peut nous renseigner sur le nombre d’étapes qui a conduit à la réponse et ceci donnera des infos sur les processus.
• Définition précise des processus de pensée, de leur succession et de leur décours temporel
• Analyse des tâches plus fine et détaillée que dans les théories antérieures (mesure des temps de réaction ou de réponse). Il y a des étapes du traitement, une analyse détaillée des tâches et d’une tentative de comprendre les processus de pensée ça a conduit à souligner l’important de l’architecture cognitive.
• Importance de la structure, de l’architecture cognitive: identification des composantes du système cognitif et de leurs interactions et organisation, au début on faisait des boîtes pour savoir quel système faisait quoi et qu’un système envoie l’info à un autre système. Permet de nous demander comment marche le système. Souvent l’architecture cognitive nous permet de poser des hypothèses et de les tester.
• Exemple d’architecture cognitive: La résolution des additions simples chez l’enfant étudiée par Groen et Parkman (1972), utiliser les temps de réponses pour savoir ce qu’il se passe ds la tête de l’enfant.
– Identifier la stratégie utilisée par les enfants à partir de leurs temps de réponse
– Les temps sont une fonction du plus petit des deux opérandes

28
Q

Que peut-on dire de l’architecture cognitive ?

A
  • L’étude de l’architecture cognitive en jeu dans les activités complexes de production écrite de textes fait actuellement la part belle à la mémoire de travail. Sans cette interface, le rédacteur ne disposerait pas des ressources attentionnelles qui lui sont indispensables pour activer les processus rédactionnels, utiliser et transformer les informations récupérées en mémoire à long terme.
  • En psychologie cognitive, la difficulté (ou l’impossibilité) de rédiger un texte n’est plus comprise comme une charge (ou une surcharge) mais comme une régulation de l’effort cognitif via les instances de la mémoire de travail. Aussi, ce n’est pas tant le niveau qualitatif du texte produit qui est l’indicateur essentiel de l’activité rédactionnelle étudiée mais la mesure des ressources attentionnelles engagées par le rédacteur.
  • Afin de mettre en évidence la souplesse de cette économie cognitive chez le rédacteur adulte, l’auteur compare l’effort cognitif associé aux processus de rédaction d’un texte inédit et celui impliqué par les processus de prise de notes d’un texte entendu ou lu.
29
Q

Que font les psychologues pour savoir comment les enfants fonctionnent?

A

Les psychologues regardent en quoi le temps varie. Ils cherchent quel est le meilleur prédicteur du temps de réponse et ils voient que les temps de réponse dépend de la taille du minimum = taille du plus petit des deux nombres. Alors ils disent qu’ils utilisent la stratégie minimum : l’enfant ajoute le petit nombre au plus grd. Dans l’approche de traitement de l’info, on met l’accent sur des choses comme le temps de mesure = des choses qu’on ne prenait pas en compte avant.

30
Q

Comment est vu l’enfant dans les théories du traitement de l’information?

A
  • Comme un «problem solver» = qn qui découvre les réponses. Il résout les problèmes.
  • Comme système à capacité limitée (développement comme dépassement de ces limitations)
31
Q

Qu’est-ce qu’implique la résolution de problèmes?

A

La résolution de problèmes implique un but, un obstacle apparent et une stratégie ou une règle.

32
Q

Qu’est-ce qui aide les enfants à résoudre leurs problèmes?

A

La flexibilité cognitive des enfants les aide à poursuivre leurs buts. Alors on voit la capacité étonnante à utiliser flexiblement leur capacité cognitive

33
Q

Pourquoi l’enfant est vu comme un système à capacité limitée (développement comme dépassement de ces limitations)

A

– Exécution de plus en plus efficace des étapes élémentaires de traitement. Les petits traitent l’info de manière très lente même pour des choses très simples et peu à peu, le système sera plus efficace. La vitesse de traitement a un impact énorme sur le fonctionnement car il évite d’oublier les éléments importants. Le traitement plus souple et efficace.
– Augmentation de la capacité de la mémoire
– Acquisition de nouveaux savoirs et stratégies
– Accroissement de la vitesse de traitement
– Continuité du développement
– Des changements importants se produisent continuellement (et pas seulement à certaines périodes)
– Le développement se produit petit à petit, et pas de manière soudaine

34
Q

Qu’est-ce qui joue un rôle dans la théorie du traitement de l’information et dont Piaget ne s’intéresse pas?

A

La mémoire

35
Q

Que va étudier la théorie du traitement de l’information?

A

– On va étudier la mémoire de travail et la mémoire à long-terme
– On va étudier le développement des fonctions exécutives, ce qui dirige le système (inhiber les réponses habituelles, flexibilité mentale, passer d’une chose à une autre)
- On va s’intéresser aux sources du développement de la mémoire  prq elle se développe
– Processus élémentaires (encodage – voir le problème de la balance chap. 14)
– On va supposer l’accroissement de la capacité par maturation cérébrale
– Stratégies (e.g., la récapitulation subvovale – verbal rehearsal )
– Acquisition de connaissances
– Développement de la résolution de problèmes
– Meilleure planification des activités (les enfants choisissent mieux les stratégies)
– Meilleur choix de stratégies (Overlapping-waves model – Siegler  a boulversé l’approche, 1996).

36
Q

Qu’est-ce que l’overlapping-waves model de Siegler?

A

Grod et Partman (comme Piaget) pensait que les divers âges sont caractérisés par un type de stratégie. Pour eux, tous les enfants utilisent les stratégies minimales, puis ensuite une autre stratégie. on considérait le développement par des passages de stratégie.
Siegler montre tout autre chose :
A tout âge, plusieurs stratégies sont disponibles. C’est la fréquence relative d’utilisation des stratégies qui évolue avec l’âge.
Le dev n’est pas la substitution d’une stratégie à une autre, mais un changement ds les stratégie que je dispose.
Il y a des stratégies qui apparaissent, d’autres disparaissent. D’autres sont utilisées jusqu’à la fin. Les vagues se chevauchent. La stratégie minimum (de Grod et Partman) est utilisée par les enfants, mais à aucun moment c’est la stratégie dominante.

37
Q

Quels sont les apports à l’éducation?

A
  • Il a été établi que les enfants développent des compétences numériques bien avant d’entrer à l’école. Ils ont pleins de connaissances avant d’entrer à l’école. Avant qu’on leur ait enseigné qch, le stocke dont ils disposent ds les compétences numériques est un très bon prédicteur qui diront si pls tard ils seront bons en maths ou pas. Et ça va aussi déprendre par rapport aux milieux économiques et sociaux.
  • La connaissance des nombres qu’ont les enfants lorsqu’ils commencent l’école enfantine prédit leurs compétences en mathématiques des années plus tard.
  • Il y a des différences précoces dans la connaissance que les enfants de différents milieux économiques ont des nombres. Mais l’expérience montre que la scolarisation va effacer une partie de ces différences.
  • Une analyse issue du courant du traitement de l’information suggère que le fait de jouer à des jeux de société nécessitant la manipulation de nombres pourrait être important. Bcp de jeux et programmes sont dispo pour les enfants qui ont des problèmes en calculs