Chapitre 14 : Therapeutic exercice program / TERMINÉ Flashcards
Quel est le but ultime de l’exercice thérapeutique ?
- Ramener le participant blessé à un état sans douleur
- Permettre un retour complet à l’activité
Pour ce faire, l’attention doit se concentrer sur la modulation de quels éléments dans les exercices thérapeutiques ?
(8 éléments)
- Douleur
- Restauration d’amplitude articulaire normale
- Cinématique
- Flexibilité
- Force musculaire
- Endurance
- Coordination
- Puissance
De plus, quels éléments doivent être maintenues durant les exercices ?
- L’endurance cardiovasculaire
- La force de tout le corps
Une coureuse de fond de 17 ans chez qui on a diagnostiqué une fasciite plantaire se plaint de douleurs liées à la mise en charge qui irradient du côté médial du talon ainsi que du côté latéral du pied. De plus, l’extension passive du gros orteil et la dorsiflexion de la cheville augmentent la douleur et l’inconfort. Quels objectifs à court et à long terme l’entraîneur sportif et l’athlète pourraient-ils établir pour un programme d’exercices thérapeutiques ? Comment mesurer les progrès ?
Les objectifs à long terme pour le coureur de fond peuvent inclure un ROM sans douleur, la flexibilité, la force musculaire, l’endurance et la puissance ; maintien de l’endurance cardiovasculaire; restauration de la biomécanique articulaire normale ; proprioception et coordination accrues; restauration de la fonction bilatérale des AVQ ; et des mouvements illimités et sans douleur dans les compétences spécifiques au sport.
Lors de la conception d’un programme d’exercices thérapeutiques individualisé, plusieurs étapes séquentielles permettent d’identifier les besoins du patient. Quelles sont-elles ? (5 éléments élaboré)
- Évaluation de la CP : CT, évaluation goniométrique, tests de force, évaluation neurologique, tests d’effort, tests fonctionnels
- Organiser et interpréter l’évaluation pour identifier les facteurs compensatoires qui ont contribué à la blessure.
- Établir des objectifs à court et à long terme
- Élaborer et superviser le plan de traitement, en incorporant l’exercice thérapeutique, les modalités thérapeutiques et les médicaments ainsi que la modification de l’activité.
- Réévaluer les progrès du plan et ajuster si nécessaire.
L’évaluation subjective (c’est-à-dire l’historique de la blessure) est enregistrée dans la partie subjective, ou S, de la note SOAP. Quels sont les éléments importants que nous devons noter dans cette section ?
- Plainte principale
- MOI
- Caractéristiques des symptômes, les 4. Déficiences fonctionnelles,
- ATCDs blessures
- ATCDs familiaux
- Médications
L’évaluation objective (c’est-à-dire l’observation et l’inspection, la palpation et les tests d’examen physique) établit une base d’informations mesurables et est enregistrée dans la partie objectif, ou O, de la note SOAP. Quels sont les éléments importants que nous devons noter dans cette section ?
- Analyse visuelle : site de la blessure, symétrie et apparence ; détermine la présence d’une éventuelle fracture; identifie les résultats cliniques anormaux dans les structures osseuses et des tissus mous
- Mesure la ROM
- Mesure de la force
- Tests neurologiques et vasculaires
- Tests fonctionnels spécifiques
* Faire bilatéralement pour la comparaison
SUBJECTIF
Une coureuse de fond de 17 ans se présente à la clinique d’entraînement sportif avec une douleur au talon gauche. La patiente déclare que sa douleur a été progressive au cours des 3 dernières semaines. Sa principale plainte est une augmentation de la douleur au talon avec une mise en charge prolongée. Le premier pas du matin est très douloureux et donne l’impression de marcher sur des « épingles et des aiguilles ». Elle n’a aucun antécédent de blessure au pied et/ou à la cheville. La patiente décrit une douleur irradiante dans la face médiale de son talon ainsi que sur le côté latéral de son pied.
