Cours 12.1. Flashcards
Qu’est-ce qu’un concept?
Une représentation mentale d’une classe ou d’un exemplaire et est concerné par ce qui est représenté et comment cette information est typiquement utilisée durant la catégorisation
Quelles sont les fonctions d’un concept?
Filtrage: fournit des façons informatives/diagnostiques de structurer le monde naturel auquel nous n’avons pas accès directement, seulement par le filtre de nos concepts, ce qui constitue du traitement descendant
Économie cognitive: fournit une façon d’économiser de l’espace de stockage dans l’esprit et le cerveau, ce qui permet d’avoir un temps de réaction plus rapide en identification d’objets, ce qui est utile pour les dangers. Les infos à propos de chaque exemplaire sont oubliés, mais on garde l’info catégorielle, l’économie catégorielle étant faite par paresse
Prédiction: permet de généraliser nos expériences avec certains objets à d’autres objets de la même catégorie
Communication: lorsque les gens partagent des concepts, la communication est plus facile à propos du monde naturel
Pourquoi avons-nous besoin de représentations mentales de propriétés catégorielles?
Parce que c’est difficile de savoir si un nouvel objet peut être pairé avec une catégorie donnée
Quels sont les postulats de l’approche classique des concepts?
Représentations sommaires: la représentation d’un concept est une description sommaire d’une classe entière (s’applique à tous les exemplaires également)
Caractéristiques nécessaires et suffisantes: chaque caractéristique qui définit la catégorie doit se retrouver sur l’objet pour faire partie de la catégorie et si toutes les caractéristiques se retrouvent sur un objet, alors c’est conjointement suffisant pour faire partie de la catégorie. Il ne faut donc pas de concepts disjonctifs. Les catégories sont 100% inclusives (ensemble des exemplaires) et exclusives (ne correspond pas aux autres objets)
Inclusion des caractéristiques dans les relations de sous-ensemble: si le concept x est un sous-ensemble du concept y, alors les caractéristiques définitoires de y sont incluses dans x
Quelles sont les propriétés de l’approche par réseau sémantique hiérarchique inspirés par l’approche classique?
Inclusion: si le concept x est un sous-ensemble du concept y, alors les caractéristiques définitoires de y sont incluses dans x
Caractéristiques nécessaires et suffisantes et aucun concept disjonctif: la seule différence est qu’on peut annuler une caractéristique d’un niveau plus élevé à un niveau plus bas
Quelles sont les ajouts dans l’approche par réseau sémantique hiérarchique par rapport à l’approche classique?
Représentation hiérarchique des sous-ensembles: c’est un avantage pour l’économie cognitive, car les caractéristiques sont stockées une seule fois et sont héritées
Propagation de l’activation: si un noeud est activé, l’activation se propage vers les noeuds associés, ce qui explique l’amorçage sémantique où les mots liés sont traités plus rapidement
Quels sont le but, la tâche, le postulat de base et les essais de Collins et Quillian?
Montrer la validité de l’approche par réseaux sémantiques, soit la hiérarchie et le principe d’inclusion ainsi que l’héritage
Technique de vérification de phrases (x est un y ou x montre une telle propriété)
Les opérations dans le réseau sémantique prennent du temps, soit récupérer une propriété pour un noeud ou descendre d’un niveau dans la hiérarchie pour déterminer l’appartenance
Phrases super-ensemble (déterminer si x est un y)=voyager
Phrases propriété (déterminer si x montre la propriété p)=voyager+récupérer une caractéristique
Quels sont les prédictions et les résultats de Collins et Quillian?
Les temps de réaction sont additifs i.e. que S0 est le niveau de bade (aucun déplacement), S1 est S0+le temps de bouger un niveau et S2 est S0+le temps de bouger 2 niveaux. P0 est S0+temps pour extraire une caractéristique, P1 est P0+monter un niveau et P2 est P0+monter 2 niveaux
Les lignes sont parallèles i.e. que les essais P sont toujours plus longs que les essais S au même niveau, car ils incluent une opération mentale de plus, extraire les caractéristiques
Le nombre de niveaux entre x et y est un facteur dans le TR, cela étant plus long s’il y a plus de niveaux
Vérifier une propriété est toujours plus long que de déterminer l’appartenance
Le processus est additif et les lignes sont presque parallèles
Quels sont le but, la tâche, la mesure, les essais et la prédiction de Meyer et Schvaneveldt?
Tester une dépendance pour l’accès à la mémoire entre 2 décisions sémantiques
Tâche de décision lexicale (si la paire contient 2 vrais mots)
Temps de réaction
Deux non-mots, 1 mot-1 non-mot, 2 mots associés sémantiquement et 2 mots non associés sémantiquement
Si les mots font partie d’une organisation sémantique qui associe les mots ensemble selon le sens et active les mots associés lorsqu’un mot est récupéré, alors il va être plus rapide de juger si 2 items sont des mots lorsqu’ils sont sémantiquement associés, car le 1er mot aura déjà préparé le 2e à être traité
Quels sont les résultats et la conclusion de Meyer et Schvaneveldt?
La prédiction est confirmée, les mots associés sont traités plus rapidement
Soutien pour le principe de propagation de l’activation
Quels sont les problèmes théoriques de l’approche classique?
Les représentations sommaires sont trop restrictives, car il y a des exceptions pour la plupart des catégories et certains sous-ensembles d’objets peuvent montrer des caractéristiques distinctives qui sont différentes d’autres sous-catégories de la même grande catégorie
Les définitions avec les caractéristiques suffisantes et nécessaires ainsi que inclusive et exclusive sont difficiles à trouver
Les concepts disjonctifs existent dans la réalité
Quels sont les problèmes empiriques de l’approche classique?
L’effet de typicité montre que certains exemplaires représentent mieux une catégorie (donc les définitions ne s’appliquent pas également)
L’effet de supériorité du niveau de base ne peut pas être expliquée par l’approche classique qui n’a pas de niveaux
Quels sont le but, la tâche et le rationnel de Rosch (1973)?
Montrer que le postulat ‘tous les exemplaires sont égaux’ est erroné et montrer le caractère plutôt flou des catégories
Jugements de typicité où les participants ont une liste de mots d’une catégorie spécifique et doivent indiquer à quel point chaque item est typique de la catégorie sur une échelle de 1 à 7 où 1 est très typique
Selon l’approche classique, tous les exemplaires d’une catégorie devraient être également typiques, mais ce n’est peut-être pas le cas
Quels sont les résultats et la conclusion de Rosch (1973)?
Tous les exemplaires ne représentent pas la catégorie de façon égale, car certains sont plus typiques
La structure catégorielle est assez floue au lieu du tout-au-rien que demande l’approche classique
L’appartenance catégorielle serait basée sur la ressemblance globale ou la typicité au concept et non à des définitions strictes et la typicité ne peut pas être expliquée par l’approche classique
Quels sont le but, la tâche, les essais et les prédictions de Rips, Shoben et Smith?
Voir si les effets de typicité invalident la structure du modèle hiérarchique par réseau sémantique et déterminer si la structure mnésique est analogue à la structure logique
Technique de vérification de phrases
Changer une catégorie qui est typique pour l’item présenté à une qui n’est pas typique pour l’item présenté
Selon le modèle par réseau sémantique, cela va être plus long se déplacer au deuxième niveau peu importe la typicité de l’item pour les catégories