concepts de base Flashcards

1
Q

Qu’est-ce qui caractérise l’approche intuitive (syst. 1)?

A
  • Induit par l’expérience
  • Rationalité limité
  • Heuristique (rapide et intuitif)
  • Reconnaissance de patrons cliniques
  • Pensée inconsciente
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2
Q

Qu’est-ce qui caractérise l’approche analytique (syst 2)?

A
  • hypothético déductif
  • Rationnel
  • Raisonnement normatif
  • Prise de décision solide
  • Pensée critique et logique
  • Ramifications multiples, arborisation
  • Pensée délibérée et réfléchie
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3
Q

Exemple de biais possibles?

A
  • Availibility
  • Confirmation biais
  • Ignoring negative evidence
  • omission biais
  • overconfidence biais
  • premature closure
  • scarch satisfying
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4
Q

Qu’est-ce qui compte le plus pour les clients?

A
  • approche claire et structurée
  • être informé (démarche clinique présentée) et comprendre ce qu’ils ont
  • développer le sens de la collaboration
  • La communication; rôle clé pour permettre de comprendre, identifier et résoudre les problèmes importants pour la personne et assurer une expérience et des résultats positifs
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5
Q

Quelles questions se demander avant de procéder à l’examen?

A

CI? (référer et ne pas faire l’exam)
Précautions (prudence et retrait de certaines procédures)
-Irritabilité?
-Hypothèses pb santé, déficiences, limitations?
-Quelles procédures d’exam sont à sélectionner pour vérifier hyp?

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6
Q

Qu’est-il important de connaître lors des procédures dx?

A
  • l’info fournie et les structures influencées par le test ou la procédure
  • la capacité des structures à subir ce test
  • la pertinence de faire le test ce jour là
  • l’exam du jour 1 peut être cessé si on connaît le pb de santé et qu’on a les données suffisantes pour débute un tx spécifiques et sécuritaire
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7
Q

Que doit-on connaître pour le bilan par METS?

A

pour chaque procédure on doit connaître les struct. étirées et comprimées et les m. qui contribuent au mvmt

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8
Q

Comment faire la différence entre une SFM résistance du patient et une SFM élastique?

A

-observation
-pal
-inhiber; pression manuelle sur le ventre musculaire, friction à la glace, PNF, EMG biofeedback
-faire mvmt en auto-passif
-comparer l’amplitude du mvmt passif et actif (si actif + que passif= résistance patient)
Une erreur d’analyse conduira à une erreur pour le choix de tx.

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9
Q

Que signifie les résultats suivants au mvmts résistés?

1) fort et non douloureux
2) fort et douloureux
3) faible et douloureux
4) faible et non douloureux

A

1) aucune lésion
2) lésion des t. contractiles lég. à modérée
3) lésion importante du t. contractile, fx?
4) lésion nerveuse ou déchirure complète d’un tendon ou d’un m. (chronique)

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10
Q

Que contient le libellé px?

A

La capacité (activité) ou la performance anticipée prioritaire pour le client, les conditions de réalisation, le temps requis pour l’atteindre. S’énonce en termes positifs. Les composantes sont vérifiables ou mesurables

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11
Q

L’imagerie radiologique est déconseillée à moins de quoi?

A
  • patho grave suspectée
  • réponse insatisfaisante au tx conservateurs
  • progression inexpliquée
  • résultat changerait la conduite
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12
Q

Quelles raisons peuvent entraîner l’arrêt des tx en pht?

A
  • résolution du pb de santé
  • atteinte des cibles ou critères de l’analyse (client fonctionnel, satisfait)
  • autonome dans la poursuite de son programme X’s
  • plateau de récupération atteint (condition ne s’améliore plus)
  • LImites du patient ($, attitudes), limites du pht)
  • pas d’amélioration ou aggravation avec le tx. Drapeau rouge?- retour Md
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13
Q

quelles sont les CIP en lien avec les facteurs personnels du patient?

