23. Le nombre Flashcards

1
Q

Que peut-on dire des opérations logico-mathématique ?

A
  • Aspects discontinus (objets distincts des uns et des autres) (vs. continus) du réel  cette discontinuité je px l’exprimer par des nombres car il y a un micro et un ordinateur
  • Classifications: Inclusion
  • Sériations: Ordre
  • Piaget pense que l’enfant construit des opérations pour penser les aspects discontinus –> mettre ensemble les objets qui se ressemblent ou ceux qui sont différents les uns des autres. - opération portant sur les ressemblances
  • Si les objets diffèrent : diffère sur une dimension donnée et je px les ordonner ds cette dimension. Opération logicomathématique car débouche sur les mathématiques car ce sont des opérations logiques, le sujet ne fait plus la synthèse et cette synthèse fait émerger une nouvelle dimension : les nombres
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2
Q

Que peut-on dire des classifications et sériations?

A
  • Aspect ordinal et cardinal du nombre
  • Unités toutes égales entre elles mais sériables dans une série où les relations sont toutes égales et équivalentes (1 + 1 + 1 etc.)
  • Nombre: invariant des systèmes de transformation. Si j’ai 6 objets et qu’on partage de manière inéquitable et si je réunis, il y aura tjrs les 6 objets de départ. Et si je compte d’un sens ça fera 6 et ds l’autre sens ce sera pareil –> ça ne varie pas.
  • Piaget se dit que l’enfant aura compris le nombre qd il aura compris les actions qui changent le nombre et celles qui le changent pas.
  • Conservation: Indice d’une structuration de la pensée et Compréhension « vraie » de la notion de nombre
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3
Q

Que désigne le cardinal?

A

La quantité d’objets

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4
Q

Comment sont les aspects cardinal et ordinal?

A

Indissociable

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5
Q

Expérience sur la conservation des quantités discrètes

A

– Chaque fois que l’expérimentateur met une bille ds son bol, l’enfant le fait aussi et on fait vérifier à l’enfant qu’il a bien déposer une bille qd l’expérimentateur l’a aussi fait. D’abord ds des récipients ds des formes identiques, puis on trasvase ds qch de plus large.
– Puis l’enfant a vérifié tout au long du processus qu’il y a le même nombre de bille ds les deux vases
– Pourtant les petits disent que non, à gauche il y en a plus qu’à droite car le recipiant monte plus haut
– Intuition simple -> une intuition pas complètement idiote qui s’appuie sur des aspects physique, perceptifs mais le défaut est qu’elles ne sont pas coordonnées entre elles. Car si c’est plus haut à gauche, c’est plus large de l’autre côté -> trop dur pour l’enfant. Alors l’enfant se centre sur un des aspects seulement de la collection
– Rapports perceptifs non coordonnés
– Quantités brutes -> ce sont pas encore des quantités numériques, elles sont jugées par rapport à certains indices perceptifs.
– Cette intuition ne permet pas de comprendre les vrais nombres

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6
Q

Qu’est-ce qu’une intuition simple?

A

une intuition pas complètement idiote qui s’appuie sur des aspects physique, perceptifs mais le défaut est qu’elles ne sont pas coordonnées entre elles. Car si c’est plus haut à gauche, c’est plus large de l’autre côté -> trop dur pour l’enfant. Alors l’enfant se centre sur un des aspects seulement de la collection

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7
Q

Dans cette expérience que font les enfants entre 5 et 6 ans?

A

Ils ont une intuition articulée
– Egalité si changements peu importants -> l’enfant accepte l’égalité si le contraste entre les récipients n’est pas trop trop grds (ici à droite c’est trop)
– Inégalité des collections mais égalité des colliers qu’on pourrait en faire
– C’est tjrs une intuition car il n’a pas encore tout compris, ms il commence à entrevoir qu’il y a qch d’équivalent entre les deux collections

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8
Q

Que se passe-t-il quand l’enfant réussit cette expérience?

A

A 7ans l’enfant affirme l’équivalence entre les deux
– Coordination des relations -> il explique qu’un c’est haut ms que l’autre plus large
– Correspondance terme à terme -> il semble avoir compris ce qu’est un nombre -> les deux récipients ont le même nombre de bille

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9
Q

Quel est le conflit dans la conservation des quantités discrètes?

A

Entre intuitions perceptives (qui laisse penser qu’il y a pas pareil) et correspondance terme à terme (égalité collection)

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10
Q

Quelles sont les hypothèses pour expliquer le conflit entre les intuitions perceptive et la correspondance terme à terme?