L’analyse de la marche indique que le patient est limité par la douleur et l’inconfort avec une diminution de la dorsiflexion lors de l’attaque du talon du côté affecté. L’analyse a également indiqué une pronation excessive pendant la phase d’appui intermédiaire. Un gonflement minime est noté par rapport au côté non affecté ainsi qu’une douleur à la palpation à l’insertion du fascia plantaire proximal.
Amplitude de mouvement passive (PROM) = articulation talocrurale (dorsiflexion) et extension du gros orteil causant une augmentation de la douleur et de l’inconfort
Incapable d’atteindre la plage de fin par rapport au côté non affecté en raison de la douleur.
Amplitude de mouvement active (AROM) = 0° à 10° de dorsiflexion par rapport aux 0° à 16° de dorsiflexion non affectés.
Tests particuliers : − test du tunnel tarsien ; + essai de guindeau ; + angle d’arc longitudinal (bilatéral complété).
Quel diagnostic différentiel pourrait en sortir ? Donner plusieurs exemples.
- Fasciite plantaire
- Syndrome du tunnel tarsien
- Fracture de stress
- Ecchymose osseuse
- (Maladie de Sever)
- Douleur référée radiculopathie sacro-iliaque.
SUBJECTIF
Une coureuse de fond de 17 ans se présente à la clinique d’entraînement sportif avec une douleur au talon gauche. La patiente déclare que sa douleur a été progressive au cours des 3 dernières semaines. Sa principale plainte est une augmentation de la douleur au talon avec une mise en charge prolongée. Le premier pas du matin est très douloureux et donne l’impression de marcher sur des « épingles et des aiguilles ». Elle n’a aucun antécédent de blessure au pied et/ou à la cheville. La patiente décrit une douleur irradiante dans la face médiale de son talon ainsi que sur le côté latéral de son pied.
L’analyse de la marche indique que le patient est limité par la douleur et l’inconfort avec une diminution de la dorsiflexion lors de l’attaque du talon du côté affecté. L’analyse a également indiqué une pronation excessive pendant la phase d’appui intermédiaire. Un gonflement minime est noté par rapport au côté non affecté ainsi qu’une douleur à la palpation à l’insertion du fascia plantaire proximal.
Amplitude de mouvement passive (PROM) = articulation talocrurale (dorsiflexion) et extension du gros orteil causant une augmentation de la douleur et de l’inconfort
Incapable d’atteindre la plage de fin par rapport au côté non affecté en raison de la douleur.
Amplitude de mouvement active (AROM) = 0° à 10° de dorsiflexion par rapport aux 0° à 16° de dorsiflexion non affectés.
Tests particuliers : − test du tunnel tarsien ; + essai de guindeau ; + angle d’arc longitudinal (bilatéral complété).
Quel diagnostic différentiel pourrait en sortir ? Donner plusieurs exemples.
Avec la même étude de cas, élaborer un plan de traitement divisé en plusieurs phase ?
Donner l’objectif de la phase avec les moyens de traitement pour y arriver.
Phase 1 : Contrôler l’inflammation et l’enflure
- Anti-inflammatoires non stéroïdiens
- Modalités
- Attelle (la nuit)
Phase 2 : Évaluation fonctionnelle, identifier la source de la douleur et du dysfonctionnement (pour déterminer le tx)
- Traitement de thérapie manuelle approprié
- Plan d’exercices thérapeutiques
Phase 3 : Augmentation du renforcement, de la flexibilité et de la proprioception avec augmentation de l’activité fonctionnelle.
Quels éléments doivent se retrouver dans la section appelée la liste des problèmes, qui fait partie de l’évaluation, ou partie A, de la note SOAP ?
- Diminution du ROM
- Faiblesse
- Raideur musculaire
- Contractures articulaires
- Changements sensoriels
- Problèmes dans la démarche
- Augmentation de la douleur pendant l’activité
Les limitations physiques sont ensuite identifiées pour déterminer l’état fonctionnel actuel de l’individu.
Que signifie l’acronyme CIF ?
Classification internationale du fonctionnel, du handicap et de la santé
Le modèle CIF (Classification internationale du fonctionnel, du handicap et de la santé) intègre une quel(s) approche envers les patients ?