A
  • Habitude de vie (fumeurs, drogues, alcool, sédentaire)
  • Comorbidités (diabétique, cardiaque)
  • âge
  • médication
  • allergies (ex. latex)
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14
Q

Quelles sont les CIP en lien avec l’état du patient?

A
  • post-op
  • post trauma, attelle, plâtre
  • post infiltration
  • cancer
  • grossesse
  • problème de santé mentale
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15
Q

Quelles structures MS t systémiques peuvent référer de la dlr à l’épaule?

A
région cervicale
coude
poumons
coeur (ép g)
diaphragme
rein
vésicule biliaire (ép D)
rate (ép g)
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16
Q

Quelles maladies systémiques peuvent causer des dlrs à l’épaule ou au dos?

A
  • ulcère gastroduodénal
  • maladie de la vésicule bilaire
  • maladie du foie
  • ischémie myocardique
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17
Q

La dlr et les symptômes d’une source viscérale sont habituellement accompagnés d’une réponse du ____ (a) comme (b) et (c) d’ou l’importance de (d)

A

a) SNA
b) changement signes vitaux
c) diaphorèse (hypersudation) et/ou paleur de la peau
d) l’anamnèse et de la revue des syst.

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18
Q

Quel peut être l’origine d’une dlr avec les caractéristiques suivantes

  • dlr ép ou poitrine (thorax); dim couché sur le côté douloureux
  • dlr à ép. ; aug. po couchée et dim assis ou penché vers l’avant
  • dlr qui dim ou disparaît avec le blocage de la respiration ou le vasalva
  • dlr à l’ép. aggravée par les mvmts respi
A

costale
pleurale
pulmonaire
cardiaque

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19
Q

Pour toute femme de +40ans avec dlr thoracique moy scapulaire ou ép D considérez la maladie de ___ comme étiologie possible

A

la vésicule bilaire
Lorsque la maladie avance, une détresse GI peut survenir; nausées, flatulences, intolérances alimentaires récurrentes, attention médicale

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20
Q

Quelles caractéristiques accompagnées d’une dlr à l’ép font qu’on doit abordé la manifestation comme viscérale même si la dlr est exacerbée par le mvmt de l’ép. ou s’il y a des observations objectives à l’épaule?

A

-composante pleurale (dyspnée, toux, dlr TH, malaise, fièvre)
-exacerbation en déc.
-diaphorèse
-s Et S GI
-exacerbation par un effort non lié au mvmt de l’ép.
s et s urologiques associés
Le dos, l’épaule: lieux les + fréquents de dlr viscérale référée

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21
Q

Drapeaux rouges sans lien avec la dlr/symptômes?

A

§ Perte ou gain de poids significative /involontaire
§ Santé générale détériorée. (ex: rhume ou grippe récurrente, cyclique
§ Hx (personnelle ou fam.) cancer
Facteurs de risque; âge, tabac, abus d’alcool/drogue, I.M.C , sédentaire,
historique d’immunosuppression (ex: stéroïdes, transplantation d’organes,
VIH).
§Masse croissante (dlreuse ou pas) ; tumeur jusqu’à preuve du contraire

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22
Q

Drapeaux rouges en lien avec la dlr/symptômes?

A

§ Dlr nocturne constante et intense, sudation nocturne
Symptômes hors proportion par rapport au traumatisme
§ Origine des symptômes insidieuse, aucune cause connue*
§ Dlr mal localisée
§ Douleur accompagnée de S et Symptômes associés à des viscères ou
systèmes spécifiques
§ Dlr apparaît en spasme en colique ou décrite comme pulsatile (vasculaire)
§ Incapacité de modifier les symptômes pendant l’examen
§Dlr non soulagée par le repos, changement de position; aucune po. confortable.
§Présentation clinique correspond à aucun patron connu.
§Symptômes non soulagés par l’ intervention en physiothérapie.
§Symptômes bilatéraux (ex: oedème, engourdissement/picotements, brûlure,…);
doivent toujours soulever un drapeau rouge d’une plus grande recherche.
§Douleur accompagnée d’une amplitude de mouvement complète en l’absence d’une
présentation émotionnelle ou psychologique

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23
Q

se préoccuper davantage si les facteurs de risque d’une maladie spécifique sont présents en présence de__

A

3 drapeaux rouges ou +

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24
Q

Symptômes systémiques?

