6. Inflammation & douleur 🤖 Flashcards
p. 491 Ă 508
1
Q
Qu’est-ce que le questionnaire général sur l’appareil locomoteur ?
A
Un outil pour rechercher l’historique du patient et les caractéristiques des symptômes.
2
Q
Quel est le rôle de l’examen physique dans le diagnostic locomoteur ?
A
Test de confirmation ou d’exclusion de certains diagnostics de présomption.
3
Q
Quel est le mode de présentation clinique le plus fréquent des pathologies du système locomoteur ?
A
La douleur.
4
Q
Définition de la douleur selon l’IASP ?
A
Une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle.
5
Q
Quels facteurs influencent la perception de la douleur ?
A
Facteurs bio-psycho-sociaux.
6
Q
Comment la douleur est-elle décrite dans son expérience ?
A
Un phénomène qui dépasse la nociception et ne peut pas être réduit à une activation des voies neuronales sensorielles.
7
Q
Quels types de douleurs sont classifiés dans la section 12.1.1.2 ?
A
Douleurs nociceptives.
8
Q
Qu’est-ce que les douleurs nociceptives ?
A
Douleurs en lien avec des lésions tissulaires comme une entorse ou une fracture.
9
Q
Quelles sont les douleurs neuropathiques ?
A
Douleurs suite à une lésion ou un dysfonctionnement du système nerveux périphérique ou central.
10
Q
Qu’est-ce que les douleurs nociplastiques ?
A
Douleurs survenant d’une nociception altérée sans preuve de dommage tissulaire.
11
Q
Qu’est-ce que la sensibilisation centrale ?
A
Augmentation de la réactivité des systèmes de contrôle de la douleur.
12
Q
Quelles dimensions sont associées à l’expérience de la douleur ?
A
- Dimension sensorielle-discriminative * Dimension cognitive * Dimension Ă©motionnelle * Dimension comportementale
13
Q
Quelle est la distinction entre douleur nociceptive et neuropathique ?
A
La douleur nociceptive est liée à des lésions tissulaires, tandis que la douleur neuropathique est due à un dysfonctionnement du système nerveux.
14
Q
Vrai ou Faux : La douleur est un symptĂ´me objectif.
A
Faux.
15
Q
Complétez : Les douleurs nociplastiques sont souvent associées au concept de douleurs _______.
A
centralisées.
16
Q
Quelles sont les implications cliniques de la classification des douleurs ?
A
Elle guide l’instauration d’un traitement antalgique adapté.
17
Q
Quelles sont les caractéristiques des douleurs nociceptives ?
A
- Activées par des nocicepteurs périphériques * Souvent accompagnées de phénomènes inflammatoires.
18
Q
Quel est un exemple de douleur neuropathique ?
A
Zona.
19
Q
Quelles stratégies de prise en charge sont recommandées pour les douleurs neuroplastiques ?
A
D’autres stratégies que les antalgiques topiques ou infiltrations.
20
Q
Quels sont les types de douleurs qui peuvent coexister ?
A
Douleurs mixtes, comme nociceptives et neuropathiques.
21
Q
Quelles sont les caractéristiques des douleurs nociceptives ?
A
Stimulation excessive des nocirécepteurs périphériques, lésion des tissus et inflammation, hyperalgésie dans la zone concernée, caractère mécanique et/ou inflammatoire, topographie non systématisée, localisation et irradiation variables d’un individu à l’autre.
Traitements : acétaminophène, opioïdes faibles, opioïdes forts, AINS (oral ou topique)
22
Q
Comment se manifeste la douleur neuropathique ?
A
Brûlures, perception d’un froid douloureux, sensation de torsion ou d’écrasement, douleurs paroxystiques de type décharge électrique ou coup de poignard, paresthésies ou dysesthésies (fourmillements, picotements), souvent associée à une allodynie, hypo- ou hyperesthésie.
Topographie : systématisation neurologique identifiable (ex. : territoire d’un nerf, d’une racine nerveuse, d’un plexus…)
23
Q
Quels traitements sont utilisés pour les douleurs neuropathiques ?
A
Antidépresseurs, anticonvulsivants, anesthésiques topiques, cannabinoïdes, neurostimulation (ex. : TENS).