Approche centrée sur le patient
L’expérience clinique d’un clinicien
La recherche factuelle dans le développement d’interventions thérapeutiques et d’exercices thérapeutiques
VRAI OU FAUX
Le remboursement et la facturation peuvent ne pas être disponibles dans tous les contextes cliniques ?
VRAI
Dans quel but les objectifs à long terme sont établis ?
Pour que l’individu ait le niveau de performance attendu à la fin du programme d’exercices.
À quoi servent l’élaboration des objectifs à court terme ?
Aborder les compétences spécifiques nécessaires pour atteindre les objectifs à long terme.
VRAI OU FAUX
Les objectifs doivent être rédigé seulement par le patient.
FAUX
L’AT et le patient doivent discuter et développer les objectifs ensemble.
Faut-il faire participé l’individu dans l’élaboration du plan de traitement ? Si oui, pourquoi ?
L’individu doit sentir qu’il fait partie du processus, car cela peut l’éduquer et le motiver à travailler plus dur pour atteindre les objectifs fixés.
De nombreux facteurs spécifiques relié au sport peuvent affecter le développement des objectifs ? Donner des exemples.
Exigences du sport
Poste joué
Temps restant dans la saison
Saison régulière contre séries éliminatoires ou tournois
Règles du jeu et les règlements concernant les appareils orthopédiques ou l’équipement de sécurité Emplacement
Nature et gravité de la blessure
L’état mental de l’individu
VRAI OU FAUX
Chaque objectif à court terme doit être modérément difficile mais réaliste.
VRAI
Quels éléments doivent se retrouver dans la section du Plan (P) de la note SOAP ?
- Exercice thérapeutique
- Modalités
- Médicaments prescrits par me MD
Pour ramener l’individu à la participation en toute sécurité, le programme d’exercices thérapeutiques est divisé en combien de phase(s). La fin d’une phase et le début de la suivante peuvent se chevaucher ; cependant, chaque phase a un rôle spécifique.
Décriver ce qui se retrouve dans chaque phase(s).
Phase 1:
- La réponse inflammatoire
- La douleur
-L’enflure
- L’ecchymose sont contrôlées.
Phase 2 se concentre sur :
- La récupération de tout déficit en ROM au niveau de l’articulation touchée et la restauration de la proprioception.
Phase 3 : Restaurer
- Force musculaire
- Endurance
- Puissance du membre affecté
Phase 4 : prépare l’individu à reprendre ses activités comprend :
- L’entraînement d’habiletés spécifiques au sport
- La récupération de la coordination
- L’amélioration du conditionnement cardiovasculaire
Dans la phase 1, le but est de contrôler l’inflammation, quels sont les moyens avec lesquels ont peut y arriver ?
Quels capacités devront nous maintenir ?
- Contrôlez le stade inflammatoire et minimisez le tissu cicatriciel avec la cryothérapie en utilisant les principes PRICE (protéger, restreindre l’activité, la glace, la compression et l’élévation).
- Instruire le patient
Maintien du ROM, la flexibilité articulaire, la force, l’endurance et la puissance dans les parties du corps non affectées.
Maintien de l’endurance cardiovasculaire.
Dans la phase 2, le but est de restaurer le mouvement, quels sont les moyens avec lesquels ont peut y arriver ?
Quels capacités devront nous maintenir ?
- Restaurer la ROM à moins de 80 % de la normale dans le membre non affecté. - Rétablir la souplesse articulaire à celle observée dans le membre non atteint.
- Commencez la stimulation proprioceptive par des exercices en chaîne isotonique fermée.
- Commencez des exercices de renforcement isométrique sans douleur sur le membre affecté
- Commencez des schémas fonctionnels sans résistance et sans douleur de mouvement spécifique au sport/à l’activité.
Maintenir la force musculaire, l’endurance et la puissance des muscles non affectés.
Maintenir l’endurance cardiovasculaire.
Dans la phase 3, le but est de développer la force, la puissance et l’endurance musculaire. Quels sont les moyens avec lesquels ont peut y arriver ?
Quels capacités devront nous maintenir ?