A
-fièvre
diaphorèse
sueurs noctures et/ou diurne
nausée
vomissement
diarrhée
pâleur
vertiges/syncope (tjrs drapeau rouge)
fatigue
perte de poids
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25
Q

Drapeaux jaunes?

A

• A ttitudes and beliefs (perçoit la douleur comme une
menace, la douleur est dangereuse)
• B ehaviours; (évite ses activités normales et rôles)
• C ompensation (bénéfices secondaires)
• D x and treatment issues (litige, CSST)
• E motions (crainte que la dlr augmente avec l’activité)
• F amily ; partenaire surprotecteur
• W ork ; travail manuel, répétitif, travail ennuyant

26
Q

Conduites à suivre avec des conditions post-trauma (fx, bris des autres tissus ex capsule, lig, tendon)

A

§Primum non nocere
§Éviter tests et procédures qui appliquent un stress sur les tissus en guérison
§Suivre les recommandations du md.
§ Être à l’écoute des drapeaux rouges
§ Etre attentif aux complications neurologiques, vasculaires, infectieuses
§Post FX radius(colles) prévenir ou dépister le SRDC; dlr sévère avec souvent
des changements autonomiques. Incapacitant, long à récupérer.

27
Q

La rx n’a pas une sensibilité élevée pour ____ avec un trauma au scaphoide

A

éliminer une fx

dans le doute immobiliser; rx après 10-15jrs

28
Q

Qu’est-ce que la nécrose avasculaire?

A

(ostéonécrose, mort de l’os) par alteration ou arrêt de
l’apport sanguin du tissus osseux.
§ Complication possible d’une Fx comminutive ou luxations articulaires
§ Peut survenir n’importe où. Affecte principalement les épaules et les mains aux
MS ( lunatum (Kienböck’s disease), scaphoide, la tête des métacarpes, tête
humérale, trochlée et condyle huméral)
§ Souvent asymptomatique au début; quand elle progresse
la douleur et les deformations peuvent devenir limitantes.
§ Peut être traumatique ou non traumatique

29
Q

Facteurs de risque ostéonécrose non trauma?

A
• Corticostéroïdes à forte dose,
• Consommation excessive d’alcool ,
• Chimiothérapie ou radiothérapie,
• Maladies chroniques graves, le cancer,
• L’ostéoporose,
• Infection VIH,
• le lupus,
• Transplantation d’organes,
• Hypothyroïdie,
• Goutte,
• Grossesse,
• Plongée sous-marine
ÉVITER: F DE COMPRESSION, CISAILLEMENT
30
Q

Conduite à suivre avec des conditions post-op?

A

Dépister les complications ? Infections, neurologiques,
vasculaires (ex : thrombophlébite, syndrome du compartiment ),
§Considérer les résultats des examens médicaux
(ex : T/A, formule sanguine (Hg, GB, vitesse de coagulation (INR))
§ Normale : 2 - 3, idéalement : 2,5
§ Entre 3.5 et 5.0: prudence
§ > 5 : drapeau rouge! RISQUE HÉMORRAGIQUE
§ Lire le protocole chirurgical: souvent éclairant (technique,tissus
sectionnés, réinsérés,…).

31
Q

Forces à éviter selon structure?

A

Tissus contractiles et ligaments : éviter forces
de tension.
Os: éviter stress mécaniques en torsion, tension,
courbure, cisaillement et compression

32
Q

Qu’est-ce que la thrombophlébite?