A

Hypothèse 1
– La correspondance terme à terme est d’emblée constituée et prend progressivement le pas sur les intuitions perceptives
– La notion de correspondance de terme à terme est constituée et fournirait une réponse d’égalité ms en même temps les intuitions perceptifs dont est victime l’enfant (illusions perceptifs) elles pointeraient pour une notion d’inégalité et il y aura un conflit entre deux choses déjà présente et les enfants seraient plus pour les intuitions perceptives et n’inhibe pas les intuitions perceptives.

Hypothèse 2
– La correspondance terme à terme connaît elle-même un développement  au début elle n’est pas constituée et qd elle est développée, elle supplante les intuitions perceptive
– Les intuitions perceptives prennent le dessus tant qu’elle n’est pas constituée car l’enfant n’a rien d’autres

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11
Q

Expérience sur la correspondance terme à terme

A
Intuition simple (4 - 6 ans): 
Petits font la rangée d’en bas. L’enfant construit une rangée qui prend la même place. L’enfant ne fait pas la diff entre les quantités continues et les quantités discontinues. Si les collections prennent la même place : il y a pareil des deux côtés. 
Pour l’enfant le nombre constitue une quantité brute et cette intuition n’est pas idiote.

Intuition articulée (6 - 7/8 ans):
L’enfant réussit à reproduire la rangée.
Mais peut être l’enfant a juste essayé de reconstitué la figure (ligne du haut). Alors est-ce qu’il a compris que l’égalité des collection est là qd il y a une correspondance en terme à terme.
Qd on resserre une des deux collections et qu’on demande à l’enfant s’il y a encore pareil, ils disent qu’il y a plus pareil  l’enfant a une intuition élaborée de ce qu’est la quantité numérique mais ça reste une intuition, le nombre reste tributaire et dépendant de la relation spatiale. Il n’a pas encore distinguer tout à fait les objets continus et discontinus, n’a pas encore fait la diff entre nombre et espace.
Et pr la question : les enfants disent qu’il y en a moins.
Alors les enfants ne comprennent pas ce qu’est le nombre avant 7ans. Piaget explique que les habilités de juste compter sont des imitations des connaissances verbales qui n’entrainent pas une authentique compréhension.

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12
Q

Quelle est la conclusion de Piaget sur la conservation des nombres discrets?

A
  • Le nombre est une construction
  • La construction est tardive
  • La construction est logique
  • La construction est non verbale
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13
Q

Que peut-on dire du fait que le nombre est une construction?

A
  • Au départ, il n’y a pas d’intuition innée du nombre
  • Faible rôle des apprentissages -> au moment où l’enfant comprend la tâche du conservation du nombre il sait déjà depuis lgt compter ms ces habilités ne permet pas de comprendre l’authentique compréhension
  • Processus essentiellement endogène -> se déroule à l’intérieur du sujet
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14
Q

Que peut-on dire du fait que le construction est tardive?

A
  • Seulement vers 7ans
  • Précédée de simples intuitions perceptives -> elles sont pas idiotes mais ne conduisent pas à une compréhension authentique
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15
Q

Que peut-on dire du fait que la construction est logique?

A
  • Liée aux classes et aux relations
  • Résultat de la construction d’opérations non numériques
  • Objet de réflexion plus qu’outil (le nombre comme invariant des opérations)
  • Nombre pratique?
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16
Q

QUe peut-on dire du fait que la construction est verbale?

A
  • Pour Piaget, le langage n’est pas un moteur d’intelligence -> c’est pas pcq l’enfant sait dire les nombres qu’il a vrmt compris les nombres.
  • Faible rôle des habiletés verbales précoces
  • Influences sociales, culturelles?
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17
Q

Expérience sur la conservation

A

Mehler a interrogé des enfants de 2ans 4mois (savent pas encore compter) et 4ans 4mois
Ils font un tâche où l’enfant n’a rien à construire. On leur montre des jetons et on demande à l’enfant s’il y a la même chose en haut et en bas.

A 2ans4mois -> 100% de réussite, puis déclin et ça re-augmente.

  • L’incapacité à conserver les quantités est une phase temporaire du développement de l’enfant
  • Les jeunes enfants ont de manière innée les capacités logiques requises
  • Cette capacité est temporairement masquée par des stratégies perceptives
  • Les stratégies perceptives peuvent être surmontées (M & M) -> elles emportent sur un court moment du développement et ces stratégies perceptifs peuvent être surmonter si la motivation de l’enfant le conduit vrmt à évaluer la quantité réelle.
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18
Q

Autre expérience sur la conservation

A

On cherche des tâches de conservation qui sont comprises précocement

  • 3 conditions (enfants de 5 ans)
  • Tâche classique
  • Correspondance visualisée
  • Comptage (des deux rangées après transformation)

Aucun enfant ne compte.
Si on leur demande de compter : ils réussissent mieux. Mais même après avoir compté, ils continuent de penser qu’il y a pas pareil.

