Schizophrénie et troubles psychotiques Flashcards
Pour quel raison Egaz Moniz est it reconnu
Prix nobel pour le tx de la psychose par la lobotomie en 1949
Théorie d’Emil Kraepelin pour expliquer la scz
Sx déficitaires (fondamental au dx), début précoce et évolution dégénérative = Dementia Praecox
Séparation de la maladie affective et non affective
Théorie d’Eugen Bleuler pour expliquer la scz
4 sx primaires = Autisme, Ambivalence, Affect plat, Associations relâchées
Hallucinations et délires sont des sx 2aire
maladie dite hétérogène (pas nécessairement chronique)
Premier à introduire terme schizophrénie
Théorie de Kurt Schneider pour expliquer la scz
Sx schneidériens:
premier rang = pensée audible, voix discutant et argumentant, voix commentant les actions du pt, passicité somatique, retrait/insertion/diffusion de la pensée, sentiment/impulsion/action imposées, perceptions délirantes
deuxième rang = autre trouble perceptuel, idée délirante, perplexité, delusionnal mood, sentiment d’apauvrissement émotionnel
Non pathognomonique mais présent chez > 50% des scz
Épidémiologie de la scz
environ 1% à vie
F=H pour prévalence, mais incidence H>F (gras ppn)
Évolution usuelle de la scz
1/3 bonne évolution avec rémission
12-15% rémission fonctionnelle (minimum 2 ans avec rémission de sx + reprise d’un rôle social)
2/3 sx intermittent sur évolution chronique
25% réfractaires
FDR en lien avec sx psychotique + conso cannabis
Âge précoce au début de consommation
dose cumulative
concentration en THC
vulnérabilité préexistante
Lien entre cannabis et PEP
lien causal entre utilisation cannabis chez les jeunes et PEP
++ association si conso débuté < 15 ans
Devance le début de la maladie de 2.7 à 6.9 ans
Cannabis double/triple le risque de développer scz
FDR de suicide chez le SCZ
haut QI
hautes aspirations pré-morbide
conscience de la perte fonctionnelle
jeune âge
6 années suivant la 1ère hospitalisation
congé récent de l’hôpital
DÉPRESSION (le principal et en gras dans ppn)
hallucinations impératives
akathisie
ATCD tentative de suicide
TLUS
non observance au tx
statistique relié au suicide dans la population scz
5-6% de décès par suicide et 20% de tentative de suicide
facteur protecteur pour le suicide en scz
clozapine
FDR d’homicide chez SCZ
ATCD de violence, comportements dangereux pendant hospitalisation, délire et hallucination impliquant homicide
comment est influencé le risque de violence en SCZ par le tx pharmaco
le tx pharmaco diminue substentiellement le risque de violence et de criminalité.
Le risque de violence exédentaire est 2aire au TLUS
Comorbidités physiques fréquentes pour le SCZ
Tabagisme (85% vs 23% dans pop gen)
MCAS (50% vs 22%)
1.5 à 2X + de VIH (2aire comportements à risque)
DBT2
Hep C
MAIS 1/3 moins d’Arthrite rhumatoide
cause de mort prématurée le + courant chez le SCZ
cardiovasculaire
espérance de vie 10-20 ans moindre que pop générale
Hautes comorbidité avec TLUS (prévalence?) et 5 théories l’expliquant
46% de prévalence de TLUS dans la population scz
- Auto-tx des sx psychotiques
- trouble psychotique induit par la substance
- facteurs psychosociaux/environnementaux communs
- vulnérabilité partagée pour les 2 troubles
- Compensation temporaire pour blocage D2 causé par AP
4 comorbidités psy les + fréquentes avec scz
- Trouble anxieux (50%)
- tr. dépressif (50%)
- TLUS (46% et ROH 40%)
- TSPT
Quel est le prédicteur le + fort de l’évolution de la scz
Durée des sx psychotiques dans les 2 premières années
Âge spécifique pour scz à début précoce et à début très précoce
précoce = < 18 ans
Très précoce = < 13 ans Pratiquement toujours > 5 ans
Fertilité chez les SCz vs population générale
la fertilité est idem
mais augmentation des grossesse dans les dernières années car désinstitutionalisation, amélioration des soins prénataux, AP atypiques, changement de l’attitude fac à la grossesse chez pt psy
Particularités des sx en scz dans la population âgée (scz à début en âge usuel, mais qui ont vieilli avec la maladie)
Diminution des sx positifs secondaire à une diminution dopaminergique
20% n’ont plus de sx après 65 ans
répondent généralement bien aux AP = doses plus faibles requises
âge pour scz à début tardif et début très tardif
début tardif = 40-60 ans
début très tardif = > 60 ans
Particularités de la scz à début tardif
F > H (baisse œstrogène)
moins ou pas d’hx familiale de scz
le + souvent délire persécutoire
moins de sx négatif
Délire le plus spécifique à la scz à début tardif
délire de partition (perméabilité)