A

Possible au Mbre sup. bien que moins
fréquentes (2 -5%)
§ Facteurs de risques: cathéter veineux central,
pace maker, cancer (masse cervicale), trauma
local (chx épaule, fx clavicule)
§ Diagnostic; l’échographie-Doppler
§ Tx: anticoagulothérapie
§ Signes cliniques
• Odème pouvant aller de l’épaule à la main
• Douleur (moins fréquente qu’au Minf) ,
pesanteur du bras
• Circulation collatérale apparente (réseau
sous-cutané au niveau de l’épaule et de la
région claviculaire)

33
Q

Qu’est-ce que le syndrome du compartiment (des loges)

A

aug. pression intra-compartiment: perturbe la viabilité des tissus
(musculaire et/ou nerveux) dans une loge fibreuse inélastique.
§ Secondaire : trauma, brûlure, compression prolongée, plâtre ou pansement trop serré (S Aigu)
§Syndrome des loges aigu: Tx; retiré le plâtre ou pansement trop serré
§Pourrait conduire à une paralysie
§ Peut se développer jusqu’à 64 hres post blessure
§Si ischémie >8 hres ,… ( 5 P) :
« Pain » (douleur)
« Pallor » (pâleur)
« Pulseness » (absence de pouls)
« Paresthesia » (paresthésie)
« Paralysis » (paralysie)
Éviter l’élévation mbre atteint.
Référer urgence

34
Q

Syndrome de Volkmann (manifestation ultime et tardive des séquelle ischémiques)

A

Rétractation ischémique des longs fléchisseurs des doigts et du poignet +paralysie des
muscles de la main, interosseux et de l’éminence thénar ; main caractéristique en griffe.
§ Symptômes précurseurs: fourmillements, aspect violacé des doigts, perte de sensibilité , de
motricité de la main, froideur et oedème des extrémités, douleur vive de l’avant-bras.
§ Enfants jeunes +++
§ Trauma membre sup.
§ À ce stade la chirurgie est souvent nécessaire

35
Q

Infection

A

Porte d’entrée? plaie, fx ouverte, post infiltration, chirurgie
§ S & S: dlr, rougeur, chaleur localisée, gonflement, écoulement
purulent.
§ Symptômes généraux tels; perte de poids, faiblesse, fièvre
(possible).
Population à risque :
• Diabétique, Insuffisance rénale
• PAR (immunodéprimés)
• VIH, toxicomane (i.v.), éthylisme avancé
• Corticothérapie
• Affection néoplasique évolutive ou ATCD (radiothérapie)

36
Q

Ostéomyélite

A

inflammation et destruction des os dues à des bactéries des mycobactéries ou des champignons
-Aigue: début brutal, dlrs importantes, signes inflammatoires locaux, impotence fonctionnelle et tableau septique général
dx via imagerie (RX, TDM, IRM) et cultures
tx: antibiotiques et parfois drainage chx

37
Q

Arthrite septique

A

genou + épaule + hanche
-infection articulaire, évolue en qq heures ou jours. SI streptocoque A ou pneumocoque, signes infectieux importants et possibilité de destruction rapide des structures articulaires
Sympt: dlr d’installation rapide, épanchement intra-articulaire et dim mobilité A et P
Urgence médicale (état de choc, décès). Complication fonctionnelles sévères possibles (dégâts ostéocartilagineux, arthrodèse)
dx: analyse du liquide synovial, culture
tx: antibiotiques IV, drainage du pus, chx

38
Q

Infiltration de cortisone péritendineuse- conduite

A

§ La cortisone contribue à affaiblir les tissus conjonctifs.
§ Avant: la majorité des cliniciens considéraient une plage d’1 sem.,
peu importe le client, avant de mettre un stress de tension sur la
structure infiltrée.
Jugement clinique devrait prévaloir ? Variable; 3,4,5,6 sem(s).
Considérer les autres facteurs du patient (âge, santé globale, état des
structures avant l’infiltration, nombre d’infiltrations reçues, …).