Restaurer l’amplitude complète et la proprioception du membre affecté
Restaurer la force musculaire, l’endurance et la puissance à l’aide d’exercices progressifs contre résistance
Maintenir l’endurance cardiovasculaire
Initier une résistance minimale à modérée dans les schémas fonctionnels spécifiques au sport/à l’activité
Phase 4 le but est le retour au sport/à l’activité physique. Quels sont les moyens avec lesquels ont peut y arriver ?
Quels capacités devront nous rétablir/améliorer ?
Analysez la performance des habiletés et corrigez les inefficacités biomécaniques en mouvement.
Améliorer la force musculaire, l’endurance et la puissance
Rétablir la coordination et l’équilibre
Améliorer l’endurance cardiovasculaire
Augmenter les schémas fonctionnels spécifiques au sport/à l’activité
Reprendre une activité protégée selon la tolérance
VRAI OU FAUX
Chaque phase du programme d’exercices doit être supervisée et documentée.
VRAI
VRAI OU FAUX
Des notes évolutives doivent être remplies sur une base hebdomadaire ou bihebdomadaire ou mises à jour chaque fois qu’un changement est apporté au plan de réhabilitation.
VRAI
VRAI OU FAUX
Dans de nombreux établissements de soins de santé, ces dossiers ne sont pas utilisés pour le remboursement par des tiers des services rendus et, en cas de litige, fournissent la documentation des services rendus.
FAUX
Il sont utilisés pour le remboursement.
En conjonction avec le modèle ICF (Classification internationale du fonctionnel, du handicap et de la santé), ont retrouve les mesures des résultats rapportés par les patients (PROM) et les cliniciens (CROM) évaluent les préférences et les valeurs des patients ainsi que les améliorations liées aux objectifs mesurables à court et à long terme.
Quelles sont les mesures ?
Patient
- Physiologiques
- Psychologiques
- Spécifiques à la partie du corps blessée
Sert à améliorer la communication entre le patient et le clinicien, établissant ainsi les besoins uniques de l’individu.
L’inclusion périodique de CROM (les mesures des résultats rapportés par les cliniciens) répond à des objectifs mesurables spécifiques (c’est-à-dire, ROM, force et flexibilité). Les résultats du clinicien peuvent indiquer quoi ?
Que les exercices thérapeutiques influencent positivement l’amélioration, tout en concluant à des résultats négatifs et en suggérant des ajustements aux interventions thérapeutiques.
Certaines conditions peuvent entraver le processus de guérison et retarder la réalisation d’un objectif à court terme. Quels sont-ils ?
- Oedème
- Hémorragie
- Spasmes musculaires
- Atrophie
- Infection
Des mesures périodiques de la circonférence, de la ROM, de la force musculaire, de l’endurance, de la puissance et de la forme cardiovasculaire déterminent si des progrès se produisent. Si aucun progrès n’est constaté que doit-on faire ?
La personne doit être réévaluée.
L’entraîneur sportif doit déterminer si le retard est causé par des problèmes physiques, une non-conformité ou des influences psychologiques. Que doit-il faire s’il ne se sent pas en mesure d’aider la personne ?
Référer au spécialiste approprié (par exemple, un médecin ou un psychologue clinicien).
Compte tenu de la nature aiguë de la fasciite plantaire du coureur de fond, le protocole de soins aigus a été suivi, y compris la submersion du pied dans un bain de glace. Serait-il approprié de commencer des exercices de réadaptation au cours de cette phase initiale de gestion des blessures ?
En plus des traitements par le froid pour le contrôle de l’inflammation, il serait opportun d’initier des exercices d’étirements doux durant cette phase. Les zones particulières qui doivent être étirées comprennent le tendon d’Achille et les tendons fléchisseurs des orteils. De plus, des exercices généraux de force corporelle et d’endurance cardiovasculaire peuvent être effectués tant que la zone lésée n’est pas irritée.
La phase 1 du programme d’exercices commence immédiatement après l’évaluation des blessures. L’objectif principal est de contrôler l’inflammation en limitant les hémorragies, les œdèmes, les épanchements, les spasmes musculaires et la douleur. L’individu peut passer à la phase 2 lorsque les critères ont été atteints. Quels sont-ils ?
