Rhumatologie Flashcards
Différents types de fractures
Fractures traumatiques
Fractures pathologiques
Fractures de contrainte : fracture de stress (ou de fatigue) et osteoporotique
TTT de la crise de goutte
- Colchicine : 1 mg/prise et 3 mg max le 1er jours, 2 mg le 2e, 1mg le troisième
- AINS si contre indication a la colchicine pendant 1 a 2 semaines
Règles de prescriptions de l’allopurinol
- doses croissantes
- objectifs
< 60mg.L
< 50 mg.L si I. Rénale, présence de tophus, arthropathie ou age > 35 ans - associée a la colchicine pendant 3 a 6 mois
- EI : reaction allergique
Ostéoporose : fractures sévères
- fractures du femur
- fractures vertébrales
- extrémité supérieur de l’humerus
- extrémité inférieur du femur et supérieur du tibia
- bassin/ pelvis / sacrum
- 3 cotes simultanées
Fractures majeurs
Col du femur
Poignet
Humerus
Fractures vertébrales cliniques
Bilan de premiere intention en cas d’ostéoporose
- VS, CRP
- NFS
- ionno, urée, créat
- BHC
- EPP
- Bilan phospho-calcique
Fracture en faveur d’une origine osteoporotique
Fracture en dessous de T3
Fractures osteoporotiques en fonction de l’âge
50 ans : poignet
60 ans : vertèbre
70 ans : col du femur
Mesure pertinentes de DMO en fonction de l’âge
- autour de la ménopause : rachis lombaire
- vers 70 ans : mesure au niveau de la hanche
Causes de canal carpien
- hypothyroïdie, diabète, acromégalie, grossesse
- idiopathique
- maladie professionnelle, activité traumatique
- depot de cristaux : goutte, condrocalcinose, hydroxy apatite, amylose
- PR (tenosynovite), infectieuse (BK), arthrose, kyste synovial
HLA B27
- prévalence dans la population générale : 5%
- prevalence dans la spondylarthrite
Ankylosante : 90 %
post virales : 70 %
Psoriasis/ associée aux MICI: 50-60 % - quasi absent chez le noir
- utile seulement en cas de doute diagnostique
Facteurs de mauvais pronostic de la spondylarthrite ankylosante
Coxite Dactylite Début < 16 ans Présence de syndesmophytes au diagnostic Résistance aux AINS Tabagisme actif Syndrome inflammatoire important
Bialn initial dans une polyarthrite rhumatoide
Le bilan radiographique standard d’une PR doit systématiquement comporter initialement :
- Radiosdes 2 mains + poignets de face
- Radios Pieds de face et3/4
- Thorax face + profil
- Toute autres articulations douloureuses
Les échographies articulaires son utilisables mais non pas dans le bilan systématique mais dans les examens d’orientation devant des arthralgies, à la recherche de signes de synovites.
DAS 28 : valeurs a connaître
- PR en remission : < 2,6
- faiblement active : 2,6 - 3,2
- modérément active : 3,2 - 5,1
- très active > 5,2
Critères ACR EULAR de la PR
- Diagnostic si >/= 1 articulation gonflée
+ erosion radiographique ou score EULAR/ACR > 10
PR : facteurs prédictifs de sévérité
- HAQ > 0,5
- lésions structurales
- manifestations systémiques
Manifestation cardiaque de la spondylarthrite
Troubles du rythmes/ conduction
Insuffisance aortique
Spondylarthrite : indication des anti TNF alpha
- Après échec de deux AINS si forme axiale avec BASDAI > 4 ou ASDAS > 2,1
- apres echec de 1 ttt synthétiques dans une forme périphérique si au moins 3 articulations gonflée et douloureuses
- si enthésite avec BASDAI > 4
PEC d’une cervicalgie aiguë
- pas de kinésithérapie a la phase aiguë, pas de myorelaxants
- antalgiques, AINS
- agents physiques et massages
- Minerve
PEC d’une cervicalgie chronique
- Kinésithérapie
- antalgiques +/- AINS pendant es périodes douloureuses
- Repos relatif
PEC d’une dorsalgie
Ttt symptomatique
Kinésithérapie
Infiltrations de CTC (attention, risques +++ au niveau dorsal)
PEC d’un lumbago
- pas de kinésithérapie, pas de myorelaxants
- antalgiques + AINS
- Repos actif
- corset lombaire
PEC d’une lombalgie chronique
- antalgiques +/- AINS en période de poussées
- kinésithérapie
- infiltrations de CTC zygapophysaire posterieur
- +/- crénothérapie ou chirurgie (exceptionnelle !!)
Fibrome non ossifiant
- la plus fréquente des tumeurs bénignes
- Siège : tumeur métaphysaire
- clinique : toujours asymptomatique, chez l’enfant ou l’ado
- Radiologie : lacune métaphysaire excentrée bien cernée par un liseré de condensation périphérique
- evolution : regression avec la croissance par calcification progressive
Exostose solitaire
- Terrain : enfant ou ado
- clinique : totalement asymptomatique ou possible symptomatologie en rapport avec un frottement
- radiologie : présence d’une excroissance osseuse sessile ou pédiculée au niveau de la métaphyse des os longs
- PEC : recherche d’une maladie des exostose multiples (risque de dégénérescence sarcomateuse) et respect dans le cas contraire
Ostéome osteoide
- terrain : enfant ou ado en croissance
- radio : localisation a la métaphyse ou a la diaphyse, image ostéolytique centrée par un zone de condensation, et cernée par une sclérose périphérique. Taille inférieure a 1 cm.
- clinique : douleurs inflammatoire bien calmée par les AINS
- bilan : TDM + scinti
- PEC : ablation par RF (ou chir si CI)
Ostéosarcome
- Terrain : ado ou adulte jeune, survenue sur lésion préexistante le plus souvent
- clinique : sans AEG ni syndrome inflammatoire
- radiologie : “près du genou, loin des coudes” , réaction périostée en feu d’herbe.
- MT pulmonaire fréquente
Sarcome d’Ewing
- “Ewing est partout et aime l’oignon”
- survenue chez l’adulte jeune et l’ado
- clinique : AEG, Sd infl
- t(11;22)
- radio : réaction périostée en bulbe d’oignon
- risque d’envahissement médullaire
Chondrosarcome
- survient chez l’adulte > 30 ans, surtout sr des lésions préexistantes (enchodrome, exostoses)
- touche les os au niveau de la jonction métaphyso-epiphysaire, lésion lytique avec calcifications intra tumorale et extension au parties molles
- bilan identique a l’osteosarcome
- ttt : chirurgie exclusivement
Signe de la sonnette
Aggravation d’une radiculalgie lors de la percussion para vertébrale
Evolution d’une arthrite réactionnelle
- Evolution vers la rémission (= guérison) pour la majorité des patients.
- Dans 20 à 50% des cas : manifestations chroniques ou récidivantes à type d’arthrites, ou d’urétrites
- Dans 10 à 20% des cas : spondylarthrite ankylosante typique
AMM de l’infliximab
- ttt des SpA axiales ou des rhumatismes pso
- pas d’AMM pour le ttt des spondylarthrites non radiographiques
Bouchard
Héberden
Bouchard => proximal
Heberden => distal