39
Q

Fragilité de l’os

A

Ostéoporose (os poreux) ➤sensibilité accrue aux
fractures, en particulier fx de compression
vertébrale. Pas forcément associé à un traumatisme
grave. Favoriser des positions qui minimisent le
risque de fracture. (Batavia 74)
• Éviter force directe sur l’os en particulier les
côtes
• Éviter rachis en flexion, exs à long bras de levier
§ Fracture de fragilisation (fracture d’un os à la suite d’un
incident mineur)
Le stress que peut tolérer un os ostéoporotique avant de fracturer est inconnu.
Idem pour un trait de Fx

40
Q

facteurs de risque ostéoporose

A

§ Prise systémique de corticoïde à haute dose (> 6 mois)
§ Fumeur , forte consommation d’alcool
§ Ménopause précoce (avant 45 ans), ménopause ou post hystérectomie
§ Mauvaise alimentation, anorexie
§ Avoir 65 ans ou plus
§ PAR, VIH (virus immunodéficience humaine)
§ Maladie de Paget

41
Q

Ostéoporose-déf

A

Affection chronique caractérisée par un
façonnage anormal des os. Métabolisme plus
rapide, l’os est remplacé par un tissu osseux
moins fort, plus poreux. Les os s’épaississent,
s’affaiblissent et se déforment. Affecte os du
crâne, bassin, la clavicule, la colonne
vertébrale et les jambes.

42
Q

Hémophilie

A

§Trouble héréditaire de la coagulation du sang.
§Mineure à sévère: selon le taux de défense et potentialité d’hémarthrose .
§Saignement; suite trauma identifiable ou spontané.
§Articulations (sites de saignement + fréquents ); Genoux>coudes >chevilles> hanches >épaules.
Saignement récurrent arthropathie hémophile; AA, atrophie, contractures en flexion.
§Muscles: 2ème site + fréquent de saignement. Plus insidieuses , plus massives.
§Plus fréquent muscles fléchisseurs; iliopsoas, gastroc, fléchisseurs sup. de l’av-bras.
Recommandation: Prudence lors des mobilisations.
Pas de manipulations

43
Q

Maladies rhumaismales

A

Ex; polyarthrite rhumatoïde (PAR), spondylarthrite ankylosante (SAA) , arthrite psoriasique,
lupus érythémateux disséminé (LED), polymyalgia rheumatica, syndrome de Reiter, arthrite
rhumatoïde juvénile
§ Risques ↓ DMO (prise prolongée cortisone) ➔Risque de Fx
§ Risques fragilité de l’ensemble des tissus conjonctifs.
Risque de déchirure tendineuse, d’instabilité
Souvent
héréditaire
Éviter mobilisations en thérapie manuelle stade inflammatoire.
Et la mise en tension maximale des tissus (mvts passifs et résistés).

44
Q

Dysfonctions endocriniennes

A

Manifestations précoces (maladie thyroïdienne ou parathyroïdienne): faiblesse musculaire,
myalgie, fatigue.
§Dysfonction thyroide➤grande incidence de conditions MSQ tels: capsulite rétractile,
contracture de Dupuytren, doigts gachettes (trigger finger).
Hypothyroïdie: souvent STC.
Ténosynovite des fléchisseurs avec raideur des doigts
§STC bilatéral; courant avvec tr. endocriniens et métaboliques. La majorité des personnes
atteintes sont des femmes (ménopause ou à proximité) , suggère que les tissus mous
autour du poignet pourraient être affectés par les hormones.
§Périarthrite, tendinite calcique, arthralgies des petites articulations de la main: +
fréquentes.
§ Le tx de la déficience endocrine sous-jacente améliore le tableau clinique; La
physiothérapie peut avoir un effet palliatif temporaire.
§ Client diabétique: glycémies chroniquement instables doivent être stabilisées

45
Q

Neuropathies périphériques importantes

A

La perte de la sensation distale dans les jambes et les pieds prédispose à:
§ L’infection
§ Lésions musculo-squelettiques.
Des exercices répétés sur des pieds insensibles pourraient causer:
§ Des ulcérations
§ Des luxations, fractures.
Recommandations:
§ Limiter les activités en mise en charge
§ Favoriser des activités en non mise en charge (natation, vélo, aviron, exs sur
chaise,…)