Contrôle de l’inflammation avec un minimum d’œdème, d’enflure, de spasmes musculaires et de douleur.
Le ROM, la flexibilité articulaire, la force musculaire, l’endurance et la puissance sont maintenus dans les zones du corps non affectées / non blessées.
L’évaluation des blessures à la tête et les résultats individuels indiquent la progression vers la phase suivante.
La forme cardiovasculaire est maintenue au niveau d’avant la blessure.
VRAI OU FAUX
La formation de cicatrices collagènes, un composant naturel de la réparation et de la régénération des tissus mous lésés, est moins efficace et tolère moins les forces de traction que le tissu mature d’origine.
VRAI
La durée de la réponse inflammatoire est un facteur clé influençant la stabilité et la fonction ultimes du tissu cicatriciel. Que se passe-t-il durant se processus.
Plus le processus inflammatoire progresse, plus il est probable que le tissu cicatriciel résultant sera moins dense et plus faible pour céder au stress appliqué.
De plus, une immobilisation de plus de 2 ou 3 semaines peut entraîner quel problème aux tissus ?
Des adhérences articulaires qui inhibent la régénération de la fibre musculaire.
Par conséquent, tous les symptômes inflammatoires doivent être contrôlés dès que possible. PRIX (PRICE), un acronyme bien connu est utilisé pour quoi ?
Réduire les symptômes aigus sur le site d’une blessure.
À la suite d’un traumatisme, une hémorragie et un œdème au site de la blessure entraînent une accumulation de liquides tissulaires et de produits sanguins qui augmente la douleur et les spasmes musculaires. L’augmentation de la pression diminue le flux sanguin vers le site de la blessure, entraînant quel phénomène ?
Une hypoxie (un manque d’oxygène). Au fur et à mesure que la douleur persiste, le seuil de la douleur est abaissé. Ces événements conduisent au schéma cyclique douleur-spasme-hypoxie-douleur.
Pour cette raison, la cryothérapie (c’est-à-dire la glace, la compression et l’élévation) est préférée pendant la phase d’inflammation aiguë ? Quelles sont ses bienfaits ?
Diminuer la circulation
Diminuer le métabolisme cellulaire
Diminuer le besoin d’oxygène
Diminuer la vitesse de conduction de l’influx nerveux pour briser le cycle douleur-spasme.
Quelle modalité peut être utilisé dans ce cas aussi (hypoxie) ?
Une enveloppe de compression élastique peut réduire la formation d’hémorragies et d’hématomes tout en se dilatant en cas de gonflement extrême.
Quelle autre méthode peut être utilisée pour réduire l’accumulation de fluides et la pression à l’intérieur des vaisseaux veineux et lymphatiques et empêchent ainsi le fluide de filtrer dans les espaces tissulaires environnants ?
L’élévation et la ROM active qui utilisent la gravité.
Quel est le résultat de toutes ces méthodes ?
Le résultat est moins de nécrose tissulaire et de déchets locaux, conduisant à une phase inflammatoire plus courte.
Quels éléments peuvent être utilisés pour contrôler l’hémorragie et éliminer l’œdème ?
- Cryothérapie
- La compression intermittente
- L’exercice thérapeutique
VRAI OU FAUX
La stimulation musculaire électrique (EMS) n’est actuellement pas recommandée comme moyen d’améliorer la fonction, de réduire l’œdème ou de diminuer la douleur dans le traitement des entorses latérales aiguës de la cheville.
VRAI
Il a également été démontré que la thérapie électrique avait des bénéfices quels sont-ils ?
Diminue la douleur
Diminue les spasmes musculaires Renforce les muscles affaiblis
Améliorer le flux sanguin vers une zone Améliorer le taux de guérison des tendons blessés
La neurostimulation électrique transcutanée peut également être utilisée dans quel but ?
Pour limiter la douleur.
La modalité de choix est déterminée comment ?