TENS signifie stimulation électrique transcutanée.
24
Q
Qu’est-ce que la douleur nociplasique ?
A
Dysfonctionnement des systèmes de contrôle de la douleur, hypersensibilité générale du corps ou d’une région, composante psychogène possible, variabilité d’expression avec corrélation entre stress et intensité des symptômes.
Topographie non systématisée et atypique.
25
Quels traitements sont recommandés pour les douleurs nociplasique ?
Approches réadaptatives (physiques et psychologiques), faible réponse au traitement pharmacologique, traitements spécialisés (ex. : kétamine, stimulations magnétiques transcrâniennes rTMS).
26
Vrai ou Faux : Les douleurs nociceptives sont toujours localisées à un territoire nerveux défini.
Faux
## Footnote
La topographie des douleurs nociceptives est non systématisée.
27
Complétez : Les douleurs neuropathiques peuvent être décrites comme des sensations de _______.
brûlures
## Footnote
Elles peuvent Ă©galement inclure des sensations de froid douloureux ou de torsion.
28
Quelles sensations sont souvent évoquées en cas de douleur neuropathique ?
Paresthésies ou dysesthésies (fourmillements, picotements).
29
Qu'est-ce qui caractérise la topographie des douleurs nociplasique ?
Non systématisée, atypique.
30
Quelle est la distinction entre la douleur aiguë et la douleur chronique ?
La douleur aiguë est un processus adaptatif utile, tandis que la douleur chronique est un syndrome multidimensionnel nuisible.
31
Comment la douleur aiguë est-elle définie par la Société française d’études et de traitement de la douleur (SFETD) ?
La douleur aiguë représente une réponse à une atteinte tissulaire et suit l'évolution jusqu'au processus de guérison.
32
Quels sont les effets de la douleur chronique sur le patient ?
Elle entraîne une détérioration significative des capacités fonctionnelles et relationnelles, souvent accompagnée d'anxiété et de dépression.
33
Quelle est la durée minimale pour qualifier une douleur de chronique ?
Plus de trois mois.
34
Vrai ou Faux : La douleur aiguë peut être qualifiée d'utile.
Vrai.
35
Quelles sont les caractéristiques neurologiques de la douleur chronique ?
Elle est surtout neurologique, avec une régulation centrale contribuant à sa persistance.
36
Quelles stratégies sont efficaces pour prévenir le passage de la douleur aiguë à la douleur chronique ?
Traitement rapide et efficace, activité physique compatible avec la douleur, et prise en charge précoce par réhabilitation.
37
Quels sont les facteurs de comorbidité souvent observés avec la douleur ?
* DĂ©pression
* Anxiété
* Fatigue
* Insomnies
* Limitation fonctionnelle
38
Qu'est-ce que l'évaluation de la douleur et comment est-elle généralement effectuée ?
C'est l'évaluation régulière de la douleur, souvent réalisée avec l'échelle visuelle analogique (EVA).
39
Qu'est-ce que l'échelle verbale simple (EVS) et pour qui est-elle utilisée ?
Elle est utilisée chez le sujet âgé pour évaluer la douleur de manière plus compréhensible.
40
Comment la douleur peut-elle être modifiée par le contexte psychosocial du patient ?
Des enjeux financiers ou juridiques peuvent amener le patient à exagérer ou à surjouer son expression douloureuse.
41
Pourquoi est-il important de connaître l'historique de douleur du patient ?
Pour comprendre les douleurs passées et les traumatismes qui peuvent influencer la douleur actuelle.
42
Quelles particularités sont observées chez le patient gériatrique concernant l'évaluation de la douleur ?
Difficulté d'évaluation à cause des troubles cognitifs et risque accru de troubles liés à des traitements antalgiques inappropriés.
43
Quelles structures peuvent être le siège de douleurs musculosquelettiques ?
* Os
* Articulations
* Tissus mous
* Nerfs
44
Comment une douleur musculaire peut-elle être décrite selon ses caractéristiques ?
Par des sensations de brûlure, écrasement, décharge électrique, fourmillements, etc.
45
Quel est un exemple de douleur neuropathique ?
Des décharges électriques et sensations de brûlure.
46
Quel type de douleur pourrait être associé à une douleur des membres inférieurs qui apparaît à la marche ?