46
Q

Maladies du tissu conjonctif et du collagène

A

Ex: syndrome Ehlers-Danlos (SED), syndrome de Marfan, ostéogenèse imparfaite
(« maladie des os de verre »), syndrome de Larsen.
Pb. associés:
• Hypermobilité➤instabilité sévère de 1 ou plusieurs articulations (C1-C2 inclus)
• Pb cardiaques (Marfan, Ehlers-Danlos)
• Fragilité osseuse (risque de Fx, luxation poignets, épaules, genoux )
Syndrome de Marfan → risque de mort soudaine. Si douleur thoracique→ md.
Hypermobilité, fragilité osseuse,…
Prudence aux mvts passifs et résistés.

47
Q

Hyperlaxité

A

• Caractérisée par l’élasticité́excessive des tissus pé́ri-articulaires (capsule,
ligaments, tendons, muscles qui entourent l’articulation), responsable d’une
souplesse exagérée.
• Score de Beighton > 4 points / 9 (1 point par « articulation » testée)
Souplesse des pouces ; contact du pouce sur l’avant-bras
Souplesse des 5èmes doigts; extension excessive
Souplesse des coudes ; extension supé́rieure à 180°,
Souplesse des genoux ; extension supérieure à 180° (genu recurvatum)
Souplesse de la colonne vertébrale; possibilité de mettre les mains à plat sur le sol

48
Q

Problèmes cardio-vasculaires: prudence avec les exercices si…

A

Insuffisance cardiaque chronique incontrôlée ou oedème pulmonaire
§Myocardite active
§Fréquence cardiaque repos à 120 ou 130 BPM.
§HTA sévère: T/A systolique >200 mmHg et/ou diastolique >110 mmHg).
§Pouls irrégulier (étourdissements, nausées, essoufflement ou perte du pouls
palpable)
§ Si prise de nitroglycérine: l’apporter en physiothérapie.

49
Q

Cancer

A

§ Discuter avec le md, l’équipe des CI/P en physio.
§ Pas de TMO spécifique (mob’s accessoires); favoriser exs fonctionnels, de maintien.
§ Radiothérapie; discuter avec le md.

50
Q

Problèmes de santé mentale

A

Pas toujours diagnostiqués ?
§ Un client déprimé sur 3 ne se sent pas triste. Se présentent avec des
symptômes somatiques ; fatigue, dlrs articulaires, maux de tête, douleur
chronique au dos (ou ailleurs et récurrente).
§ S’assurer de la stabilité de l’état et de la capacité à recevoir le tx (capacité à
comprendre, communiquer, faire les exs adéquatement).
§ Consentement éclairé au tx (compréhension et acceptation des procédures
et modalités) avant l’application.

51
Q

Grossesse

A

§ Hyperlaxité ligamentaire sec. à l’action de relaxine et progestérone.
§ Les ligaments sont plus relâchés jusqu’à 3 mois postpartum.
§ Prudence lors des mvts passifs (physiologiques et acessoires)
§ Considérer l’articulation évaluée ?
§ État des tissus conj. avant la grossesse.
JUGEMENT CLINIQUE DANS LE CHOIX DES TECHNIQUES.

52
Q

Tabac

A
  • Facteur de risque d’ostéoporose
  • Retarde cicatrisation, guérison
  • ↑ risque thrombose
53
Q

alcool

A

↓ perception dlr, proprioception,
des mécanismes de protection.
L’évaluation peut s’avérer non fiable et
non sécuritaire.