La taille
L’emplacement de la zone lésé
La disponibilité de la modalité
La préférence du fournisseur de soins de santé superviseur
VRAI OU FAUX
Une augmentation de la température des tissus peut indiquer que l’inflammation est toujours présente ainsi qu’un gonflement et une rougeur dans la partie du corps concernée.
VRAI
Les effets de l’immobilisation sur divers tissus du corps ont été largement couverts dans la littérature. Quel est l’impact qui en résulte sur la réadaptation ?
Prolongent la réparation et la régénération des tissus endommagés.
VRAI OU FAUX
Comme déterminé par le médecin, il est indiqué de maintenir une mise en charge partielle à complète du membre inférieur afin de maintenir la force.
VRAI
L’immobilisation cause qu’elle problématique sur un membre ?
Entraîne une perte de force musculaire dans les 24 heures.
Comment peut-on expliquer le phénomène de perte de force causé par l’immobilisation ?
* Utilisé un point de vue physiologique
Cela se manifeste par une diminution de la taille des fibres musculaires, du poids musculaire total, de la taille et du nombre de mitochondries (la source d’énergie de la cellule), de la tension musculaire produite et des niveaux de glycogène et d’adénosine triphosphate au repos, ce qui réduit l’endurance musculaire
Comment peut-on expliquer le phénomène de perte de force causé par l’immobilisation ?
* Utilisé un point de vue physiologique
Sous la même lancé que se passe-t-il avec le phénomène nerveux ?
Les nerfs moteurs deviennent moins efficaces pour recruter et stimuler les fibres musculaires.
L’immobilisation augmente également la fatigabilité musculaire en raison de quel phénomène physiologique ?
Diminution de la capacité oxydative
Le taux de perte semble être plus rapide pendant les premiers jours ou les derniers jours d’immobilisation ?
Plus rapide dans les premiers jours.
Après combien de jour d’immobilisation il y a une diminution/perte de masse musculaire ?
5 à 7 jours
Bien que les fibres musculaires à contraction lente (type I) et à contraction rapide (type II) s’atrophient, il est généralement admis qu’une plus grande dégénérescence se produit dans un autre phénomène relié aux fibres ?
Dans la contraction des fibres avec immobilisation.
VRAI OU FAUX
Les muscles immobilisés en position allongée ou neutre maintiennent mieux le poids musculaire et la section transversale des fibres que les muscles immobilisés en position raccourcie.
VRAI
Pourquoi la position des muscles raccourcies dans une immobilisation n’est pas idéal ?
La longueur des fibres diminue, entraînant une augmentation du tissu conjonctif et une réduction de l’extensibilité musculaire.
Les muscles immobilisés en position raccourcie s’atrophient plus rapidement et ont une plus grande perte de fonction contractile.
PRICE
Stratégie d’application : soins aigus des lésions des tissus mous. Éléments importants lors de l’application de glace ?
- Appliquer de la glace pilée pendant 30 minutes directement sur la peau (40 minutes pour une masse musculaire importante, comme les quadriceps).
- Les applications de glace doivent être répétées toutes les 2 heures lorsqu’il est éveillé (toutes les heures si l’athlète est actif) et peuvent s’étendre jusqu’à plus de 72 heures après la blessure.
- La température de la peau peut indiquer quand l’enflure aiguë s’est atténuée. Par exemple, si la zone (comparée bilatéralement) est chaude au toucher, le gonflement continue. En cas de doute, prolonger le temps d’une application à froid.
PRICE
Stratégie d’application : soins aigus des lésions des tissus mous. Éléments importants lors de l’application d’une compression
- Sur une extrémité, appliquez l’enveloppe dans une direction distale à proximale pour éviter de forcer le liquide extracellulaire dans les doigts distaux.
- Prenez une impulsion distale après avoir appliqué l’enveloppe pour vous assurer que l’enveloppe n’est pas trop serrée. Des coussinets en fer à cheval en feutre placés autour de la malléole peuvent être combinés à une bande élastique ou à du ruban adhésif pour limiter le gonflement de la cheville.
3.Maintenez la compression en continu sur la blessure pendant les 24 premières heures.
PRICE
Stratégie d’application : soins aigus des lésions des tissus mous. Éléments importants lors de l’élévation ?