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19
Q

Autre expérience sur la conservation

A
  • On demande à l’enfant s’il y a plus ou moins et on veut savoir si la transformation va faire changer d’avis l’enfant ou pas. C’est pas avant l’âge de 6-7ans que le 1er jugement à une influence que le second.
  • 3 - 4 ans: échec massif
  • Influence du premier jugement sur le second à partir de 6 - 7 ans
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20
Q

Expérience sur les capacités numériques des nourrissons?

A
  • Variation de la longueur et de la densité des rangées
  • Habituation jusqu’à diminution des temps de fixation au-delà d’un critère
  • Accroissement significatif des temps de réaction pour les nouveaux stimuli
  • les bb discriminent correctement 3 de 2 -> les bb auraient des intuitions concernant les nombres qu’on leur présente.
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21
Q

Autre expérience pour savoir si le bb comprend les transformations à 5mois

A

Si l’enfant sait compter, il doit savoir que qd l’écran s’abaisse, il y aura un ou deux mickey et il regarde plus lgt qd il y en a que 1, alors on se dit qu’ils ont additionné les deux mickeys et sont étonnés qd il y en a qu’un.
Les bb de 5mois savent faire des additions ou des soustraction.

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22
Q

Quelles sont les conclusions innéistes concernant les capacités numériques des nourrissons ?

A

L’enfant possède des capacités numériques
Tous les cerveaux humains sont calés pour les math et notre cerveau est préparé par l’évolution pour comprendre les activités numériques.

23
Q

Pourquoi est-ce lent d’acquérir les premiers nombres?

A

Car ils doivent passer au dessus de 2 problèmes

24
Q

Quels sont les 2 problèmes de l’acquisition des premiers nombres?

A
  • Codage verbal de la quantité par l’ordre : Apprendre à évoquer la quantité à partir de la succession des mots de nombres. Les 1er mots renvoient à des petits quantité et les mots d’après, à des quantités qui deviennent de plus en plus grde.
  • Catégorisation : Indépendance de la cardinalité dénommée par rapport aux caractéristiques perceptives des collections. Les quantités véhiculées par les mots sont indépendante des caractéristiques -> 3 peut renvoyer à 3 maisons, 3 œufs -> désignées par le même mot, ms grandeur différente.
25
Q

Expérience sur l’acquisition des premiers nombres

A
  • Des enfants de 3 ans comparent 2 collections égalisées sur la surface
  • De quel côté y a-t-il le plus de bâtons ?
  • Quantités variant de 2-3 à 8-16
  • Vers 3ans, ils répondent au hasard
  • Meilleures performances pour les ratios élevés 1:2 vs. Faibles 3:4
  • Pas d’effet de la taille des numérosités!
  • Les petits de 3 ans utilisent un codage analogique permettant de comparer des quantités globales (amounts) plus qu’un mécanisme numérique préverbal  colle leur représentation à partir des représentations physique  codage analogiques des quantités et pas un codage permettant de coder des choses physiques.
26
Q

Autre expérience sur l’acquisition des premiers nombres

A

Les enfants de 2,5 ans réussissent le choix de « un » contre une autre quantité  celui qu’ils comprennent. Le 1 est la désignation «un chien», les petits ne comprennent que le 1 et pas le deux.
Il leur faut un an de plus pour réussir deux contre trois ou quatre La compréhension de ces mots qui nous est évidentes est très lentes.

27
Q

Jusqu’où les enfants savent-ils compter?

A

Toutes les dizaines constituent un obstacle  évolution par à coup
Vers 5ans : erreur d’échantillonnage car en vrai ça redescend pas.
Ce qui est entre parenthèses est l’écart-type (variabilité de la performance) et elle est très grde. On voit qu’à 5ans, certains comptent jusqu’à 60 et d’autres ne savent pas compter jusqu’à 10  souvent c’est la famille qui vont apprendre.
L’école diminue les différences entre les enfants

28
Q

Quels sont les 5 niveaux d’élaboration de la chaîne?

A
  • Chapelet
  • Liste non-sécable
  • Chaîne sécable
  • Chaîne numérique
  • Chaîne bidirectionnelle
29
Q

Qu’est-ce que le chapelet?

A

Un tout indifférencié («undetroicatressink») La production verbale qui va vite alors on décrypte pas les mots.

30
Q

Qu’est-ce que la liste non-sécable?