54
Q

Médication

A

• Ostéoporose sec. ; cortisone, héparine, cyclosporine, anticonvulsivants, thyroxine
• Dlrs musculaires : statines (lipitor, crestor, zocor entre autres). Délai d’apparition entre 24 et 45 jours .
• Risque hémorragique; AINS, aspirine
• Anticoagulants ; prudence, éviter trauma aux tissus et
saignement éventuel.(INR)
• Cortisone (sur longue période) ➤effets secondaires multiples ! Antibiotiques de la classe des fluoroquinolones

55
Q

Autres CI et P au tx

A

§ Étourdissement près de la syncope
§ Dyspnée marquée
§ Fatigue inhabituelle
§ ”Unsteadiness” (instabilité)

56
Q

faits sur la pédiatrie

A

• L’os immature ≠ os adulte.
• Porosité plus grande de l’os et périoste très épais (se rompt moins facilement)
• Davantage vulnérable F de tension et compression; risque de se
plier (fracture en bois vert) ou de s’écraser (fracture en torus)
• La plaque de croissance rend l’os immature unique (permet la
croissance en longueur des os longs).
• Jusqu’à 30% des fx de l’enfant touchent la plaque de croissance.
• 3 fois plus souvent Mbres supérieurs que Mbres inf. (plaques
épiphysaires des extrémités distales des os longs)
• À la fin de la croissance, la plaque de croissance se ferme et est
remplacée par de l’os (12 à 14 ans fille et 14 à 16 ans garçon).

57
Q

blessure osseuse et pédiatrie

A

Chez l’enfant, une blessure osseuse suspectée doit toujours avoir r-x. Si la radio
normale et suspicion encore forte; IRM (pour minimiser la radiation) avant CT scan
ou bone scan).
Plaques de croissance: vulnérables forces de
torsion, de cisaillement.
Une Fx risque de perturber la croissance
osseuse (risque déformation).
Post Fx: remodelage varie (âge, os, site , type d’union); ➤angulation, écart entre
les fragments, rotation, raccourcissement possible, perte d’amplitude.

58
Q

coude douloureux chez enfant

A

Fx ? Souvent non visible au RX initial.
RADIOGRAPHIE jeune enfant ? Interprétation difficile (grande
quantité de cartilage et de centres d’ossification sec).
Si épanchement intra-articulaire ou hémarthrose
(“signe du coussinet” +), 75% auront (au contrôle RX à
3 sem(s)) des signes de Fx
Post Fx av-bras (Fx « bois vert »): attention à la refracture
Ø 5% refracture ;1-8 mois après Fx initiale (moy 14 sems).
Généralement peu de douleur
Généralement traitée avec un plâtre permettant la guérison.

59
Q

À l’adolescence

A

À l’adolescence (avant fermeture plaques de croissance): ratio Fmusculaire / F
épiphyse est le + élevé.
Ø Prédispose Fx par avulsion si contraction forte, soudaine.
Idem pour les blessures ligamentaires ; à cause de l’articulation immature pourrait
résulter en une fx par avulsion. (le ligament étant plus fort que la plaque de
croissance).

60
Q

Luxations récidivantes de l’ép. chez les jeunes patients

A

la chx de reconstrucrtion
est souvent hautement recommandée. Sauf pour instabilité multidirectinnelle ou la
readaptation doit être rigourousement faite avant de penser à la chx (stabiliser les st.
antérieures de façon isolée pourrait simplement exacerber la laxité postérieure et
inférieure).

61
Q

ostéoporose juvénile

A
rare chez les enfants et adolescents
Généralement secondaire à une autre
condition (ostéogenèse imparfaite,
rachitisme, troubles de l'alimentation,
arthrite) .
En absence de cause identifiée on parle
d’ostéoporose juvenile idiopathique .
Signes cliniques: Dlr Lx et mbres inf(s) insidieuse, difficulté à
marcher, Fx os longs.
62
Q

Arthrite juvénile idiopathique

A

forme
d’arthrite inflammatoire chronique. (maladie
auto-immune)
Enfants de 16 ans et moins, 3/1000.
Les articulations qui deviennent raides,
douloureuses et enflées. Uvéite possible.
Plan de tx complet = médicaments, info, physio,
ergo et régime alimentaire équilibré
Plusieurs médicaments utilisés : AINS 1ere
ligne. Les anti-arthritiques rhumatoïdes
modificateurs de la maladie (DMARD),2 ème
ligne. Dans certains cas, un modificateur de la
réponse biologique pourrait alors être recommandé
en plus.