- Élevez la partie du corps de 6 à 10 pouces au-dessus du niveau du cœur.
2.Pendant le sommeil, placez une valise rigide entre le matelas et le sommier, ou placez l’extrémité sur une série d’oreillers.
PRICE
Stratégie d’application : soins aigus des lésions des tissus mous. Éléments importants lorsqu’il faut restreindre l’activité et protéger la zone ?
- Si la personne est incapable de marcher sans boiter, équipez-la de béquilles et appliquez un dispositif de protection approprié pour limiter les mouvements inutiles de l’articulation blessée.
- Si la personne a une blessure au membre supérieur et est incapable de bouger le membre sans douleur, équipez-la d’une écharpe ou d’une attelle appropriée.
Le plus grand impact de l’immobilisation se produit sur quel partie dans l’articulation ?
Le cartilage articulaire, où des changements indésirables apparaissent dans la semaine suivant l’immobilisation.
Pourquoi la charge et la décharge intermittentes des articulations synoviales est nécessaire ?
Pour assurer le bon échange métabolique nécessaire au fonctionnement normal.
Quels est le nom scientifiques des cellules cartilagineuses ?
Chondrocytes
Le non contact entre deux surfaces favorise la croissance du tissu dans l’articulation. Quel est-il ?
Du tissu conjonctif dans l’articulation
Une mise en charge réduite, ainsi que le chargement et le déchargement, peuvent également augmenter quel processus physiologique ?
La résorption osseuse
Le cartilage articulaire se ramollit et diminue d’épaisseur. Une immobilisation de plus de 30 jours peut entraîner quel problématique à long terme ?
Arthrose progressive
Le stress conduit à un ligament plus rigide et plus fort, tandis que l’immobilisation conduit à une structure plus faible et plus souple. Quels sont les conséquences d’un ligament plus faible et plus souple ?
(2 éléments)
- Diminution de la résistance à la traction
- Réduit la capacité des ligaments à assurer la stabilité des articulations.
La contrainte mécanique sur un os affecte 2 types d’activités osseuses. Quelles sont-elles ?
- Activité ostéoblastique
- Activité ostéoclastique
Qu’est-ce qu’une activité mécanique ostéoblastique ?
Formation des cellules osseuses
Qu’est-ce qu’une activité mécanique ostéoclastique ?
Résorption des cellules osseuses
Une mise en charge et une activité musculaire limitées entraînent une perte osseuse, qui peut être détectée après combien de jour(s) ou semaine(s) d’immobilisation ?
2 semaines
VRAI OU FAUX
À mesure que le temps d’immobilisation augmente, une résorption osseuse se produit, ce qui rend les os plus fragiles et plus susceptibles de se fracturer.
VRAI
VRAI OU FAUX
l’amyotrophie augmente la perte osseuse à un taux supérieur à celui résultant de troubles métaboliques affectant les os.
À combien est-il ?
VRAI
5 à 20 fois
Qu’est-ce qu’est la loi de Wolff ?
Les os et les tissus mous répondent aux exigences physiques qui leur sont imposées, entraînant la formation de collagène pour se remodeler ou se réaligner le long des lignes de stress, et favoriser ainsi une biomécanique articulaire saine.
Un mouvement passif continu permet de prévenir quel phénomène au niveau des articulations ?
- Les adhérences et la raideur articulaires
- Peut diminuer l’hémarthrose articulaire
- Diminuer la douleur
Qu’est-ce que l’hémarthrose ? Donnez une explication simple.
Sang dans l’articulation
Les mouvements précoces, ainsi que le chargement et le déchargement des articulations, grâce à un exercice de mise en charge partielle, maintiennent quel phénomène physiologique ?
La lubrification des articulations pour nourrir le cartilage articulaire, les ménisques et les ligaments.
La régénération musculaire commence après combien temps suite à la mobilisation ?
3 à 5 jours
Les fibres musculaires à contraction rapide et à contraction lente peuvent récupérer complètement après combien de semaines suite à l’immobilisation ?