Un problème de claudication (vasculaire ou neurologique).
47
Qu'est-ce qui constitue le siège de douleurs musculosquelettiques ?
Les os, les articulations, les tissus mous et les nerfs.
48
Quelle est la principale cause de douleur osseuse ?
Un traumatisme direct causant une contusion, un hématome ou une fracture.
49
Qu'est-ce qu'une fracture pathologique ?
Une fracture survenant au niveau d'un os affaibli par une maladie sous-jacente.
50
Quels sont les effets de l'arthrose sur les articulations ?
Modifications osseuses graduelles, douleurs et limitations fonctionnelles.
51
Comment sont classées les blessures ligamentaires ?
En trois grades : Grade 1, Grade 2, Grade 3.
52
Définissez le grade 1 d'une lésion ligamentaire.
Léger étirement ou le ligament est douloureux, mais garde sa pleine intégrité.
53
Qu'est-ce qu'une entorse de grade 3 ?
Rupture complète du ligament avec laxité marquée.
54
Quelles structures sont incluses dans les tissus mous ?
Ligaments, capsules articulaires, bourses, muscles, fascias.
55
Quelles sont les trois grades de blessures musculaires ?
Grade 1 : élongation, Grade 2 : claquage ou déchirure, Grade 3 : rupture.
56
Comment une douleur neurologique peut-elle survenir ?
Par traction des nerfs ou compression par des structures environnantes.
57
Qu'est-ce que la douleur référée ?
Douleur ressentie à un endroit différent de la source réelle de la douleur.
58
Quels sont les signes de douleur inflammatoire ?
Augmentation par le repos, diminution par l'activité, raideur matinale.
59
Quel type de patient est davantage sujet à l'instabilité musculaire ?
Un jeune sportif.
60
Quels éléments doivent être inclus dans un questionnaire général sur l'appareil locomoteur ?
Âge, dominance, profession, antécédents, prise de médicaments, habitudes de vie.
61
Vrai ou faux : La douleur musculaire est toujours localisée au site de la blessure.
Faux.
62
Remplissez le blanc : Les _______ sont blessées surtout par des mécanismes de compression.
bourses
63
Qu'est-ce qu'une tendinopathie ?
Douleur locale produite par la blessure d'un tendon.
64
Quels facteurs de risque sont associés à des douleurs chroniques myofaciales ?
Points gâchettes, douleurs référées, mécanismes mal compris.
65
Quelles sont les origines potentielles de douleur dans la région de l'épaule ?
Dysfonction cervicale, spasme de la coiffe des rotateurs, origine cardiaque.
66
Quels symptômes systémiques peuvent accompagner l'inflammation ?
Fièvre, perte de poids, fatigue.
67
Quelles sont les conséquences d'une hypomobilité articulaire ?
Douleur due à l'étirement d'une structure rétractée et stress sur les articulations adjacentes.
68
Vrai ou faux : L'hypermobilité articulaire est toujours douloureuse.
Faux.
69
Quels types de blessures sont plus fréquents chez un adulte d’âge moyen ?
Blessures de surutilisation, tendinites, hernies discales, bris méniscaux, bursites
## Footnote
Ces blessures sont souvent liées à des activités physiques répétitives ou à un mode de vie sédentaire.
70
Quels problèmes de santé sont plus courants chez les personnes plus âgées ?
Maladies inflammatoires, fractures
## Footnote
Les fractures peuvent être dues à une diminution de la densité osseuse.
71
Quels autres problèmes peuvent s'ajouter aux maladies inflammatoires chez les personnes âgées ?
Problèmes dégénératifs, néoplasies
## Footnote
Les problèmes dégénératifs incluent des conditions comme l'arthrose.
72
Comment l'âge du patient influence-t-il le diagnostic différentiel ?
Le diagnostic différentiel varie selon l'âge : jeune (moins de 30 ans), d’âge moyen (30-60 ans), plus avancé (au-delà de 60 ans)
## Footnote
Cela permet d'émettre des hypothèses diagnostiques plus précises.
73
Vrai ou Faux : Les blessures de surutilisation sont plus fréquentes chez les personnes âgées.