A

Récitation toujours depuis le début (compter jusqu’à n) puis l’enfant comprend que c’est une liste, ms il n’arrive pas à réciter la liste s’il ne commence pas du début.

31
Q

Qu’est-ce que la chaîne sécable?

A

Compter à partir de n; compter de x à y -> l‘enfant sait compter depuis combien il veut, l’enfant va se servir de la chaine pour faire des additions/soustractions l’enfant peut commencer d’où il veut.

32
Q

Qu’est-ce que la chaîne numérique?

A

Mots sont des unités numériques, mais ce que l’enfant doit comprendre est que ce sont des numérotations numériques. Il est indispensable à atteindre car si on veut faire des opérations ds notre tête, il faut avoir comprendre que 6 c’est 5 + 1

33
Q

Qu’est-ce que la chaîne bidirectionnelle?

A

Récitation dans les deux sens (compter à rebours), à 6ans -> c’est très lent.
Il faut une familiarité avec la chaine avant de pouvoir compter à rebours
Une fois que l’enfant à compris la chaine numérique verbale, il pourra quantifier.

34
Q

Que peut-on dire du dénombrement?

A

Pour les petits quantités, il n’y a pas besoin de compter. Ça s’arrête à 4, au-delà de 4, il faut compter.
L’habilité de dénombrement est la 1er habilité numérique et c’est sur celle-ci que tout va se construire. Les petits qui apprennent à dénombrer les conditions, il acquiert à ce moment le socle qui permettra de faire toutes les autres activités.

35
Q

Qu’est-ce que la correspondance terme à terme?

A

1 mot, 1 objet -> chaque mot doit s’associer à un mot et un mot s’associe à un objet.

36
Q

Qu’est-ce que l’ordre stable?

A

les mots doivent toujours être dit dans le même ordre -> la correspondance terme à terme veut que le pointage et l’énonciation soit synchrone mais alors que les mots doivent tjrs être dits ds le même ordre, les objets n’ont aps besoin d’être dit dans le même mot

37
Q

Qu’est-ce que la cardinalité?

A

le dernier mot prononcé donne le cardinal de la collection = combien il y en a dedans. Parfois enfants saisissent pas que qd on a fini de compter, cela montre que c’est combien il y a en tout.

38
Q

Qu’est-ce que l’abstraction?

A

on peut dénombrer n’importe quelle collection (hétérogène ou pas) -> des collections qui se ressemblent ou pas.

39
Q

Quels sont les principes qui doivent être compris par l’enfant afin qu’il dénombre correctement?

A
  • Correspondance terme à terme
  • Ordre stable
  • Cardinalité
  • Abstraction

Les auteurs pensait que en tout cas les 3er principes étaient innés et que les enfants savaient cela avant même d’avoir compté. Enfant sait pas faire eux même ms détecte erreur qd c’est qn d’autre qui le fait, alors ils ont conclu que ces principes étaient innés.

40
Q

Quelle est la théorie des principes après?

A
  • Acquisition des procédures de dénombrement par imitation (Briars & Siegler, 1984; Fuson & Hall, 1983)
  • Pratique répétée des procédures
  • Abstraction des principes
  • Le dénombrement est d’abord une routine sans but
    La capacité qu’ont les enfants pour dénombrer les nombres leurs permettra de faire des choses bcp plus complexes comme par exemple les opérations.
41
Q

Que peut-on dire de l’addition?

A
  • Avant tout apprentissage, résolution de problèmes simples à l’aide du comptage (Baroody & Ginsburg, 1986) et ça évolue avec l’âge.
  • Dès 3 ans, résolution de « Combien font 2 gâteaux et 3 gâteaux? » (Fuson, 1982)  ils apprennent souvent tout seul.
  • Ils comptent (constitue une 1er collection de 2 et une autres de 3 et ensuite il faut tout compter pour savoir)
  • Il faut utiliser des objets ou alors leurs doigts afin de pouvoir savoir combien ça fait. Et au fur et à mesure, il abandonne le comptage ds leur doigt et compte ds leur tête (comptage verbal)
42
Q

Quelles sont les stratégies de résolution des additions simples?

A
  • Utilisation d’objets
  • Comptage sur les doigts
  • Comptage verbal
  • Décompositions
  • Récupération en mémoire
43
Q

Quelle est la 1er stratégie qui apparait à 4-5ans?

A

Compter tout

  • Constitue une quantité d’objets ou de doigts qui correspond aux nombres  la 1er stratégie qui apparaissait et était caractéristiques des enfants de 4-5ans. C’est la plus primitive ms elle tend à disparaitre.
  • Les enfants découvrent tout seul que cette technique n’est pas maligne
44
Q

Quelle est la 2e stratégie qui apparait plus tard?