6 semaines
L’activité contractile musculaire augmente rapidement la synthèse des protéines; cependant, la tension isométrique maximale peut ne revenir à la normale combien de mois suite à l’immobilisation ?
4 mois
Quel type de modalité (catégorie) peut être utile pour rééduquer les muscles, limiter la douleur et les spasmes et diminuer l’épanchement grâce à l’action de pompage du muscle qui se contracte suite à l’immobilisation ?
Électrothérapie
Le cartilage articulaire répond généralement favorablement aux stimuli mécaniques, avec des modifications structurelles notées après l’exercice. Les modifications des tissus mous sont réversibles si l’immobilisation ne dépasse pas combien de jours ?
30 jours
Ces modifications structurelles peuvent ne pas être réversibles si l’immobilisation dépasse 30 jours.
VRAI OU FAUX
La jonction os-ligament récupère plus rapidement que les propriétés mécaniques dans la partie médiane du ligament.
FAUX
La jonction os-ligament récupère plus lentement que les propriétés mécaniques dans la partie médiane du ligament.
Des études ont montré qu’après 12 semaines d’immobilisation, une récupération de 50% de la force normale d’un ligament cicatrisant est retrouvée après combien de mois ?
6 mois
Selon le type de contraintes exercées sur le ligament et sur la prévention des blessures répétées.
Des études ont montré qu’après 12 semaines d’immobilisation, une récupération de 80% de la force normale d’un ligament cicatrisant est retrouvée après combien de temps ?
1 an
Selon le type de contraintes exercées sur le ligament et sur la prévention des blessures répétées.
Des études ont montré qu’après 12 semaines d’immobilisation, une récupération de 100 % de la force normale d’un ligament cicatrisant est retrouvée après combien temps ?
1 à 3 ans
Selon le type de contraintes exercées sur le ligament et sur la prévention des blessures répétées.
Quels types d’exercices pendant la période d’immobilisation peuvent diminuer une partie de la perte osseuse et accélérer la récupération après le retour à un environnement de chargement normal ?
(2 types)
Isotoniques et isométriques
Le système vestibulaire est composé d’organes sensoriels (oreille interne) et a deux fonctions principales. Quelles sont-elles ?
À quoi servent-elles ?
- Vestibulo-spinale
- Vestibulo-oculaire
Réguler la stabilité posturale, la vision et le mouvement de la tête.
Le système oculomoteur contrôle quels mouvements oculaires ?
Version et de vergence.
VRAI OU FAUX
En conjonction avec le système vestibulaire, le système oculomoteur maintient la stabilité visuelle et le contrôle des mouvements.
VRAI
Pour identifier les troubles vestibulaires, les patients doivent être évalués comment ?
En utilisant des mouvements et en provoquant une stimulation qui peut aggraver les symptômes ou identifier de nouveaux symptômes.
Quel est l’outil qui dépiste les déficiences pour établir un plan de soins de réadaptation vestibulaire ?
L’outil Vestibular/Ocular Motor Screening (VOMS)
PHASE 2 - RÉADAPTATION
Les symptômes inflammatoires aigus associés à la fasciite plantaire ont disparu. Dans le traitement continu de la fasciite plantaire, quel type d’exercices devrait être encouragé à ce stade du processus de rééducation ? Existe-t-il des modalités qui pourraient être utilisées pour compléter le programme d’exercices ?
Au cours de la phase 2, des étirements passifs et des exercices AROM doivent être effectués. En particulier, l’étirement et le renforcement des muscles intrinsèques et extrinsèques du pied et de la cheville devraient être des éléments majeurs du plan de rééducation. La cryothérapie, la thermothérapie, l’EMS, la mobilisation des articulations ou le massage peuvent compléter le programme d’exercices au besoin.
La phase 2 commence immédiatement après le contrôle de l’inflammation. Cette phase se concentre sur quels éléments ?
- Restauration de la ROM
- De la flexibilité au site blessé
- Ainsi que sur la poursuite du maintien de la force générale du corps et de l’endurance cardiovasculaire.
La phase 2 peut commencer dès combien de jours/semaines après la blessure ?
4 jours