Chapitre 14 : Therapeutic exercice program / TERMINÉ Flashcards
Quel est le but ultime de l’exercice thérapeutique ?
- Ramener le participant blessé à un état sans douleur
- Permettre un retour complet à l’activité
Pour ce faire, l’attention doit se concentrer sur la modulation de quels éléments dans les exercices thérapeutiques ?
(8 éléments)
- Douleur
- Restauration d’amplitude articulaire normale
- Cinématique
- Flexibilité
- Force musculaire
- Endurance
- Coordination
- Puissance
De plus, quels éléments doivent être maintenues durant les exercices ?
- L’endurance cardiovasculaire
- La force de tout le corps
Une coureuse de fond de 17 ans chez qui on a diagnostiqué une fasciite plantaire se plaint de douleurs liées à la mise en charge qui irradient du côté médial du talon ainsi que du côté latéral du pied. De plus, l’extension passive du gros orteil et la dorsiflexion de la cheville augmentent la douleur et l’inconfort. Quels objectifs à court et à long terme l’entraîneur sportif et l’athlète pourraient-ils établir pour un programme d’exercices thérapeutiques ? Comment mesurer les progrès ?
Les objectifs à long terme pour le coureur de fond peuvent inclure un ROM sans douleur, la flexibilité, la force musculaire, l’endurance et la puissance ; maintien de l’endurance cardiovasculaire; restauration de la biomécanique articulaire normale ; proprioception et coordination accrues; restauration de la fonction bilatérale des AVQ ; et des mouvements illimités et sans douleur dans les compétences spécifiques au sport.
Lors de la conception d’un programme d’exercices thérapeutiques individualisé, plusieurs étapes séquentielles permettent d’identifier les besoins du patient. Quelles sont-elles ? (5 éléments élaboré)
- Évaluation de la CP : CT, évaluation goniométrique, tests de force, évaluation neurologique, tests d’effort, tests fonctionnels
- Organiser et interpréter l’évaluation pour identifier les facteurs compensatoires qui ont contribué à la blessure.
- Établir des objectifs à court et à long terme
- Élaborer et superviser le plan de traitement, en incorporant l’exercice thérapeutique, les modalités thérapeutiques et les médicaments ainsi que la modification de l’activité.
- Réévaluer les progrès du plan et ajuster si nécessaire.
L’évaluation subjective (c’est-à-dire l’historique de la blessure) est enregistrée dans la partie subjective, ou S, de la note SOAP. Quels sont les éléments importants que nous devons noter dans cette section ?
- Plainte principale
- MOI
- Caractéristiques des symptômes, les 4. Déficiences fonctionnelles,
- ATCDs blessures
- ATCDs familiaux
- Médications
L’évaluation objective (c’est-à-dire l’observation et l’inspection, la palpation et les tests d’examen physique) établit une base d’informations mesurables et est enregistrée dans la partie objectif, ou O, de la note SOAP. Quels sont les éléments importants que nous devons noter dans cette section ?
- Analyse visuelle : site de la blessure, symétrie et apparence ; détermine la présence d’une éventuelle fracture; identifie les résultats cliniques anormaux dans les structures osseuses et des tissus mous
- Mesure la ROM
- Mesure de la force
- Tests neurologiques et vasculaires
- Tests fonctionnels spécifiques
* Faire bilatéralement pour la comparaison
SUBJECTIF
Une coureuse de fond de 17 ans se présente à la clinique d’entraînement sportif avec une douleur au talon gauche. La patiente déclare que sa douleur a été progressive au cours des 3 dernières semaines. Sa principale plainte est une augmentation de la douleur au talon avec une mise en charge prolongée. Le premier pas du matin est très douloureux et donne l’impression de marcher sur des « épingles et des aiguilles ». Elle n’a aucun antécédent de blessure au pied et/ou à la cheville. La patiente décrit une douleur irradiante dans la face médiale de son talon ainsi que sur le côté latéral de son pied.
L’analyse de la marche indique que le patient est limité par la douleur et l’inconfort avec une diminution de la dorsiflexion lors de l’attaque du talon du côté affecté. L’analyse a également indiqué une pronation excessive pendant la phase d’appui intermédiaire. Un gonflement minime est noté par rapport au côté non affecté ainsi qu’une douleur à la palpation à l’insertion du fascia plantaire proximal.