Faux
## Footnote
Les blessures de surutilisation sont plus fréquentes chez les adultes d’âge moyen.
74
Complétez : Chez les personnes plus âgées, on retrouve plus souvent des _______.
maladies inflammatoires
## Footnote
Ces maladies peuvent inclure l'arthrite.
75
Quels sont les trois groupes d'âge mentionnés pour émettre des hypothèses diagnostiques ?
Jeune, d’âge moyen, plus avancé
## Footnote
Ces groupes d'âge permettent de mieux orienter le diagnostic en fonction des problèmes de santé typiques.
76
Qu'est-ce que la dominance du patient et pourquoi est-elle importante?
La dominance (droitier ou gaucher) du patient aide à mieux comprendre le mécanisme de la blessure pour en déduire le diagnostic différentiel.
77
Quels types de blessures peuvent survenir chez un patient dominant lors d'une chute?
Une fracture du poignet ou une luxation de l'Ă©paule ou du coude.
78
Quel type de blessure un peintre peut-il développer en utilisant son bras dominant?
Une tendinopathie de la coiffe des rotateurs.
79
Quelles blessures peut subir un plombier utilisant sa main dominante?
Une tendinite des extenseurs du poignet (tennis elbow).
80
Quels types de blessures sont plus susceptibles d'affecter la jambe non dominante d'un joueur de soccer?
Des blessures de compression ou de torsion, comme une déchirure du labrum de la hanche, du ménisque ou du ligament croisé antérieur (LCA).
81
Comment la nature du travail influence-t-elle les blessures musculosquelettiques?
Les travailleurs de la construction se présentent souvent avec des blessures traumatiques aiguës, tandis que les travailleurs de bureau ont plus souvent des tensions musculaires et des tendinopathies liées à de mauvaises postures.
82
Quels types de blessures sont associés aux loisirs comme le jardinage ou la course à pied?
Des blessures de surutilisation.
83
Quels types de blessures sont souvent rencontrées dans les sports de contact?
Des blessures traumatiques comme des contusions, des entorses, des luxations ou des fractures.
84
Pourquoi est-il important de connaître l'impact de la douleur sur les activités quotidiennes d'un patient?
Pour comprendre comment la douleur affecte leur fonctionnement, y compris le travail et les loisirs.
85
Quels sont les 'drapeaux jaunes' en lien avec des facteurs psychosociaux?
Des croyances nuisibles sur la douleur, des attentes négatives, et des réactions émotionnelles comme l'anxiété.
86
Quelles conditions médicales sont considérées comme ayant un mauvais pronostic pour les blessures musculosquelettiques?
Métastases osseuses, maladies cardiopulmonaires, diabète.
87
Comment les antécédents de blessures musculosquelettiques similaires peuvent-ils aider au diagnostic?
Ils renseignent sur la qualité du tissu lésé et le pronostic de guérison.
88
Quel rôle jouent les antécédents familiaux dans l'évaluation des blessures?
Ils permettent de rechercher un éventuel terrain génétique de prédisposition à certaines pathologies.
89
Pourquoi la consommation d'anti-inflammatoires non stéroïdiens requiert-elle une attention particulière?
Elle peut masquer une douleur plus grave et causer des troubles gastro-intestinaux et rénaux.
90
Quels facteurs de style de vie peuvent influencer la santé musculosquelettique?
Sédentarité, obésité, diabète, tabagisme.
91
Quelles conséquences peuvent avoir les habitudes alimentaires sur le système locomoteur?
Elles peuvent affecter la santé du système locomoteur.
92
Quel est l'effet de l'alcool et des drogues sur les blessures?
Ils affectent l'Ă©quilibre et le jugement, augmentant le risque de chutes et de blessures traumatiques.
93
Quelle est l'importance de comprendre le mode d'apparition et d'évolution d'un problème de santé?
Cela aide Ă distinguer entre une blessure nouvelle, une maladie chronique ou une condition grave.
94
Qu'est-ce que le PQRST et pourquoi est-il important?
C'est une méthode d'évaluation de la douleur qui aide à clarifier le problème musculosquelettique.
95
Quels types de blessures peut-on déduire d'une douleur persistante ?
Blessure nouvelle, blessure qui tarde à guérir, maladie inflammatoire, maladie dégénérative chronique, maladie grave comme une néoplasie.