A

Compter à partir du premier

  • Ils reconnaissent cette configuration et ils n’ont même plus besoin d’apprendre
  • Ils ont appris seul à utiliser cette technique sans que personne ne leur ait appris.
45
Q

Quelle est la 3e stratégie à 7-8ans ?

A

Compter à partir du plus grand

  • Stratégie minimum : on ajoute le plus petit au plus grd. On ajoute 2 à 7 et pas 7 à 2.
  • Il faut compter mentalement combien de pas on monte ds la chaine numérique.
46
Q

Comment les enfants découvrent ces stratégies de comptage`?

A

Les enfants découvrent seuls les stratégies de comptage permettant de résoudre les additions simples et ça ds toutes les cultures où l’étude a été faite. Il trouve tout seul la stratégie minimum.

47
Q

Comment font les enfants à 9ans?

A
  • Récupération directe en mémoire par association des opérandes et du résultat (9 ans)
  • Stratégie la plus rapide et la plus efficace. Si on compte : il y a plusieurs étapes et chacune de ces étapes est accompagnée d’une risque alors que la récupération est faite en une étape.
48
Q

Comment les enfants se représentent-ils la suite des nombres?

A
  • Existence d’une représentation spatialisée de la suite des nombres dans l’esprit humain: une ligne numérique
  • Ligne numérique orientée de gauche à droite (dans nos cultures) et…
  • Logarithmique: les petits nombres sont représentés de façon très distincte, la ligne se resserrant progressivement au fur et à mesure qu’on progresse vers les grands nombres
49
Q

Expérience pour situer les nombres sur la ligne - 6à 8 ans

A

Pour lui 20 c’est vers le milieu -> distingue bien les 1er ms ensuite les grd nombres, il les tasse tous ensemble.
Le développement conduit d’une représentation logarithmique à une représentation linéaire
On voit qu’au fil des années, ça devient linéaire. Les 1er sont qd même trop écartés des uns et des autres ms ensuite ça s’arrange. Cette évolution a été observée chez presque tous les enfants et c’est très progressif.

50
Q

Qu’est-ce que la dyscalculie?

A

Mauvaise compréhension du dénombrement

51
Q

Expérience sur la dyscalculie

A

On viole un des 3 principes (ceux écrit à gauche) et on ds le comptage qu’on montre à l’enfant, on va aussi le tester sur les pseudo-principes de proximité (compte d’abord bleu, puis rouge) (choses habituelles ms dont l’exactitude du résultats de correspond pas). Puis on demande à l’enfant si c’est correct ou pas.
Les enfants dyscalculiques en 1ère primaire distinguent moins bien que les autres les principes des pseudo-principes. Qd on leur montre une dénombrement correct : les deux groupes ne changent pas. Qd on viole une erreur : enfants normaux distinguent ds 95% des cas, les personnes en difficulté on plus de 70% de détection alors ça va. Ms pour les pseudo-principes, il faut dire que c’est correct  affecte pas activité du dénombrement. Slmt 50% des personnes en difficulté qui reconnaissent que c’est correct et les autres disent que non.
Même l’activité élémentaire, il y a une incompréhension qui a eu des répercussions ensuite.

il a observé des personnes avec des problèmes de math et d’autres qui sont surdoués.
Soit ils comptent sur leur doigts, soit disent verbalement ou alors récupère info  les enfants dyscalculiques récupèrent presque jms les résultats en mémoire et les surdouées comptent très rarement sur leur doigts.

52
Q

Quelles stratégies utilisent les dyscalculies?

A

Les enfants en grde difficultés utilisent des stratégies les plus primitives et les utilisent plus lgt, probablement pcq il présente une difficulté spécifique au niveau des fait numériques = résultats des tables. Les enfants en difficulté ont de la peine à mémoriser et qui résistent même à l’entrainement et à l’enfant lui-même.

53
Q

Conclusions sur les nombres

A
  • Les réelles capacités des bébés demeurent un sujet de débat
  • La première acquisition est celle de la chaîne numérique verbale
  • Contrairement à ce que pensait Piaget, les habiletés numériques verbales ont une importance capitale pour le développement et la compréhension du nombre et des habiletés numériques
  • Le dénombrement est la première habileté numérique: socle de toutes les acquisitions ultérieures
  • Les enfants développent spontanément des stratégies pour résoudre des problèmes simples
  • Progressivement, les calculs s’automatisent et les résultats sont directement récupérés en mémoire.
  • Les enfants dyscalculiques automatisent peu ou mal les résultats et utilisent des stratégies primitives