Amplitude de mouvement passive (PROM) = articulation talocrurale (dorsiflexion) et extension du gros orteil causant une augmentation de la douleur et de l’inconfort
Incapable d’atteindre la plage de fin par rapport au côté non affecté en raison de la douleur.
Amplitude de mouvement active (AROM) = 0° à 10° de dorsiflexion par rapport aux 0° à 16° de dorsiflexion non affectés.
Tests particuliers : − test du tunnel tarsien ; + essai de guindeau ; + angle d’arc longitudinal (bilatéral complété).
Quel diagnostic différentiel pourrait en sortir ? Donner plusieurs exemples.
- Fasciite plantaire
- Syndrome du tunnel tarsien
- Fracture de stress
- Ecchymose osseuse
- (Maladie de Sever)
- Douleur référée radiculopathie sacro-iliaque.
SUBJECTIF
Une coureuse de fond de 17 ans se présente à la clinique d’entraînement sportif avec une douleur au talon gauche. La patiente déclare que sa douleur a été progressive au cours des 3 dernières semaines. Sa principale plainte est une augmentation de la douleur au talon avec une mise en charge prolongée. Le premier pas du matin est très douloureux et donne l’impression de marcher sur des « épingles et des aiguilles ». Elle n’a aucun antécédent de blessure au pied et/ou à la cheville. La patiente décrit une douleur irradiante dans la face médiale de son talon ainsi que sur le côté latéral de son pied.
L’analyse de la marche indique que le patient est limité par la douleur et l’inconfort avec une diminution de la dorsiflexion lors de l’attaque du talon du côté affecté. L’analyse a également indiqué une pronation excessive pendant la phase d’appui intermédiaire. Un gonflement minime est noté par rapport au côté non affecté ainsi qu’une douleur à la palpation à l’insertion du fascia plantaire proximal.
Amplitude de mouvement passive (PROM) = articulation talocrurale (dorsiflexion) et extension du gros orteil causant une augmentation de la douleur et de l’inconfort
Incapable d’atteindre la plage de fin par rapport au côté non affecté en raison de la douleur.
Amplitude de mouvement active (AROM) = 0° à 10° de dorsiflexion par rapport aux 0° à 16° de dorsiflexion non affectés.
Tests particuliers : − test du tunnel tarsien ; + essai de guindeau ; + angle d’arc longitudinal (bilatéral complété).
Quel diagnostic différentiel pourrait en sortir ? Donner plusieurs exemples.
Avec la même étude de cas, élaborer un plan de traitement divisé en plusieurs phase ?
Donner l’objectif de la phase avec les moyens de traitement pour y arriver.
Phase 1 : Contrôler l’inflammation et l’enflure
- Anti-inflammatoires non stéroïdiens
- Modalités
- Attelle (la nuit)
Phase 2 : Évaluation fonctionnelle, identifier la source de la douleur et du dysfonctionnement (pour déterminer le tx)
- Traitement de thérapie manuelle approprié
- Plan d’exercices thérapeutiques
Phase 3 : Augmentation du renforcement, de la flexibilité et de la proprioception avec augmentation de l’activité fonctionnelle.
Quels éléments doivent se retrouver dans la section appelée la liste des problèmes, qui fait partie de l’évaluation, ou partie A, de la note SOAP ?
- Diminution du ROM
- Faiblesse
- Raideur musculaire
- Contractures articulaires
- Changements sensoriels
- Problèmes dans la démarche
- Augmentation de la douleur pendant l’activité
Les limitations physiques sont ensuite identifiées pour déterminer l’état fonctionnel actuel de l’individu.
Que signifie l’acronyme CIF ?
Classification internationale du fonctionnel, du handicap et de la santé
Le modèle CIF (Classification internationale du fonctionnel, du handicap et de la santé) intègre une quel(s) approche envers les patients ?
Approche centrée sur le patient
L’expérience clinique d’un clinicien
La recherche factuelle dans le développement d’interventions thérapeutiques et d’exercices thérapeutiques
VRAI OU FAUX
Le remboursement et la facturation peuvent ne pas être disponibles dans tous les contextes cliniques ?