96
Que signifie le PQRST dans l'Ă©valuation de la douleur ?
Provocation, Qualité, Région, Symptômes associés, Temps.
97
Qu'est-ce que la provocation et la palliation des symptĂ´mes dans le PQRST ?
Évaluation des mouvements ou positions qui déclenchent ou soulagent la douleur.
98
Quels mouvements peuvent provoquer des symptĂ´mes chez un patient ?
* Élévation de l'épaule
* Tendre le bras vers l'arrière
* Attacher un soutien-gorge
* Position assise ou accroupie
* Activités spécifiques comme le tennis.
99
Comment peut-on évaluer la qualité de la douleur ?
En déterminant si c'est une douleur, une sensation d'instabilité, ou une douleur somatique versus neuropathique.
100
Sur quelle échelle évalue-t-on la quantité de douleur ?
Échelle de 0 à 10, où 0 est absence de douleur et 10 est douleur intolérable.
101
Quelles informations peuvent conduire à un diagnostic erroné concernant la localisation des symptômes ?
La douleur peut être précise, diffuse, ou référée, d'origine neurologique, viscérale, ou métabolique.
102
Quels symptômes associés pourraient indiquer une condition médicale grave ?
* Spasmes musculaires
* Atteinte Ă d'autres articulations
* Affection neurologique
* Atteinte cardiorespiratoire
* Œdème
* Fièvre.
103
Que sont les 'drapeaux rouges' en clinique ?
Signes et symptômes suggérant une condition grave et dangereuse.
104
Quels sont quelques exemples de 'drapeaux rouges' Ă rechercher ?
* Histoire de trauma
* Âge supérieur à 50 ans
* Antécédent de néoplasie
* Symptômes 'B' (fièvre, perte de poids).
* Douleurs nocturnes.
105
Qu'est-ce que le 'symptôme B' en médecine ?
Fièvre, frissons, sueurs nocturnes, perte de poids inexpliquée.
106
Quelle est l'importance de la chronologie des symptĂ´mes ?
Elle aide à comprendre le processus physiopathologique et à situer la pathologie dans son stade de guérison.
107
Quelles sont les catégories de temps pour les symptômes ?
* Aigu (< 1 semaine)
* Subaigu (1-6 semaines)
* Chronique (> 3-6 semaines).
108
Comment Ă©valuer l'apparition des symptĂ´mes ?
DĂ©terminer s'ils sont apparus subitement ou progressivement.
109
Quelles pathologies peuvent causer des douleurs nocturnes ?
Conditions malignes, bursite, ou autres pathologies musculosquelettiques bénignes.
110
Quels éléments peuvent orienter le diagnostic d'un œdème ?
* Quantité
* Localisation
* Aspect
* Circonstances d'apparition.
111
Quelle est la durée des symptômes qui devrait faire suspecter une pathologie d'évolution lente ?
Plusieurs semaines ou plusieurs mois.
## Footnote
Cela inclut des conditions comme les tendinopathies et l'ostéoarthrose.
112
Quels types de pathologies sont souvent associés à des symptômes intermittents ?
Tendinopathies et ostéoarthrose.
## Footnote
Ces pathologies sont caractérisées par une douleur qui n'est pas constante.
113
Si la douleur est apparue depuis peu, quel diagnostic doit-on envisager ?
LĂ©sions traumatiques et blessures non traumatiques.
## Footnote
Cela comprend des fractures, des déchirures, des bursites ou des hernies discales.
114
Vrai ou Faux : Les symptômes des pathologies d'évolution lente sont généralement constants.
Faux.
## Footnote
Les symptĂ´mes de ces pathologies sont souvent intermittents.
115
Complétez : Les symptômes persistants depuis _______ semaines doivent faire penser à des pathologies d'évolution lente.
plusieurs
## Footnote
Cela fait référence à une période prolongée qui nécessite une attention médicale.
116
Quels types de lésions peuvent être inclus dans le diagnostic différentiel si la douleur est récente ?
LĂ©sions traumatiques et blessures non traumatiques.
## Footnote
Les lésions traumatiques incluent des fractures et des déchirures, tandis que les blessures non traumatiques incluent des bursites et des hernies discales.