VRAI
Dans quel but les objectifs à long terme sont établis ?
Pour que l’individu ait le niveau de performance attendu à la fin du programme d’exercices.
À quoi servent l’élaboration des objectifs à court terme ?
Aborder les compétences spécifiques nécessaires pour atteindre les objectifs à long terme.
VRAI OU FAUX
Les objectifs doivent être rédigé seulement par le patient.
FAUX
L’AT et le patient doivent discuter et développer les objectifs ensemble.
Faut-il faire participé l’individu dans l’élaboration du plan de traitement ? Si oui, pourquoi ?
L’individu doit sentir qu’il fait partie du processus, car cela peut l’éduquer et le motiver à travailler plus dur pour atteindre les objectifs fixés.
De nombreux facteurs spécifiques relié au sport peuvent affecter le développement des objectifs ? Donner des exemples.
Exigences du sport
Poste joué
Temps restant dans la saison
Saison régulière contre séries éliminatoires ou tournois
Règles du jeu et les règlements concernant les appareils orthopédiques ou l’équipement de sécurité Emplacement
Nature et gravité de la blessure
L’état mental de l’individu
VRAI OU FAUX
Chaque objectif à court terme doit être modérément difficile mais réaliste.
VRAI
Quels éléments doivent se retrouver dans la section du Plan (P) de la note SOAP ?
- Exercice thérapeutique
- Modalités
- Médicaments prescrits par me MD
Pour ramener l’individu à la participation en toute sécurité, le programme d’exercices thérapeutiques est divisé en combien de phase(s). La fin d’une phase et le début de la suivante peuvent se chevaucher ; cependant, chaque phase a un rôle spécifique.
Décriver ce qui se retrouve dans chaque phase(s).
Phase 1:
- La réponse inflammatoire
- La douleur
-L’enflure
- L’ecchymose sont contrôlées.
Phase 2 se concentre sur :
- La récupération de tout déficit en ROM au niveau de l’articulation touchée et la restauration de la proprioception.
Phase 3 : Restaurer
- Force musculaire
- Endurance
- Puissance du membre affecté
Phase 4 : prépare l’individu à reprendre ses activités comprend :
- L’entraînement d’habiletés spécifiques au sport
- La récupération de la coordination
- L’amélioration du conditionnement cardiovasculaire
Dans la phase 1, le but est de contrôler l’inflammation, quels sont les moyens avec lesquels ont peut y arriver ?
Quels capacités devront nous maintenir ?
- Contrôlez le stade inflammatoire et minimisez le tissu cicatriciel avec la cryothérapie en utilisant les principes PRICE (protéger, restreindre l’activité, la glace, la compression et l’élévation).
- Instruire le patient
Maintien du ROM, la flexibilité articulaire, la force, l’endurance et la puissance dans les parties du corps non affectées.
Maintien de l’endurance cardiovasculaire.
Dans la phase 2, le but est de restaurer le mouvement, quels sont les moyens avec lesquels ont peut y arriver ?
Quels capacités devront nous maintenir ?
- Restaurer la ROM à moins de 80 % de la normale dans le membre non affecté. - Rétablir la souplesse articulaire à celle observée dans le membre non atteint.
- Commencez la stimulation proprioceptive par des exercices en chaîne isotonique fermée.
- Commencez des exercices de renforcement isométrique sans douleur sur le membre affecté
- Commencez des schémas fonctionnels sans résistance et sans douleur de mouvement spécifique au sport/à l’activité.
Maintenir la force musculaire, l’endurance et la puissance des muscles non affectés.
Maintenir l’endurance cardiovasculaire.
Dans la phase 3, le but est de développer la force, la puissance et l’endurance musculaire. Quels sont les moyens avec lesquels ont peut y arriver ?
Quels capacités devront nous maintenir ?
Restaurer l’amplitude complète et la proprioception du membre affecté
Restaurer la force musculaire, l’endurance et la puissance à l’aide d’exercices progressifs contre résistance
Maintenir l’endurance cardiovasculaire
Initier une résistance minimale à modérée dans les schémas fonctionnels spécifiques au sport/à l’activité